Cours #5 : Le début du paléolithique inférieur en Afrique et l'apparition du genre Homo Flashcards

1
Q

Nommez une découverte faite durant la période de « quête du chaînon manquant » pour chacune de ces dates : 1863, 1891, 1911-1912, 1924

A

1863 : Mandibule de la carrière du Moulin-Quignon (France)

1891 : pithécantropus erectus (Île de Java)

1911-1912 : L’homme de Piltdown (Angleterre)

1924 : Enfant de Taung (Afrique du Sud) australopithecus africanus

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Q

Expliquez la découverte de 1863.

A

Mandibule de la carrière du Moulin-Quignon (France) découverte par Boucher-de-Perthes, qui fut rapidement démentie : il s’agissait de restes modernes.

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3
Q

Expliquez la découverte de 1891.

A

Découverte d’un fémur humain et d’une calotte crânienne sur l’île de Java par Eugène Dubois. Ce sera une découverte controversé car on pense qu’il s’agit d’un individu pathologique.

On le nomme Pithecantropus erectus, et deviendra ensuite Homo erectus.

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4
Q

Expliquez la découverte de 1911-1912.

A

L’Homme de Piltdown fut découvert par Charles Dawson. Il s’agit d’un crâne moderne associé à une mandibule relativement archaïque. Cette découverte fait un énorme écho, car elle correspond parfaitement aux attentes du chaînon manquant.

Sa nature frauduleuse est démontrée vers 1950.

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5
Q

Expliquez la découverte de 1924.

A

L’enfant de Taung est un crâne découvert dans un carrière et ensuite exposé comme décoration chez le fils du directeur de la carrière.

Une étudiante de Raymond Dart s’y intéresse, et il fera l’objet d’un article dans la revue Nature.

Il s’agit d’un Australopithecus africanus.

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6
Q

Qu’est-ce que la taphonomie selon Ivan Efremov ?

A

Étude des transformations subies par des organismes vivants de la biosphère à la lithosphère

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7
Q

Vrai ou faux ?

Les artéfacts perdent de l’information sur leur contexte entre le moment de leur abandon et le moment de l’échantillonnage.

A

Vrai

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8
Q

Nommez 4 matériaux auxquels s’intéresse l’étude du matériel lithique.

A
  1. Silex
  2. Quartz
  3. Quartzite
  4. Obsidienne
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9
Q

Quelles sont les propriétés des matériaux lithiques ?

A
  • Roches siliceuses
  • Grain fin
  • Cassantes
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10
Q

Complétez la phrase : les propriétés des matériaux lithiques permettent une fracturation _______ .

A

Conchoïdale (cassure franche, courbe et lisse, caractéristique aux matériaux lithiques)

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11
Q

À quel angle faut il frapper la roche pour que avoir une cassure conchoïdale ?

A

À moins de 90 degrés.

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12
Q

Que sont le cintre et le carène ?

A

Des convexités (cintre: celle du percuteur) (carène: celle du nucléus)

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13
Q

Qu’est-ce que le percuteur?

A

L’élément actif servant à la percussion

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14
Q

Qu’est-ce que l’enclume ?

A

L’élément passif servant à recevoir une percussion

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15
Q

Qu’est-ce que le nucléus?

A

Le bloc de roche servant à l’extraction d’éclats

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16
Q

Qu’est-ce que l’éclat?

A

L’élément détaché du nucléus.

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17
Q

Qu’est-ce que le débitage et le façonnage ?

A

Débitage : action d’extraire des éclats du nucléus

Façonnage : action de sculpter un bloc

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18
Q

Qu’est-ce qu’un outil?

A

Une pièce retouchée

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19
Q

Qu’est-ce qu’une retouche?

A

L’action de modifier intentionnellement un support

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20
Q

Sur quels aspects (problématiques) peut nous informer l’étude du matériel lithique en préhistoire ?

A
  • Gestion des matières premières
  • Développement de la technologie
  • Transports
  • Types de mobilité
  • Territorialité
  • Échanges
  • Transmission
  • Sphère symbolique
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21
Q

Quelles sont les 4 étapes de la chaine opératoire de l’étude du matériel lithique ?

A
  1. Analyse pétrographique
  2. Typo-technologie / Typo-économie
  3. Analyses complémentaires
  4. Interprétation des données
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22
Q

Quelles sont les trois disciplines qui contribuent à l’étude du matériel lithique ?

A
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23
Q

Qu’est-ce que l’analyse pétrographique (1ère étape) ?

