Cours 4 - mémoire Flashcards

1
Q

Comment les lésions dans différentes aires associatives affectaient la performance du rat avant la période d’apprentissage ? (expérience avec rat dans la piscine)

A

prend plus de temps pour apprendre, semble interférer avec la capacité à apprendre

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2
Q

Comment les lésions dans différentes aires associatives affectaient la performance du rat après la période d’apprentissage ?

A

destruction des processus mnésiques et de la capacité de faire la tâche dans le labyrinthe

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3
Q

Il y avait-il une corrélation entre la taille des lésions chez le rat et sa performance dans le labyrinthe ?

A

oui

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4
Q

Il y avait-il une corrélation entre l’emplacement des lésions chez le rat et sa performance dans le labyrinthe ?

A

non car les rats pouvaient utiliser différents sens pour résoudre labyrinthe (vue, toucher, odorat). Dépendemment de quel type de mémoire a été affecté par les lésions, perte d’un type de mémoire pouvait être compensé par un autre

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5
Q

Quelle conclusion peut être tiré de l’expérience sur la trace mnésique chez le rat dans un labyrinthe ?

A

Il y a un engramme distribué à l’ensemble des aires corticales, mais les aires corticales ne contribuent pas également à la mémoire

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6
Q

Quels sont les trois postulats de la théorie de Hebb ?

A

le modèle de l’apprentissage hébbien
l’assemblée cellulaire
les séquences en phases

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7
Q

Que dit le postulat de l’apprentissage hébbien de la théorie de Hebb ?

A

fire together, wire together : lorsque neurone A joue un rôle persistent et répété dans le déclenchement de potentiels d’action de la cellule B, des processus métabolique prendront place dans les cellules, ce qui augmentera l’efficacité de A pour déclencher le neurone B

aussi appelé synapse hébienne, potentialisation à long terme, règle de Hebb

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8
Q

Que dit le postulat de l’assemblée cellulaire de la théorie de Hebb ?

A

À cause de l’apprentissage Hebbien, la représentation d’un objet correspond à la totalité de l’activité cérébrale produite par cet objet. Lorsque deux neurones s’activent simultanément, la force de leur connexion augmente ce qui mène à la création de l’assemblée cellulaire

-> Ensuite une activation partielle par le stimulus suffit à activer toute l’assemblée cellulaire. Donc la base de l’engramme.

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9
Q

Que provoque la destruction partielle des connexions d’une assemblée cellulaire ?

A

les autres cell qui n’ont pas été détruites vont continuer à s’activer comme d’habitude donc le patron d’activation neuronale n’est pas détruit

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10
Q

Que dit le postulat des séquences en phase de la théorie de Hebb ?

A

L’activation d’une certaine assemblée influence la prochaine assemblée qui sera activée ce qui mène à l’activation de plusieurs assemblées une après l’autre –> facilite l’activation des systèmes inter reliés

Une stimulation particulière répétée fréquemment mène au développement lent d’une assemblée cellulaire

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11
Q

Que contient la mémoire non déclarative ?

A

les manifestations inconscientes de la mémoire

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12
Q

Quels sont les trois types de mémoire implicite (non déclarative) ?

A

amorçage (priming), mémoire procédurale et le conditionnement

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13
Q

Qu’est-ce que l’amorçage ?

A

Amélioration de l’identification ou du traitement d’un stimulus donné suite à son observation préalable

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14
Q

Quelle est la méthodologie classique pour étudier l’amorçage ? Donner un exemple.

A

Sujet ne doit jamais avoir l’impression de faire une tâche de mémoire
Ex : complétion de fragment de mots

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15
Q

Quels sont les deux types d’amorçage ?

A

direct et indirect (amorçage sémantique)

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16
Q

Quels sont les deux types d’amorçage direct ?

A

l’amorçage perceptuel : complétition de mot

l’amorçage conceptuel : mot lié conceptuellement qui rappel le mot

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17
Q

Quelle est la différence entre le patient M.S. et H.M. quant à leur mémoire ?

