Cours #6 Flashcards

1
Q

Identifiez et expliquez 3 liens entre le texte de l’article et des modèles théoriques ou concepts déjà présentés en classe.

A
  1. L’apprentissage social / par observation
    2.L’auto-efficacité / sentiment de compétence parentale
  2. Le conditionnement par l’apprentissage de comportements adaptifs (le façonnement)
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2
Q

Comment est-ce que l’intervention proposée dans l’article peut-elle améliorer la qualité de vie des parents d’enfants avec un TSA?

A

Plus les parents comprennent mieux la réalité de leur enfant, plus leur sentiment de compétence sera élevé. Aussi, les enfants ayant des comportements plus adaptés amènent une meilleure qualité de vie

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3
Q

Quelles sont les grandes familles des interventions comportementales ?

A

➢ Activation comportementale
➢ Résolution de problèmes
➢ Différentes modalités d’exposition

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4
Q

Quelles sont les interventions faisant partie des modalités d’exposition ?

A

➢ Désensibilisation systématique
➢ L’exposition
➢ L’expérience comportementale

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5
Q

Définit l’activation comportementale

A
  • Représenter par une grille d’activité pour voir si la routine de l’individu est compatible avec les symptômes dépressifs.
  • Débute par un exemple avec l’intervenant.
  • Précision su niveau de plaisir et de sentiment d’accomplissement
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6
Q

Dans quel contexte la stratégie d’activation comportementale est plus utile ?

A

Lorsqu’il y a une réduction d’activités ou une perte d’intérêt

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7
Q

Quelles sont les deux étapes de l’activation comportementale ?

A

Étape 1: La personne documente ses activités
Étape2: La personne choisit des activités qu’elle ajoutera à son horaire de la semaine.

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8
Q

Vrai ou Faux : la routine va être un levier à diminuer le niveau d’activité

A

Faux, elle va augmenter le niveau d’activité (renforcement positif)

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9
Q

Quelles sont les critères pour qu’une activité soient privilégier dans l’activation comportementale ?

A
  • Facile à exécuter
  • La personne doit être capable de réussir et de faire l’activité.
  • Miser sur un succès et sentiment d’accomplissement.
  • Anticiper les obstacles potentiels en détail pour s’assurer de bâtir sa routine sur des succès
  • Se forcer afin que l’envie se remobilise
  • Un travail de collaboration entre le client et l’intervenant (prend forme d’une discussion)
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10
Q

Quels sont les deux volet à privilégier pour inclure une activité dans la routine ?

A
  • Volet social (parler au téléphone, prendre une marche avec un.e ami.e, un café); engagement à une activité structurée
  • Volet activité physique (une marche, aller à la boîte aux lettres)
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11
Q

Vrai ou Faux : L’activation comportementale mise sur le conditionnement classique

A

Faux, c’est plutôt le conditionnement opérant (i.e. renforcement positif des comportements souhaités).

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12
Q

Définit la résolution de problème

A

Exiger la personne à mettre en action des activités en lien avec le problème concrêt; n’est pas purement comportemental

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13
Q

Quelles sont les étapes de la résolution de problèmes ?

A

1) Identifier sa réaction face au problème
2) Transformer la menace en défi
3) Définir le problème et se donner un objectif spécifique et précis
4) Trouver plusieurs solutions possibles
5) Choisir la solution la plus prometteuse
6) Mettre en application la solution choisie
7) Évaluer l’efficacité de la solution

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14
Q

Vrai ou Faux : lorsque le client fait un remue méninges des solutions possibles, il va noter même les mauvaises solutions

A

Vrai

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15
Q

Vrai ou Faux : lors de la résolution de problèmes, il faut que le problème soit hypothétique et touche les autres

A

Faux, ça doit être un problème réel et actuel

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16
Q

Vrai ou Faux : Si une solution ne fonctionne pas, on peux en essayer une nouvelle.

A

Vrai

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17
Q

Qui a créé la désensibilisation systématique ?

A

Joseph Wolpe

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18
Q

Qu’est-ce que le « SUDS »?

A

Subjective unit of discomfort

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19
Q

Définit la désensibilisation systématique

A

Confronter l’objet de sa peur et à utiliser une stratégie de relaxation pour retrouver son calme dans cette situation. Lorsque son niveau d’anxiété diminue, il peut passer à la prochaine étape et se donner un nouveau défi.

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20
Q

Pourquoi l’évitement maintient l’anxiété ? (Deux raisons)

A
  • Entretient / renforce les croyances dysfonctionnelles / pensées anxiogènes
  • Produit un soulagement qui agit comme un renforcement négatif de ce comportement.
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21
Q

Vrai ou Faux : la stratégie de relaxation est un comportement d’évitement

A

Vrai

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22
Q

Qu’est-ce qui amène le client à ne pas avoir une exposition optimale ?

A

Les comportement de recherche de sécurité

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23
Q

Quel est le but du client dans l’exposition ?

A

Affronter ses craintes comme une personne qui n’a pas peur.

24
Q

Quel est le but du client dans l’exposition ?

A

Affronter ses craintes comme une personne qui n’a pas peur.

25
Q

Vrai ou Faux : Selon la courbe d’anxiété lors de l’exposition, à force de vivre cette situation, l’anxiété va diminuer après un certain temps.

A

Faux, courbe théorique; non pratique

26
Q

Quelles sont les trois règles de l’exposition?

