Cours 3 - ENVERS LES ENFANTS Flashcards
Quels sont les dossiers ayant initié la Commission Laurent ?
Thomas Audet
La petite fille de Granby
Quel était la demande du grand-père de Thomas envers la DPJ ?
Une uniformisation des services à travers les DPJ du Qc.
Comment se prennent les décisions par la DPJ ?
- Signalement => réception des appels
- Évaluation (présenter la situation à la chef ou au chef de service ; SSP ; Code 1-2-3 )
- Intervention
- Prise en charge ou référer
Le logiciel SSP permet de faire quoi ?
Il permet de traiter le signalement et de déterminer le Code associé à la situation. En revanche, sa validité et sa fidélité n’ont pas été démontré.
La Commission Laurent a une position quant au logiciel SSP. Quelle est leur position ?
À abolir l’utilisation du logiciel et de reposer l’évaluation sur le jugement clinique seulement. La Commission blâme le logiciel et ses incohérences qui mènent à la mauvaise prise de décision (Code 1-2-3). La Commision a recommandé son abolition.
Quelles habiletés / cpts sont travaillées en Centre de réadaptation ?
Le délai ; la patience ; l’adaptation ; avoir une routine / quotidien sein ; respect de l’autorité ; etc.
Un parent nomme avoir consommé de la marijuana dans le dernier mois. Qu’est-ce qui représente un facteur de protection dans cette situation ?
La transparence du parent.
Les données de Statistiques Canada concernant la prévalence quant à la violence familiale présentent une faiblesse : de quoi il s’agit ?
Les données font états des signalements reçus et retenus seulement par la police.
Les statistiques ne représentent pas les cas de violence envers les enfants. Elles sont grandement sous-estimées.
Selon Statistiques Canada, 18 965 mineurs auraient été victimes de violence familiale en 2020. Quelle est la proportion approximative quant à la violence infligée par un parent ?
A) 15 %
B) 40 %
C) 60%
D) 75%
Selon Statistiques Canada, 60% cas de violence familiale seraient infligés par les parents (C).
Nommez une limite quant à la documentation sur le phénomène de la violence envers les enfants.
La cooccurrence des différentes formes de violence n’est pas documentée, ou très peu.
Vrai ou faux. Les enfants victimes de violence familiale subissent, d’une manière générale, une forme de violence en particulier.
Faux. Nous reconnaissons de + en + que les enfants sont victimes de plusieurs formes de violence.
Pourquoi serait-il pertinent de prendre en considération la cooccurrence des différentes formes de violence que les enfants subissent ?
Les conséquences sont amplifiées s’il y a plusieurs formes de violence. Des traitements et programmes devraient être mis en place.
Quels sont les professionnels ayant un pouvoir d’enquête ?
Les policiers, les Tribunaux
Quel.s niveau.x documente.nt les statistiques par rapport aux cas de violence envers les enfants ?
Le niveau 1 : la DPJ.
Quels sont les professionnels qui n’ont pas de pouvoir d’enquête ?
Les psychologue, TS, psychoéd, criminologue, etc.
Ces derniers reçoivent les informations et les acheminent à la DPJ si le signalement est nécessaire.
Quel est le 4e niveau ?
Ce sont les cas connus par la communauté. Par exemple, la grand-mère sait que son petit-fils victime de négligence.
Quelle est la conclusion à tirer des niveaux ?
Plus de cas que ce qui est affiché par les statistiques. Beaucoup de cas ne sont pas répertoriés.
Quelles observations peuvent-être faites entre les Rapports québécois sur la violence et la santé de 1998 versus celui d’aujourd’hui ?
- Avant : violence physique seulement de reconnus
- Augmentation du nombre de signalements: Il n’y a pas nécessairement plus de violence.
-
Quel est l’objectif principal du Rapport québécois sur la violence et la santé ?
De produire des estimations fiables du nombre d’enfants québécois signalés et reconnus par la DPJ comme étant en besoin de protection de la part de l’État.
Peut-on dire que les efforts mis contre la violence envers les enfants ont permis de résoudre ce phénomène ? Élaborez.
Non. La violence demeure d’actualité. Les chiffres sont toujours élevés.
Selon l’OMS quelle est la priorité de la santé publique ?
La prévention de la violence envers les enfants. L’enfant devrait être au centre de nos priorité.
Afin de prévenir la violence envers les enfants, qu’est-ce qui est recommandé ?
- D’éliminer ou de réduire les facteurs de risques favorisant l’apparition ou le maintient d’un problème ;
- De favoriser les capacités individuelles et collectives (augmenter les facteurs de protection).
Nommer les cinq conditions mises en place pour les efforts de prévention.
- Individuelles
- Familiales
- Sociales
- Communautaires
- Économiques
Nommer les cinq stratégies de mesures préventives.
- Renforcer le SOUTIEN ÉCONOMIQUE aux familles
- Changer les NORMES SOCIALES en faveur du soutien aux parents et aux pratiques parentales positives
- c
- Rehausser les HABILETÉS PARENTALES pour promouvoir le développement de l’enfant
- RÉDUIRE LES MÉFAITS de la maltraitante de façon à prévenir les risques futurs.