Cours 4 Flashcards

1
Q

Définition de la mémoire

A

Processus impliqués dans la rétention (le fait d’encoder l’information), la récupération (aller chercher l’information encoder et la rappeler) et l’utilisation d’informations provenant des stimuli (recu par nos sens), des images, des événements, des idées et des compétences, et ce, même après que l’information originale n’est plus présente. Active à tout moment, une expérience passée a un impact sur la façon dont vous pensez ou vous comportez maintenant ou dans le futur.

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2
Q

Définition de la mémoire à court terme

A

Toute l’activité mentale, toute nos pensées sont permises grace a cette mémoire. C’est vraiment l’acces au moment présent, c’est aussi l’utilisation de ces informations qui nous traverse l’esprit, et qui nous permet d’avoir des prcessus cognitifs de plus haut niveau, comme la comprehension, le raisonnement, la logique, le langage, tout nos processus cognitifs sont seulement possible garce a la mémoire a court terme, si on voit les mémoire entre passer present futur, c’est vraiment le moment présent avec le traitement d’information qui arrive du passé, permet de prédire le futur, quest ce qu’on anticipe, c’est pour ca on est pas toujours surpris quand on fait des trucs

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3
Q

Trois différents types de mémoire selon Atkinson et Shiffrin (1968) :

A

1.Mémoire sensorielle : Phase initiale qui contient toutes l’information entrante pour quelques secondes ou fractions de secondes.
2.Mémoire à court-terme : Garde 5 à 7 items pour 15 à 20 secondes.
3.Mémoire à long-terme : Peut conserver une quantité importante d’informations pendant des années et des décennies.

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4
Q

Explique le modèle de modalités de la mémoire de Atkinson et Shiffrin (1968)

A

L’information arrive a nos sens, elle rentre dans la memoire sensorielle, grace a nos capacité attentionnel, on va selectionné l’infomation qui est pertinente. Output : recupération après la fleche noire

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5
Q

Définition de processus de contrôle

A

Processus qui permet le transfert de l’information de la mémoire a court terme a la mémoire a long terme. Processus actifs pouvant être contrôlés par la personne. Répétition. Stratégies utilisées pour rendre un stimulus plus mémorable. Stratégies d’attention qui vous aident à vous concentrer sur des stimuli spécifiques. Multiples de facteurs : a quel point on a bien dormis, est ce que les conditions sont suffisante

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6
Q

Exemples de Rachel et de la pizzeria

A

Rachel veux appeler la pizzeria
Elle recherche le numéro de téléphone sur internet et donc elle le voit apparaitre, donc ca entre dans sa mémoire sensorielle
Elle porte attention au numero specifiquement
Elle va composer le numéro alors elle se repete l’information (processus de reflexion)
Je vais apprendre le numéro = elle va stocker l’info dans sa mémoire a long terme, elle va se le repeter souvent, elle va optimiser ses chances en le répétant

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7
Q

Mémoire sensorielle :

A

▪Conserve une quantité importante d’information pour une courte période de temps. Quelque secondes
▪Récolte l’information, On est tout le temps en train de stimuler notre mémoire sensorielle
▪Garde l’information pour un traitement initial. On doit pas dépendre de la technologie
▪Remplit les blancs.

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8
Q

La retention des effet de stimulation sensorielle, et ce, pour de brèves périodes de temps. Les informations se dégrade très rapidement. On voit le cercle même quand il n’existe pas car l’information est toujours dans nos neurones quand elle tourne l’étincelles, c’est que qu’on appelle :

A

Persistance de la vision: * La rétention de la perception de la lumière. Sparkler’s trail of light * Séquences d’un film. La vision persiste même quand l’information n’est plus la

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9
Q

Mesure de la capacité et la durée de la mémoire sensorielle (Sperling, 1960) : Nomme les 3 méthode de rapport

A
  1. Méthode de rapport complet
  2. Méthode de rapport partiel
  3. Méthode de rapport partiel retardé
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10
Q
  1. Méthode de rapport complet:
A

▪ Les participants doivent reporter le plus possible de lettres.
▪ Moyenne de 4,5 lettres sur 12 (37,5%). Si on s’arrete a cette condition, on pourrais dire que la mémoire sensoriel n’est pas très bonne

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11
Q
  1. Méthode de rapport partiel:
A

Les participants entendent le ton qui leur indique la rangée de lettres à signaler.
Pas de flèches rouges mais une tonalité
Moyenne de 3,3 lettres sur 4 (82%) – mémoire sensorielle a une capacité très grande
Les participants pouvaient signaler n’importe laquelle des rangées. grande capacité mais courte durée

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12
Q

3.Méthode de rapport partiel retardé:

A

▪ La présentation du son a été retardée d’une fraction de seconde après l’extinction des lettres.
▪ La performance diminue rapidement, cest seulement avec cette condition qu’on peux arriver avec la conclusion que c’est a cause de la durée de la mémoire sensorielle qu’on a une si basse performance dans la methode de rapport complete. (plus il y a un delai, plus que la performance chute)

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13
Q

Mémoire iconique

A

Brève mémoire sensorielle des choses que nous voyons. Responsable de la persistance de la vision.