A

M.S. : il lui manquait V1 et des aires extrastriées à droites, on ne retrouvait pas d’amorçage visuel mais une mémoire déclarative

H.M. : il lui manquait les lobes médians temporaux, l’absence de mémoire déclarative, mais la présence d’amorçage

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18
Q

Qu’est-ce que le concept de la suppression liée à la répétition ?

A

On observe une réduction dans l’activité neuronale associée à un stimuli lorsque celui-ci est répété
Cela est du au fait que lorsqu’il est pareil l’objet est déjà connu et l’objet est plus facile à reconnaître et à catégoriser

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19
Q

Comment se déroule l’expérience qui démontre la suppression liée à la répétition ?

A

Dans une étude on montrait des objets puis des objets qui étaient soit pareil, un peu différent ou complètement nouveau –> quand l’objet est nouveau il y a une plus grande activation du gyrus fusiforme que si l’objet est juste différent, mais lorsqu’il est différent il y a une plus grande activation que s’il est pareil

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20
Q

Comment sait-on que les cortex temporo-latéral et préfrontal sont impliqués en amorçage conceptuel ?

A

On le sait puisque dans la maladie d’Alzheimer, les lésions aux lobes temporaux médians sont liées à la mémoire explicite déficitaire tandis que les lésions aux cortex temporaux latéraux et préfrontal sont liées à l’amorçage conceptuel déficitaire

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21
Q

Dans l’amnésie seulement, l’amorçage est-il déficitaire ?

A

non

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22
Q

Quelle structure est impliquée dans la mémoire implicite et quel est son rôle ?

A

les noyaux gris centraux, ils permettent la rétention de commandes motrices en formant une boucle motrice

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23
Q

Pourquoi le parkinson et le chorée d’Huntington mène à des problèmes moteurs et aussi mnésiques ?

A

le parkinson affecte la substance noire

la chorée d’huntington affecte le striatum

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24
Q

Qu’est-ce qu’une boucle motrice ?

A

c’est une association réponse-stimuli dans les aires sensorielles

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25
Q

Quel est le rôle du striatum dans les boucles motrices ?

A

il permet de mesurer l’erreur de la prédiction de la récompense et en fonction de l’erreur mesurée, il y a des modifications des différentes connexions synaptiques –> créations d’engrammes

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26
Q

Qu’est-ce qui démontre que des structures différentes sous-tendent la mémoire déclarative et la mémoire implicite ?

A

On sait que la maladie de parkinson est liée à un problème avec la substance noire qui se projette vers le striatum, alors que l’amnésie est associée au lobe temporal médian.

Lorsqu’on teste la mémoire procédurale (tâche cognitive ou les sujets doivent prédire la météo avec des cartes), les individus amnésiques s’améliorent, mais pas ceux atteints de Parkinson

Lorsque l’on test la formation de mémoires déclaratives –> les pers avec amnésie sont pas performants et pers avec parkinson le sont

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27
Q

Quels sont les deux types de mémoires déclaratives épisodiques ?

A

Réminescence (souvenir) : réfère aux mémoires des évènements passés qui incluent des associations spécifiques ainsi que des détails contextuels.

Familiarité : l’impression d’avoir déjà vécu un évènement dans le passé sans que les associations spécifiques et les détails contextuels associés aux souvenirs.

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28
Q

Quels sont les deux types d’amnésie ?

A

Amnésie rétrograde : Perte de souvenirs précédant le traumatisme et pers se rappelle des évènements plus anciens graduellement

Amnésie antérograde : Incapacité de créer et encoder un nouveau souvenir (patient HM étudié par Brenda Milner)

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29
Q

Quelles sont les diverses causes des amnésies ?

A

traumatisme crânien, alcoolisme chronique, tumeurs cérébrales, maladies dégénératives, accidents vasculaires cérébraux

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30
Q

Quand a-t-on commencé à étudier l’amnésie plus sérieusement ?

