Cours #3 Flashcards
Rappel du rêve
Facteurs physiologiques
- rappel en SP (stade 5) › SOL (stade 3-4)
- réveil spontanées en SP = ↑ probabilité de rappel
- éveil en lab en SP = 80 % rapportent un rêve
- expérience d’un 1er rêve en LAB = incorporation d’éléments du LAB
- rêves + élaborés et images en SP
- on avance dans la nuit, + le contenu est riche ( ↑ durée SP)
- période optimale de collecte de rêves en SP = entre 10 et 20 minutes après début SP
Rappel du rêve
Facteurs individuels ; FREUD
- absence de rappel de rêve = manifestation de refoulement
- rêve = gardien du sommeil , le rêve ne doit PAS atteindre la conscience
- refoulement secondaire = éveil durant la nuit à ce moment souvenir du rêve, mais éveil à la fin de la nuit PU de souvenir
- individu les + susceptibles d’oublier leurs rêves seraient ceux qui ont recours au refoulement comme mécanisme de défense
Rappel du rêve
Facteurs individuels ; SCHONDAR
corrélation significative entre rappel et échelle de refoulement (aucun autre étude a reproduit ces résultats)
Rappel du rêve
Facteurs individuels ; WATERMAN-CORY
corrélation + ; ↑ mémoire visuelle, MCT et MLT = ↑ rappel
Rappel du rêve
Facteurs individuels ; HARTMAN et al
intérêt porté aux rêves et la motivation à s’en souvenir
Facteurs circonstanciels
STRESS ARTIFICIEL
↓ du rappel ;
-ex ; présentation pré-hypniques de films stressants = rappel en SP ↓ = le dormeur droit avoir rêvé mais PAS de souvenir du contenu
Rappel qualifié de ND (no dream)= + susceptible d’être la manifestation du refoulement que les réveils sans rappel
-CARTWRIGHT ; présentation pré-hypnique de films érotiques = ↓ du rappel
Hypothèse que le stress provoque des rêves tellement chargé émotivement qu’ils nécessite une censure (reste dans l’inconscient)
Facteurs circonstanciels
STRESS NATUREL
↑ du rappel
-Belicki = situation de stress de la vie courant
-Armitage = F se souviennent mieux de leurs rêves en périodes de stress que les H
-STRESS ; ↑ réveil, ↑ rappel
lié à la continuité
↑ activation corticale ; ↑ éveil et ↑ rappel
Caractéristiques du Rêve ( qui ↑ rappel)
intensité émotionnelle modéré (par TROP intense)
rêve en couleur
rêves intéressants et vivant
Facteurs mnémoniques
- Rappel = exercice mémoire
- Réveil spontané en SP = mémoire à court terme à qui on peut permettre de transferer en mémoire à long terme si PAS d’interférences (ex. aller au toilette = interférence)
- réveils brusques VS réveil graduels
- Primauté Vs récence (meilleurs rappel des 1er rêves et des derniers au dépend de ceux qui se retrouve au milieu)
Modèles théoriques
modèle rappel du rêve de COHEN
facteurs pré-hypniques
A)Individuelle ; humeur-émotions-act. cognitive- psychodynamique
B) environnement = imput physiologique (faim, cardiaque…) et activité corticale
modèle théoriques
modèle rappel du rêve de COHEN
facteus hypniques (sommeil)
A) contenu du rêve = qualité perceptuel, contenu émotif et intérêt du contenu
B) physiologique ; stade du sommeil, activité tonique VS phasique (REM). SP VS SOL
modèle théoriques
modèle rappel du rêve de COHEN
Facteurs post-hypniques
A) individuelle = capacité d’attention, motivation, personnalité
B) environnement = distraction
Modèle théoriques
modèles rappel du rêve de COHEN
Les facteurs pré-hypniques et hypniques s’interinfluence
Les facteurs hypniques et post-hypniques s’interinfluence
les facteurs post-hypniques sont ceux qui détermine le plus le RAPPEL.
