Cours 3 et 4 Flashcards
Définir l’estime de soi.
- L’estime de soit fait référence au sens général d’une personne de sa VALEUR ou de son MÉRITE. Cela peut être considéré comme une sorte de mesure de ce qu’une personne “valorise, approuve, apprécie, récompense ou aime d’elle même”.
- Un ensemble de caractéristiques que la personne s’attribue et qu’elle reconnaît comme faisant partie d’elle même en dépit des changements.
Nommer des facteurs qui peuvent influer sur notre estime de soi. (+balance)
- Génétique, Expérience de vie / âge, Circonstance sociale, Santé
- Attention des autres, paroles respectueuses, affection appropriée, reconnaissances (succès), vie sociale (expérience négative = critique / abus)
- Pas assez = écrasement / rabaissement
- Trop = écrasement des autres, conséquences négatives sur les autres
- Le meilleur = balance / milieu + Variation dans le temps (des hauts et des bas)
- Monte avec le temps jusqu’au déclin chez la personne agée.
Lien entre estime de soi et apprentissage. (comment se sent une personne avec une bonne estime de soi?)
- Sécure => confiance à apprendre / développer de nouvelles compétences
- Ouvert à apprendre
- Favoriser l’amélioration de l’estime de soi = aviser les gens à adapter de meilleures HdeV
comment favoriser l’amélioration de l’estime de soi en tant que Kiné?
- Rétroaction sur des expériences antérieurs
- Augmentation de la confiance en soi et de l’autonomie
- Renforcement positif sur les efforts et sur le cheminement
- Aider à faire des lien entre 2 expériences (fumer / sucre)
- Féliciter les efforts et non les résultats
Nommer les 4 domaines de l’estime de soi.
- Physique
- Cognitif
- Social
- Affectif
(3 et 4 viennent du sentiment d’appartenance)
- L’estime de soi physique. (image corporelle)
MULTIDIMENTIONNEL:
- Perception de soi
- Représentation / schéma corporel (compréhension physique de où on est - chirurgie de perte de poids rapide)
- Attitudinale / affective (comment la personne vie ça?)
- Selon âge, sex, culture, réseaux sociaux, récompense…
Définir changement + maintien de comportement + HdeV.
CHANGEMENT COMPORTEMENT:
- modification d’un comportement précis en vue de l’intégrer dans nos HdeV.
MAINTIEN COMPORTEMENT:
- intégration du comportement à long terme
HdeV (différent pour tout le monde)
- AP (Loisir -> sport)
- Alimentation
Gestion du stress / sommeil
Nommer les méthodes (3) et outils pour faire changer un comportement.
- L’éducation et la formation
- La propagande
- La publicité
Quels sont les méthodes d’intervention?
- Modèle de la croyance sur la santé
- Théorie Sociale-Cognitive
- Théorie de l’action raisonnée
- Théorie comportement planifié
- Modèle transthéorique
- Stratégie et technique pour augmenter AP
Définir le Modèle de la croyance sur la santé (Health Behavior Model) - Rosenstick 1950
- Le désir d’éviter la maladie ou, inversement, le rétablissement s’il est déjà malade; menace ou efficacité.
- la conviction qu’une action sanitaire spécifique préviendra ou guérira la malaide
- le plan d’action d’une persone dépend souvent de sa perception des avanages et des obstacle liés au comportement en matière de santé.
Modèle de la croyance sur la santé: les 4 croyances qui basent le modèle.
- Preception de la susceptibilité face à la maladie (risque)
- Subjectif = grnade variabilité dans la société
- Personne peur = adhère au comportement sain VS personne - peur = - adhérence -> comportement à risque - Perception de la sévérité de la menace
- Gravité de contracter une maladie = subjectif (conséquences médicales + conséquences sociales - Famille, travail, étude)
- Gravité sérieuse => adhérence = comportement préventif VS gravité mineure => - adhérence = comportement à risque - Bénéfices (efficacité) perçus
- Efficacité des actions pour réduire le risque / maladie = susceptibilité perçue + bénéfice perçu
- Sensibilité et gravité
- Comportement préventif si efficacité perçue VS comportement à risque si efficacité non perçu. - Barrières perçues
- Sentiments sur les obstacles à l,action demandée
- Analyse coûts / bénéfices
- Balance n’est pas une finalité- Bénéfices > Coûts = action
- Bénéfices > Coûts = non action
- Bénéfices < Coûts = non action
- Coût = Gêne, danger, inconfort
Modèle de la croyance sur la santé: le but visé.
- Augmentation de la vulnérabilité perçue et de la gravité perçue d’un comportement sain en visant sur l’éducation de la prévalence et incidence de la maladie, l’estimation indicatif des risque et les informations sur la conséquence de la maladie.
- Modifier l’analyse coûts / bénéfices en fournissant l’information sur l’efficacité des divers comportements pour réduire les risques, identifier les obstacles perçcus, inciter un comportement favorable à la santé et engager le soutien social ou autre ressemblance.
