cours 3 (co-analgésie + rationnel prescription + rhumato + ostéoporose) Flashcards
V ou F
les co-analgésies sont utilisés pour les douleurs sévères subaigüe
faux, chronique modéré à sévère et parfois post-op
V ou F
les co-analgésiques n’ont généralement pas d’effet analgésiques si utilisés seul
vrai, synergie avec analgésie. certains peuvent avoir un effet analgésique faible
*exception: elavil migraine
principe des co-analgésiques:
a)considérée comme succès si 70-80% d’amélioration
b)le patient doit comprendre que les effets secondaire vont arriver avant l’effet bénéfique
c)c’est un ajout à une autre molécule pour les condition de douleur chronique sévère à modéré (dlr neuro-pratique) non-soulagées par les analgésique ou les AINS
d)peut etre pris en combinaison à des opioides
e)après 12 mois de stabilité, il faut sevrer graduellement
b,c,d
a)non, 30-40%
e)non, 6 mois
molécules visées comme co-analgésiques (6)
a)corticostéroïdes
b)anti-convulsivants
c)opioides
d)anti-dépresseur
e)relaxant musculaire
f)anti-arythmiques
g)anxyolitiques
H)agent topiques
I)cannabinoïdes
b,d,e,f,h,i
nommer les 2 familles d’anti-dépresseur utilisé en co-analgésie en ordre décroissant (+ utilisé –> moins utilisé), leur action et leur acronyme à savoir.
1: tricycliques (ADT)
inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline. -triptyline et -pramines
#2: ISRS atypiques (Inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine ET NA) venlafaxine (Effexor), duoloxétine (Cymbalta), trazodone (desyrel)
#3: ISRS (principalement utilisé pour troubles humeur) pram et -xetine
Effexor
venlafaxine (ISRS), anti-dépresseur “atypique” (co-analgésie)
celexa
citalopram, anti-dépresseur ISRS
elavil
amitriptyline, anti-dépresseur tricylcique (ADT)
aventyl
noritriptyline, anti-dépresseur tricylcique (ADT)
Paxil
paroxetine, anti-dépresseur ISRS
cipralex
escitalopram, anti-dépresseur ISRS
quelle classe d’anti-dépresseur est préconisé et pourquoi ?
tricyclique
molécules moins spécifique, implique plusieurs mécanismes
Effets sur plus de cibles centrales (NA, 5HT, canaux…) = plus aidant en co-analgesie
V ou F, concernant les anticonvulsant
On peut passer d’un médicament à l’autre si la molécule ne convient pas
vrai, parce qu’il existe 4 cibles principales
nommer les 4 cibles des anti-convulstivant
1)bloque canaux Na
2)bloque canaux Ca
3)inhibe la transmission Glutamatergique
4)effet GABAergique
V ou F
le. but des anti-convulsivant est d’augmenter l’excitabilité neuronale
Faux, diminuer
effets indésirables des anti-convulsivants
sedation
maux tete
diplopie
nausée
vertige, étourdiss
perte équilibré, trb coord/moteur
perte concentration
peut avoir l’air de faire un AVC
nommer molécule #1 pour névralgie trijjéminale
+ autre molécule pour trijumeau
carbamazÉbpine (Tegretol), anti-convulsivant (Glu, Na)
-levetiracetam (anti-convuls)
-balcofène (relaxant muscu)
mdx le plus utilisé en douleur neuropathie
Pregabaline (Lyrica), anti-convulsivant qui a bcp d’affinité pour les Rc GABA
associer
1)acide valproique (Epival)
2)Levetiracetam (Keppra)
3)lamotrigine (lamitral)
A)céphalées
b)trijumeau
c)neuropathie
d)migraines
e)douleur réfractaire
f)lésion centrale
1)d
2)e
3)b et f
effets sec relaxant muscu
sedation, somnolence, hypovigilance
Balcofène (lioresal)
relaxant musculaire sous prescription dérivé GABA
utilisé trijumeau
cyclobenzaprine (flexeril)
relaxant muscu très utilisé (maison jaune)
dérivé ADT
benzodiazépines utilisés pour (1) nommer molécule (2) donner effet secondaire + imp a se. rappeler
1)sédatif, anxiolytique (Maj pas pour dlr)
2)clonazepam (Rivotril) (action centrale)
3)associée a une tolérance et dépendance
V ou F
les mdx anti-NMDA ont le même index thérapeutique que les MVL
faux, ils ont un index thérapeutique très étroit
quel est le co-analgésique le plus utilisé?
Elavil, anti-dépresseur tricyclique (ATD)
donner les deux classes de mdx qui ont comme effet de diminuer l’excitabilité neuronale
anti-convulsivants
opioides
Neurontin
a)classe et molécule
b)fonction
a)anti-convulsivant, Gabapentine
b) dlr post-herpétique (zona), épilepsie (un peu aussi)
Lyrica
a)classe et molécule
b)fonction
c)combiné avec quoi souvent ?
a)anti-convulsivant, Pregabaline
b) dlr neuropathie
c)opioides
cananbinoïdes sont similaire à quelle molécule et quels sont les mécanismes d’actions ? (4)
Mécanismes d’action similaires à la morphine, mais passant par des voies différentes.