Tandis que les facteurs post-hypgniques et hypniques influence le SEUIL D’ÉVEIL
Modèle théoriques KOULACK et GOODENOUGH
- mémoire à court-terme à long terme = information remémorée si un réveil se produit durant la survie de la trace mnésique dans la mémoire à court terme
- information enregistrée à l’éveil entre en compétition dans le système d’information dont la capacité est limité = information + importante ( la + saillante) est privilégiée
- relation entre charge émotive et rappel a matin
- en vertu de la mémorabilité, + une charge affective d’une rêve serait marquée, + elle favoriserait le rappel. Cependant, si charge affective trop ↑ = censure
Modèle théoriques KOULACK et GOODENOUGH
graphique
taux (%) rappel du rêve en fonction du niveau émotif du rêve.
- un faible niveau émotif est associé avec un faible taux de rappel
- un modéré niveau émotif est associé avec le plus haut taux de rappel
- un niveau élevé émotif est associé avec un faible taux de rappel
3 hypothèses reliées au RAPPEL
REFOULEMENT
REFOULEMENT =
contenu des rêves peut représenter la transformation «défensive» du matériel «dérangeant» (voir menaçant) dans des rêves sécures, neutres.
***appuis empiriques ont été démontrés par d’autre approches
3 hypothèses reliées au RAPPEL
CARACTÉRISTIQUES («sailliance»)
CARACTÉRISTIQUES =
rappel du rêve est positivement corrélé avec la «vigilance» neurophysiologique pendant le SP, l’habileté à physiologique, l’impact émotif de l’expérience donc les facteurs qui sont plus susceptibles d’éveiller notre conscience et attirer l’attention pendant le rêve
*** certains appuis empiriques
3 hypothèses reliées au RAPPEL
INTERFÉRENCE
INTERFÉRENCE =
rappel du rêve est inversement corrélé avec les événements qui interfére avec la consolidation ou la récupération des souvenirs associés à l’expérience de ‘‘rêver’’ durant le rêve et l’éveil
*** certains appuis empiriques
QUE FAIRE POUR SE SOUVENIR DE SES RÊVES
selon P. Garfield
6 trucs
1- accepter chaque rêve dans sa valeur
2-avant d’aller dormir, planifier de se souvenir de n’importe quelle activité onirique (crayon-papier à proximité)
3- auto-suggestion de rêver et de pratiquer le rêve
4- choisir son moment pour le réveil spontané (cadran - PAS si intoxiqué)
5-demeurer au lit et laisser images nous envahir
6- écrire ses rêves (du dernier au 1er / du plus récent au plus ancien)
SOURCE du rêve
veille et expériences passées
il semble que les rêves contiennent souvent des éléments relatifs aux événements passés =
- lors étude en lab, élément relatifs à cette situation sont souvent incorporés dans les rêves des participants
- cauchemars liés à des trauma du passé (ESPT)
- les événements stressants laissent souvent une trace plus importante
SOURCE de rêve
visualisation de films avant le sommeil
- éléments des films incorporés aux rêves
- parfois incorporés lors des nuits subséquentes
- on peut dire que les éléments de la journée, une fois la nuit arrive, font partie du passée de la personne
SOURCE du rêve
séquences des rêves et son contenu
- rêves au début de la nuit font souvent références aux événements de la journée
- rêves du milieu de la nuit font référence aux événements + éloignés, dans la mémoire du sujet ou dont nous n’avons pas tenus compte durant l’éveil
- rêves du matin font référence à des éléments qui peuvent nous aider à résoudre un problème de la vie présente ou dont nous n’avons PAS tenu compte durant l’éveil
SOURCE du rêve
stimulations internes
conditions physiques de la journée peuvent se traduire dans le contenu des rêves =
- participants privés de liquide ont des rêves contenant des thèmes de liquide
- rêves durant les périodes pré-menstruelles et menstruelles ont souvent rapport avec les manifestations somatiques ressenties
SOURCE du rêve
stimulations externes
-ALFRED MAURY et son rêve de guillotine
-stimulation physiques en lab durant SP
son - intro dans le rêve d’un tremblement de terre
lumière - intro dans le rêve du feu
goutte d’eau - intro dans le rêve d’un débit d’une chute
