Cours 5 Flashcards

1
Q

Décrivez la dimension politique de la représentation.

A

Le fait de remplacer (quelqu’un), d’agir à sa place (dans l’exercice d’un droit); le fait de représenter un groupe dans l’exercice du pouvoir.
Parfois ce sont aussi des porte-paroles auto-proclamés ou élus.
-> Plus largement ça renvoi à des questions fondamentales: Qui parle au nom de qui, qui prend la place, qui ne peut quasiement jamais prendre la parole.

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2
Q

Décrivez la dimension médiatique de la représentation.

A

L’action de mettre devant les yeux ou devant l’esprit de quelqu’un.

-> Pratique de production de sens; image, figure, signe qui représente quelque chose

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3
Q

Qu’est-ce que la représentation politique classique?

A

Démocratie représentative
Le fait de remplacer quelqu’un, représenter un groupe dans la dimension dû. Il y a la classification classique de la politique

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4
Q

Expliquez le problème de la sous-représentation?

A

Qui a une voix?
Certains groupes sont sous-représentés au plan politique : les femmes, les gens de diverses ethnicités, les personnes à faible revenu, les autochtones, les personnes vivant avec un handicap, les jeunes, etc

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5
Q

La représentation politique classique renvoie à quel problème? Expliquez

A

Au problème de sous-représentation
Les mesures d’aide sont vus comme pénalisant les “meilleurs”(homme).
-> Souvent en parité en politique on entend toujours les mêmes arguments:
->Les femmes devraient être libres de se lancer en politique, réticence de reconnaître la sous représentation des femmes comme étant l’effet d’un ensemble de système de pouvoir qui favorise certains groupes sociaux.
-> Mais on voit quand même une plus grande reconnaissance de ce problème maintenant.

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6
Q

En quoi la représentation politique classique et la sous-représentation nous rappelle la 1e vague de féminisme?

A

Rappelle un peu la 1e vague de féministe (maternaliste) qui disait que l’arrivée des femmes allait améliorer la politique, mais… Les femmes en politique ne signifie pas une meilleure politique sociale! (Sorry Lise Payette)
-> Souvent on va parler de parité homme-femme, mais pas du reste

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7
Q

1940: Obtention du droit de […] par les Québécoises (sauf les […])
- > […] au fédéral

A

1940: Obtention du droit de vote par les Québécoises (sauf les Autochtones)
- > 1917-1918 au fédéral

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8
Q

Une enquête du magazine L’actualité a révélé quoi par rapport à la représentation politique au Québec? (Shiab, 2016)

A

Le temps de parole à l’Assemblée nationale, les postes d’influence et les budgets importants appartiennent encore aux hommes (blancs, âgés, de profession libérale)
-> « Ce phénomène, combiné au faible nombre de femmes élues (29% des députés en avril 2016), accentue d’autant plus la sous-représentation politique des Québécoises ».

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9
Q

À peine […]% des pièces théâtrales professionnelles produites à Montréal sont signées par des femmes

A

À peine 20% des pièces théâtrales professionnelles produites à Montréal sont signées par des femmes

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10
Q

*** La réalité cosmopolite de Montréal ne se retrouve pas dans les distributions théâtrales ainsi que la télévision. Un bon nombre de jeunes disent ne pas se voir dans les média québécois.
Qu’est-ce que ça veut dire?

A

Alors que 56% des montréalais sont nés à l’étranger ou ont au moins un parent né à l’étranger, cette diaspora ne figure pas dans les distributions théâtrales.

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11
Q

Quel sont les problèmes avec les statistiques de représentation? (2)
-> Alors que 56% des montréalais sont nés à l’étranger ou ont au moins un parent né à l’étranger, cette diaspora ne figure pas dans les distributions théâtrales

A

1) Le problème est que pendant qu’on compte ces statistiques, on ne tente pas de trouver de solution et on continue de donner des rôles stéréotypés à des gens non-blancs.
2) On ne nomme jamais la “blanchité” car elle est vu comme la norme et ne peut donc pas “définir le personnage”.

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12
Q

Pratique culturelle de mise en forme de la réalité à l’aide de signes et de codes

  • > Implique la production de significations qui font partie intégrante de la réalité
  • > Pas de signification fixe, intrinsèque; interprétation limitée/balisée

De quoi parle-t-on?

A

La représentation médiatique

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13
Q

Décrivez le problème de la couleur de peau selon la dimension de représentation médiatique.

