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Victimisation > Cours 4 > Flashcards

Cours 4 Flashcards

1
Q

Dans l’évaluation de victimisation qu’est-ce qui demeure un défi actuel ?

A

Vérifier les antécédents de victimisation (demeure un défi actuel)

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2
Q

VRAI OU FAUX :
47% des patients consultant en sexothérapie ont un historique d’agression sexuelle à l’enfance

A

VRAI

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3
Q

VRAI OU FAUX :
La majorité (78%) des adultes ayant vécu une forme d’abus à l’enfance ont été questionné à cet égard lors de l’entrevue initiale

A

FAUX, non pas été questionner

pas le motif de consultation, les hommes ne vivent pas AS, veut pas brusquer, malaise du professionnel

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4
Q

VRAI OU FAUX :
Malgré le peu de questionnements de la part des professionnels, les conséquences des expériences traumatiques sont souvent en lien avec les motifs de consultation d’AS. Ex: dysfonctions sexuelles

A

VRAI

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5
Q

Si le questionnement de AS n’est pas demandé dans les séances est-ce qu’il y a des chances que le/la patient le dévoile ?

A

Beaucoup moins !!

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6
Q

Quels sont les principales principes lors de l’évaluation de la victimisation ?

A
  1. Demander systématiquement
  2. Établir le contexte et bien formuler les questions
  3. Important de respecter le rythme de la personne
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7
Q

Expliquer ce que veux dire le principe de demander systématiquement dans l’évaluation de la victimisation.

A

Demander systématiquement
* L’inclure dans vos questions habituelles en entrevue initiale
* Quand ? Lors de l’entrevue initiale (si possible…)

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8
Q

Expliquer ce que veux dire le principe d’établir le contexte et bien formuler les questions dans l’évaluation de la victimisation.

A

Thème attendu : enfance.
* Parle-moi de ton enfance. Meilleur souvenir. Pires souvenirs.
* Quelle relation avais-tu avec chacun de tes parents? Comment fonctionnait la discipline chez toi ?
* Est-ce arrivé qu’un adulte te blesse ou te punisse d’une façon à te blesser ?
* Est-ce que quelqu’un a déjà fait des gestes sexuels qui t’ont rendu inconfortable, mal à l’aise ?

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9
Q

Quels types de questions on ne pose pas dans bien formuler les questions ?

A

As-tu été abusé physiquement ? As-tu vécu une agression sexuelle ?

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10
Q

Qu’est-ce que le dévoilement?

A

Selon le Larousse, dévoiler signifie « révéler, expliquer, porter à la connaissance de quelqu’un ce qui était caché ou qui n’était pas connu »
Continuum: Se confier à un proche ——– Signaler à la police

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11
Q

Nommez l’Importance de dévoiler l’AS. Ça peut permettre de …

A

1) mettre fin à la situation abusive
2) recevoir du soutien et des services

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12
Q

VRAI OU FAUX :
Le dévoilement repose uniquement sur la victime.

A

FAUX
Le dévoilement ne devrait pas reposer uniquement sur la victime…
Nous avons un devoir collectif de créer une société qui favorise le dévoilement des AS

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13
Q

Est-ce que les dévoilement suite à une AS sont fréquents ? Expliquer.

A

Non, car 48,8% des personnes attendent plus de 5 ans et 21,3% ne dévoile jamais.

Jamais dévoiler : Femme : 15,7% Homme : 34,2%

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14
Q

Qu’est-ce qu’une barrière au dévoilement ?

A

Barrières = ce qui peut entraver le dévoilement

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15
Q

Nommez des facteurs sociaux culturel qui peuvent freiner le dévoilement d’un AS.

A

Manque de service
Stigma social
Culture/période historique
Tabou de la sexualité

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16
Q

Nommez des facteurs relationnels qui peuvent freiner le dévoilement d’un AS.

A

Réseau social fragile/pauvre
Violence et dysfonctionnement familial
Dynamique de pouvoir
Conscience des répercussions / Conscience de l’impact de dévoiler

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17
Q

Nommez des facteurs personnels/individuels (idiosyncrasique) qui peuvent freiner le dévoilement d’un AS.

