Cours 3 - La douleur en soins palliatifs Flashcards

1
Q

Définir : Douleur (3)

A
  • « Expérience sensorielle, perceptuelle et émotionnelle désagréable, associée à des réponses autonomiques, physiologiques, émotionnelles et comportementales, provoquée par un stimulus nocif, par un dommage tissulaire présent ou potentiel. » (IASP)
  • Souvent, pour le patient, métaphore d’une maladie grave, d’une mort imminente…
  • C’est surtout ce que le patient en dit, au moment où il le dit !
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2
Q

C’est quoi le PRINCIPE des PRINCIPES de la douleur? (1)

A

“La douleur est toujours subjective; elle est ce que le malade affirme et non ce que les autres croient qu’elle devrait être. »

(André Brizard, md)

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3
Q

Malgré tout, la douleur est « utile ». Expliquez. (1)

A

Malgré tout, la douleur est « utile » puisqu’elle nous permet de protéger l’intégrité de notre corps en nous informant de la présence d’une agression ou d’une insulte via le stimulus nociceptif (« signal d’alarme ») qui déclenche « le bon comportement » (renforcement négatif)

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4
Q

Décrire la prévalence de la douleur en soins palliatifs (2)

A
  • Tellement prévalente qu’elle devrait être considérée comme un 5e signe vital…
  • Faux de penser qu’elle n’existe que dans les pathologies cancéreuses…
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5
Q

C’est quoi la prévalence de la douleur dans le cancer? (3)

A
  • 70% des patients
  • Souvent à de multiples sites
  • Fréquemment multifactorielle
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6
Q

C’est quoi la prévalence de la douleur dans le SIDA? (2)

A
  • 35% à 55% des patients
  • Douleur neuropathique courante
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7
Q

C’est quoi la prévalence de la douleur dans la maladie cardiaque terminale? (2)

A
  • Jusqu’à 60% des patients ont mal…
  • Souvent non reconnue…
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8
Q

Nommez l’incidence de la douleur selon le siège du cancer :

  • Col utérin, ovaire, os
  • Cavité orale
  • Estomac, pancréas
  • Rein, vessie, prostate
  • Sein
  • Poumon
  • Colorectal
  • Hématologique
A
  • Col utérin, ovaire, os = 85%
  • Cavité orale = 80%
  • Estomac, pancréas = 70 - 75%
  • Rein, vessie, prostate = 55 - 75%
  • Sein = 55 - 68%
  • Poumon = 50 - 70%
  • Colorectal = 50 - 60%
  • Hématologique = < 20%
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9
Q

Nomemz : Causes de douleur chez les patients cancéreux (4)

A
  • 75% : directement liée au cancer (infiltration, compression, destruction, etc.)
  • 10% : directement liée au traitement du cancer
  • 10% : indirectement lié au cancer (xérostomie, thrombose veineuse, etc.)
  • 5% : sans lien avec le cancer ou son traitement
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10
Q

C’est quoi la prévalence de la douleur chez les personnes âgées (3)

A
  • 75% personnes âgées en soins de longue durée…
  • 50% personnes âgées en courte durée gériatrique…
  • 40-75% des personnes âgées à domicile… (le plus souvent chronique)
    • Prévalence ↑ avec l’âge
    • Sévérité ↑ avec l’âge
    • Douleur aigue se superpose souvent à des douleurs chroniques (multifactoriel)
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11
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : « L’électricité » de la douleur (4)

A
  • Transduction: le stimulus mécanique, thermique, chimique est transformé en signal électrochimique
  • Transmission: ce signal va de la périphérie à la moelle, au tronc cérébral et aux centres supérieurs
  • Modulation: en chemin, l’influx nerveux peut être facilité ou inhibé
  • Perception: l’influx, aux centres supérieurs, sera ou non interprété comme de la douleur
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12
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire :Le « vécu » de la douleur (4)

A
  • Dimension nociceptive:
    • une menace à l’intégrité du corps est décelée
  • Dimension sensori-discriminative:
    • le lieu et l’importance de la menace est déterminée
  • Dimension motivationnelle/affective:
    • l’information douloureuse est mélangée à l’humeur et aux connaissances de l’individu et sera ainsi vécue de manière ± désagréable
  • Dimension comportementale:
    • gestes, manifestations et expressions variables selon les individus (contexte social, éducation, etc.)
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13
Q