SOURCE de rêve
Introduction du nom dans le SP
1- incorporation assonante = «son» incorporé mais avec une signification différente (ex. Robert = Rabbit)
2- incorporation par association = «son» Richard fait rêver a un magasin appelé Richard connu du sujet
3- incorporation par représentation = un personnage nommée du nom présenté est incorporé dans le rêve
4- incorporation directe = le nom présenté est entendu ‘‘prononcé’’ dans le rêve
- le nom du sujet serait + facilement incorporé au rêve
- stimulation externe ont une influence sur le contenu des rêves
- la stimulation a une valeur personnelle, + l’impact sera grand dans le rêve
la personnalité et les rêves
FREUD
postule qu’il n’y a pas de lien entre perso et rêve
-personnalité (moi = conscient) se développement via le refoulement de pulsions (ça = inconscient) non-acceptés par normes sociales (surmoi = pré-conscient)
-pulsions refoulées inconscientes se retrouvent dans les rêves
-contenu des rêves =
A) MANIFESTE (version métaphorique du désir réfoulé ; le rêve tel quel)
B) LATENT (désir refoulé ; l’interprétation du rêve)
Donc, le rêve = compromis permet de réaliser le désir tout en le gagnant inconscient et en maintenant le sommeil
La personnalité et les rêves
JUNG
rêve a un rôle de compensation
aurait un fonction adaptative
-certains aspects des rêves pourraient servir d’indices sur les caractéristiques de la personne du rêveur
Étude sur la compensation
Études portant sur la compensation psychologique des rêves
-participants étaient privés de plusieurs aspects psychologiques le jour avant la collecte de rêve =
soumis À ; 8 heure de monotonie, isolement sociale, immersion sociale
-résultats ont montré qu’il y avait PAS de compensation durant les rêves alors les ATTENTES SONT NON rencontrés
Étude sur la compensation
SAMSON- DE KONINCK
contrôle pour niveau de névrotisme
selon YUNG ; peu de névrotisme = BCP ds rêve
-PAS de relation entre extraversion dans la personnalité et extraversion dans le rêve
RÉSULTATS NE SUPPORTENT PAS LA THÉORIE DE LA COMPENSATION ENCORE UNE FOIR
La personnalité et les rêves
Alder
rêve comme continuité entre aspiration du sujet, son style de vie
-rêve pourrait exprimer la présence de conflits avant même que le rêveur en ait consciene. Le rêve deivent instrument d’étude et même un outil dans le processus de développement de la personne
Étude sur la continuité
Palmère = ind introverti VS extraverti
intro ont plus de réponses introverti dans leur rêve que de réponse d’extra (vice-versa pour extra)
Nouveau regard sur les rêves des F
mère au travail VS mère au foyer
mère au travail - rêves referant surtout au milieu de travail
mère au foyer = rêves référant à la vie familiale
DONC LIÉ à la théorie CONTINUITÉ
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
les items mesurés ; soi corporel - qualitatifs du soi- soi émotifs- soi adaptatif - soi interpersonnel et rôles du soi
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
ADO
++ relations interpersonnelles et surtout amicale
- soi corporel tient peu de place
- recherche d’identité personnelle et différenciation du soi semblait se traduire par la colère et la résistance à la conformité (CONTINUITÉ)
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
Femmes au foyer
rêve axés sur rôle mère-amie
soi interpersonnel = interactions amicales
soi émotif = prédominante joie / appréhension
soi adaptatif = autonomie, malchance, obéissance aux règles sociales, succès (CONTINUITÉ)
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
Femmes au travail
rêve axés sr leurs double-rôle
soi interperso = interactions + agressive
soi émotif = prédominance colère et confusion
soi adaptatif = chance -conformité
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
Femmes 3e âge
représentation de soi + floues
peu d’émotions sauf appréhension
soi interpersonnel = interaction plutôt amical mais avec peu d’intimité suggérant désengagement
soi adaptatif = malchance
Nouveau regard sur les rêves des F
