Cours 3 -dimensions de la pauvreté Flashcards
Avant les années 1960, quelles sont les deux nouvelles classes sociales ?
La bourgeoisie (classe dominante) et la classe ouvrière
Qui composent la classe ouvrière et la bourgeoisie ?
la bourgeoisie, la classe dominante, composée d’entrepreneurs capitalistes et la classe ouvrière formée principalement d’anciens artisans, devenus ouvriers.
Vrai ou faux ? Pourquoi ?
Les ouvriers, puisqu’ils travaillent, ne sont pas dans la pauvreté, mais ils sont sur la limite.
Faux, Ces ouvriers en majorité vivaient dans la pauvreté, voire dans la misère.
Avant les années 1960, quand est-ce qu’on peut parler de pauvreté ?
On peut parler de la pauvreté dans notre société quand il y a un manque d’emploi, un taux de chômage élevé, etc.
Quelles sont les conditions de travail de la classe ouvrière ?
Les conditions de travail des ouvriers étaient très pénibles : longues heures de travail, conditions de santé très déplorables.
La qualité de la nourriture est déplorable, beaucoup d’enfants meurent de malnutrition, ils sont entassés dans des logements assez étroits
Quelles sont les conditions de vie des ouvriers ?
Les conditions de vie des ouvriers étaient très déplorables et pénibles. Ils habitent en majorité dans des maisons délabrées et mal entretenues.
Avant 1960, quelles sont les conditions de vie et de travail des femmes ?
Le travail féminin était principalement concentré dans des emplois dans des manufactures et services domestiques. Une minorité s’oriente vers la profession d’infirmière et d’enseignante. Leur salaire était très bas.
Vrai ou faux ? Pourquoi ?
Avant 1960, les femmes avaient accès à l’enseignement supérieur. Néanmoins, elles préféraient entrer sur le marché du travail pour subvenir aux besoins de leur famille.
À cette époque, la femme n’a pas d’accès à l’enseignement supérieur, peu scolarisée les femmes sont davantage victime de la pauvreté.
Les collèges classiques sont principalement réservés aux hommes, ce sont des types d’institutions privées, donc très peu accessibles pour les femmes.
Nomme 3 problématiques entourant le secteur de l’éducation avant les années 1960.
1- Les historiens témoignent que jusqu’en 1957, 70% des établissements scolaires du primaire n’ont qu’une seule classe et un pourcentage n’a pas d’électricité ni d’accès aux salles de bain.
2- Les établissements secondaires sont sous-occupés, sous-financés et insuffisants. La pauvreté se voit déjà à travers le système de l’éducation. Plus de femme comme enseignantes, la formation de celles-ci laisse à désirer.
3- À l’époque, on comptait 6 universités (3 francophones, 3 anglophones).
Vrai ou faux ? Pourquoi ?
Les soins médicaux et hospitaliers étaient réservés à une minorité de citoyens. L’État ne prodiguait aucune aide c’était chacun pour soi.
Faux, l’État donnait une forme d’aide aux gens qui vivent une situation vraiment misérable (indigents), les autres citoyens devaient se procurer une assurance privée ($$).
Quels sont les objectifs de la bourgeoisie canadienne française et le clergé catholique sur la pauvreté avant les années 1960 ?
Les objectifs de la bourgeoisie canadienne-française et le Clergé catholique consistent à développer une économie forte et prospère, reposant sur une main d’œuvre laborieuse.
Vrai ou faux ?
La pauvreté découle de l’irresponsabilité individuelle.
Vrai
Selon la bourgeoisie canadienne française et le Clergé catholique, qu’en est-il des inégalités et de la pauvreté ?
Selon la bourgeoisie canadienne-française et le Clergé catholique les inégalités entre les hommes font partie intégrante de la nature humaine. Il s’agit d’un ordre naturel voulu par Dieu qu’il y a des riches et des pauvres. Les êtres humains ne naissent pas égaux tant sur le plan physique, l’intelligence, le talent et autres.
Comment l’Église tente d’aider les pauvres ? Est-ce qu’elle les aide tous ?
L’Église ne parle pas de bons ou mauvais pauvres. Elle porte secours aux gens les plus démunis en société, aux gens qui ne peuvent pas travailler à cause d’une maladie, de la vieillesse ou s’ils sont orphelins.
Qu’est-ce qui découle de la révolution tranquille ?
la volonté tant exprimée par divers acteurs d’une réforme en profondeur du système scolaire québécois. Rendre l’école accessible à tous les niveaux et à tous dans la société.