A

Analyse de la macroscopie ou la microscopie du matériel, par exemple :

  • Silex contient micro-fossiles qui témoignent de sa formation.
  • Silex toujours retrouvé dans le calcaire, peut se transformer en galets

Lithothèque = bibliothèque de collections

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24
Q

Qu’est-ce que la lithothèque ?

A

Une collection de matériel lithiques.

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25
Q

Qu’est-ce que la typo-technologie (2e étape) ?

A

L’identification des formes récurrentes, appelés « fossiles directeurs ». Cela permet une compréhension des techniques et méthodes, et une reconstruction des chaînes opératoires

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26
Q

Donnez des exemples d’analyses complémentaires (3e étape).

A
  • Analyses géochimiques
  • Analyses tracéologiques
  • Analyses taphonomiques
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27
Q

Quelles disciplines peuvent faire de l’interprétation des données des matériels lithiques (4e étape) ?

A

L’ethnoarchéologie et l’archéologie expérimentale

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28
Q

Qu’est-ce que la zooarchéologie ?

A

Discipline de l’archéologie visant à étudier les rapports entre les humains et les autres animaux dans le passé.

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29
Q

Quels sont les matériaux d’étude de la zooarchéologie ?

A

Restes osseux, bois (de cerfs, par exemple), coquilles, coprolithes, cornes, sabots, peau / poils, parasites associés, empreintes de pas

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30
Q

Nommez 4 types de rapport à l’animal que les humains ont pu avoir dans le passé.

A
  1. Ressources nutritionnelles : produits primaires (viande, graisse, moelle) et produits secondaires (lait, oeufs)
  2. Ressources techniques : produits primaires (os, bois, cornes, tendons, coquilles) et produits secondaires (force de travail, aide à la chasse)
  3. Ressources symboliques
  4. Ressources affectives
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31
Q

Sur quels aspects (problématiques) peut nous informer l’étude de la zooarchéologie en préhistoire ?

A

Environnement, taxons chassés, stratégies de subsistance, saisonnalité et périodes de fréquentation des sites, types de mobilité, territorialité, sphère symbolique

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32
Q

Quelles sont les 5 étapes de la chaine opératoire de la zooarchéologie ?

A
  1. Détermination squelettique et taxonomique
  2. Analyse taphonomique
  3. Étude statistique des assemblages
  4. Analyses complémentaires
  5. Interprétation
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33
Q

Quelles sont les trois disciplines qui contribuent à la zooarchéologie ?

A
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34
Q

Qu’est-ce que la détermination squelettique et taxonomique (1ère étape) ?

A

Il s’agit de l’anatomie comparée. On analyse les aspects suivants : élément anatomique, latéralité, portion, taxon, âge, sexe

35
Q

Qu’est-ce que l’analyse taphonomique (2e étape) ?

A

L’analyse de ce qui a été fait des matériaux biologiques de l’animal après sa mort

36
Q

Qu’est-ce que l’étude statistique des assemblages (3e étape) ?

A

Une étude statistique qui s’intéresse au spectre faunique, à la représentation squelettique, aux répartitions des traces, aux classes d’âge, à la répartition du sexe des individus et à la saisonnalité.

37
Q

Quelles études complémentaires à la zooarchéologie peuvent être faites en laboratoire (4e étape) ?

A
  • Lecture taphonomique avancée (microscopie)
  • Isotopes stables
  • ZooMs (zooarchaeology by mass spectometry)
  • Séquençage de l’ADN
  • Création de modèles virtuels
38
Q

Quelles disciplines peuvent faire de l’interprétation des données de zooarchéologie (5e étape) ?

A

L’ethnoarchéologie et l’archéologie expérimentale.

39
Q

L’étude de quels 3 aspects de l’art peuvent également être étudiés en préhistoire ?

A

L’étude de l’art pariétal, l’étude des objets de parures et l’étude de l’art mobilier

40
Q

Quelles sont les 3 zones fossilifères principales ?

A
  1. Grand rift d’Afrique de l’Est
  2. Afrique du Sud
  3. Afrique sub-Saharienne
41
Q

Que peut-on dire sur la vallée du Rift ?

A

Elle est très favorable à la conservation des sites fossilifères.

Il y a beaucoup d’activités tectoniques, de lacs intermittents (qui apparaissent et disparaissent), d’activité volcanique, de sédimentation des vallées fluviatiles, de formation de gorges par érosion.

42
Q

Que peut-on dire sur l’Afrique du Sud (en tant que région fossilifère) ?