A

La couleur de peau des minorités ou l’appartenance ethnique est toujours un trait distinctif dans la description d’un personnage alors que pour un blanc, ce n’est pas le cas!
-> Cela influence la manière dont ce groupe sera perçu et comment les membres de ce groupe se perçoivent eux-mêmes

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14
Q

VRAI ou FAUX. L’effet réel de la représentation a un impact direct sur la personne.

A

FAUX.

L’effet réel de la représentation n’a pas nécessairement un impact direct sur la personne mais crée un référent sur lesquels les gens se basent pour se situer dans le contexte social!

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15
Q

Qu’est-ce que la ritualisation de la féminité?

A

Codes visuels des publicités participant à la construction des rôles sociaux de sexe
-> Utilise la répétition d’addition et de convention

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16
Q

Quels sont les conventions de la ritualisation de la féminité selon Goffman? (11+1)

A

1) Homme/femme : Principal
2) Tact féminin
3) Femme cachée
4) Femme lointaine
5) Femme soumise
6) Jeux de mains
7) Femme docile
8) Femme enfant
9) Femme jouet
10) Femme joueuse
11) Bonheur de femme
Non mentionné par Goffman: La femme comme objet du regard des hommes

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17
Q

Décrivez la convention Homme-Femme.

A

Une représentation visuelle de la hiérarchie traditionnelle H/F.

  • > Les hommes vont avoir un aspect plus protecteur et les femmes sont repliées.
  • > Les hommes vont avoir une taille plus élevée par exemple
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18
Q

Décrivez la convention du tact féminin.

A

Les femmes sont plus souvent montrées alors qu’elles effleurent du doigt ou de la main les contours d’un objet, qu’elles le serrent contre leur sein ou qu’elles en caressent la surface

  • > Lorsqu’elle se touche, c’est pour faire sentir quel point son corps est une chose délicate
  • > Sorte d’attouchement ritualisée séparé de la variété utilitaire
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19
Q

Décrivez la convention de la femme cachée.

A

Observe une situation de loi ou de derrière, avec une séparation de façon à ne pas être vu
-> Version ritualisée de ce comportement qui consiste à se présenter en quelque sorte à l’extrême bord de la situation ou bien à l’abri d’une protection quelconque

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20
Q

Décrivez la convention de la femme lointaine.

A

Détourne le regard de la situation, “esprit ailleurs”. Les mains/objets peuvent être ls cible du regard (tête baissée)
-> Il n’est pas question de fuite, mais plutôt d’une soumission, une certaine confiance en la personne source du stimulus

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21
Q

Décrivez la convention de la femme soumise.

A

Lits et les planchers constituent des situations sociales où l’individu se trouve plus bas que les autres, genoux timidement fléchis, tête abaissée par rapport aux autres, expression faciale d’une acceptation de la subordination, sourire comme adoucisseur rituel
-> Les femmes et les enfants sont montrés couchés plus souvent que les hommes, en position de soumission et d’incapacité de protection de soi

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22
Q

Que veut-on dire par adoucisseur rituel?

A

Sourire qui signale qu’il n’y a aucune hostilité, voulue ou provoquée, n’est à craindre, etc.

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23
Q

Décrivez la convention jeux de main.

A

Les femmes sont montrés dans des dispositions qui les éloignent mentalement de la situation sociale environnante, les y laissant désorientiés et donc à la merci de la protection et du bon-vouloir éventuel des autres participants.
Lorsqu’une émotion déborde, elle cachera son visage derrière ses mains
Les doigts joints expriment le retour sur soi
-> Ritualisation d’un geste associé à l’enfance, de la timiditié

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24
Q

Décrivez la convention de la femme docile.

A

Toute instruction paraît impliquer une certaine subordination de l’élève. Apprentissage kinesthésique, l’élève moule son action sur celle de l’instructeur

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25
Q

Décrivez la convention de la femme enfant.

A

“Faire le bébé”

26
Q

Décrivez la convention de la femme jouet.

A

“Faire mine de s’enfuir”, “Faux cris d’alarme”

27
Q

Décrivez la convention de la femme joueuse.

A

Note comique apportés par les attitudes infantiles

28
Q

Décrivez la convention de bonheur de femme.

A

Enchantement, joie, allégresse, etc.
La femme est capable de trouver une sorte de satisfaction ultime et définitive dans des objectifs pleinement réalisables dans l’instant présent

29
Q

Comment repérer une convention?

A

Si on a de la difficulté à s’imaginer le contraire ou un homme dans la situation, on est devant un stéréotype/convention

30
Q

Quels sont les approches de la représentation médiatique? (3)

A

1) Réflexive
2) Intentionnelle
3) Constitutive

31
Q

Qu’est-ce que l’approche réflexive/mimétique de la représentation médiatique?