Modèle de la croyance sur la santé: décision de l’individu à faire de l’AP sur une base régulière.
- Réalise que sédentaire = menace pour la santé
- Croit que AP règuliaire = diminution de ses risques
Modèle de la croyance sur la santé: Nommer les limites au modèle pour son utilisation / sant publique.
- Ne rend pas compte des attitudes, croyances ou des autres déterminants individuels qui déterminent l’acceptation d’un comportement de santé par une personne.
- Ne tient pas compte des comportements habituels et qui peuvent éclairer le processus de prise de décision pour accepter une action recommandée. (ex. fumer)
- Ne tient pas compte des comportements qui sont effectués pour des raisons non liées à la santé, telles que l’acceptation sociale.
- Ne prend pas compte les faceurs environnementaux et économiques pouvant interdire ou promouvoir l’action recommandée.
- Le modèle suppose que tout le monde a accès à une quantité égale d’informations sur la maladie ou la gravité.
Définir la théorie Sociale-Cognitive (TSC) -Bandura 1977
- La TSC définit le comportement comme une “triade dynamique” dans une interaction réciproque de facteurs personnels, de comportements et d’environnement.
(voir image page 31)
TSC: Concept de base.
- Personne => comportement => résultats
1=> Attentes sur l’efficacité: conviction qu’une personne a pour pouvoir exécuter avec succès un comportement.
2=> Attentes sur les résulats: estimation que la personne fait sur un tel comportement amènera de tels résultats. - Aspect cognitif: attente / attitude - pensée / émotion
- Comportement (pratique / auto-efficacité): cognitif + comportement = autorégulation
- Environnement: norme
TSC: 4 sources d’efficacité personnelle (pour le changement de comportement)
- L’expérience vicariante: voir un pair réussir = augmentation croyance que je peux réussir
- Persuation sociale: communication / rétraction
- Expérience de maître: expérience antérieur + ou - / bilan
- État émotif (ou l’excitation émotive): perception d’une réaction = penseé positive vs anxiété.
TSC: définir autorégulation.
- Autosurveillance (journal de bord): Aide à voir la progression
- Horaire établi et ajusté aux nouvelles conditions
- Objectifs définirs
- Dialogue interne et positif
Définir la théorie de l’action raisonnée - Fishbein & Aizen, 1975.
- Les choix comportementaux des individus sont des choix pensés, raisonnés et agis.
- Le comportements d’une personne est donc sous le contrôle de la volonté de cette personne.
- Résultat d’une intervention comportementale.
- Le déterminant principal d’un changement de comportement selon la théorie de l’action raisonnée est: INTENTION.
- L’intention de la personne d’adopter ou non le comprtement dépend de l’attitude (évaluation favorable ou pas), des normes subjectives (croyances) et de l’environnement social.
**Voir image page 9 cours 4
Définir la théorie du comportement planifié - Ajzen & Madden, 1986.
- Extension de la théorie de l’action raisonnée
- 3 variables qui s’ajoutent:
1. Ressources (matérielles et cognitives)
2. Habiletés
3. Opportunités
TSC: Nommer et définir les 3 types de croyances.
- Croyances => lien comportement directe (ex. fumer - arrêter = meilleure pour tes poumons)
- Conséquences / Attitudes favorable ou défavorable) - Croyances normatives => très personnel (décider d’aller faire une rafting je ne vais pas aimer ça parce que j’aime pas faire du kayak)
- Revoir la façon dont la personne se représente ses normes et motivations. - Croyances de contrôle => commencer un sport de neige -> il fait froid
- Facilitateur / obstacles (perçus)
Définir le modèle de transthéorique, Prochaska & DiClement.
- Modèle de changement de comportement.
- Explique les mécanismes motivationnels sous-jacents à l’adoption d’un nouveau comportement.
- Modèle intégratif de changement de comportement conçu en prenant des composantes issues de plusieurs théories sociocognitives.
- Prochaska pense: Aucun model ne peut à lui seul expliquer les comportement humain => intégration de tous les modèles précédents.
- À la particularité de catégoriser les individus en divers stades en fonction de leurs liens avec le comport.
Modèle de transthéorique: Nommer les 4 composantes.
- Les stades de changements
- La balance décisionnelle
- Le sentiment d’efficacité personnelle
- Les processus de changement
Modèle de transthéorique: Les stades.
- Pré-contemplation (l’indifférence)
- Aucune intention de changer
- Ne voit pas les bénéfices
- Ignorance / Déni / Manque le désir de changer (échecs ant.)