A

Il y a des sols karstiques et de nombreuses grottes.

43
Q

Vrai ou faux ?

La Vallée du Rift est plutôt un excellent terrain d’enregistrement qu’une niche écologique spécialement habitée.

A

Vrai : paroles de Otte mon seul

44
Q

Quelles sont les 3 industries lithiques éponymes du registre archéologique ?

A

Lomekwien

Pré-Oldowayen

Oldowayen

45
Q

Que peut-on dire sur l’industrie lomekwienne ?

A

Vient du site Lomekwi 3 (3 Ma) situé au Kenya (Afrique de l’Est), sur lequel on a retrouvé les premières preuves directes de l’existence de taille de pierre.

Les éclats retrouvés sont semblables à ceux produits par certains singes. Il s’agit de percussion directe, avec percuteur dur, sur des nucléus unifaciaux.

46
Q

À quel autre site que le site à l’origine de son nom peut-on associer l’industrie lomekwienne ? Où se trouve-t-il ? À quand est-il daté ? Quelle particularité de découpe retrouve-t-on sur ce site ?

A

Site de Dikika en Éthiopie (3,39 Ma)

Stries de découpe

47
Q

Quelles sont les 3 régions dans lesquelles ont retrouve l’industrie pré-oldowayenne ?

A

Kenya, Éthiopie, Lac Turkana

48
Q

Quel site peut-on associer au Pré-Oldowayen ? À quand est-il daté ?

Quelles sont les particularité de la méthode ?

A

Site de Gona en Éthiopie (2,6-2,5 Ma)

La percussion est lancée, et le percuteur est dur. On y retrouve les méthodes du galets aménagés et de l’outil sur éclats.

49
Q

Dans quelles régions retrouve-t-on l’industrie oldowayenne ?

A

Tanzanie, Afrique du Sud, Algérie, Éthiopie, Djibouti

50
Q

Quel site peut-on associer à l’Oldowayen ? À quand est-il daté ? Quelle importance a cette industrie ?

A

Le site de FLK-Zinj en Tanzanie (1,99 à 1,75 Ma)

Avec l’Oldowayen, on assiste à une diversification des sites, les premiers aménagements de l’espace et le raffinement progressif des méthodes précédentes (galet aménagé et outil sur éclat).

51
Q

Où ont été identifiées les premières industries osseuses ? À quand sont elles datées ?

A

En Afrique du Sud, sur les sites de Swartkrans et Drimolen.

Entre 2 et 1 Ma

52
Q

Où et quand apparaissent les premiers australopithèques ?

A

Vers 4,2 Ma en Afrique du Sud et en Afrique de l’Est

53
Q

Quel phénomène se passe-t-il chez les australopithèques entre 3 et 2 Ma ? En quelles deux lignées se diviseront-ils ?

A

Une radiation adaptative. Ils vont se diviser en deux lignées : paranthropes / australopithèques robustes VS australopithèques graciles.

54
Q

Que peut-on dire sur le physique des australopithèques (taille, poids, cc, dentition, membres) ?

A

Taille : 1,2 à 1,5 mètres

Poids : 35 à 50 kg

Capacité crânienne : 400 à 600 cm3

Dentition : incisives et canines développées

Membres : membres supérieurs archaïques, membres inférieurs indiquent la bipédie

55
Q

Nommez quelques espèces d’australopithèques.

A

A. afarensis, A. africanus, A. anamensis, A. sediba, A. ramidus, etc.

56
Q

Donnez la région et la date relative aux espèces d’australopithèques suivantes : anamensis, afarensis et sediba.

A
  1. A. anamensis : Lac Tukana au Kenya, 4,2 à 3,8 Ma
  2. A. afarensis : Éthiopie, Kenya, Tanzanie, 3,9 à 2,9 Ma
  3. A. sediba : Karabo en Afrique du Sud, 1,95 à 1,78 Ma
57
Q

Quelle est la plus ancienne espèce d’australopithèque connue ? La plus récente ?

A

Plus ancienne connue : A. anamensis

Plus récente connue : A. sediba

58
Q

De quelle espèce était Lucy ?

A

A. afarensis

59
Q

Quelle espèce d’australopithèque serait potentiellement l’ancêtre du genre Homo selon sa position chronologique ?

A

A. afarensis

60
Q

Qu’est-ce qui est particulier concernant les membres inférieurs / supérieurs de l’australopithèque afarensis ?

A

Les membres supérieurs sont archaïques (meilleurs pour grimper) et les membres inférieurs démontrent une bipédie rudimentaire.

