Cours 2 - ENVERS LES ENFANTS Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. Certains pays, comme la Suisse ou la Norvège, ne constatent pas de violence envers les enfants.

A

FAUX. La violence envers les enfants se produit partout dans le monde. Ça a toujours été présent. La problématique touche les enfants de cultures et de SSE différents.

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2
Q

Quelle est l’influence de la culture et des valeurs sur la violence envers les enfants ?

A

Dans certaines cultures, la violence envers les enfants est niée, minimisée ou parfois ritualisée.

Dans certaines cultures, la violence est employée pour éduquer les enfants.

Il faut aller plus loin que l’individu même qui effectue une forme de violence : il faut aller voir ses valeurs et la manière dont elle pense.

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3
Q

Considérant que la culture a une influence sur la violence envers les enfants, que devrait-on faire dans une société multiculturelle ?

A

Il faut faire de l’éducation auprès des parents quant à la culture québécoise, comme quoi la violence envers les enfants est interdite par la Loi

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4
Q

Le Rapport Bouchard (1991) souligne un élément particulièrement important. De quoi s’agit-il ?

A

De l’enfant. Il souligne l’importance de l’engagement de la société envers les enfants. Différentes mesures proposées pour réduire le taux de violence sur une période de 10 ans (examen)

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5
Q

Selon le Rapport Bouchard (1991), différentes mesures sont proposées.
Quel est l’objectif de ces mesures ?

A

L’objectif est de réduire le taux de violence sur une période de 10 ans.

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6
Q

En 2004, le Gouvernement Québécois propose la limitation au recours à la force légère. Quels sont les cinq critères à cette force dite légère ?

A

(1) Pas d’ecchymose
(2) De moins de 2 ans ou de plus de 12 ans (force pour éduquer : avant deux ans => pas de compréhension entre comportement et force ; + de 12 ans => en mesure de comprendre d’une autre façon ce qu’on tente de lui faire comprendre)
(3) Pas dans un contexte de défoulement
(4) Pas en haut du cou
(5) Aucun objet ne peut être utilisé

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7
Q

Qu’est-ce que la Politique de Santé et du Bien-Être (PSBE) et quelles en sont les retombées générales ?

A

C’est une réforme du système de santé et des services sociaux.
C’est de donner des rôles à des organismes.

La politique a mis aussi dans ses modifications les enfants au centre de leurs priorités.

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8
Q

Vrai ou faux. C’est dans les années 1990s qu’il y a eu une redéfinition des formes de violence. C’est-à-dire qu’un enfant témoin de violence conjugale = violence envers un enfant.

A

Faux. C’est en 2007.

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9
Q

Quel est l’objectif général de la Commission Laurent ?

A

La Commission a comme optique d’uniformiser les services de la PJ (d’une manière nationale). Présentement, les services fonctionnent d’une manière régionale (Laurentides, Lanaudière, Laval, etc.).

Toutes les LPJ devraient être les mêmes et être expliquées de la même manière à travers le Canada. Les Directions appliquent la Loi de la Protection de la jeunesse : il faut uniformiser tout cela.

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10
Q

Quel est l’objet de la LPJ (1977) ?

A

Elle a pour objet la protection d’un enfant dont la sécurité ou le développement peuvent être compromis.

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11
Q

Qui applique la Loi sur la protection de la jeunesse ?

A

La DPJ.

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12
Q

Selon l’article 38 de la LPJ, quelles sont les situations où la sécurité ou le développement d’un enfant est considéré comme compromis ?

A

Négligence
Abandon
Fugue
Abus physique ou sexuels
Manifestation de graves troubles de comportements (ex. sans suivi et sans prise en charge par un organisme / par un service)
Non fréquentation scolaire
Mauvais traitement psychologiques
Exposition à la violence conjugale ou familiale

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13
Q

Vrai ou faux. La Direction de la protection de la jeunesse évalue la situation d’un enfant dont la sécurité ou le développement peut être compromis.

A

Vrai.

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14
Q

Vrai ou faux. Les décisions de la DPJ doivent tendre à maintenir l’enfant dans son milieu social actuel.

A

Faux. Maintenir l’enfant dans son milieu FAMILIAL.

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15
Q

Vrai ou faux. Tous les parents doivent être informés de toutes les décisions prises et ont le droit d’être entendu.

A

Vrai.