Décrire : Neurone sensitif (1)

A

Divers types de récepteurs sensitifs dont les nocicepteurs (« transducteurs »)

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14
Q

Quatre types de nocicepteurs qui transforment la stimulation « X » en influx nerveux. Nommez les. (4)

A
  • Mécaniques: pression, étirement
  • Thermiques: chaud, froid
  • Chimiques: substances endogènes ou exogènes
  • Polymodaux: douleur vague, diffuse, élancement, brûlure
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15
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : Transduction (2)

A
  • Transduction simple = douleur somatique, « mécanique »
  • Transduction avec bris cellulaire associé + libération de substances « algogènes » = douleur « inflammatoire »
    • Ces substances excitent d’autres récepteurs et « recrutent » des neurones non lésés qui « mésinterprètent » comme douloureux des stimuli qui ne le sont pas = amplifie ou prolonge la douleur = hyperpathie
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16
Q

Nommez :

Principales substances « algogènes » et sensibilisatrices dans la douleur « inflammatoire » (9)

A

Vasodilatation, activation des mastocytes et des neutrophiles, etc.

  • Prostaglandines
  • Leukotriènes
  • Bradykinine
  • Histamine
  • Sérotonine
  • Facteurs de croissance
  • Interleukines
  • Substance P
  • Etc.
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17
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : Fibres nerveuses (2)

A
  • Lorsque l’agression tissulaire lèse morphologiquement aussi le neurone, la portion distale de celui-ci meurt alors que le corps cellulaire tente de se régénérer.
  • Cette tentative de « survie » du neurone donne lieu à la naissance de petites repousses axonales électriquement instables, qui dépolarisent spontanément et qui agissent donc comme s’il y avait stimulation nociceptive = douleur neuropathique
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18
Q

Vrai ou Faux

La transmission douloureuse s’effectue par les fibres A-delta et les fibres C via la racine postérieure sensitive et la corne postérieure

A

Vrai

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19
Q

La transmission douloureuse s’effectue par les fibres A-delta et les fibres C via la racine postérieure sensitive et la corne postérieure.

Décrire ce processus (3)

A
  • Synapses avec interneurones = arc réflexe
  • Quelques projections niveaux supérieurs/inférieurs = caractère référé de certaines douleurs
  • Neurotransmetteurs excitateurs (glutamate/NMBA) et inhibiteurs (GABA)
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20
Q

Décrire : Fibres A-delta (4)

A
  • Moyen calibre,
  • faiblement myélinisées et
  • conduisent rapidement le signal douloureux
  • Douleur aigue, bien localisée, « la première sensation »
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21
Q

Décrire : Fibres C (5)

A
  • Petit diamètre,
  • non myélinisées,
  • conduction lente,
  • souvent porteuses des nocicepteurs polymodaux
  • Douleur plus diffuse, plus « profonde », lancinante, durable
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22
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : Modulation de la douleur en chemin (3)

A
  • Interneurones
  • Voies descendantes inhibitrices
    • Médiateursfacilitateurs
      • Norépinéphrine
      • Sérotonine
      • Anti-inflammatoires non stéroïdiens
  • Théorie du portillon (« gate control theory »)
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23
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : Projection ascendante (afférences) par le faisceau spinothalamique (3)

A

Synapses dans le thalamus → centre de triage de l’information sensitive (début perception consciente de la douleur)

  • Aspect sensori-discriminatif de la douleur (complexe ventro-basal relié au cortex somato-sensoriel)
  • Composante affective de la douleur (noyau médian relié au système limbique et au cortex frontal)
  • Mémorisation de la douleur
24
Q

(Physiopathologie de la douleur)

Décrire : Voies cérébrales (supra-spinales) (5)

A
  • Cortex somato-sensitif: localisation, intégration
  • Système limbique: mémoriser expériences antérieures, émotions
  • Cortex frontal: réponse émotive
  • Formation réticulée: vigilance, éveil
  • Hypothalamus: réactions autonomes
25
Q

Il existe des opiacés endogènes dans la physiopathologie de la douleur.

Nommez les. (3)

A

ßendorphine, enképhaline, dynorphine

26
Q
A
27
Q
A
28
Q

Dans la Physiopathologie de la douleur, décrire la perception (4)

A
  • Processus nociceptif final, quand le signal rejoint le cortex
  • La douleur prend alors ses dimensions sensitive, affective et cognitive
  • Devient une expérience hautement personnelle
  • Influencée par plusieurs dimensions (anxiété, dépression, déprivation de sommeil, isolement, blessure narcissique, etc.)