A
  1. Graduelle
  2. Répétée
  3. Prolongée
27
Q

Qu’est-ce que le « Flooding »

A

Mettre le client dans la situation épeurante directement

28
Q

Vrai ou Faux : Il faut de la répétition pour diminuer l’anxiété et apprendre que ce n’est pas dangeureux

A

Vrai

29
Q

Vrai ou Faux : Pour que l’apprentissage compte, le client n’est pas obligé d’être complètement confortable et prendre son temps lors de l’exposition

A

Vrai

30
Q

Vrai ou Faux : dans l’exposition graduelle, les paramètres vont dépendre de l’individu

A

Vrai

31
Q

Avec quels sont les deux concepts qu’on retrouve dans un tableau d’exposition graduelle ?

A
  • le niveau de difficulté
  • la description d’une situation anxiogène
32
Q

Quel est le rôle de l’intervenant dans l’exposition graduelle ?

A

L’intervenant peut accompagner le client dans une situation d’exposition

33
Q

Quel est le rôle de l’intervenant dans l’exposition graduelle ?

A

L’intervenant peut accompagner le client dans une situation d’exposition

34
Q

Quel est l’impact de la présence de l’intervenant dans l’exposition ?

A

Permet de maximiser et s’assurer que l’exercise est bien réalisé

35
Q

Qu’est-ce que les études de Craske ont démontré sur les règles de l’exposition ?

A

Les principes d’habituation et d’extinction de l’anxiété semblent moins importants qu’autrefois envisagé.

36
Q

Quelles sont les stratégies qui maximisent l’exposition selon Craske?

A
  • Varier les contextes : changer les expositions. En ne variant pas les contextes, l’anxiété vécue va seulement diminuer sur ce contexte. Permet de généraliser.
  • Écart dans la pensée de l’individu et celle suite à l’exposition, retirer les bienfaits.
  • Laisser les conséquences aversives se produirent.
  • Créer de nouvelles associations entre le déclencheur et la perception de menacee
37
Q

Qu’est-ce que permet l’expérience comportementale chez le client ?

A

L’objectif du test est de vérifier si les conséquences
anticipées par l’individu surviennent ou si ses attentes
sont contredites

38
Q

Quelles sont les étapes de l’expérience comportementale ?

A

A)Établir la prédiction.
B) Déterminer des prédictions alternatives
C)Faire l’expérience
D)Noter le résultat

39
Q

Lorsque la prédiction initiale se produit, qu’est-ce que l’intervenant doit faire ?

A

Il faut relativiser et voir les causes externes, selon le contexte.

40
Q

Nommer les trois modalités d’exposition?

A
  1. En imagination
  2. En réalité virtuelle
  3. In vivo
41
Q

Pourquoi utiliser la réalité virtuelle pour l’exposition (4)?

A

➢Parce que ça fonctionne.
➢Parce que c’est sécuritaire.
➢Parce que tout demeure confidentiel.
➢Parce que c’est beaucoup plus simple pour le psy

42
Q

Vrai ou Faux : La qualité du visuel n’a pas besoin d’être optimal pour faire face à la peur

A

Vrai

43
Q

Comment appliquer l’exposition à la phobie spécifique ?

A

S’exposer au sujet qui fait peur

44
Q

Comment appliquer l’exposition à l’anxiété sociale ?

A

S’exposer à une situation qui dirige l’attention sur soi

45
Q

Comment appliquer l’exposition à le trouble de panique ?

A

S’exposer aux sensations physiques qui leur font peur

46
Q

Comment appliquer l’exposition à l’agoraphobie ?

A

S’exposer à des lieux craintifs / clos

47
Q

Comment appliquer l’exposition à l’anxiété généralisée ?

A

Sécurisé ses inquiétudes; préparation à des scénarios négatifs

48
Q

Comment appliquer l’exposition à le stress post-traumatique ?

A

S’exposer à des souvenirs / situations / lieux qui rappellent la situation traumatique

49
Q

Comment appliquer l’exposition à le trouble obsessionnel-compulsif ?

A

S’exposer aux croyances irréalistes

50
Q

Pourquoi l’adaption à la conceptualisation du client est un défi de l’exposition ?

A
  • Jamais de hiérarchie automatique
  • On cible l’association dysfonctionnelle
51
Q

Comment mieux doser la hiérarchie dans l’exposition ?

A

Faire des petits pas, sans relaxation et micro-évitements

52
Q

Pourquoi l’alliance thérapeutique est aussi importante dans l’exposition ?

A

Pas facile de se mettre dans des situations anxiogène, il faut que le client fasse confiance au thérapeute

53
Q

Pourquoi le problème du « je l’ai déjà fait » est un défi pour l’exposition ?

A

Pas avec la façon optimale d’y faire faire; sans accompagnement efficace

54
Q

Vrai ou Faux : l’exposition est la stratégie la plus utilisé par les psychologues

A

Faux

55
Q

Vrai ou Faux : la restructuration cognitive est plus utilisé et efficace dans la psychothérapie chez les TPA et les TAS

A

Faux, moins efficace que l’exposition

56
Q

Pourquoi les psys n’utilisent pas la stratégie par l’exposition ?

A
  • Difficulté à tolérer l’anxiété des clients.
  • Dimensions éthiques et sécurité.
  • Peur de perdre le client.
57
Q

Qu’est-ce qui rend l’exposition difficile pour les clients ?

A
  • Peur de l’anxiété ou des émotions.
  • Peur de perdre le contrôle.
  • J’ai déjà essayé…