* Inhibition dans la corne dorsale
* Impact sur CIDN / SGPA
* Bloque liberation de médiateurs périphériques
* Actions périphériques, spinales et centrales
donner 2 relaxant musculaire sous prescription
** Baclofène: Lioresal [dérivé GABA (Aussi utilisé trijumeau; attention sevrage)]
**Cyclobenzaprine : Flexeril (dérivé ADT)
2 autres:
* Carisoprostol (Soma)
* Tizanidine (Zanaflex)
donner 2 mdx principaux en porte d’entré pour soulager la douleur (qui respecte OMS)
acetaminophène
anti-inflam (voltaria topique)
4 concepts à respecter lorsqu’on commence mdx pour dlr
- Le moins invasif
- Le moins coûteux
- Le plus accessible
- Ayant le moins d’effets secondaires
échelle analgésique OMS (mettre en ordre croissant)
légère- mod-sévère
acétaminophène (lég)
AINS (lég)
codéine (lég et mod)
oxycodone (mod et sévère)
morphine (sévère)
hydromorphone (sévère)
fentanyl (sévère)
méthadone (sévère)
trajectoire de soins pour les condition rhumato (4 phases)
1)identification de la dlr: sx msk –> qui persistent = consulte
2)accès soins spécialités
3) prise en charge médicale
4) soins partagés
Voir :
* http://www.arthritisalliance.ca/fr/initiatives/modele-de-soins-pour-l-arthrite-inflammatoire
* http://www.arthritisalliance.ca/images/caremap%20french/fr/index.htm
* Cette « carte » contient des outils pour chacune des étapes du suivi des patients (questionnaires objectifs, guides de pratique, recommandations, aide à la prise de décision, etc.)
* Étapes « 8 » et « 20 » : particulièrement pertinentes pour nous
quelle fenêtre de temps un pt rhumato a (entre le début des sx et le but des tx)
fenêtre de 3 mois
rôles du chiro en rhumato (6 total)
- Dépistage précoce et référence rapide
- Soulagement et adaptation des soins
- Maintien des fonctions (ADM, force, flexibilité) * Suivi et encouragement vs le Tx medical
- Aide aux modifications des habitudes de vie
- Éducation du patient
Médicaments utilisés en 1ère ligne pour les arthrites inflammatoires;
* Le traitement de fond (1ère ligne) consiste à :
- Augmenter les doses
- Combiner des molécules
- Espérer des résultats, ou aller vers la 2ème ligne
- C’est COURANT de changer de molécules… et de Dx.
Pourquoi prendre des Rx poumons lorsqu’on donne des mdx pour arthrite inflammatoire (ARAL, ARMM, AMEM, DMARD)
risque de tuberculose
Éléments clés concernant RAL /AMEM / DMARD: V ou F ?
a) Mécanismes d’action très variables : immunomodulateurs, immunosuppresseurs, chimiothérapie, antipaludiques
b)Début d’action rapide et variable (10-15 jours)
C) La plupart présentent un risque d’infection accru
D) La plupart exigent des suivis médicaux réguliers
E) Examens pré-administration (FSC, enzymes, radio, autres)
F) suivi par ponction des articulations
G) compatibles avec grossesse/allaitement
a)V
b) faux : lent (semaines à mois)
c) V
d) V
e) V
f) faux: Suivi sanguin (FSC, hépatique)
g) faux, pas toujours
nommer 3 molécules données en rhumato
ARAL/AMEM/DMARD :
Méthotrexate (MTX, Rheumatrex, génériques)
hydroxychoroquine (Plaquenil)
Sulfasalazine (Salazopyrin)
Traitement de fond « classique » pour PAR + fonction
Méthotrexate (MTX)
Aussi utilisé en A. juv, A. pso, vasculites, myosites, artérite temporale, spondylarthropathies, etc.