représentation de soi dans les rêves des F d’âge différents
CONCLUSION
contenu manifeste traduit certaines préoccupations liées aux rôles traditionnels et aux nouveaux rôles ainsi que celles marquants le développement psychologique à divers étapes de la vie
-Empui empirique supplémentaire à la perspective théorique de la CONTINUITÉ
CARTWRIGHT
- rêve traite informations importante sur la plan affectif (crises)
- crise = menace sécurité physique, intégrité psychologique, lien sociaux
- rêve = recherche de souvenirs qui nous aident à s’adapter avec crise actuelle
- vu que crise = inconsistances de soi/ de coping durant le rêve favorise la consolidation de l’identité
STRESS
principaux résultats (5)
1- PAS plus d’incorporation en temps d’examen qu’en temps contrôle
2- PAS plus d’indice d’émotions négative et de stratégies de gestion différentes dans rêves avec incorporations que rêve SANS incorporations
3- rêveurs qui n’ont PAS eu d’incorporations dans leurs rêve utilisent PLUS la stratégies de résolution de problème pendant la vie éveillé que les autres
4- PAS plus de stress et d’émotions - pendant la période éveillée que pendant le rêve
5- corrélation + est aussi observée entre les stratégies de résolution de problème dans les rêve et ‘‘positive reapraisal (restructuration - voir positivement la situation) à l’éveil
STRESS
conclusion
2 stratégies de gestion utilisées à l’éveil ont joué un rôle significatif dans le processus d’incorporation de la situation stressante
PSYCHOPATHOLOGIE et rêve
Dans les troubles psychopathologiques, les rêves contiennent des éléments caractéristiques
- ind ayant évidences de pathologie ont une + grande fréquence de rêves vivace et bizarre qu’une popu ‘‘normale’’
- personne souffrant des même pathologie ont souvent des rêves similaires selon la patho
- Psychologue et psychiatre voient souvent le rêve comme un instrument de résolution de problème personnels
Psychopathologie et rêve
Maladie psychosomatique
- rêves sont chargés émotivement et ont un haut niveau d’hostilité
- des rêves très traumatiques qui se répètent pourraient provoquer l’émergence du trouble physique (douleur qui persiste après le rêve ; hypothèse de LEVITAN)
psychopathologie du rêve
Tr. psychotiques *sujet SZ vs Normaux
-récit de leurs rêves est court et peu élaboré
-contenu primitif et direct et NEUTRE au plan affectif
-contenu souvent - hallucinatoire comme si les hallucinations de leur vie éveillé étaient le résultats d’un déplacement du SP à l’éveil
- leur rêves sont + violents (hostilité ouverte) l’agression est généralement dirigée sur le rêveur
-ils sont observateur plutôt que Participant
-il y a prédominance de personnages étrangers
ATTENTION : difficile de déterminer si les différences au niveau du contenu des rêves sont attribuables À
-déficits durant l’éveil
-déficits durant sommeil
-condition de schizophrénie
DES études montreraient que les rêves des pers. préschizoides pourraient contenir des indices de l’imminence d’un état psychotique (rêve très violents avant l’apparition d’une crise)
Psychopathologie et rêves
Dépression
- récit très court
- rêves contenant surtout (exclusivement) des personnes de la famille
- thème souvent ‘’ masochistes’’ et agression est dirigée autant vers le rêveur que vers les personnages
- rêves contiendraient peu de thèmes dépressifs dans le contenu manifeste mais BCP dans le contenu latent
Psychopathologie et rêves
Dépression - étude ARMITAGE
comparaison entre patients des 2 sexes souffrant de dépression majeure
-rappel du rêves et de leur contenu avant et après TX
- % rappel pré-TX = 20%
-post-TX ;
% rappel diminue
contenu émotif reste le même
Au pré comme au post = les F ont des rêves + imagés, avec + de personnes autres que soi, + de références au corps et avec + de contenu sexuel
psychopathologie et RÊVE
trouble anxieux
rêve des personnes névrotique ont + de caractéristiques de tensions et d’agression
- si la personne souffre PHOBIE = source de phobie se retrouvent dans le rêve.