- Stade => pourquoi j’arrêterais de fumer? - Contemplation
- Intention de changer (6 mois), mais n’y arrive pas
- Conscient du problème / conséquence
- Procrastination = PEUR - Planification (préparation)
- Intention de changer (30 jours)
- Recherche des conseils pour la mise en action
- Plan de match - Action
- En action = changement effectué
- Taux de rechute élevé - Maintien
- Plus de 6 mois (changement de comportement = 3 mois) - Régression
- Arrêt de l’action
- Fait partie du processus normal de changement
Modèle transthéorique: confiance vs conviction.
- Précontemplation - > +
- Contemplation - = +
- Préparation - < +
- Action
- Consolidation / Maintien
**Voir le tableau page 21 cours 4
Modèle transthéorique: La balance décisionnelle.
- Représente les avatanges et inconvénients liés au changement de comportement.
Perception inconvénients > avantages = changement ??
**Chez quelqu’un en rechute = bad
Modèle transthéorique: Le sentiment d’efficacité personnel est modulé par 4 construits:
- Expérience de maîtrise
- Vicariance
- Persuasion sociale et verbale
- Feedback physiologique / affectif
Modèle transthéorique: Nommer les 2 processus de changement.
- Processus comportementaux
- Prise de conscience
- Est-ce que j’ai avantage à…? - Processus expérientiels
- Environnement concrêt
- expérience / résultat
**Voir tableau page 27 cours 4
Modèle transthéorique: Entretien motivationnel.
Savoir-être > savoir faire
(parfois difficile de rester neutre face au client)
- Question
- Écoute (+ de 80% du temps = le client qui parle)
- Susciter le discours du changement
- Gérer le discours-maintient (pas de contre-arguments - argumentaire = ne se sent pas écouter et pense de changement)
- Mettre de l’écart en évidence (d’un côté…, mais d’un autre…)
Modèle tranthéorique: Réflexions possibles de l’entretien motivationnel.
- Contenu (raison c. / expérience antérieur / etc.)
- Sentiment / les sens (émotions / spiritualités - quel sens ça donne à ma vie)
- N.gatives amplifiées (exagération / confrontation - pas argumentation)
- 2 facettes à la situation (reflet)
- sur l’action (options possibles)
**PASSE DU POURQUOI BOUGER AU COMMENT BOUGER
Définir la théorie de l’autodétermination.
- Compétence
- Autonomie / contrôle
- Rapport (sentiment d’appartenance / environnement)
= Résultats
**Déjà motivé seulement!!! (souvent erreur de quelqu’un de non-motivé)
**FIIT-VP => Freéquence durée intensité type d’activité + Progression volume
Théorie de l’autodétermination: Autres éléments complémentaires
- Lien émotif est fort! => augmentation de la motivation des clients lorsqu’un lien émotif est ajouté
- Votre intervention: pas vos compétences, mais comment ils se sont sentis auprès de vous!
Nommer des barrières à l’AP.
- Pas le temps
- Pas asse d’énergie
- Pas motivé
- Ça coute trop cher
- Pas endroite pour le faire
- Sens maladroit quand faire AP (relier avec exp. ant.)
- Ne sais pas comment faire, par où commencer
- Pas me blesser
- Pas sécuritaire
- Personne avec qui faire l’AP
Stratégies et techniques pour augmenter l’AP.
- Sentiment d’efficacité personnelle
- Fixations d’objectifs
- Gestion des renforcements
- Support social
- Auto-surveillance
- Résolutions de problèmes
- Shéma d’AP
- Prévention de la rechute
Théorie sociale cognitive
Théorie efficacité personnelle - Bandura, 1977
Fixation d’objectifs
- Objectifs SMART
- Buts courts et longs termes pour le suivi
- Trouver la difficulté optimale
- Buts à très courts termes lors initiation à l’AP
TSEP: Gestion des renforcements.
- Récompense pour l’atteinte de l’bjectif
- Récompense extrinsèques (objet tangible)
- Récompense intrinsèque (sentiment d’accomplissement + Favoriser sentiment d’autonomie, compétence)
- Renforcement social
TSEP: Support social.
- Alliance thérapeutique kin vs client / patient (avoir quelqu’un sur qui compter)
- Assurer / valeur (reconnaitre la compétence, les progrès)
- Intégration sociale (favoriser le sentiment d’appartenance et se sentir à l’aise en AP)
- Entrainement de groupe et possibilité d’avoir un référent.
TSEP: auto-surveillance.
- Papier
- Technologie (montre, podomètre, application)
- Surveiller la progression vers un but
- Identifier les barrières problématiques
TSEP: Résolution de problèmes.
- Identification des barrières
- Plan de type “Si -, alors -“
TSEP: Schéma.
- Initiation et maintien de l’AP
- Soutien de la compétence
TSEP: Prévention des rechutes.
- Initiation et maintien de l’AP
- Soutien de la compétence
Question de mise en situation!
- Personne qui n’a jamais été très active
- Personne qui a toujours rêver jouer au tennis, mais n’a jamais osé essayer.
- Personne négative, pessimiste et défaitiste