Cours 3 Intéractions et construction de soi Flashcards
L’identité est basé sur :
les relations humaines et relation interpersonnelle et sa position
Avec la position il faut prendre en considération l’interprétation de la manière les personne comprennent ces positions.
Quelle est l’interprétation de ces positions ? 1.
De plus une relations intercatégorielle est une (…)? 2.
Pour finir, qu’es qui définit les identités professionnelles? 3.
- Les individus et leurs catégories
- Une intéraction avec une personne d’une autre catégorie.
- La position hiérarchique
Qu’est ce que l’identité? 1.
Selon la théorie de l’identité sociale de Tajfel.
L’identité sociale se définit (se construit) à travers la (…) qu’a l’individu de son appartenance à des (…) (…) (catégories sociales d’appartenance). 2.
La théorie de l’identité sociale se renforce en (…) ses groupes (…) (exogroupe et endogroupe) 3.
Selon Tajfel l’identité est (…) 4.
- Ensemble de croyances sur soi construites et partagées socialement qui sous-tendent le besoin humain d’être à la fois semblable (besoin d’intégration et différent (besoin de différenciation) des autres. ET OU la vision que j’ai d’une position
- Perception, Groupes sociaux
- Comparant, d’appartenances
- Collective
En lien avec la catégorisation de groupe, il y a 3 éléments à retenir quels sont-ils? 1.
Entre deux catégories comment il faut faire pour trouver un terrain d’entente (vision commune). 2.
- Structure (règles) Dépend de la taille, actions, activités
Technologie (machine, outils, système informatique)
Dynamique relationnelle (qualité des intéraction ) - Il faut faire un amalgame des perceptions et des croyances des deux catégories afin d’arriver à une vision commune
La théorie de l’identité sociale : Vrai ou faux
Le processus de construction de l’estime de soi peut cependant favoriser des biais perceptuels et des comportements discriminatoires.
Selon la T.I.S., dans ce contexte, le membre de l’endogroupe aura tendance à développer des stratégies destinées à maintenir une image positive de son endogroupe (et ainsi de lui-même), entre autres des comportements discriminatoires envers l’exogroupe pour marquer les frontières entre les deux groupes.
Toujours selon la T.I.S., pour qu’un groupe acquière une forte identité, il doit donc exister une dynamique de discrimination envers l’exogroupe ce qui conduit à réduire la perméabilité des frontières entre les groupes.
- Vrai ou Faux
- Et que faut-il retenir ?
- Quel est le défi ?
- Vrai
- Dans la dynamique de discrimination cela donne une divergeance d’opinion à l’égard des autres groupes. Le groupe est à la quête de la meilleure idée pour sa catégorie
- les frontières du groupe doivent donc être continuellement «modulées» pour ne pas devenir figées (risque d’isolement, de repli identitaire) ni trop perméables (risque de perte d’identité collective).
Gérer l’équillibre entre l’aspect identitaire et la discrimination –> besoin d’un encrage collectif pour collaborer
Théorie de la catégorisation sociale (Turner) :
La théorie de la catégorisation sociale suppose alors que par un processus de comparaison sociale, l’individu va adapter son Self de façon à tendre vers le prototype (représentation idéale) du groupe auquel il s’identifie, réduisant ainsi son incertitude face à son environnement social.
Autrement dit, les individus utiliseraient les mécanismes de la catégorisation pour se définir et définir les autres afin de maintenir leur estime d’eux-mêmes (fonction d’évaluation) et de réduire leur sentiment d’incertitude (fonction de connaissance).
Donc, que faut-il retenir de ce concept?
Deux individus en intéraction se représente pas de façon interpesonnel mais intercatégorielle –> cela est fait de façon inconsciente
Cela vient diriger les intéraction (cela donne un cadre aux intéractions)
Les stéréotypes :
Lorsque nous catégorisons des personnes, nous ne nous limitons pas à les regrouper dans une catégorie, nous leur associons également (de manière plus ou moins non consciente ou automatique) des attributs que nous croyons être des caractéristiques des membres de cette catégories (stéréotypes).
Stéréotypisation = processus d’attribution de caractéristiques à des personnes sur la base de leur appartenance à des groupes.
Homogénéisation de l’exogroupe = eux ils sont semblables alors que nous sommes tous différents.
Attention dans quel piège il ne faut pas tomber?
Sur simplification –> caricatures
Engendre la dépersonnalisation
Il faut identifier les limites le cerveau fonctionne par la catégorisation des infos/individus : de ce fait il faut fixer des limites pour ne pas tomber dans la sur simplification
Le paradigme des groupes minimaux :
Le biais proendogroupe : tendance a favoriser les membres de son propre groupe (endogroupe) par rapport à ceux de l’exogroupe.
Les expériences associées au PGM ont permis de développer le concept de différenciation maximale (forme de favoritisme proendogroupe) qui rend compte du fait qu’un individu serait prêt à se contenter de moins de ressource pour son endogroupe afin de s’assurer que son endogroupe en ait tout de même plus que l’exogroupe (objectif principal: maximiser l’écart entre les deux groupes).
Que faut-il retenir de la catégorisation du cerveau?
La catégorisation du cerveau est tellement intense qu’elle prévilégie son groupe.
