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psychologie de la perception > cours 3 > Flashcards

cours 3 Flashcards

1
Q

Comment s’effectue le traitement de l’information dans le système nerveux?

A

par la communication entre les neurones, donc au niveau de la synapse.

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Q

Quelles sont les deux propriétés importantes au niveau de la synapse qui contribuent au traitement de l’information?

A

la convergence et l’inhibition dont le rôle peut être illustré avec l’aide de circuits neuronaux artificiels.

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3
Q

Qu’est-ce qu’un circuit neuronal?

A

Ensemble de neurones qui sont interconnectés par des synapses

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4
Q

Quelles sont les caractéristiques de la synapse qui sont importantes pour le traitement de l’information?

A

convergence de plusieurs neurones vers une même cible, connexions excitatrices et inhibitrices

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5
Q

Qu’est-ce qu’un circuit linéaire?

A

Récepteurs connectés par synapse excitatrice. Transmission de l’excitation 1 pour 1. Aucune inhibition.

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6
Q

Qu’est-ce qui se produit dans un circuit avec convergence et excitation seulement?

A

Il y a de plus en plus de récepteurs qui vont se stimuler et étant donné les connexions qui existent dans notre système neuronal, plus il y a de récepteurs, plus il y a de l’excitation.

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7
Q

Qu’est-ce qui se produit dans un circuit avec convergence, excitation et inhibition?

A

On a une source inhibitrice qui diminue la réponse.
Dans un circuit neuronal aussi simple, on a une cellule qui est capable de déterminer la longueur d’une ligne projetée sur la rétine.
Permet d’expliquer les illusions.

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8
Q

Quelles sont les 5 couches cellulaire contenues dans la rétine en ordre?

A

photorécepteurs (cônes et bâtonnets), cellules horizontales, cellules bipolaires (diffuses et midget), cellules amacrines et cellules ganglionaires

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9
Q

Qu’est-ce que les cellules horizontales?

A

Impliquées dans les phénomènes d’inhibition latérale: si on stimule à une place ça l’envoie de l’inhibition aux voisins.

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10
Q

Qu’est-ce qu’un phénomène d’inhibition latérale?

A

si on stimule à une place ça l’envoie de l’inhibition aux voisins.

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11
Q

Qu’est-ce que les cellules bipolaires?

A

effectuent un contact d’une couche à une autre à travers le système neuronal

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12
Q

Qu’est-ce que les cellules bipolaires diffuses?

A

ont des embranchements étendus à travers l’étendue rétinienne

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13
Q

Qu’est-ce que des cellules bipolaires midgets?

A

entretient une relation plus privilégiée avec un ou deux photorécepteurs voisins. Étendue très restreinte.

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14
Q

Qu’est-ce que les cellules amacrines?

A

impliqué dans les phénomènes d’inhibition latérale: si on stimule à une place ça l’envoie de l’inhibition aux voisins. Influencent la sortie du réseau neuronal.

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15
Q

Combien de photorécepteurs vs cell ganglionnaire contiennent les bâtonnets?

A

120:1

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16
Q

Combien de photorécepteurs vs cell ganglionnaire contiennent les cônes?

A

6:1

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17
Q

Combien de photorécepteurs vs cell ganglionnaire contiennent les cônes dans la fovéa?

A

correspondance peut aller jusqu’à 1:1 (via les cellules bipolaires midget)

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18
Q

Cette différence dans le taux de convergence pour les bâtonnets et les cônes est responsable de deux différences fonctionnelles importantes entre ces deux classes de photorécepteurs, lesquelles?

A
  • Meilleure sensibilité des bâtonnets à l’énergie lumineuse (après adaptation à l’obscurité)
    -Meilleure acuité visuelle (i.e. perception des détails) pour les cônes que les bâtonnets
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19
Q

Quelle est la différence entre les bâtonnets et les cônes?

A

Bâtonnets: circuits neuronaux à l’origine des bâtonnets qui présentent bcp de convergence qui s’exerce bcp via les circuits neuronaux à l’origine des bâtonnets. Meilleure sensibilité des bâtonnets après l’adaptation à l’obscurité. On voit tous les petits détails.
Cônes: Moins de convergence qui varie selon la localisation rétinienne. Contribuent le plus à notre acuité visuelle. On voit flou.

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20
Q

Qu’est-ce que la sommation spatiale?

A

Addition de l’activité de neurones ayant des champs récepteurs spatialement distincts. Ce processus est produit par des circuits neuronaux convergents. Influence excitatrice des photorécepteurs qui convergent leur signal vers la même cellule ganglionnaire qui produit des réponses même quand les bâtonnets sont stimulés avec une faible énergie lumineuse.

