cours 4 Flashcards
1921, conférence impérial
1921, conférence impérial Meighen remplaçant de Borden s’oppose à une politique étrangère impériale par consensus. Pour lui les dominions devaient considérer ses intérêts comme primant sur ceux de tous les autres.
Londres veut garder une politique centralisée (sauver les meubles), créer une fédération militaire au sein de l’empire malgré l’indépendantiste des dominions. Qui s’oppose à la vision des dominions qui veulent une autonomie.
la crise de chanak en Turquie
1922, Mackenzie King est confronté à la crise de chanak en Turquie, en septembre il y a une menace de guerre entre troupe Britannique et Turc. Winston demande aux dominions de se préparer, mais Mackenzie si oppose à cette idée. Turquie qui consteste les tracés de ses frontières. Ainsi, la tension augmente. Ce qui choc le Canada c’est que ça rappelle la situation avant 1914 que la GB en guerre = Canada e guerre. On dit qu’il n’y aura pas de guerre temps que le parlement ne le votera pas. Finalement, cette crise n’ira pas plus loin, mais on reste superstitieux aux intentions de la GB.
traité du Flétan
Geste important en 1923 avec le traité du Flétan entre USA et Canada qui constitue le premier accord international négocié et conclu par le gouvernement canadien en son nom propre. Ce qui fait un précédant Mackenzie met tout son poids pour diriger les négociation et exclus volontairement tout représentant britannique et leur signature. Traité de Locarno en 1925 il donne espoir à la communauté international qui est igné par les puissances européennes et le canada exige que les dominions ne sont pas obligé par le signature de la Grande-Bretagne.
À la conférence impériale de 1923
À la conférence impériale de 1923, Londres arrive avec une coopération collective en matière de défense que King refuse. Londres ne veut pas lâcher la main.
1926 conférence impériale
1926 conférence impériale est déterminante dans l’avancée des dominions, celui d’Irlande et Afrique du Sud se montre les plus virulent avec l’aide de King pour définir une position officiant l’indépendance.
La déclaration de Balfour est le texte adopté par la GB qui pave l’indépendance en reconnaissant les dominion comme autonome à l’intérieur de l’empire britannique, ayant un statu d’égalité, n’étant d’aucune manière subordonnée l’une à l’autre. Elles portent allégeance à la couronne mais librement associées en tant que membre du Commonwealth. Ils sont vus comme des communautés indépendantes pour leur affaire intérieur et extérieur. On rend officielle le statut juridique de l’indépendance que les dominions faisaient preuves depuis la première guerre.
Ainsi, l’empire britannique ne survit pas à la première guerre pour laisser place au Commonwealth.
Le traité de Westminster en 1931
Le traité de Westminster en 1931, il restait un dernier point de pouvoir de la GB. Ce traité rectifie l’article 2 qui disait qu’aucune loi canadienne ou provinciale ne peut-être annulé si elle est contraire aux lois britanniques. Ainsi, traité de Westminster confirme de jure de l’indépendance de Canada, donc les lois britanniques perdent ainsi toute portée extraterritorial. Ainsi, le Canada peut voter les lois qui veut, plus besoin qu’elles soient en conformité de ceux britannique.
Le manque qui restait était l’amendement de la constitution, qui est difficile, car il n’y a pas de consensus entre fédéraux et provincial.
1926 marque le début de la politique extérieur
1926 marque le début de la politique extérieur et le début de la nomination de diplomate à l’extérieur, en 1927 Vincent Massey est nommé ministre du Canada à Washington. En 1928, c’est Philippe Roy qui était auparavant commissaire des affaires étrangère à Paris. Il y aussi l’ouverture de légation à Ottawa. Ainsi, il y a des relations bilatérales et des relations diplomatiques officiel. Maintenant, il acquiert un statu diplomatique qu’il n’avait pas entant que commissaire. Tokyo en 1929 avec Hebert Marler. Puis, il a un bureau à Genève dans la SDN. Le Canada n’a pas de consul à l’extérieur il faut attendre les années 40.
Ensuite, il y a un développement du ministère des affaires extérieurs créer en 1909 qui gérait la correspondance de l’étranger. À partir de 1925 il y a un développement de la structure et des activité du MAE. O.D Skelton qui entre en liste, devient le plus haut placé dans les affaires étrangères. Il va être celui qui met l’entrée par concours. Skelton défend l’isolationnisme férocement.
Isolationnisme
King veut se concentre sur les intérêts nationaux, mettre en avant son identité propre, répondre à ses besoins maintenant débarrassés de la tutelle britannique.