A

Les représentations seraient le reflet plus/moins adéquat de la réalité. Suppose une existence objective extérieur qui est au-dessus de la représentation!
-> Est-ce que c’est un reflet véridique/adéquat de la réalité (non corrompu par les représentations).

32
Q

Qu’est-ce que l’approche intentionnelle de la représentation médiatique?

A

Les représentations sont toujours motivés, toujours le fruit d’une volonté délibéré né d’une intention (parfois claire) derrière la représentation. Elle est toujours fruit d’un auteur/contexte.
-> Il faut donc utiliser cette intention pour évaluer la représentation.

33
Q

En quoi l’approche intentionnelle de la représentation médiatique est elle moins intéressée?

A

Au delà de l’intention de l’autrui (de vendre), elle produit du sens, parfois complètement contraire à l’intention première de l’auteur (vendre).
-> Par contre, l’intention n’est pas toujours de vendre, important à noter. Réduit le sens à l’intention de l’auteur!

34
Q

Quelle est la critique principale de l’approche intentionnelle de la représentation médiatique?

A

La personne qui voit la pub crée son propre sens et donc projette une intention qui différa de celle de l’auteur

35
Q

Qu’est-ce que l’approche constitutive de la représentation médiatique?

A

On va s’intéresser comment les représentations ont du sens, crée du sens, fait partie et créé de la réalité. Les représentations peuvent avoir du sens en dehors ou même contre les intentions de l’auteur.
La représentation n’est pas quelque chose qui existe dans un monde appart dans la publicité, les publicitaires font parties de notre société et en sont influencés!

36
Q

Quels sont les deux postulats de base de l’approche constitutive de la représentation médiatique?

A

1) Personne n’a d’accès immédiat à la réalité. On a toujours accès à la réalité à travers des représentations, produit du sens.
2) Il n’y a rien de significatif qui existe à l’extérieur du sens des représentations. DONC les représentations ne peuvent pas être évalués seulement en terme de Représente-t-elle la réalité, etc.
- > Si la représentation (publicité) crée une réaction chez moi (ex: Volonté de maigrir), elle crée du sens, elle crée de la réalité.

37
Q

Quelles sont les 2 approches de la représentation médiatique se trouvant souvent dans les recherches sur les médias et dans les réactions spontanées face à la publicité?

A

1) Approche réflexive

2) Approche intentionnelle

38
Q

Qu’est-ce que la représentation?

A

Une série de pratiques et de relations qui participent à la construction continuelle (ainsi qu’à la critique et la transformation) des définitions de la différence et de l’identité.

39
Q

La féminité et la masculinité ne sont pas fixes. Elles sont construites à travers des processus […] et […], dont la […]et la […] de signes/images/médias.

A

La féminité et la masculinité ne sont pas fixes. Elles sont construites à travers des processus sociaux et culturels, dont la production et la réception de signes/images/médias.

40
Q

Les représentation est un lieu de […] et de […]pour la production de sens

A

Les représentation est un lieu de tension et de luttes pour la production de sens

41
Q

La féminité est toujours résumé en terme de beauté, de représentation visuelle dans la vie (ex: La campagne de Dove et de parfums). En quoi cela affecte les études féministes?

A

En étude féministe, on parle de l’estime de soi souvent comme un impératif moral, participant en quelque sorte à un sorte de victim blaming généralisé.

42
Q

Comment peut-on aller au-delà des normes d’invisibilité et d’hyper-visibilité?

A

Importance de sortir des tropes habituels de la féminité et la masculinité, sans forcément inverser les rôles.
-> Représentation de femmes moins visibles dans les média

43
Q

Pourquoi les représentations importent?

A

1) Les façons dont les groupes sociaux sont représentés sont parties prenantes du traitement social qui leur est réservé
2) Les représentations des groupes et des individus « minorisés » participent à instituer leur marginalisation
a) Les groupes sociaux peuvent aussi intérioriser ou même délimité la perception que les individus vont avoir d’eux-mêmes en tant que membre d’un groupe social. Donc la visibilité est un enjeu politique de la représentation.
b) Aucune représentation a un sens et conséquence unique. Varie de personne en personne.

44
Q

Quel est l’un des premiers enjeux de la représentation pour les groupes minoritaires?

A

La visibilité

45
Q

En quoi la visibilité crée une tension fondamentale?

A

1) Les individus et les collectivités sont constitués en objets : ils sont rendus visibles ou invisibles de certaines manières.
2) MAIS les individus et les collectivités se servent de ces catégories pour créer des identités autonomes et contestataires, des communautés, des sous-cultures.
Danger de stéréotypation

46
Q

VRAI ou FAUX. La visibilité = essentielle à l’identité individuelle et collective, mais toujours imbriquée dans les pratiques de pouvoir

A

VRAI

47
Q

Quel est le désavantage de la visibilité?

