Cours 2 Flashcards
Confédération en 1867 : objectif
objectifs internes : volonté de créer un marché unifié qui sera possible avec le chemin de fer. Mais aussi des facteurs externes comme se protéger des États-Unis. Dans la tête des Britanniques un état plus unifié pour se défendre face aux USA. Contrat de réciprocité en 1854 ce qui permet de faire sauter les taxes sur produits agricoles et matières premières qui traversent la frontière, ce qui permet une hausse des exportations aux États-Unis. Toutefois, l’impacte est à questionner à cause de la guerre civil en USA et en 1866 Washington refuse de prolonger le contrat de réciprocité, car l’Angleterre supportait les sudistes en leur envoyant des bateaux.
impacte de la confédération en 1867
il y a une définition des pouvoirs entre provinces et fédéral. Et les relations extérieures sont soumis à Londres, car elle n’est pas indépendante. Et ce jusqu’en 1931 avec Westminster. La seule mention est l’article de 132. En tant que colonie le Canada n’a pas de contact direct avec les gouvernements étrangers, il y a un peu de correspondance entre les autres gouvernements, mais reste sous l’intermédiaire de Londres. Toute correspondance entre Ottawa et Londres passait par le gouverneur.
Comment le Canada pouvait faire valoir ses intérêts
grâce à des représentant qui son nominé à l’extérieur tel qu’à Londres. On ne parle pas de diplomate, car Londres ne veut pas qu’il est ce « pouvoir » ce « privilège ». Ces représentants n’ont pas le privilège diplomatique, mais ils font valoir les intérêts Canadian, les positions du pays, du lobbying, attirer des immigrants. Macdonald va lutter pour définir cette fonction, il va demander qu’il y ait un titre de ministre résident, mais les autorités britanniques refusent ce titre ils trouvent ça trop officiel, ils disent que ça menace l’unité, ils ne peuvent pas faire partie du personnel diplomatique, c’est un non-sens pour ceux-ci. Toutefois, il y a la création du haut-commissaire du Canada en 1880, sans statut diplomatique.
Charles Tupper
« ambassadeur itinérant » pour Macdonald, il négocie un accord en 1893 avec la France, mais c’est le diplomate anglais à Paris qui signe. Ainsi, le Canada joue un rôle dans les négociations, mais tout passe par la couronne.
Paris centre d’intérêt
Paris sera aussi un centre d’intérêts pour les autorités Canadiennes et surtout au Québec. Le Québec voudra être représenter à Paris. Chapleau nomme Hector Fabre à Paris comme un agent général, l’année suivante il représentera aussi le fédéral à Paris. Il représentait économiquement le gouvernement tel que contracté des prêts pour le petit train du nord. Ensuite, l’immigration il essayait de recruter des immigrants surtout francophones. Son remplaçant aura seulement la fonction fédérale, plus de représentation québécoise.
1871 négociations du traité de Washington
Les intérêts britanniques vont être priorisé face à ceux canadiens. Traité qui veut pacifier les relations entre USA et Angleterre, relation qui ont été fragilisé durant la guerre civile, car les Anglais ont pris pour le Sud, car ils avaient besoins du coton des sudistes. Ensuite, ils croyaient qu’un plus petit pays serait plus facile à gérer et ils n’avaient pas avaler complètement la guerre d’indépendance. Ensuite, on voit que l’Amérique est loin, donc défendre le Canada sera de plus en plus dure à défendre avec la monté des USA, donc ils ne veulent pas jeter de l’huile sur le feu. Les USA veulent des dédommagements fait par les bateaux anglais que les sudistes ont utilisés pour attaquer les nordistes. Dans les négociations Macdonald fait parti de la table des négociations. Les Américains voulaient acheter un droit de pêche à perpétuité sur les côtes canadiennes ce que Londres accepte, mais Macdonald s’y oppose ce qui fait capoter les négociations. On réalise que Londres était prêtre à sacrifier beaucoup et piétiner les intérêts canadiens pour s’acheter la paix. Les Anglais veulent aussi pacifier avec Washington pour ramener leur troupe militaire dans leur projet d’expansion de l’empire, projet impérialiste, donc on laisse la défense du dominion à la milice Canadienne contrôler toutefois par Londres.
effort militaire de 1884-1885
Ensuite, le Canada se doit de participer à l’effort militaire de défense de l’empire. De 1884-1885 les Canadiens sont appelé au Soudan. Londres fait la conquête de l’Égypte jusqu’au Soudan (conquête du nord au sud en Afrique), mais il y a une résistance solide c’est pourquoi elle appel ses dominions. Macdonald ne veut pas nécessairement s’impliquer, ce n’est pas dans leur priorité, ça ne les concerne pas vraiment. Londres appelle des voyageurs volontaires pour aller se battre au Soudan (ce sont des spécialiste bucheron, trappiste, habitué à pagayer les rivières).