A

En 1930, on administrait des courants électriques sur le crâne et cela provoquait des convulsions semblables à une crise d’épilepsie et pouvait induire de l’amnésie chez la personne

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31
Q

Comment mesure-t-on l’amnésie ?

A

avec des questions sur événements biographiques anciens et récents, des tests de rappel et reconnaissance différés

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32
Q

Quelle est la Loi de Ribot ?

A

Un cavalier tombe de cheval près de Versailles le 1 décembre. Se relevant, il demande ce qui s’est passé

Avant le traumatisme :

  • 28 novembre : se blesse au pied.
  • 30 novembre : rencontre son frère à Versailles et, à son retour, trouve une lettre sur la cheminée.

Après le traumatisme :

  • 2h après : ne se souvient plus de rien et ne se souvient pas qu’on lui ait dit qu’il soit tombé (amnésie rétrograde et antérograde)
  • 6h après : Se souvient qu’on lui ait dit qu’il soit tombé (retour de la mémoire antérograde, encore amnésie rétrograde).
  • 8-10h après : Se souvient de la blessure au pied
  • Lendemain : Se souvient de la journée du 30 novembre
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33
Q

Comment sont touchés les souvenirs dans l’amnésie rétrograde ?

A

selon un gradient temporel, les souvenirs récents sont plus sujets à l’amnésie que les souvenirs plusanciens.

34
Q

Quelles étaient les lésions de H.M. ?

A

Ablation bilatérale du lobe temporal médian, plus spécifiquement amygdalectomie et ablation des 2/3 de l’hippocampe

35
Q

Comment on s’est rendu compte que H.M. souffrait d’amnésie ?

A

Après l’opération, il a mangé trois plats de suite parce qu’il oubliait à chaque fois qu’il avait déjà mangé, au troisième plat il a mangé juste le dessert parce qu’il n’avait plus faim.

Son père est mort peu de temps après. À chaque fois qu’il demande où est son père, on lui annonce sa mort et il éprouve du chagrin chaque fois mais au bout d’un certain temps, il ne parle plus de son père (apprentissage implicite que parler de son père lui fait du mal)

36
Q

Comment l’opération de H.M. a affecté sa mémoire ?

A

1) amnésie antérograde = pas de MLT, ne faisait plus de nouveaux souvenirs, ne se souvenait pas des nouvelles pers qu’il rencontrait
2) amnésie rétrograde = de quelques jours avant son opération
3) mémoire déclarative déficitaire (épisodique et sémantique)
4) mémoire procédurale presque normale (test de tracé dans un miroir: il s’améliore de fois en fois, sans jamais se souvenir qu’il a déjà fait cette tâche –> apprentissage implicite)
5) Mémoire de travail normale, mais dès que l’on interrompt il oublie ce qui lui a été demandé

37
Q

D’ou vient le nom du lobe temporal ?

A

Nommé ainsi parce que les cheveux de la tempe sont les premiers à blanchir avec l’âge et il y a une association fortuite avec le temps et par extension avec la mémoire qui permet une continuité cognitive dans le temps

38
Q

Quelles structures forment le lobe temporale médian ?

A

l’hippocampe et trois autres structures dans la régions ventrale du lobe temporal : le cortex enthorhinal, le cortex périrhinal et le cortex parahippocampique

39
Q

Quel sillon regroupe le cortex enthorhinal, le cortex périrhinal et le cortex parahippocampique ?

A

le sillon rhinal

40
Q

Comment l’hippocampe traite l’information ?

A

traitement des relations entre un événement et son contexte d’encodage pour permettre la réminescence

41
Q

À part l’hippocampe, comment les autres régions du lobe temporal médian traite l’information ?

A

évaluent la familiarité du stimulus

42
Q

Comment l’information des aires associatives corticales se rend dans les lobes temporaux médians ?

A

l’info rentre par les cortex perirhinal et parahippocampique, qui projettent dans le cortex entorhinal qui en retour projette dans la formation hippocampique

43
Q

Un traitement sensoriel général du stimulus et moins contextualisé est lié à quelles régions du lobe temporal médian ?