- si on traite le rêve, au même titre que la phobie, la présence de la source disparaît des rêves tout au long du traitement
Psychopathologie et RÊVE
État de stress post-trauma-
majorité rapporté mauvais rêves liés au trauma
-réplication exacte du trauma
-version modifié du trauma
-représentation métaphoriques
rêves sont en générale + ordinaire et réaliste / - bizarre et imaginatifs que chez la population normales
Émotions dans le rêves :
- enfants ayant vécus événements trauma = anxiété-hostilité
- victimes d’abus sexuels/agressions = peur, terreur, tristesses, impuissance
- survivants Holocaust = anxiété-hostilité-culpabilité et persécution
Psychopathologie et rêve
TOC
-élaboration des rêves selon l’échelle Orlinsky = gr. contrôle
- rêves ayant un thème obsessif-rituel = groupe contrôle
- anxiété, tristesse, échec = groupe contrôle
- rpeves des personnes soufffrant de TOC semblent similaire à ceux du groupe contrôle ( MAIS seulement une étude effectuée à ce jour)
psychopathologie et rêve
INSOMNIE
aspect - dans les rêves (plus INS que BD)
contenu émotif dans les rêves (INS=BD)
fréquence de cauchemar ( plus INS que BD)
description - de soi dans les rêves ( plus INS que BD)
émotions-éléments -, problèmes, interactions physiques, agressives dans les rêves (plus INS que BD)
psychopathologie et rêve
CAUCHEMARS
différences entre TERREUR nocturne et CAUCHEMAR
ATTENTION = problème avec définition du cauchemar si on prend comme dénominateur commun contenu ANXIOGÈNE
psychopathologie et rêve
CAUCHEMARS
Études Belicki-cuddy (1991)
sondage auprès de 1700 étudiants
- 9% cauchemars semaines précédentes
- 6% dans le mois précèdents
- 7% aucun cauchemar durant dernière année
différences dans l’occurrence reliées avec personnalité du rêveur ?
-certains rêveurs ne sont PAS dérangés par leur cauchemar le lendemain alors que d’autres OUI énormément
Contenu des cauchemars selon l’ÂGE
ENFANT-ADO-ADULTES
entre 10-15% des enfants de 2-5 ans ont des cauchements
-difficulté de différencier le rêve de la réalité
-2 ans = peur d’être dévoré/mordu/poursuivi
3-5 ans = animaux puissants/destructeurs
Âge scolaire = figures humaines - bêtes - articulées machine - étrangers - dangers
ADO = images corporelle, dangers liés aux pairs
ADULTES = réalité présente
Origine des cauchemars CHRONIQUES
- liés à des traumatismes combat en temps de guerre vie en camp de concentration viol, torture, naufrage, accident -ceux qui n'ont pas vécu ces situations hérédités-environnement- mx physique- Psychopatho - périodes de stress- produits pharmaceutiques
Cauchemars (HARTMAN)
3 groupes = PAS de cauchemars
cauchemars fréquents
rêves traumatiques récurrents
individu du 2e groupe montrent + de caractéristiques telles qu’une personnalité sensible-artiste et créative, les rendant + vulnérables
Personnalité à frontière «Fluides» (THIN) et «étanches» (THICK)
1- frontières existent entre diverses structures Psychologique (ex ; entre le ça, le moi et le sur moi, la pensée et l’émotion ou entre la personne et son environnement)
2- Frontières représentent les types de séparation et de contact
Étude HARTMAN portant sur les personnes rapportant des cauchemars fréquents
- sensibles-ouverts-vulnérables-confiantes mêlant facilement les images, pensées, émotions frontières Psycho Fluides
- PAS de signes de pathologie tel que l’anxiété-hostilité
À L’OPPOSÉ : individu solides, peu vulnérables, retrouvés en grande partie dans les secteurs de ingénierie-droit-vente
Questionnaire = BOundary questionnaire
- FLUIDITÉ = + d’interactions entre les personnages, les émotions + vive et imagerie + saillantes
- ÉTANCHÉITÉ = imagerie - fantaisie, - bizare, - cauchemardesque
Personnalité Frontière FLUIDE=ÉTANCHE
étude SCHREDL-SCHAFER-HORFMAN-JACOB
- 3 semaines chez 97 étudiants
- rêveurs frontières fluides ; + rappel de rêve et cauchemar + intense (+ négatif), + interactions verbales
Suggestion = personnalité frontière
études des frontières gagnerait à mettre en relation les préoccupations à l’éveil des rêveurs de 2 types avec le contenu de leurs rêves
Traitement des cauchemars
- désensibilisation
- tx psychanalytique
- suggestion pré-hypnique
- contrôle (rêve lucide)
- autres….