IL N’EXISTE DONC PAS DE CENTRE CÉRÉBRAL UNIQUE ET SPÉCIFIQUE DE LA DOULEUR

29
Q

Définir : AnESTHÉSIE

A

perte totale de toute sensibilité dans une région donnée

30
Q

Définir : HypoESTHÉSIE (2)

A
  • sensibilité diminuée à un stimulus (toute modalité).
  • Ex.: séquelle AVC dans un territoire sensitif
31
Q

Définir : HyperESTHÉSIE (1)

A

sensibilité accrue à un stimulus (douloureux ou pas)

32
Q

Définir : ParESTHÉSIE

A
  • sensation anormale, spontanée ou provoquée, mais non douloureuse (fourmillement, picotement, engourdissement).
  • Ex.: tunnel carpien, dentiste
33
Q

Définir : DysESTHÉSIE

A
  • sensation anormale (« mauvaise »), spontanée ou provoquée, désagréable ou déplaisante.
  • Ex.: neuropathie diabètique
34
Q

Définir : Allodynie (2)

A
  • douleur provoquée par un stimulus qui n’engendre habituellement pas de douleur
  • Ex.: drap et podagre, rasage et zone gachette
35
Q

Définir : HyperALGÉSIE (hyperALGIE) (2)

A
  • réponse augmentée à un stimulus habituellement douloureux
  • Ex.: bain chaud après coup de soleil
36
Q

Définir : AnALGÉSIE (1)

A

absence de douleur en réponse à une stimulation normalement douloureuse

37
Q

Classifier la douleur selon ses principales caractéristiques (3)

A
  • Durée
  • Type (physiopathologie)
  • Mécanismes sous- jacents

Le tx de ces diverses douleurs étant différents, il est nécessaire de tenter de bien les distinguer

38
Q

Différencier :

  • Douleur aigue
  • Douleur sub aigue
  • Douleur chronique
A
  • Douleur aigue: ≤ 7 jours.
    • Résulte habituellement d’une lésion aigue, d’une blessure ou d’une chirurgie et est souvent associée à des réactions autonomiques
  • Douleur sub aigue: > 7 jours mais > 3 mois
  • Douleur chronique: ≥ 3 mois
    • Persiste au-delà du temps habituel de guérison de la lésion primaire (si connue…)
    • Habituellement sans manifestations autonomiques
39
Q

Décrire présentation d’une douleur aigue (4)

A
  • visage grimaçant,
  • anxieux,
  • parfois avec pleurs,
  • signes d’hyperactivité du système nerveux autonome (sudation, pâleur, tachycardie, HTA)
40
Q

Décrire présentation d’une douleur chronique (5)

A
  • visage plutôt fatigué,
  • triste,
  • dépressif,
  • stoïque,
  • sans hyperadrénergisme
41
Q

Classifier douleur nociceptive (2)

A
  • Somatique
  • Viscérale
42
Q

Décrire : Douleur Nociceptive (3)

A
  • Résulte de l’activation directe des nocicepteurs périphériques, occasionnée par une lésion tissulaire mécanique (pression, étirement, déformation, infiltration, destruction), thermique ou chimique,
  • pouvant entrainer des changements inflammatoires secondaires
  • et ainsi permettre la libération des substances algogènes et sensibilisatrices qui perpétuent la sensation douloureuse
43
Q

Décrire douleur somatique (4)

A
  • Atteinte des tissus mésenchymateux: tissu cutané, fascia, tendon, muscle, articulation, os
    • Ex.: capsulite, synovite, fracture, brûlure
  • Relativement bien localisée
  • Caractères divers
  • Souvent intensifiée par le mouvement, la pression
44
Q

Décrire : Douleur viscérale (4)

A
  • Atteinte du tissus originant de l’endoderme = viscères
    • Ex.: hépatomégalie, urolithiase, occlusion
  • Habituellement mal circonscrite, diffuse
  • Les paroxysmes douloureux peuvent s’accompagner de nausées et vomissements (voies sympathiques activées)
  • Sensibilité possible dans dermatome associé
45
Q

Décrire douleur neuropathique (4)