A

Internalisation du blâme
Mécanisme de protection
Immaturité du développement

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18
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières individuelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Manque de connaissances liées à la sexualité, confusion à propos de l’AS, difficultés de langage

A

Immaturité du développement au moment de l’AS

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19
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières individuelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

minimisation consciente et inconsciente, souvenirs refoulés (flashbacks à l’âge adulte), stratégies d’adaptation (coping; consommation de substance, dissociation), *perte de confiance en autrui

A

Mécanismes de protection

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20
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières individuelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

honte, sentiment de culpabilité, de responsabilité, avoir l’impression d’être différent, d’être brisé, honte, sentiment de culpabilité, de responsabilité, avoir l’impression d’être différent, d’être brisé

A

Internalisation du blâme envers la victime

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21
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières relationnelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Personne à qui dévoiler, personne n’ayant les capacités d’offrir de l’aide et le soutien nécessaire

A

Réseau social pauvre

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22
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières relationnelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Peur de la réaction des autres (blâme, colère, rejet, ne pas être cru), peur des conséquences, peur de l’implication des autorités

A

Conscience de l’impact de dévoiler

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23
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières relationnelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Manipulation et menaces de l’agresseur, loi du silence dans la famille, complexité de la relation avec l’agresseur (ex: peur de ne plus voir sa famille élargie)

A

Dynamiques de pouvoir

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24
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières relationnelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Sentiment de ne pas être en sécurité, *protection des autres, blâme envers la victime

A

Violence et dysfonctionnement dans la famille

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25
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières socio-culturelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Peur d’être étiqueté comme une victime, crainte des réponses homophobes, *enjeux entourant l’homosexualité pour les garçons agressés par un homme

A

Stigmatisation

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26
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières socio-culturelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Manque de connaissances sur la sexualité en général, n’est pas un sujet de discussion

A

Sexualité = tabou

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27
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières socio-culturelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

Pas assez d’éducation populaire, de campagnes de sensibilisation et de ressources d’aide

A

Manque de services disponibles

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28
Q

À qui fait référence ces exemples de barrières socio-culturelles dans ce qui peut entraver le dévoilement d’une AS ?

invisibilité des AS dans la société au moment de l’AS

A

Culture/période historique

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29
Q

Cette phrase appartiendrait à quel type de barrière de dévoilement :
* « Alors oui, ma confiance a été détruite et… Tout est mélangé entre qui vous avez confiance et en qui vous n’avez pas confiance, tout est confus. »

A) barrières socio-culturelles
B) barrières relationnelles
C) barrières personnelles/individuelles

A

C

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30
Q

Cette phrase appartiendrait à quel type de barrière de dévoilement :
*« Ma mère se faisait battre en même temps et je ne voulais pas causer de problèmes dans la famille.. »

A) barrières socio-culturelles
B) barrières relationnelles
C) barrières personnelles/individuelles

A

B

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31
Q

Cette phrase appartiendrait à quel type de barrière de dévoilement :
« Je ne voulais pas que quelqu’un pense que j’étais gay ou quoi que ce soit parce que je ne pensais pas l’être et je ne voulais pas garder ça en moi, Mais il semblait, vous savez, que c’était le prix à payer pour s’adapter. »

A) barrières socio-culturelles
B) barrières relationnelles
C) barrières personnelles/individuelles« Je ne voulais pas que quelqu’un pense que

A

A

32
Q

Quels sont les trois grandes catégories des éléments déclencheurs du dévoilement ?

A

Motivations intérieures
Initié par un proche ou un contexte propice
Influencé par l’extérieur

33
Q

Expliquer l’élément déclencheurs ‘‘Motivations intérieur’’ dans le dévoilement des AS”.

A

*Ressentir le besoin de dévoiler
*Prendre conscience de la situation d’AS
*Vouloir mettre fin à l’AS/protéger les autres
*Besoin d’aide

34
Q

Expliquer l’élément déclencheurs ‘‘Initié par un proche ou un contexte propice’’ dans le dévoilement des AS”.

A

**Question posée directement
*Confidences mutuelles
*Après un programme ou une émission de télévision
*Sentiment de sécurité/ sentir qu’on sera cru

35
Q

Expliquer l’élément déclencheurs ‘‘Influencé par l’extérieur’’ dans le dévoilement des AS”

A

*Dévoilement d’une autre victime
*Témoignage de l’agresseur
*Indice physique/ symptômes

36
Q

Quels sont les facteurs du dévoilement LGBTQ ? (universitaires)

A

Éléments déclencheurs à leur dévoilement aux représentants universitaires :
- Type d’agression sexuelle
- En avoir parlé à un parent
- En avoir parlé à un conseiller du campus
- Observer davantage d’harcèlement des personnes LGBTQ

37
Q

VRAI OU FAUX :
Dans les 409 personnes de la communauté LGBTQ dans le milieu universitaire, 35.5 % n’avait jamais dévoilé l’AS

A

VRAI

38
Q

Les garçons/hommes dévoilent moins que les filles/femmes.
Quelles barrières pourraient expliquer cela, selon vous?