A

Cortex perirhinal et cortex parahippocampique puisque c’est de l’info plus générale des aires associatives qui y rentre

44
Q

Une représentation plus abstraite qui intègre des sources corticales multiples d’information est liée à quelle région du lobe temporal médian ?

A

l’hippocampe

45
Q

Comment l’hippocampe encode-t-il l’information ?

A

il permet à la fois de créer des codes uniques pour des nouveaux stimuli, mais encode également des régularité spatio-temporelle –> il encode le spécifique et le régulier

46
Q

L’hippocampe est-il malléable ?

A

oui –> consolidation synaptique

47
Q

Quand l’hippocampe est-il nécessaire pour se rappeler d’une information ou d’un souvenir ?

A

Lorsque la consolidation mnésique n’a pas été complétée. On parle d’indexes hippocampiques

48
Q

Qu’est-ce que la consolidation mnésique ?

A

Lorsqu’il y a des systèmes de consolidation qui se forment : les assemblées sont progressivement transférées dans les différentes régions du néocortex

49
Q

Qu’est-ce qui aide beaucoup à la consolidation mnésique ?

A

le sommeil (réactivations spontanées)

50
Q

Quels sont les principaux effets de lésions que le modèle de la consolidation explique ? (3)

A

Explique pourquoi une petite lésion corticale n’affecte que peu ou pas la mémoire alors qu’une lésion de même taille au niveau de l’hippocampe peut créer une amnésie sévère.

Explique pourquoi une lésion corticale peut causer des troubles de mémoire spécifiques (catégories, modalités, etc.) alors qu’une lésion de l’hippocampe affecte toutes les modalités et les catégories.

Explique pourquoi une lésion du lobe temporal médian produit une amnésie antérograde habituellement combinée avec une amnésie rétrograde pour les évènements relativement récents (juste avant le trauma).

51
Q

Qu’est-ce qui est nécessaire pour permettre l’ajustement des synapses entre les neurones (plasticité neuronale et création d’assemblées) ?

A

la répétition des activations neuronales

52
Q

Pourquoi les réactivations spontanées sont-elles importantes ?

A

Elles permettent l’activation répétitive des représentations mnésiques ce qui permet la consolidation de la mémoire. Elles surviennent durant l’éveil et le sommeil.

53
Q

Qu’est-ce qui est nécessaire à la singularisation d’un souvenir ?

A

deux mécanismes, un excitateur de la représentation en mémoire et un autre inhibiteur empêchant les interférences dans les représentations, les deux mécanismes fonctionnent en parallèle

54
Q

Quelle structure sous-tend le mécanisme excitateur ?

A

l’hippocampe, c’est la meilleure place dans cerveau pour ce mécanisme car il fait une représentation unique du souvenir

55
Q

Qu’est-ce qui permet le mécanisme inhibiteur ?

A

le neurotransmetteur GABA, dans une étude il a été découvert que lorsqu’on réduit la concentration de GABA (principale inhibiteur du système nerveux) néocorticales en utilisant des stimulations transcrâniennes par courant direct (tDCS), les interférences des souvenirs néocorticales augmentent

56
Q

Nommer trois autres fonctions de l’hippocampe ?

A

apprentissage statistique
l’apprentissage par renforcement
l’encodage spatial

57
Q

De quoi avons nous besoin pour prendre des décisions ?

A

Nous avons besoin d’associations qui se basent sur les propriétés des objets de notre environnement (catégorisation des son interaction avec l’environnement)

58
Q

Qu’est-ce que ça veut dire lorsqu’on dit que les cellules de lieux ont un système de référence relatif ?

A

le système de référence n’est pas absolu, c’est relatif au contexte de l’environnement

59
Q

Que sont les cellules de grille ?

A

ce sont plusieurs hot-spots disposés qui forment une grille triangulaire

60
Q

Ou se trouvent les cellules de grille chez les rongeurs ?