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14
Q

Mémoire échoïque

A

Brève mémoire sensorielle des choses que nous entendons. Responsable de la persistance du son

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15
Q

Mémoire à court- terme

A

▪Stock de petites quantités d’informations pendant une courte durée.
▪Inclut à la fois les nouvelles informations reçues des réserves sensorielles et les informations rappelées de la mémoire à long-terme

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16
Q

Étude de Peterson & Perterson 1959 : Méthodologie

A

Mesurer la durée de la mémoire à court-terme.
* Lire trois lettres, puis un nombre.
* Commencez à compter en arrière par trois. (delai = pour evaluer la mempoire a court terme)
* Après un temps déterminé, rappelez trois lettres.

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17
Q

Étude de Peterson & Perterson 1959 : Résultat

A
  • Après trois secondes de comptage, les participants ont performé à 80%.
  • Après 18 secondes de comptage, les participants ont performé à 10%., la limite de la durée de la MCT
  • Cette réduction des performances s’explique par l’existence de la dégradation, qui est la disparition d’une trace mnésique due au passage du temps et à l’exposition à des stimuli concurrents. L’information se degrade dans la MCT
  • Au debut on est meilleure qu’a la fin, car la repetiotion est empecher = interférence proactive
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18
Q

Interférence

A

perturbe l’information de la MCT

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19
Q

Interférence proactive

A

Se produit lorsque l’information apprise auparavant interfère avec l’apprentissage de nouvelles informations.
▪ Exemple: Votre langue maternelle peut rendre plus difficile l’apprentissage et la mémorisation d’une nouvelle langue étrangère.

20
Q

Interférence rétroactive

A

Survient lorsqu’un nouvel apprentissage interfère avec la mémorisation d’un ancien apprentissage.
▪ Exemple: Après avoir obtenu un nouveau numéro de téléphone et l’avoir utilisé pendant un certain temps, vous aurez peut-être de la difficulté à vous souvenir de votre ancien numéro de téléphone.

21
Q

Capacité de mémoire à court terme :

A

Chiffre: nombre de chiffres dont une personne peut se souvenir. Résultat typique: 5-8 articles

22
Q

Groupement ou chunking:

A

▪Les petites unités peuvent être combinées en plus grandes unités significatives. Regroupement crée un lien entre les unités alors on peux les apprendre, faire des liens sémentiques
▪ Un groupement ou un chunk est une collection d’éléments fortement associés les uns aux autres mais faiblement associés à des éléments d’autres morceaux.

23
Q

Étude de Alvarez et Cavanaugh (2004) :

A

▪ Carrés de couleur utilisés ainsi que des objets complexes.
▪ Ont également utilisé la procédure de détection de changement.
- Notre capacité de mémoire a long terme doit etre mesurer non seulement avec le nombre d’item mais aussi la complexité des items

24
Q

Étude d’Ericsson et al. (1980) : Méthodologie

A

Formation d’un étudiant ayant une capacité de mémoire moyenne à utiliser le chunking.
* S.F. avait une portée de chiffres initiale de 7.

25
Q

Étude d’Ericsson et al. (1980) : Résultats

A

Après 230 séances d’entraînement d’une heure, S.F. était capable de se souvenir de 79 chiffres.
* Les regroupait en unités significatives.

26
Q

Mémoire de travail selon Baddeley et Hitch (1974)

A

Système de capacité limitée pour le stockage temporaire et la manipulation d’informations pour des tâches complexes telles que la compréhension, l’apprentissage et le raisonnement. Exemple : faire calcul mathématique. Concept similaire à la mémoire à court terme (MCT), mais diffère puisque :
* MCT conserve l’information pendant une brève période.
* MT est concerné par le traitement et la manipulation de l’information qui se produit pendant la cognition complexe.