A

Se soumettre au regard disciplinaire, à la surveillance.

-> Courir le danger de stigmatisation sociale, de stéréotypation.

48
Q

Pourquoi est-il important de faire la différence entre type et stéréotype?

A

1) Type social= sorte de personne qui porte des caractéristiques distinctes, mais qui ne se résume PAS à ces caractéristiques!
2) Stéréotype: Vient réduire les caractéristiques d’un individu/groupes et leur expérience à quelques caractéristiques essentielles. Il va simplifier et amplifier ces caractéristiques, souvent pour se moquer et mettre appart. On vient implanter des caractéristiques comme étant intrinsèques à ma condition sociale. Il est presque toujours connoté de façon négatif.

49
Q

VRAI ou FAUX. Les types sociaux sont souvent aussi des stéréotypes.

A

FAUX.
Les stéréotypes sont souvent aussi des types sociaux! Le problème, c’est que souvent quand on parle de stéréotype, on va prendre souvent pour cible l’objet du stéréotype et donc le type (qui n’est pas en soin négatif)

50
Q

Quel est le bienfait principal des types? Comment ce bienfait peut devenir négatif?

A

Les types ont réussi, à travers certains codes, à rendre visible l’invisible, à permettre de se rassembler avec les membres de notre groupe.

Au fil du temps c’est devenu un stéréotype négatifs.
-> Ex: Gay et féminité/flamboyance. C’est le résultat d’un typification de l’homosexualité pour leur permettre une certaine visibilité

51
Q

Qu’est-ce qui est commun entre le type et le stéréotype?

A

Types et stéréotypes remplissent des fonction d’économie, classification et reconnaissance

52
Q

La […] est presque essentielle pour la représentation de l’homosexualité

A

La typification est presque essentielle pour la représentation de l’homosexualité

53
Q

La […] et la […] représentent l’homosexualité selon une corrélation entre le genre et la sexualité
-> Ces types sont perçus comme les échecs de la « vraie » […] ou […] (et de l’hétérosexualité)

A

La ‘folle’ et la ‘butch’ représentent l’homosexualité selon une corrélation entre le genre et la sexualité
-> Ces types sont perçus comme les échecs de la « vraie » masculinité ou féminité (et de l’hétérosexualité)

54
Q

Pourquoi les types liés à l’homosexualité ont été créés. En quoi cette typification est un lègue à double tranchant

A

Pendant des années, il était interdit de représenter de façon explicite l’homosexualité dans les média et les films hollywoodiens.
Pour contrer ça, les homosexuels sont présent dans les films hollywoodiens mais sont codés! Et donc c’est comme ça qu’on représente pendant longtemps l’homosexualité au cinéma.

55
Q

Quand est-ce que les types deviennent problématiques?

A

Le problème avec les types, c’est quand un type représente l’ensemble d’une communauté. Ça devient un stéréotype.
-> Encore pire si on l’utilise pour ridiculiser.

Ex: Homosexualité efféminé généralisé à l’homosexualité. Le processus de réduction à quelques caractéristiques essentielles crée un stéréotype. On passe de type à stéréotype. Donc Hall parle de stéréotypification

56
Q

Pourquoi les types liés à l’homosexualité ont été créés. En quoi cette typification est un lègue à double tranchant

A

Pendant des années, il était interdit de représenter de façon explicite l’homosexualité dans les média et les films hollywoodiens.
Pour contrer ça, les homosexuels sont présent dans les films hollywoodiens mais sont codés! Et donc c’est comme ça qu’on représente pendant longtemps l’homosexualité au cinéma.

57
Q

Donnez un exemple historique de la double-fonction/double-effet de la visibilité?

A

SIDA

-> Visibilité qui peut stigmatiser ou lutter contre les préjugés

58
Q

Qu’est-ce que la stéréotypification?

A

Pratiques signifiantes qui consistent à réduire des individus à quelques caractéristiques simples et présumées essentielles, c’est-à-dire comme fixées par la « nature »

59
Q

Donnez un exemple historique de la double-fonction/double-effet de la visibilité?

A

SIDA

-> Visibilité qui peut stigmatiser ou lutter contre les préjugés

60
Q

La représentation politique soulève des enjeux de […] et de […]: Qui peut parler? Au nom de qui/de quoi?

A

La représentation politique soulève des enjeux de visibilité et de parole : Qui peut parler? Au nom de qui/de quoi?