61
Q

Quelles sont les particularités physiques de l’a. afarensis concernant ses capacités cognitives et communicatives ?

A

Il a un petit volume cérébral et son os hyoïde (pour la production sonore) est proche de celui des chimpanzés.

62
Q

Quelle est la diète de l’a. afarensis ?

A

Omnivore

63
Q

Vrai ou faux ?

L’a. afarensis n’avait probablement pas un grand dimorphisme sexuel.

A

Faux. La taille et la grandeur des canines devait varier entre mâle et femelle.

64
Q

Quel élément archéologique hors du commun relié à l’a. afarensis a-t-on retrouvé ?

A

Les traces de pas à Laetoli, en Tanzanie.

65
Q

Quelle espèce d’australopithèque est probablement la descendance de la lignée africanus ?

A

L’australopithèque sediba

66
Q

Quand et où apparaissent les paranthropes ?

A

Entre 2,7 et 1 Ma en Afrique du Sud et Afrique de l’Est

67
Q

Que peut-on dire sur le physique des paranthropes (taille, poids, cc, robustesse) ?

A

Taille : 1,5 m

Poids : 40 à 50 kg

Capacité crânienne : 500 à 550 cm3

On dit qu’ils sont robustes parce qu’ils possèdent des bourrelêts sus-orbitaires, une crête sagittale et une arcade dentaire (caractéristiques qui font penser aux grands singes actuels)

68
Q

Pour quel type d’aliment les paranthropes semblent-ils avoir développé une spécialisation dentaire ?

A

Pour les plantes coriaces.

69
Q

D’environ combien de fossiles se compose le registre archéologique des premiers représentants du genre Homo ? À quelle année sont-ils en majorité datés ? D’où viennent-ils ?

A

200 fossiles, 1,8 Ma, de la Vallée du Grand Rift africain et d’Afrique du Sud

70
Q

Quelles sont les deux premières espèces du genre Homo ? Quand et où apparaissent-elles ?

A

Homo rudolfensis (2 à 1,8 Ma) et l’homo habilis (2,3 à 1,5 Ma) qui apparaissent toutes les deux en Afrique de l’Est.

71
Q

Lequel entre l’Homo rudolfensis et l’Homo habilis a-t-il la plus grande capacité crânienne ?

A

L’Homo rudolfensis, avec 775 cm3, plutôt que 600 à 680 cm3 chez l’Homo habilis.

72
Q

Que peut-on dire du système masticatoire de l’Homo rudolfensis ?

A

Il est robuste.

73
Q

Que peut-on dire des membres supérieurs et inférieurs de l’Homo habilis ?

A

Ils sont relativement modernes.

74
Q

Quels deux genre d’associations peut-on faire pour découvrir les auteurs des industries lithiques ?

A

Associations spatiales ou associations chronologiques

75
Q

Quelle espèce pourrait être l’auteur de l’assemblage lomekwien ?

A

Le Kenyanthropus Platyops.

76
Q

Quelles espèces pourraient être les auteurs des assemblages pré-oldowayen et oldowayen ?

A

Paranthropus boisei & Homo habilis

77
Q

Donnez un exemple d’indice indirect d’une association entre assemblage lithique et espèce d’hominine.

A

Par exemple, des restes lithiques retrouvés en fonction de la proximité des sites associés à une espèce hominine.

78
Q

Quels sont les 3 modes d’acquisition principaux de viande ?

A
  • Chasse
  • Charognage actif
  • Charognage passif
79
Q

Quel mode d’acquisition de viande semblent avoir pratiqué les premiers membres de notre lignée ? Que peut-on dire sur leur consommation ?

A

Charognage actif / Chasse

La viande est consommée près du lieu d’acquisition, et la consommation semble épisodique.

Elle devient plus systématique à partir des premiers représentants de la lignée Homo, vers 1,8 à 1,7 Ma.

80
Q

Par quoi est caractérisée la niche écologique du genre Homo ?

A

Des milieux ouverts (savanes) et des cours d’eau.

81
Q

Résumez les aspects importants de chaque industrie lithique et ses périodes, en les associant avec des espèces d’hominines.

A
82
Q

Après le Lomekwien, le Pré-Oldowayen et l’Oldowayen, quelle sera la prochaine industrie du paléolithique inférieur ?

A

L’Acheuléen

83
Q

Quels sont les éléments clés de taille du silex?

A
  1. Angle de frappe plus petit que 90 dégrés
  2. Alternance entre percussion lancée et percussion directe
  3. Convexité