Q’est-ce qui a le + d’influence sur le rappel du rêve
A) rêve se produit en début de la nuit
B) rêve transpose l’événement de la journée
C) rêveur est très motivé et prote bcp d’intérêt à ses rêves
D) la couleur de notre chambre à coucher
E) intelligence émotionnelle du dormeur
MOTIVATION
Selon FREUD, refoulement secondaire est =
A) au matin, on ne se souvient PAS des rêves qui ne sont pas important
B) au matin, on ne se souvient PAS de nos rêves s’il y a interférence
C) au matin, on ne se souvient PAS de rêves dont on ne souvenait pendant la nuit (lors d’un éveil)
D) au matin, on ne se souvient JAMAIS de nos rêves
C)
VRAI OU FAUX
plus on avance dans la nuit, plus le contenu de nos rêve est pauvre
FAUX ; c’est le contraire.
Dans l’article LORTIE-LUSSIEUR « nouveau regard sur les rêves des F», le soi adaptatif des aînées était confronté presqu’exclusivement à QUOI ?
A) interaction + souvent amicale qu’agressives
B) appréension
C) malchance
D) faible degré d’intimité dans relations interpersonnelles
MALCHANCE
VRAI ou FAUX
Une confirmation de la conception du rêve selon ADLER nous vient de l’observation que les enfants dominateurs étaient moins actifs dans leurs rêves que les enfants moins dominateurs
S’il est question de la conception du rêve d’ALDER, il s’agit donc de continuité. Alors si les enfants dans la vie éveillé sont plus dominateurs, il devrait l’être aussi dans leur rêve.
Sommes-nous plus susceptibles de nous souvenir de nos rêves lors de réveils spontanés ou bien graduel (en SP) ?
réveil spontané
Dites moi quelle effet a le stress induit et le stress naturel sur le rappel ?
stress naturel = semble faciliter le rappel
stress induit = semblet inhiber la capacité de se rappeler
Les caractéristiques du contenu onirique peuvent avoir un influence sur le RAPPEL mais pas sur les CAPACITÉS MNÉMONIQUES
FAUX ; plusieurs caractéristiques tels que les couleurs ou l’intensité du rêve peut influencer le RAPPEL ainsi que la CAPACITÉ MNÉMONIQUE
Il existe plusieurs modèles qui tentent d’expliquer le RAPPEL. Par contre, ils sont différents et tiennent compte de facteurs d’influence différents.
FAUX, chacun tenant compte des facteurs ind., de l’environnement que ce soit PRÉ-PENDANT et POST
L’idée que le rêve dure plusieurs minutes est fausse, le rêve ne dure qu’en réalité quel quelques fractions de secondes
FAUX, le rêve dure quelques minutes et peu même aller jusqu’à 20 minutes
Qu’est-ce qui peut être «retracé» dans le contenu MANIFESTE des rêves
- expériences passées,
- stimulations internes - externes
Il n’existe pas énormément de source pour le rêve et les recherche actuelle permettre d’établir des lois qui déterminent la probabilité d’incorporation.
FAUX, il existe une multitude de sources des rêves et nous sommes bien loin d’avoir découvert des lois qui détermineraient la probabilité d’incorporation
EN générale (lorsqu’on aborde la psychopathologie Et les rêves) ;
- tension et agression = mx psychosomatique
- diminution d’hallucination et hostilité = névroses
- masochiste et agression = psychose
- charge émotive et hostilité = dépression
FAUX
- tension agression = névrose
- charge émotive et hostilité = mx psychosomatique
- diminution hallucivation et hostilité = psychose
- masochiste et agression = dépression
Les personnes rapportant des cauchemars se distingue au niveau de leur personnalité de celles qui n’en rapportent pas
VRAI