A
  • Plusieurs synonymes: neurogène, névralgique, …
  • Habituellement secondaire à lésion ou infiltration nerveuse
    • Ex.: névralgie post-zona, douleur fantôme
  • Décrite comme brûlure profonde avec paroxysmes inattendus, se distribue le long des trajets axonaux ou irradie dans un territoire anatomique neurologique.
  • Souvent difficile à soulager
46
Q

Nommez : Divers mécanismes sous-jacents de la douleur (19)

A
  • Tension
  • Étirement
  • Compression
  • Obstruction
  • Occlusion
  • Rupture
  • Fracture
  • Expansion
  • Œdème
  • Infiltration
  • Inflammation
  • Lymphangite
  • Phlébite
  • Névrite
  • Vasospasme Ischémie
  • Hémorragie
  • Extravasation
  • Ulcération
  • Etc.
47
Q

Comment évaluer la douleur? (5)

A
  • Laisser le patient s’exprimer en utilisant ses propres mots
  • Ne jamais oublier le principe des principes
  • Questionnaire
  • Localisation et nombre de sites
    • Siège principal
      • Unifocale vs multifocale
        • Unilatérale ou bilatérale
          • Symétrique ou non
  • L’horaire
    • Constante vs intermittente
      • Fréquence,périodicité,etc.
48
Q

Décrire le questionnaire pour évaluer la douleur

A
49
Q

Nommez les outils pour quantifier la douleur (9)

A
  • Échelles d’évaluation de la sévérité de la douleur
  • Verbale descriptive
    • Ex.: absente, légère, moyenne, sévère, intolérable
  • Numérique
    • Verbale: de 0 (absente) à 10 (intolérable, crucifiante). Serait la + fiable et la + sensible
    • Visuelle
  • Visuelle analogique
    • Ex.: Thermomètre de la douleur
  • Modèle mixte
  • Défi particulièrement grand chez les patients avec troubles visuels, du langage ou cognitifs. Plusieurs outils validés disponibles
    • Échelle DOLOPLUS
    • Échelle PACSLAC-F
  • C’est aussi examiner le patient: essentiel
  • Ne jamais négliger l’observation générale du malade…
    • Positionnement
    • Expression faciale
    • Interaction avec autrui
    • Milieu environnant
  • … en utilisant les yeux de tout le monde !
50
Q

Décrire : Échelle DOLOPLUS (1)

A

Retentissement somatique, psychomoteur et psychosocial

51
Q

Décrire : Échelle PACSLAC-F (3)

A
  • Expressions faciales,
  • activités et mouvements du corps,
  • comportement / personnalité /humeur, etc
52
Q

Décrire l’examination du patient pour évaluer la douleur (7)

A
  • C’est aussi examiner le patient: essentiel
  • Examen dirigé: s’attarder à la (aux) région(s) douloureuse(s) avec déjà en tête un diagnostic différentiel
  • Autant de fois qu’il le faut…
  • Et jusqu’à la toute fin…
  • Sans jamais négliger
    • Dignité
    • Respect
    • Délicatesse
  • Ne jamais négliger l’observation générale du malade…
    • Positionnement
    • Expression faciale
    • Interaction avec autrui
    • Milieu environnant
    • Etc.
  • … en utilisant les yeux de tout le monde !
53
Q

Comment comprendre la douleur?

A
  • L’approche centrée sur le patient et sa famille, c’est explorer le symptôme, mais aussi l’expérience de celui-ci:
    • Impacts et conséquences: répercussions de la douleur sur la qualité de vie, l’autonomie, l’affect, la cognition et sur les proches aidants
    • Idées préconçues et mythes, craintes, attentes, etc.
  • Les cliniciens sous-estiment souvent la douleur de leur patient
  • Il faut écouter le souffrant et être attentif à la façon dont il / elle dit les choses, il faut oser l’entendre…
54
Q

Décrire : Modèle multidimensionnel de la douleur (Schéma)

A
55
Q

Décrire la recherche de sa cause de la douleur (3)

A
  • Relation fondamentale à établir pour comprendre ses bases, choisir / adapter / individualiser les options thérapeutiques et pour pouvoir expliquer au patient et à ses proches ce qui se passe…
  • Mais la recherche de ces causes ne doit pas se faire à n’importe quel prix…
  • Question préalable: le résultat de l’examen va-t-il affecter / modifier le traitement qui vise à améliorer le confort du patient ?