Immunomodulateur
* Inhibiteur de dihydrofolate réductase
* Diminue formation de purines, donc la prolifération cellulaire * Inhibiteur de AICAR transformylase
* Relargue adénosine, donc inhibe neutrophiles et production d’IL-6, IL-8 et TNFa (effet anti-inflammatoire)
V ou F (sur administration du methotrexate)
A) Per os jusqu’à 20 mg
B) Sinon mieux contrôlé en prise orale
C) Administré 1/semaine
D) Idéalement le matin : fatigue, nausée, céphalée sont fréquents après administration
E) Ajout d’acide folique : diminue l’efficacité et certains effets secondaires: (nausée, hépatiques et hématologiques)
A) V
B) faux, injection sous-cut
C)V
D)faux: le soir
E) faux: ne diminue pas l’efficacité
ostéoporose: Facteurs de risque majeurs (7)
** Âge(65+)
* Fracture vertébrale
** Fracture de fragilisation après 40 ans
** Historique familial d’ostéoporose et de fracture ostéoporotique
* Ménopause précoce
* Ostéopénie visible sur radiographie simple
* Glucocorticoïdes (actuel**)
* Malabsorption, hypogonadisme
**Facteurs de risque de fractures ostéoporotiques
ostéoporose: Facteurs de risque mineurs (7)
*Polyarthrite rhumatoïde(et autres conditions inflammatoires)
* Traitement chronique anticonvulsivants, IPP, héparine
* Tabagisme
* Consommationd’alcool
* Hyperthyroïdie
* Faible IMC
* Faible apport en calcium
particularité de la prise de FOsamax (alendronate)
prendre debout pendant 30 min (nécrose oesophagienne)
effets sec des biphosphonates (8)
- Érosions/ulcères oesophage
- Nausée, diarrhée, reflux
- Céphalées
- Aclasta : syndrome grippal post-injection
- Douleurs musculosquelettiques possibles
- Fracture atypique du femur
- Oculaires : uvéite, vision trouble, sclérite (rare, mais RÉFÉRER!)
- Ostéonécrose de la mâchoire (généralement pas aux doses pour ostéoporose)
V ou F
Biphosphonates en général
A)Très bonne biodisponibilité en prise orale
B)Absorption amélioré par nourriture, boissons, calcium, fer, etc.
C)Doivent être pris à jeûn, avec de l’eau
A) faux: faible dispo
b) faux: absorption inhibé
c)V
risques hormonothérapie (5)
- Augmente les risques thromboemboliques
- Augmente les risques d’AVC
- Augmente les risques de cancers hormonodépendants (sein, endomètre)
- Augmentation de densité mammaire (faux positifs)
- Augmentation du risqué de cholélithiase/cholécystite
bénéfices hormonothérapie
*Peut aider les symptômes de la périménopause:
* Améliore les troubles du sommeil
* Réduit la dyspareunie
* Réduit l’atrophie génitourinaire
* Peut aider à diminuer les bouffées de chaleur
*Protection osseuse
V ouF
Dans un contexte d’ostéoporose, on souhaite:
A) La présence d’oestrogènes pour la protection
B) La présence de progestatifs SAUF en cas d’hystérectomie, pour prevention des cancers de l’utérus
A) V
B) V
effets sec hormonothérapie (6)
- Céphalées
- Mastodynie
- Saignements imprévisibles (surtout au début) et pertes vaginales
- Troubles de l’humeur et somnolence
- Prise de poids
- Irritation cutanée
choix de tx hormonothérapie en fonction de: (5)
- Sexe
- Âge
- Facteurs de risque ostéoporotique
- Essais d’autres médicaments
- Autres conditions de santé
choix du tx hormonothérapie selon:
-risque faible
-risque mod
-risque élevée
Risque faible = habitudes de vie
* Ex:Femme 50 ans, score T de -1.0
Risque modéré = habitudes de vie + discussion phl
* Ex:Femme 50 ans, score T de -2.4 sans fracture
Risque élevé = approche pharmacologique recommandée et habitudes de vie
* Ex: Femme 65 ans, score T de -3.0 (actomel)
en gros, se souvenir que si un pt a de la mdx pour ça, c’est qu’il est a risque élevé
Choix de la molécule / du mdx pour un patient (soulagement dlr) va être basé sur: (5)
• Type de douleur
• Antécédents de santé du patient
• Antécédents de prise de medicaments
• Facteurs de risque (santé, toxicomanie)
• Compliance du patient
V ou F
dans la prescription des analgésiques pour la douleur, on va préférer des molécules à courte action afin de diminuer le risque de dépendance
F
mol à longue action
donner les 3 principaux avantages des opioides
1) multiples voies d’administration,
2) plusieurs molecules de puissance et de sélectivité différentes,
3) absence de plafond thérapeutique
donner les 3 inconvénients principaux des opioides
1) beaucoup d’effets secondaires,
2) tolérance importante,
3) risque de dépendance
V ou F
il existe un modèle claire avec une échelle et un gui de de pratique concernant la pharmacologie des dlr MSK
F il en existe pas
V ou F en ce qui à trait aux traitement à privilégier pour les dlr MSK:
les évidences sont faible pour le soulagement de la dlr avec des thérapies manuelles
vrai
associé au niveau d’évidence en ce qui à trait à la gestion des dlr MSK (évidence forte, modéré ou limité)
A) thérapie manuelle
B) exercices
C) intervention psychosociale
D) conseils d’auto-gestion et éducation
E) injections de cortico
F) analgésiques oral et topiques
G) chirurgie
H) autre tx (thérapie complémentaire par ex)
A) thérapie manuelle: limité
B) exercices : forte
C) intervention psychosociale: modéré
D) conseils d’auto-gestion et éducation: limité
E) injections de cortico: forte
F) analgésiques oral et topiques: modéré
G) chirurgie: limité
H) autre tx : limité
rôle du chiro dans la prise en charge d’une condition rhumato