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16
Q

Vrai ou faux. Dans certaines situations, la DPJ peut se voir dans l’obligation de dévoiler l’identité d’une personne ayant effectué un signalement.

A

Faux. L’identité de la personne ayant effectué un signalement est confidentielle.

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17
Q

sMise en situation : Thomas a 13 ans. Son oncle constate que la mère de l’enfant consomme régulièrement et qu’elle a de la difficulté avec la gestion de ses émotions. En effet, lors de périodes stressantes au travail, la mauvaise gestion des émotions de la mère se transforme en violence envers Thomas.
L’oncle de l’enfant considère que la sécurité et le développement de l’enfant sont compromis. Il effectue un signalement. La DPJ évalue la situation.

Question : Dans une telle situation, quelle mesure sera privilégiée ?
A) Retirer l’enfant de son milieu familial
B) Demander à la mère de consulter un psychologue
C) Demander à Thomas ce qu’il souhaite faire

A

A) Retirer l’enfant de son milieu familial (seulement si aucune mesure ne peut être appliquée)
B) DEMANDER À LA MÈRE DE CONSULTER UN PSYCHOLOGUE
C) Demander à Thomas ce qu’il souhaite faire

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18
Q

Quelles sont les raisons derrière l’augmentation du nombre de signalement effectués depuis la pandémie (2020) ?

A

HYPOTHÈSES :
- Plus de contacts entre les enfants et leurs parents (à la maison)
- Plus de détresse psychologique qui se transforme en violence envers les enfants
- Moins de contacts avec les personnes extérieures à la maison (moins souvent à l’école, donc les enseignants constatent moins de « signaux »)
- Épuisement
- Sensibilisation (Petite fille de Granby ?)
- Économique : beaucoup de personnes ont perdu leur emploi (PCU) => difficile à subvenir aux besoins des enfants (négligence)
- Préoccupation collective des enfants

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19
Q

Quelle est la proportion approximative des signalements retenus concernant les enfants entre 0-5 ans ?

A) 10%
B) 20%
C) 35%
D) 45%
E) + de 55%

A

33,5% (réponse C : +/- 35%)

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20
Q

Quelles sont les cinq formes de violence ?

A

Négligence
Violence psychologique ou verbale
Être témoin de violence conjugale
Violence physique
Violence sexuelle

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21
Q

Qu’est-ce que de la négligence selon le ministère de la justice ?

A

Lorsqu’un parent ne répond pas aux besoins fondamentaux d’un enfant.

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22
Q

Quels sont les trois types de négligence ? Détailler ces formes de négligence.

A

PHYSIQUE : omission de répondre aux besoins alimentaires
SANITAIRE : omission ou risque sérieux d’omission de procurer les soins de santé physique ou mentaux nécessaires
ÉDUCATIVE : omission ou risque sérieux d’omission de fournir une surveillance ou un encadrement nécessaire pour assurer la scolarisation

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23
Q

Vrai ou faux. Les parents logeant avec leurs enfants dans une maison complètement insalubre, avec des excréments de chien = négligence sanitaire.

A

Faux. Négligence physique.

24
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Un parent ne prend pas les mesures nécessaires pour s’occuper des soins de santé physique ou mentale de son enfant (exemple : enfant avec TDAH)

A

Indice de négligence sanitaire

25
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Un enfant se blesse et les parents ne font rien pour donner les soins de santé (plaie s’infecte).

A

Indice de négligence sanitaire

26
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Un parent qui n’accompagne pas son enfant dans ses devoirs (au besoin).

A

Indice de négligence éducative

27
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Si l’enfant se mutile et que le parent refuse que l’enfant consulte.

A

Indice de négligence éducative, si pas de prise en charge au niveau d’un trouble de comportement qui apporte l’enfant à se mutiler

28
Q

Vrai ou faux. Les formes de négligence peuvent être interreliées.

A

Vrai

29
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?

L’enfant n’a pas de domicile fixe. Il explique avoir été mis à la porte.

A

Il s’agit d’indices de négligence physique
Avant 18 ans : les apparents ont la responsabilité que leur enfant ait un domicile
Impacts physiques ; on ne prend pas en considérations ses besoins fondamentaux

30
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Un père chasse et il laisse son arme à feu dans son garde robe non-barré.

A

Indice de négligence physique

31
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?
Un père cuisine et il laisse ses couteau de chef dans le tiroir non-barré.

A

Ce n’est pas une forme de négligence

32
Q

De quel type de négligence s’agit-il ?