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21
Q

Pourquoi la cellule ganglionnaire activée par les bâtonnets reçoit plus de synapses excitatrices que celle activée par les cônes?

A

Étant donné la sommation spatiale

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22
Q

Vrai ou faux: Moins d’énergie lumineuse est requise pour stimuler un bâtonnet qu’un cône

A

Vrai

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23
Q

Vrai ou faux: les bâtonnets ont un niveau de convergence plus élevé

A

vrai

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24
Q

Qu’est-ce que l’acuité perceptive?

A

Résolution spatiale du système perceptif. Une meilleure acuité permet de distinguer de plus petits détails.

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25
Q

Comment établir l’acuité?

A

Une manière d’établir l’acuité est de mesurer la distance minimale nécessaire entre deux points pour que nous puissions les discriminer.

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26
Q

Notre acuité visuelle varie en fonction de quoi?

A

En fonction de la région rétinienne stimulée

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27
Q

Quelle est la région rétienne offrant l’acuité maximale?

A

La fovéa (centre du champ visuel). . Plus on s’éloigne de la fovéa, plus l’acuité visuelle est réduite.

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28
Q

Cette variation de l’acuité selon la position d’un stimulus dans le champ visuel dépend de quoi?

A

En partie de la variation de la densité des photorécepteurs en fonction de la localisation rétinienne. Elle dépend également des différence entre les cônes et les bâtonnets au niveau de la sommation spatiale.

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29
Q

Que signifie une haute densité de cônes par rapport à l’acuité visuelle?

A

Meilleure acuité visuelle

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30
Q

Vrai ou faux: Les cônes au moins de somation spatiale.

A

Vrai

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31
Q

Pk circuits neuronaux qui origines des cônes nous permet d’avoir une meilleure acuité visuelle?

A

Même s’il y a un intervalle vide, rendu à notre cellule ganglionnaire, on perd l’info qu’il y a un intervalle vide.

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32
Q

Par quoi est produite l’inhibition?

A

Par les synapses inhibitrices

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33
Q

Sur quel animal a été étudié le rôle de l’inhibition?

A

la limule

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34
Q

Pourquoi a-t-on étudié le rôle de l’inhibition chez la limule?

A

car sa structure particulière de l’œil permet la stimulation de photorécepteurs individuels

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35
Q

Pourquoi appelle-t-on comment appelle-t-on le phénomène lorsque l’inhibition est transmise par des connexions latérales?

A

;e phénomène d’inhibition latérale.

36
Q

Quel est le rôle de l’inhibition sur le plan fonctionnel?

A

l’accentuation des contrastes (en facilitant ainsi la détection).

37
Q

À travers quoi se produit l’inhibition latérale?

A

Celle-ci se produit à travers les connexions latérales réalisées par les cellules horizontales et amacrines de la rétine.

38
Q

Le rôle de l’inhibition latérale dans la détection des contrastes peut être mis en évidence avec quelle illusion?

A

l’illusion produite par la grille de Hermann ou l’illusion des bandes de Mach

39
Q

Qu’est-ce qui cause l’illusion des bandes de Mach?

A

L’inhibition latérale accentue l’impression de contraste au niveau de la frontière entre une région claire et une région foncée, causant ainsi l’illusion des bandes de Mach

40
Q

Qu’est-ce qu’un champ récepteur?

A

Portion de la rétine qui, lorsqu’elle est stimulée, affecte l’activité du neurone.Cet effet peut être excitateur ou inhibiteur.

41
Q

Qu’est-ce que la zone excitatrice?

A

La présentation d’une stimulation lumineuse dans cette portion du champ récepteur augmente la fréquence de l’influx nerveux.

42
Q

Qu’est-ce que la zone inhibitrice?

A

La présentation d’une stimulation lumineuse dans cette portion du champ récepteur réduit la fréquence de l’influx nerveux et peut même en bloquer la production. Le retrait de la stimulation lumineuse dans cette portion du champ récepteur est accompagné d’une augmentation transitoire de la fréquence de l’influx nerveux (réponse ‘off’).

43
Q

Par quoi sont déterminés les champs récepteurs de neurones individuels?

A

par l’enregistrement de leur activité avec l’aide de microélectrodes en réponse à la stimulation qui est projetée sur la rétine.

44
Q

Que met en évidence l’enregistrement de l’activité des cellules ganglionaires en réponse à la stimulation visuelle ?