A

Culpabilité : Sentiment de culpabilité
Se sentait de participant
Voulait effacer ça - croyance de mettre derrière allait être correct
Croyance du secret - contexte historique
minimisation de l’agression
stratégie adaptation mis en place

39
Q

Nommez des barrières spécifiques aux garçons/hommes. (5)

A
  • manque de prévention adaptée aux garçons/hommes
  • manque de modèles dans notre société
  • garçons vivraient davantage de honte ou de culpabilité
  • stigmatisation liée à la peur d’être étiqueté comme homosexuel
  • valeurs entourant la masculinité hégémonique : un gars n’est pas censé être une victime, devrait savoir se défendre
  • peu de services offerts aux hommes victimes
  • caractéristiques de l’AS = plus sévères, plus de « participation » dans les gestes vécus
  • réaction physiologique habituellement associée au plaisir, donc pensée erronée par
    rapport à son consentement (« Je devais être consentent si j’ai eu une érection »).
40
Q

Nommez les réactions nuisibles plus principalement ceux de l’accusation-exclusion.

A
  • Exprimer tellement de colère envers l’agresseur que la victime a dû les calmer
  • Blâmer, culpabiliser ou responsabiliser
  • Prendre des décisions ou faire des choses à la place de la victime
  • Faire sentir comme si elle était incapable de prendre soin d’elle-même
  • Éviter de lui parler ou de passer du temps avec elle
  • Agir comme si elle valait moins à nos yeux
  • Prendre la défense de l’agresseur et justifier ses gestes
41
Q

Nommez les réactions nuisibles plus principalement ceux du constatation sans soutien

A
  • Dire de continuer sa vie
  • Tenter de distraire avec d’autres choses
  • Minimiser le sérieux de cet événement
  • Faire une blague ou utiliser le sarcasme
    * Dire de cesser d’y penser
  • Encourager à tenir cela secret
  • Demander de raconter l’agression en détail
42
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Exprimer tellement de colère envers l’agresseur que la victime a dû les calmer

A

A)

43
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Dire de continuer sa vie

A

B)

44
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Blâmer, culpabiliser ou responsabiliser

A

A)

45
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Prendre des décisions ou faire des choses à la place de la
victime

A

A)

46
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Minimiser le sérieux de cet événement

A

B)

47
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Faire sentir comme si elle était incapable de prendre soin d’elle-même

A

A)

48
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Faire une blague ou utiliser le sarcasme

A

B)

49
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Dire de cesser d’y penser

A

B)

50
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Encourager à tenir cela secret

A

B)

51
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Éviter de lui parler ou de passer du temps avec elle

A

A)

52
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Prendre la défense de l’agresseur et justifier ses gestes

A

A)

52
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Agir comme si elle valait moins à nos yeux

A

A)

53
Q

Cette réaction nuisible appartient à :
A) L’accusation exclusion
B) Constatation sans soutien

Demander de raconter l’agression en détail

A

B)

54
Q

Nommer des réactions aidantes suite à un dévoilement

A

§ Écouter et accueillir la personne
§ Croire et valider les émotions
§ Déculpabiliser la personne victime
§ Respecter le choix et le rythme de la personne
§ Ex: lui rappeler que si elle choisit de ne pas entamer de démarches pour le moment, elle aura toujours le choix de le faire plus tard si elle le souhaite.
§ Ne pas insister pour que la personne en parle
§ Favoriser son autonomie
§ Respectez vos limites

55
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘écouter’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

Ne pas juger, écouter les confidences, ne pas questionner trop précisément, rester calme, être ouvert et rassurant

56
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘respecter’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

Respecter les silences, démontrer qu’on croit la personne, ne pas remettre en doute ses propos

57
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘encourager’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

L’encourager à exprimer ses émotions, l’aider à se déculpabiliser, la féliciter, l’encourager à revenir vous en parler

58
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘confidentialité’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

Lui promettre de garder l’information confidentielle, sauf si la sécurité de certaines personnes est compromise

59
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘besoins’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

L’amener à identifier ses besoins immédiats et l’accompagner

60
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘ressources’’ suite à comment réagir à un dévoilement d’adulte.