A

dans le cortex enthorhinal des rongeurs

61
Q

Quelle est l’interaction entre les cellules de lieux et de grilles ?

A

Les cellules de lieux ont besoin d’être positionnées sur une carte, qui est représentée par les cellules de grille

62
Q

Que permet d’encoder les cellules de grille ?

A

les régularités spatio-temporelle et de contexte

63
Q

Dans quels processus de la mémoire l’attention est-elle importante ?

A

autant pour l’encodage de nouveaux souvenirs que pour leur rappel en permettant un contrôle sur l’information encodée (ce qui est important ou non), mais surtout pour la mémoire de travail

64
Q

Quelle région du cortex préfrontal est impliquée dans l’encodage ?

A

le cortex préfrontal latéral gauche

65
Q

Comment le cortex préfrontal est impliquée dans le rappel des souvenirs ?

A

durant le rappel, l’attention préfrontal «réflective» interne permet sélection d’information généré à l’interne et donc le rappel des souvenirs.

66
Q

Pourquoi le cortex préfrontal est moins activé lors de l’encodage de mots qu’on a oublié ?

A

car on leur a porté moins attention

67
Q

De quoi dépend la mémoire de travail ?

A

De l’attention portée aux éléments de la mémoire sensorielle

68
Q

Quelles régions du cortex contribuent aux représentations perceptuelles de la mémoire court terme ?

A

cortex pariétal, occipital et temporal

69
Q

Que représentent les représentations frontales dans la mémoire court terme ?

A

les souvenirs plus exécutifs : action, comportement, maintient

70
Q

Comment sont organisées les représentations frontales ?

A

Les représentations frontales sont organisées du plus concret (rouge foncé; régions postéro-frontales) au plus abstrait (plus pale; régions antéro-frontales).

71
Q

Que permet l’interaction constante entre la mémoire exécutive et perceptuelle ?

A

de contrôler et de définir la mémoire à court-terme

72
Q

Quel rôle joue l’aire de Broca (cortex préfrontal ventrolatéral gauche) dans la mémoire court terme ?

A

fait partie des représentations exécutives, joue un rôle dans l’attribution de séquence de phonèmes à des fins articulatoires

73
Q

Quel rôle joue l’aire péri-sylvienne gauche dans la mémoire de travail ?

A

fait partie des représentations perceptuelles, permet une représentation phonologique et l’association entre les représentation acoustiques du langage et l’articulation qui en découle

74
Q

Comment la région postérieure interagit avec la région antérieure ?

A

la région postérieur maintient la représentation pendant que la région antérieur garde ces régions actives par répétition ou rafraichissement
il y a une boucle entre la partie exécutive et procédurale pour amener un contexte au exécutif

75
Q

Comment les voies dorsales et ventrales de la région postérieure se prolongent dans la région antérieure ?

A

la portion dorsale du cortex préfrontale supporte la mémoire spatiale court-terme et la portion ventrale se coordonne avec l’activité temporale associé à l’identité des objets

76
Q

Comment les émotions influencent la mémoire ?

A

autant un changement de la valence que de l’intensité augmente les chances de rappel

77
Q

Qu’est-ce qui est le plus rapidement traité selon les ERP, la valence ou l’intensité

A

l’intensité est traitée plus rapidement

78
Q

Quelle structure cérébrale est associée à l’effet de l’intensité sur les traces mnésiques ?

A

l’amygdale, des individus avec des dommages à l’amygdale ne démontrent pas cet effet

79
Q

Comment la valence influence la mémorisation ?

A

on a tendance à mémoriser des événements négatifs plus facilement que des événements positif

80
Q

Quelle est la différence dans le traitement des émotions négatives et positives ?

A

Les affects positifs supportent notre habileté à connecter des information à ce que nous savons déjà (activation relationnelles et familiarité)
Les affects négatifs mènent à une réduction du traitement relationnel et rend possible un encodage plus spécifique de l’information.