Cours 3 : Le soi Flashcards
Définition du soi :
Une entité à l’intérieur du corps qui évalue le monde pour nous, qui enregistre l’information perçue et qui guide nos actions
Le soi comme contenu :
Les informations que nous avons sur nous-mêmes résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises de conscience (comme un photo de nous même)
Soi comme processus :
Partie de nous qui prend connaissance de qui nous sommes, de ce que nous faisons et désirons devenir et qui détermine l’apparence que nous voulons projeter.
La partie la plus dynamique et détermine l’apparence que nous voulons porter.
Le concept de soi (le soi comme contenu) :
Les caractéristiques que nous possédons sur nous- même en tant qu’individu.
Exemples :
- La clarté du concept de soi (Campbell et al., 1996):
- La mesure dans laquelle le concept de soi est clairement défini, cohérent et stable à travers le temps
- ‘‘En général, j’ai une idée claire de qui je suis’’
‘- ‘Même si je le voulais, je ne pense pas que je pourrais dire à quelqu’un d’autre comment je suis vraiment’’ (R)
Lors d’une meilleur clarté de son concept de soi est associé plus de bonheur et une meilleur connaissance de leur défaut et qualité.
Étude du concept de soi et catégorisation de son contenu (Gordon, 1968): ‘Qui suis-je?’ Trois catégories ?
Social: Rôles qu’on joue; image projetée (défini avec les relations qui nous entoure)
Spirituel: Valeurs, habitudes, goûts (soi intérieur)
Matériel: Apparence physique, possessions (le soi matérialiste, peut être utiliser pour ce distinguer).
La clarté et le concept de soi à ses avantage : Exemples d’études
Clarté du concept de soi et comparaisons sociales (Butzer et al., 2006) –> associé à moins de comparaison social.
Faible clarté du concept de soi et comportements de consommation (Mittal, 2015) –> Faible clarté est associé à des comportement de consommation plus élevé.
L’intensité de l’usage de fb prédit une moins bonne clarté du concept de soi (Appel et al., 2016) –> Étude longitudinale
FB de façon intensive peux apporter a une moins grande clarté.
Clarté du concept de soi personnel et social (collectif) et bien-être (Usborne & Taylor, 2010) –> Clarté plus défini est associé à un meilleur bien-être
La clarté du concept de soi est associée à la tendance à élargir le soi (Emery et al., 2023) –> Tendance à vouloir développer des aspects de nous même. Plus il est clair, plus il veux ajouter des nouveaux éléments.
Les schémas sur le soi (le soi comme contenu) :
Une structure cognitive qui représente, de manière organisée, les connaissances que nous avons sur nous- mêmes (organisation des schéma sur nous même en terme de schéma).
Des généralisations cognitives à propos de soi issues d’expériences passées qui organisent et guident le traitement de l’information’ (Markus, 1977). Accumulation est organisé grâce au schéma et l’organisation de ses schémas guide nos actions.
Caractéristiques des schémas sur le soi (5) :
Organisent l’information sur nous-mêmes
Peuvent être changés par nos expériences
Sont plus complexes pour les aspects plus développés de notre soi
Guident l’attention et l’activité de la personne
Les schémas sont à la fois contenu et processus
Schéma sur le soi. Étude de Marcus sur les Traits schématiques vs. aschématiques.
Des participante femme : a qu’elle point elle ce voyait dépendante/indépendante. Dans les deux cas indépendante/dépendante on été invité au laboratoire et
un troisième groupe plus ou moins dépendant/indépendante. Des séance 1 à 1. Chaque participante était assis sur un chaine et des mots étaient montrer devant dire si le mot les représentait ou non, enregistrait les temps de réaction.
Résultats :
- Les femmes qui étaient ‘schématiques’ pour l’indépendance ont associé plus rapidement les adjectifs comme ‘confiante’ et ‘ambitieuse’ au mot ‘moi’
- Les femmes qui étaient ‘schématiques’ pour la dépendance ont associé plus rapidement les adjectifs comme ‘coopérative’ et ‘tolérante’ au mot ‘moi’
- Les femmes aschématiques n’ont montré aucune différence dans leurs temps de réaction
À quelles méthodologies l’étude de Hazel Markus a-t-elle ouvert le champ?
Des méthodes permettant de mesurer les cognitions sociales implicites.
La complexité du soi. Les gens diffèrent dans la complexité de leurs représentations d’eux-mêmes (Linville, 1987).
Une représentation de soi est plus complexe lorsqu’elle inclu (2) :
1) un grand nombre d’éléments (rôles, traits, comportements typiques, etc) qui sont;
2) indépendants les uns des autres (i.e., non-reliés).
En quoi la complexité du soi est importante ?
Quand les gens on des comportement son différence : donc les domaines de vie sont indépendant. Moins de change que sa va empiéter l’un sur l’autre.
Aspect de compensation on a plus de corde à notre arc
et d’autre domaine pourront compenser, Joue un rôle tampon.
Nuance à apporter dans la complexité du soi :
Rafaeli-Mor (2002): Le nombre d’éléments dans le soi est bénéfique, pas l’indépendance (i.e., le non-chevauchement) de ces éléments –> c’est surtout le nombre de rôle qui va prédire le bien être psychologique et non le chevauchement.
Un problème de mesure (Luo et al., 2008)?
Complexité de soi ne doit pas vouloir dire fragmentation
du soi (Lutz & Ross, 2003) –> un trop grande fragmentation du soi peut causé moins de bien être.
L’estime de soi (le soi comme contenu) :
L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-même. Bonne/positive vs. mauvaise/négative
Les dimensions (4) de l’estime de soi :
État (comment on se sent présentement) vs. disposition (comment on va en générale)
Personnelle (individuel) vs. collective (groupe/appartenance)
Spécifique à un domaine (dans une section en particulier) vs. globale (en général comme personne)
Implicite (demander de manière caché/comme dans une expérience) vs. explicite (demandé à la personne)