A

un traitement de l’information qui est effectué au niveau rétinien, i.e. il y a transformation de la représentation visuelle entre les photorécepteurs et les cellules ganglionnaires.

45
Q

Que ce passe-t-il si la lumière est dans la zone excitatrice?

A

Augmente la fréquence d’influx nerveux émis par le neurone

46
Q

Que ce passe-t-il si la lumière est dans la zone inhibitrice?

A

diminue la fréquence d’influx nerveux émis par le neurone

47
Q

Au niveau des cellules ganglionnaires, on constate des champs récepteurs concentriques de deux types complémentaires, lesquels?

A

centre excitateur et périphérie inhibitrice
centre inhibiteur et périphérie excitatrice

48
Q

Que va être la réponse d’un champ récepteur concentré?

A

Quand il y a une différence entre clair et foncé que le neurone va répondre.

49
Q

Qu’est-ce que le chiasma optique?

A

Point où les nerfs optiques de chaque oeil se croisent. C’est à ce niveau que se produit la décussation optique

50
Q

Qu’est-ce que la décussation optique?

A

les fibres correspondant aux hémirétines droites de chaque oeil projettent vers le corps genouillé latéral droit (et l’hémisphère cérébral droit), et vice-versa pour les fibres provenant des hémirétines gauches.

51
Q

Où se produit la décussation optique?

A

Chiasma optique

52
Q

Qu’est-ce que le corps genouillé latéral?

A

Noyau thalamique; lieu de synapse reliant le nerf optique et le cortex visuel.

53
Q

Qu’est-ce que les radiations optiques?

A

Voie de projection entre le corps genouillé latéral et le cortex visuel primaire. ensemble de fibres nerveuses diffuses vont projeter vers des zones particulières dans le cortex visuel primaire

54
Q

Quelle est la taille des champs récepteurs?

A

Très petite

55
Q

Que veut dire controlatéral?

A

Du côté opposé

56
Q

Que veut dire ipsilatéral?

A

Du même côté

57
Q

Qu’est-ce que le cortex visuel primaire?

A

Premier site cortical recevant une information visuelle. Situé dans le pôle occipital, souvent appelé cortex strié ou V1. Celui-ci envoie ensuite des projections en direction d’autres aires corticales, appelées extra-striées.

58
Q

Qu’est-ce que le collicule supérieur?

A

Structure sous-corticale, cible de la voie de projection rétino-tectale, qui est parallèle à la voie rétino-corticale. Reçoit environ 10% des fibres ganglionnaires et est notamment impliqué dans le contrôle des mouvements oculaires.

59
Q

Quelle est la structure des champs récepteurs au niveay du corps genouillé latéral?

A

une structure identique à celle retrouvée pour les cellules ganglionnaires.

60
Q

Quel est le stimulus optimal pour les neurones du cortex visuel primaire?

A

une barre possédant une orientation particulière.

61
Q

Quelle est la représentation visuelle dans V1?

A

la représentation visuelle dans V1 prend la forme de contours orientés; ou plus spécifiquement, de rayures ayant à la fois une orientation et une largeur particulière.

62
Q

Quels sont les 3 types de champs récepteurs des cellules du cortex strié?

A

simple, complexe et hypercomplexe

63
Q

Qu’est-ce qu’une cellule simple?

A

Ont un champ récepteur ayant la forme d’une barre orientée. Le champ récepteur est constitué de 2 ou 3 bandes juxtaposées se distinguant par leur polarité. (Le terme ‘polarité’ réfère à la distinction entre zones excitatrices et inhibitrices du champ récepteur.)

64
Q

Quelle est la réponse des cellules simples?

A

La réponse des cellules simples est sélective à l’orientation. Toutefois, la stimulation par des points lumineux produit une réponse.

65
Q

Sur quoi repose la configuration des champs récepteurs des cellules simples?

A

reposer en majeure partie sur la convergence d’une collection de neurones avec des champs récepteurs concentriques (CGL) vers des neurones individuels de l’aire V1.

66
Q

Qu’est-ce qu’une cellule complexe?

A

Leur champ récepteur est sélectif à l’orientation, comme pour les cellules simples, mais leur réponse est indépendante de la localisation du stimulus dans le champ récepteur. De plus, le stimulus doit être en mouvement (avec sélectivité occasionnelle pour la direction du mouvement) et la présentation de points lumineux n’évoque pas de réponse

67
Q

Qu’est-ce que les cellules hypercomplexes?