27
Q

À lire : Mémoire de travail selon Baddeley et Hitch (1974)

A

Baddeley et Hitch introduisent la notion de mémoire de travail pour essayer de combler une lacune de la définition de la mémoire à court-terme qui est cette habileté de manipuler l’information pendant quelques secondes dans notre tête, comme pour la résolution d’un problème mathématique par exemple
* En effet, la différence que nous admettons dans le cadre du cours entre mémoire à court-terme et mémoire de travail, c’est bien le fait que pour la deuxième on parle de manipulation de l’information (on travaille avec, on la modifie, on l’utilise) qui est un processus dynamique qui change dans le temps, alors que la mémoire à court-terme ne décrit que l’habileté de stocker l’information. Les deux ne durent que quelques secondes

28
Q

Réserve phonologique & Processus de répétition articulatoire (3)

A

Effet de similarité phonologique
Effet de longueur du mot
Suppresion articulatoire

29
Q

Effet de similarité phonologique

A

Les lettres ou les mots qui semblent similaires portent à confusion. Ex. F-S qui se ressemble mais pas F-E

30
Q

Effet de longueur du mot

A

Mémoire pour les listes de mots est meilleure pour les mots courts que pour les mots longs. Prend plus de temps pour répéter de longs mots et les produire pendant le rappel. Plus le mot est long, plus il prend de la place

31
Q

Suppresion articulatoire

A

Empêche une personne de répéter des éléments à retenir. Réduit la durée de la mémoire. Élimine l’effet de longueur de mot. Réduit l’effet de similarité phonologique pour lire les mots. Supression du processus de contrôle. Ex : dire lalalalalalalala avant de se rappeler des mots

32
Q

Tablette visuospatiale

A

Imagerie visuelle:
- information est préserver au niveau visuelle
- La création d’images visuelles dans l’esprit en l’absence de stimulus visuel physique

33
Q

▪ Shepard et Metzler (1971) : Tâche de rotation mentale

A

Les tâches qui nécessitaient de plus grandes rotations prenaient plus de temps.
- Ca prend plus d temps de repondre pour B que pour A car la difference est plus importante
- Ca montre que notre tabeltte visuospatiale a une capacité

34
Q

Mémoire de travail et rotation mentale

A

Plus la rotation mentale est grande, plus le temps de réaction augmente impliquant que notre tablette visuospatiale est capable de stockée l’information visuelle des parties cachées d’un objet, mais que cela devient de plus en plus complexe avec la rotation, car la différence entre l’ image initiale et la deuxième image augmente, démontrant la capacité limitée de la tablette visuospatiale.

35
Q

L’exécutif central

A

▪Contrôleur d’attention : Concentration, division de notre attention, switch attentionnel, manipule l’attention
▪Contrôle la suppression des informations non pertinentes.
▪Persévération : Répétition de la même action ou la même pensée même si elle n’atteint pas l’objectif désiré. On ne peux pas savoir quelle action est suggerer pour bien attenidre notre objectif

36
Q

Tampon épisodique

A

Emmagasinage de sauvegarde (Backup store) qui communique avec les composantes de la MLT et la MT.
▪ Tiens l’information plus longtemps et possède une plus grande capacité que la boucle phonologique ou la tablette visuospatiale. Tout nos technique pour garder l’info plus longtemps, qui affecte la mémoire de travail (qui aide) qui ne peux pas sexpliquer par tablette visuospatiale, boucle phonologique ou l’exécutif central

37
Q

Où se trouve la mémoire de travail?

A

cortex préfrontal mais pas juste la, un peu partout

38
Q

Les singes sans cortex préfrontal ont de la difficulté à

A

conserver des informations dans la mémoire de travail

39
Q

Étude de Funahashi et al. (1989): Méthodologie

A

Enregistrements de cellules uniques du cortex préfrontal de singe pendant une tâche de réponse différée.

40
Q

Étude de Funahashi et al. (1989): Résultats

A
  • Les neurones ont répondu lorsque le stimulus a été présenté dans un endroit particulier et durant le délai.
  • L’information reste disponible via ces neurones aussi longtemps qu’ils continuent à décharger
41
Q

Résultat de Stokes (2015)

A

L’information est codé selon l’activité synaptique, selon les connextion entre les neurones

42
Q

Mémoire de travail silencieuse (activity-silent working memory)

A
  • État d’activité: les informations à retenir provoquent le déclenchement des
    neurones
  • État synaptique: la décharge des neurones s’arrête, mais les connexions
    entre les neurones sont renforcées
43
Q

Étude de Vogel et al. (2005) : Méthodologie

A

Détermination de la MT des participants.
* Groupe MT à haute capacité. * Groupe MT à faible capacité.
* Montre des stimuli simples ou complexes.
* Réponses ERP mesurées

44
Q

Résultats : Étude de Vogel et al. (2005)

A
  • Les participants avec une haute capacité sont plus efficace à ignorer les distracteurs
45
Q

Schéma de synthèse

A