Les parents ne stimulent pas l’enfant sur les plans langagier, moteur, social ou intellectuel.

A

Il s’agit d’indices de négligence éducative

33
Q

De quel type de négligence s’agit-il ? Et est-ce que la DPJ peut intervenir ?

Un enfant semble violent en classe selon son enseignante. Il est en cinquième année du primaire et présente des comportements agressif depuis plusieurs mois. Il semble, selon son enseignante, isolé des autres élèves. Il parle peu et a peu d’amis. Ses parents ne semblent pas intervenir, ce qui inquiète l’enseignante.

A

Il s’agit d’indices de négligence éducative.

La DPJ peu intervenir si les parents ne prennent pas les actions nécessaires.

34
Q

De quel type de négligence s’agit-il ? Et est-ce que la DPJ peut intervenir (et de quelle manière si oui) ?

Une jeune fille de 14 ans est retrouvée dans une chambre d’hôtel avec des jeunes de 19 ans. Ses parents contactent la police, car ils s’inquiètent d’où elle se trouve.
Elle est escortée par des policiers jusqu’à son domicile où ses parents sont présents. Un signalement à la DPJ est effectuée (Code 1). En urgence, des intervenantes se présentent chez l’enfant. Les policiers sont toujours présents, car il y a un risque de fugue important.

La DPJ évalue la situation et discute avec les parents qui semblent inquiets. Les intervenantes suggèrent le placement de l’enfant en Centre de réadaptation. Les parents sont en accord avec cette suggestion. Ils présentent la décision à l’enfant qui refuse d’aller en CR. La DPJ exprime que la sécurité de l’enfant est en jeu et qu’ils ne peuvent pas la laisser dans son milieu familial.

A

Il n’y a pas de négligence.

La DPJ doit considérer le choix de l’enfant. Par contre, comme le danger est considérable, ils peuvent obliger les traitements.
La DPJ peut aller au Tribunal et demander une Ordonnance afin que les services soient obligatoires.

35
Q

En quoi consiste la violence psychologique (maltraitance ou violence émotionnelle) ?

A

Il s’agit d’utiliser des mots ou d’agir de façon à contrôler quelqu’un. C’est en faisant peur, en isolant ou en retirant la dignité de la personne qu’il s’agit de violence psychologique.

36
Q

Selon la définition de la violence psychologique, est-ce que la situation suivante témoigne de cette forme de violence ?

Un parent explique à son enfant qu’il ne peut pas jouer avec ses voisins dans la rue, car des véhicules y circulent à 70 km/h.

A

Non, il ne s’agit pas de violence psychologique. Le danger est réel et ce n’est pas pour contrôler.

37
Q

De quel type de violence s’agit-il ?

Chez le médecin, l’enfant refuse qu’un professionnel le touche / examine.

A

Indice de violence physique et/ou abus sexuel.

38
Q

Vrai ou faux. Exposer un enfant à la violence familiale n’est pas un motif valable d’intervention de la part des services de protection de l’enfance aux termes des lois provinciales et territoriales sur la protection de l’enfant.

A

Faux. C’est un motif valable d’intervention.

39
Q

Vrai ou faux. Un enfant témoin de violence conjugale est un enfant victime de violence familiale. Expliquer le raisonnement.

A

Vrai. Être témoin aurait un impact sur le développement et sur la sécurité de l’enfant

40
Q

Vrai ou faux. Un enfant exposé à la violence conjugale est rarement exposer à seulement ce type de violence. On remarque une cooccurrence de d’autres types de violence directement envers l’enfant.

A

Vrai (SOS violence conjugale).

41
Q

De quel type de violence s’agit-il ?

Un enfant semble stressé. Il a des troubles de comportements et éprouve des difficultés scolaires. Il a une faible estime de lui-même.

A

Il s’agit d’indices de violence conjugale.

42
Q

Vrai ou faux. L’abus sexuel impose un contact (toucher) entre un adulte et un enfant.

A

Faux.

43
Q

Quels sont les deux critères généraux de l’abus sexuel ?

A
  1. Exposition à une situation sexuelle inadaptée.
  2. La différence d’âge.
44
Q

Vrai ou faux. L’accès à de la pornographie constitue une forme d’abus sexuel (p.ex.: des DVD de films érotiques accessibles aux enfants)

A

Vrai.