A

Champs récepteurs activés par des lignes d’une longueur spécifique. La réponse du neurone est également sélective à la direction de mouvement. Aucune réponse n’est évoquée par une stimulation statique.

68
Q

Quelle est la particularité des cellules hypercomplexes?

A

Leur sélectivité à la longueur

69
Q

Mot troué: À mesure qu’on avance dans la hiérarchie du système visuel, plus on constate une ______________ de la richesse de l’information représentée, de sa complexité et de son niveau d’abstraction.

A

augmentation

70
Q

Que permet la sélectivité des champs récepteurs des neurones du système visuel?

A

fait en sorte qu’ils ont la capacité de signaler la présence de certaines propriétés de la stimulation visuelle – ils sont des détecteurs de traits (« feature detectors »).

71
Q

Vrai ou faux: L’existence de la sélectivité des champs récepteurs des neurones du système visuel suffit à démontrer qu’ils contribuent effectivement à la perception.

A

Faux

72
Q

Comment démontrer l’effet de la sélectivité des champs récepteurs sur l’expérience perceptive?

A

Par la méthode psychophysique d’adaptation sélective

73
Q

Qu’est-ce que l’adaptation sélective?

A

Exposition continue, pour une certaine période de temps, à un stimulus comportant une propriété spécifique. L’effet de l’adaptation sélective se manifeste par un effet consécutif sélectif, qui est lui-même causé par une fatigue cellulaire sélective (i.e. réduction de sensibilité).

74
Q

Qu’est-ce que l’effet consécutif?

A

Modification du fonctionnement perceptif suite à l’exposition prolongée à une stimulation.

75
Q

Quelle méthode est efficace pour évaluer l’effet consécutif?

A

comparer la sensibilité au contraste avant et après la période d’adaptation sélective.

76
Q

Qu’est-ce que la sensibilité au contraste?

A

Niveau de contraste minimal requis pour détecter l’alternance entre les barres pâles et foncées constituant un réseau (“grating”; pattern présentant une alternance entre des barres pâles et foncées).

77
Q

Pourquoi les réseaux contribuent-ils un outil important pour l’étude de la vision?

A

parce qu’ils correspondent au type d’information qui est représenté par les neurones de l’aire V1.

78
Q

Qu’est-ce que l’effet consécutif à l’orientation?

A

Après l’adaptation sélective à un réseau vertical, on constate une réduction sélective de la sensibilité au contraste pour cette orientation.

79
Q

De quoi résulte l’effet consécutif d’orientation?

A

d’une fatigue sélective des neurones de l’aire V1 qui répondent au stimulus d’adaptation.

80
Q

Qu’elle est l’échelle de mesure pour la fréquence spatiale?

A

le nombre de cycles du réseau (i.e. une barre foncée + une barre pâle) par degré d’angle visuel.

81
Q

Qu’est-ce que suggère la sélectivité à la fréquence spatiale des neurones de l’aire V1?

A

suggère que cette aire visuelle applique une analyse de Fourier sur la stimulation visuelle.

82
Q

Parmi les énoncés suivants au sujet des cônes et bâtonnets, lequel est faux ?
a. Il faut davantage d’énergie lumineuse pour stimuler un cône.
b. Les bâtonnets ont une meilleure sensibilité à l’énergie lumineuse après l’adaptation à l’obscurité.
c. Le niveau de convergence de tous les cônes vers les cellules ganglionnaires est d’environ 120 : 1.
d. La sommation spatiale implique que les bâtonnets envoient plus de synapses excitatrices à la cellule ganglionnaire.

A

c. Le niveau de convergence de tous les cônes vers les cellules ganglionnaires est d’environ 120 : 1.

83
Q

Parmi les choix suivants, lequel décrit le mieux la sélectivité de réponse des cellules complexes du cortex strié :
a. Une barre d’orientation particulière qui est en mouvement occasionne une réponse.
b. Une barre d’orientation particulière qui est statique évoque une réponse alors qu’un point lumineux n’en n’évoque pas.
c. Les cellules complexes répondent de façon préférentielle à une orientation particulière, immobile et située à une localisation rétinienne spécifique.
d. Un point lumineux ou une barre d’orientation particulière évoquent une bonne réponse

A

a. Une barre d’orientation particulière qui est en mouvement occasionne une réponse.

84
Q

Quel phénomène permet d’expliquer l’effet consécutif d’orientation ?

A

La fatigue sélective

85
Q

Comment se nomme la structure où il y a synapse entre le nerf optique et le cortex visuel ?

A

Corps genouillé latéral

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