Le Canada sous Laurier (1896-1911)
Laurier doit faire face à un courant pro-impérial. Une partie du Canada anglais rêve de renforcer les liens avec la mère patrie. Laurier va se prêter au jeu il sera anobli. La Grande-Bretagne aura une position extrêmement centraliste, car elle veut maintenir un lien fort de dominance sur les dominions, ils font valoir une politique fédérale impériale. Les Anglais vont proposer une défense centrale commune que Laurier va poliment rejeter.
La guerre des Boers
La guerre des Boers place Laurier dans une position inconfortable avec un nationaliste pro-britannique qui grossi dans le pays. Alors que la guerre des Boers crée des frictions qui cause des tentions chez la population particulièrement francophone. La guerre des Boers est plus difficile que ce qu’a vécu MacDonald avec la guerre du Soudan. Laurier n’est pas enjoué de cette demande d’aller se battre en Afrique par Londres. On souhaite au départ de ne pas intervenir.
Jingoisme sont les pro-britanniques
Guerre de Boers est de trois ans, c’est un conflit dur, plusieurs levée d’homme pour un peu plus de 7000 hommes et 50 000 chevaux.
Pourquoi l’Angleterre intervient dans la guerre de Boers
motif nébuleux, officiellement défendre les colons anglais en Afrique réel raison mettre la main sur les ressources minières. C’est une guerre difficile, dure, peu attirante. Les Britanniques frappent sur les populations civiles. Arriver en Afrique les soldats canadiens voit des ressemblances avec les colons boers et les colons canadiens. Présence de camps d’internement. Laurier intervient sous la pression, mais affirme que ce n’est pas une ouverture pour des précédents. Pour Mac Fralane les élites canadiennes franco ont soutenu la guerre, mais ne reflète pas la population canadienne francophone.
Boers sont des descendants néerlandais qui habitaient sur des mines d’or, de diamants. Il va y avoir un affrontement entre les étudiants anglais et francophone dans les rues de Montréal.
Bourassa insiste que le Canada n’ait pas d’obligation à défendre la Grande-Bretagne.
Guerre de Boers est la première guerre importante qu’on participé les militaires Canadiens.
conférence de Laurier en 1902
1902, Laurier se rend à Londres pour la conférence coloniale où l’Angleterre vue une politique centralisatrice et défense impérial commune qui est remis en avant. Laurier refuse pour lui le statu quo le satisfaisait, car pour lui ça constituerait une entorse importante au principe de l’autonomie coloniale. Cette guerre avait renforcé se sentiment.
Dispute d’Alaska de 1903
Dispute de l’Alaska en 1903, 1900 découverts d’or au Yukon qui amène une vague de chercheur d’or américain et canadien alors que les frontières ne sont pas encore définis. On nomme trois représentant américains et trois canadiens. La délégation américaine est arrivée mieux préparer dans une impasse c’est un représentant britannique qui vote en faveur des Américains, ce qui crée une rancœur envers la Grande-Bretagne. Théodore Roosevelt joue aussi durement, la population canadienne à des flashback du traité de Washington, nos intérêts ne sont pas défendus.
Création en 1909 un ministère des affaires extérieures
Création en 1909 un ministère des affaires extérieures sous l’action de Joseph Pope. Car il y a une difficulté de rassembler les documents d’extérieur tel qu’a montré la crise d’Alaska. De plus, la constitution n’est pas claire. Ainsi, le ministère est plus un bureau de poste, Laurier ne met pas en place une politique étrangère, car c’est la vocation de Londres.
Après, la crise d’Alaska les relations vont s’améliorer avec les USA avec le travail de Lauriers et Londres.
1908 un accord pour banaliser les frontières
Ainsi, on met sur pied en 1908 un accord pour banaliser les frontières entre les pays. Signé par Grande-Bretagne.
1908, commission de la frontière internationale, embauche d’Arpenteur/géographe pour marquer et entretenir avec précision les frontières
huit traités
En 1911, huit traités et accords sont négociés pour des détails canado-américains toujours assisté par la Grande-Bretagne. D’ailleurs, les ambassadeurs de Grande-Bretagne à Washington se plaignent d’être débordé par les affaires canadiennes.