45
Q

Qu’impliquons-nous avons le critère de la différence d’âge (p.ex. entre un enfant de cinq ans et un de 12 ans)?

A

Une grande différence d’âge implique une développement psychosexuel différent entre les deux enfants.

46
Q

De quel type de violence s’agit-il ?

L’enfant nomme à plusieurs reprises avoir des maux de ventre et de tête (ces derniers sont inexpliqués). Il exprime de la honte et de la peur.

A

Cette situation représente des indices d’abus sexuel (somatisation + émotions comme la honte et la peur).

47
Q

Quel.s comportement.s est à éviter dans la situation suivante ? Expliquer.

Un intervenant.e effectue un suivi avec un enfant lui étant attitré. Cet enfant débute à dévoiler une abus sexuel. Afin de recueillir le plus d’informations concernant l’événement, l’intervenant.e souhaite rendre l’enfant confortable et assurer un environnement sans jugement. Afin de favoriser le dévoilement et la cueillette d’information, l’intervenant.e dit à l’enfant que ce qui sera dit demeurera confidentiel. L’intervenant.e sait que l’enfant craint que vous effectuiez un suivi détaillé avec ses parents. Il.elle pose des questions ouvertes.

A

Il ne faut pas dire que ce qui est partagé restera confidentiel. C’est faux. Un signalement devra être effectué et cela pourrait nuire au lien de confiance.

48
Q

Vrai ou faux. Tout adulte a l’obligation d’apporter l’aide nécessaire à un enfant qui désire signaler sa situation ou celle de ses frères/soeurs ou d’un autre enfant.

A

Vrai. Selon l’Article 42 de la LPJ.

49
Q

Vrai ou faux. L’adulte est dans l’obligation de dénoncer/signaler toutes situations visées par la LPJ.

A

Faux. Seuls les professionnels travaillant auprès d’enfants dans l’exercice de leurs fonctions.

50
Q

Vrai ou faux. Les professionnels travaillant auprès d’enfants ont l’obligation de dénoncer toutes situations visées par la LPJ, et ce, en tout temps.

A

Faux.
Ils doivent signaler toutes situations d’abus sexuels et/ou d’abus sexuels (si en fonction et si pas en fonction)
Le signalement de toutes autres situations visées par la LPJ est discrétionnaire.

51
Q

Vrai ou faux. L’obligation de signaler va au-delà du secret professionnel.

A

Vrai.

52
Q

Vrai ou faux. Un employé de 17 ans dans un magasin grande surface est témoin de la scène suivante : une mère prend fermement le bras de son fils. Elle parle très fort. Elle le gifle et lui tire une oreille. L’employé, comme tout autre témoin de la scène, est dans l’obligation de signaler.

A

Faux. L’obligation de signaler s’applique aux adultes de 18 ans et plus. L’employé n’aurait. pas l’obligation de signaler, mais tout autre adulte ayant vu la famille serait dans l’obligation de signaler la situation.

53
Q

Vrai ou faux.
Avant de signaler, il est de rigueur d’être certain, ou assez convaincu, que l’enfant nécessite une protection, comme le signalement peut porter préjudice à la personne.

A

Faux.
Ce n’est pas nécessaire d’être certain que l’enfant nécessite une prise en charge
Ce n’est pas à nous de décider si l’enfant est victime ou non. Nous pouvons. signaler, dès qu’on a un motif raisonnable de croire que l’enfant requiert une protection.

54
Q

Quelles sont les informations à avoir en main lors d’un signalement.

A
  • Date des abus (récurrence ?)
  • Nom complet de l’enfant
  • DDN
  • École
  • Domicile
  • Date du dernier abus
  • Risque au retour à la maison
  • Autres enfants à la maison ?

À noter que ces infos facilitent la prise en charge du signalement, mais ne sont pas nécessaires. Il faut avoir le plus d’informations.

55
Q

Quelles sont les étapes du processus à la suite d’un signalement ?

A

1) Réception et traitement du signalement
2) Évaluation de la situation de l’enfant
3) Choix des mesures de protection
4) Mise en place des mesures de protection
5) Révision de la situation
6) Liaison avec les ressources

56
Q

Qu’est-ce qu’implique la réitération du PSBE ?

A

De rendre la Politique « un projet collectif, partagé par l’école, l’entreprise et les autres secteurs de services publics ».

La 1ere réitération : création de la Protection de la jeunesse
La 2e réitération : ?