Ensuite, la guerre difficile qui fait bcp de mort, de blessé et on ne veut plus vivre ça. Ensuite, la guerre en Europe amène des tensions, des divisions au Canada tel que vue avec la crise de la conscription. On veut une séparation entre Europe et nord-américain. Au USA et au Canada, il y a un mouvement de pensée de préserver le continent nord-américain contre les problèmes de celui européen, avec la théorie des deux sphère on veut se rapprocher avec les États-Unis. Il y a un besoin de se distancer avec l’Europe. On veut une maison protéger du feu loin des outils inflammable.
Skelton défend la « théorie des deux sphères »
Skelton défend la « théorie des deux sphères » et le besoin de préserver le Nouveau Monde de tensions et guerres européennes. Développé une unité nationale, Canadienne.
En qualité de puissance moyenne, la Canada ne pouvait pas jouer les premiers rôles sur la scène international, ces tâches sont pour les grandes puissances. Ainsi, le premier ministre voyait d’un mauvais œil le engagements inhérents à la SDN c’est pas son rôle, de plus on ne voudrait pas être entrainée dans une guerre à l’étranger et perdre des milliers de Canadiens comme la première guerre mondiale. Puis, Mackenzie garde en tête les frictions de la conscription en 1917, on ne veut pas perturber la paix intérieur pour des raisons extérieurs
Canada à la SDN
Canada à la SDN, où il va affaiblir l’institution tel qu’en militant contre l’article 10 qui prévoyait que l’États membres devaient défendre un État qui était attaqué, le Canada trouve l’article trop contraignant il croit que chaque membre doit avoir l’opportunité de choisir d’employer la force militaire.
1923, délégué canadien présente une motion pour réduire la porté et l’implication du Canada, en prétextant que la situation géographique, situation indépendante. Pour que chaque gouvernement garde son autonomie dans les affaires extérieures. Le Canada combat la notion de sécurité collective qui est la base de la société.
1936, après la guerre d’Éthiopie, King se rend à la SDN où il dénonce la notion de sécurité collective, car la SDN devait jouer un rôle de conciliation/punition et non de punition.
La Canada opte pour une attitude d’apaisement face aux coups de force des États fascistes.
Bennett et politique économique
1930 Bennett devient premier ministre, Bennett veut le protectionnisme et barrière tarifaire avec la crise économique. Bennett suit la mode du protectionnisme.
En 1932, Bennett convoque une conférence impériale pour créer un système de préférence impérial, l’idée ne fonctionnera pas vraiment.
Ensuite, il y a une volonté d’un nationalisme canadien et se préserver des USA. En 1931, on taxe les revues américaines pour en diminuer la consommation. En 1932 développement de Radio-Canada.
On va créer des camps de travail pour les chômeurs.
Bennett et Japon
Invasion de la Mandchourie conquise par le Japon en 1931, Bennett et Skelton ont convaincu que le Japon est responsable d’une agression, mais ils affirment que c’est aux grandes puissances de prendre leurs responsabilités et s’opposent à voter des sanctions contre le Japon. Il y a des mesures voter pour poser des sanctions au Japon, mais le Canada refuse de voter les sanctions, car ce n’est pas son « boulot »
Bennett et Éthiopie
Guerre d’Éthiopie en 1935, où Bennett change sa position. Ensuite, Bennett était pratiquement sûr de ne pas être réélu, car il ne règle pas la crise économique son « new deal » ne marche pas, donc en pleine campagne sachant qu’il ne serait plus là pour gérer les « dégât » change de position. L’Italie rêve de battre l’Éthiopie, l’armée de Mussolini envahie l’Éthiopie où Bennett appuie des sanction contre l’Italie en bloquant notamment les exportation de pétrole vers ce pays.
King reprend le pouvoir, donc il demande à Riddell de s’abstenir lors de la rencontre de la SDN, car la situation dégénère avec l’Italie. Avec le décalage horaire le représentant du Canada ne reçoit pas le message approuve d’élargir les sanctions. King est furieux il rapatrie Riddell.
retour au pouvoir de King
King revient à un low profil international pour le Canada. Reprendre un rapprochement avec les États-Unis. On signe en 1935 un accord économique pour réduire les droits de douanes et tenter de relancer l’économie, encore marquée par les contrecoups de la Crise économique du début des années 1930. L’accord est fait rapidement, donc pas nécessairement le mieux, mais en 1938 l’accord est renégocié. D’ailleurs, King entretenait de bonne relation avec F.D Roosevelt.
Serment de Kingston, Roosevelt déclare les USA ne resterait pas insensible, inactif si le Canada est attaqué.
Mackenzie King et son isolationnisme trouve un écho avec la politique d’apaisement poursuivie par le gouvernement Britannique. En 1937, King est séduit par le charisme du dirigeant allemand Hitler. Mais, l’annexion des sudète, démantèlement de la Tchécoslovaquie, en 1938 avec la crise de Munich convainc qu’il y aura tôt ou tard une autre guerre.
Le Canada à une politique extérieur isolationnisme et 1931 signe l’indépendance des dominion avec Westminster. 4