(C’est notre écart qui vient justifier notre estime par rapport au groupe. )
Biais proendogroupe : différenciation maximal
La théorie de l’équité :
La perception de l’injustice sociale provoque un malaise psychologique qui nous porte à vouloir rétablir l’équité soit de manière matérielle ou psychologique (déclanchement automatique de mécanismes de réduction de la dissonance cognitive).
De plus, selon le biais proendogroupe, pour qu’une une relation intergroupe serait perçue comme équitable et juste, il faudra que le rapport entre la contribution et les résultats de l’endogroupe soient jugés au moins équivalents à celui de l’exogroupe.
Que faut-il retenir?
Dissonance cognitive : si le goupe y en a moins et bien peut-être qu’il en mérite moins.
L’injustice se manifeste de façon
–> matérielle
–>psychologique
Vers une perspective intégrative : (École de pensée Antropologique)
–> Critique l’école de pensée des catégorie d’appartenance
La T.I.S. et la T.C.S. mettent l’emphase sur l’influence des catégories sociales d’appartenance sur le développement identitaire et n’accorderaient pas suffisamment d’attention aux contextes relationnels à travers lesquels ces influences identitaires se négocient (se construisent).
Deaux et Martin proposent d’intégrer les deux niveaux d’analyse de la réalité sociale (les catégories et les interactions) afin de mieux comprendre comment les individus adoptent et maintiennent leur identité, décident d’en changer et éventuellement d’en adopter une autre (processus partiellement non conscient).
Autrement dit, les auteures proposent une vision intégrative des processus de construction identitaire des individus qui, selon elles (les auteures), font interagir les deux niveaux de la réalité sociale: les catégories sociales d’appartenance et les réseaux (interactions) interpersonnels.
Comment formuler la critique de l’école de pensée Antropologique envers l’école de pensée des catégories d’appartenaces?
Le modèle est trop déterministe (ne tiens pas compte de la complexité de l’être humain)
Mettre l’accent sur la mobilité sociale –> identitaire –> il faut énivitablement s’intégrer au nouveau milieu
Socialisation anticipatrice = identifier un groupe que l’on vx faire partie. On va prendre leur habitude adapter niv de langage (adopter les habitude du groupe que l’on vx rejoiondre)
Comporte un risque si ca fonctionne pas on px être exclu
-Nouveau groupe accepte pas et bien l’ancien groupe ne vx pas nécéssairement reprendre l’individu
Un modèle en trois actes : École de pensée Antropologique
Selon Deaux et Martin, la construction de l’identité (développement, maintien, changement) constitue une démarche en trois temps attention, tout cela repose sur des processus psychologiques non conscients
Temps 1: Les catégories sociales d’appartenance initiales (ethnie, langue maternelle, genre, etc.) vont orienter les premiers réseaux interpersonnels. Ces réseaux homogènes vont offrir un support social (plus ou moins) important à leurs membres qui, en retour, vont développer un sentiment d’identification (plus ou moins) important à ces catégories.
Temps 2: Les comparaisons sociales (basées sur les catégories sociales d’appartenance) et les possibilités (ou non) de mobilité sociale vont déclencher des processus de négociation de l’identité par lesquels les individus vont rechercher à intégrer des réseaux sociaux dont ils ne font pas partie mais qui pourraient leur permettre de modifier leur identité (changer de catégorie sociale d’appartenance) et leur fournir le soutien social dont ils ont besoin.
Temps 3: Une personne qui se déplace d’un réseau social à un autre sera motiver par le degré de support que peut lui fournir son « nouveau » réseau social. Plus le support (opportunités) offert sera important, plus l’identification se renforcera (modifiant ainsi l’identité de l’individu).
Fait un court résumer de ces trois Temps !
Temps 1: Les catégories sociales d’appartenance initiales (ethnie, langue maternelle, genre) vont orienter les premiers réseaux interpersonnels. Ce groupe va offrir un support social et developper un sentiment d’appartenance.
Temps 2: Les comparaisons sociales (basées sur les catégories sociales d’appartenance). Le changement de catégorie vient déclancher un processus de négociation de l’identité. L’individu va à la recherche d’un groupe qui peut lui fournir le support qui le convient le mieux et cela apporte un changement d’identité.
Temps 3: Une personne qui se déplace d’un réseau social à un autre sera motiver par le degré de support que peut lui fournir son « nouveau » réseau social. Suite à ce changment l’identité vient se renforcer à celle du groupe.
Faire un bref résumer de l’approche Antropologique :
Se base sur les relations entrte les catégories de groupe
->Bonifier les relation interpersonnel et la mise en mouvement (ex: un personne qui se grèffe au groupe -> il faut qu’il s’adapte et se faire accepter)
Catégorisation :
Catégorisation de tous les membres de l’organisation. Si une personne a du mal à s’intégrer dans la grande catégorie de l’organisation la sanction générale est (…)
S’il y a un trop grand écart de catégorie par exemple, la culture, il faut régler ces écrat. Autrement dit, la comm. rapport homme femme peut causer un (…) au saint de l’organisation
L’exclusion
Problème
Approche Antopologique :
Se base sur les relations entrte les catégories de groupe
->Il faut Bonifier les (…) (…) et la (…) en (…) (ex: un personne qui se grèffe au groupe -> il faut qu’il s’adapte et se faire accepter)
Relation interpersonnel
La mise en mouvement