A

Tenter de la guider vers les ressources appropriées

60
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘écouter’’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

Ne pas juger, écouter les confidences, ne pas questionner trop précisément, rester calme, être ouvert et rassurant

61
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘respecter’’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

Respecter les silences, démontrer qu’on croit l’enfant, ne pas remettre en doute ses propos

62
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘encourager’’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

L’encourager à exprimer ses émotions, l’aider à se déculpabiliser, le féliciter, l’encourager à revenir vous en parler

63
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘confidentialité’’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

Ne pas promettre de garder le secret, garder l’information dévoilée entre professionnels

64
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘prendre en note’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

Noter ce que l’enfant dit, dès que possible

65
Q

Expliquer ce que veux dire ‘‘signaler’’ suite à comment réagir à un dévoilement de mineur.

A

Signaler à la DPJ de la région où l’enfant vit

66
Q

Nommez les différences entre un dévoilement de mineurs et d’adulte.

A

Pour l’adulte nous ne devons pas nécessairement prendre de note, mais pour un mineur oui à cause de la mémoire. Pour les mineur nous devons signaliser à la DPJ alors que pour un adulte on ne peut pas signaler sans son accord. Avec le mineur nous avons l’obligation. Pour un adulte, nous avons l’obligatoire de garder le secret mais pour un mineur nous ne pouvons pas le promettre.

67
Q

Nommez quelques phrases clé suite à un dévoilement

A
  • « Tu as bien fait de m’en parler »
  • « C’est important ce que tu me dis »
  • « Je te crois »
  • « Je te remercie de ta confiance »
  • « Raconte-moi, dis moi en plus (enfants*) »
  • « Ça demande beaucoup de courage de raconter ça »
68
Q

Expliquer l’importance de bien réagir

A

§ Le fait de dévoiler n’est pas nécessairement thérapeutique en soi

§ Réactions de l’entourage prédisent plus le fonctionnement psychologique de la victime que le fait de dévoiler ou non

69
Q

VRAI OU FAUX
Il y a autant de fausses allégations chez les adultes que chez les enfants.

A

FAUX

  • « Les fausses allégations d’agression sexuelle sont un fléau social. »
  • Environ 5 % des allégations d’AS faites par des adultes seraient fausses
  • Pourcentage encore plus faible chez les enfants

Ne pas remettre en doute la parole d’une victime

70
Q

Quelles est la différence entre un trauma-vicariant et un TPST

A

Vicariant = répétition
TPST = un choc, une fois

71
Q

Quelles est la différence entre un trauma-variant et la fatigue de compassion

A

Un trauma vicariant est une exposition répétée à des discours ou du matériel
traumatiques alors que la fatigue de compassion est une usure profonde et douloureuse à la détresse d’autrui

72
Q

À qui appartient ces éléments entre le trauma vicariant ou la fatigue de compassion?
Reviviscence
Évitement
État d’alerte

A

Trauma Vicariant

73
Q

À qui appartient ces éléments ?
Hypersensibilité
Vidés de toute vitalité
Impuissance acquise
Remises en question

A

Fatigue de compassion

74
Q

Pourquoi un professionnel pourrait développer soit un trauma vicariant ou de la fatigue de compassion ?

A
  1. Surcharge émotionnelle (mimétisme et neurones miroirs)
  2. Structure de peur post-traumatique (cognitions empreintes du SSPT)
  3. Remise en question de croyances fondamentales (bien et mal, injustices, soi, etc.)
  4. Accumulation de facteurs de risque (liés au travail ou à l’intervenant)
75
Q

Nommez des auto-soins pour aider à prévenir soit un trauma vicariant ou de la fatigue de compassion.

A
  • Si possible, réduire son exposition aux contenus traumatiques (clients, histoires, etc.)
  • En discuter avec vos collègues (ou des proches)…tout en évitant de les « contaminer »
  • Pleine conscience: accueil des émotions et des remises en question, compassion envers soi comme on le fait avec les autres…
  • Respecter ses limites, aller chercher de l’aide
  • Prendre soin de soi! Mettre en place une saine hygiène de vie (activités sociales, sportives, prendre des vacances), activités légères et plaisante

Victimisation (5 decks)

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