Cours 2 : L'évaluation Flashcards

50sur50

1
Q

L’évaluation psychologique

Est-ce que l’évaluation psychologique se tient seulement aux symptômes?

A

Non! elle va au-delà de la symptomatologie, c’est-à-dire que l’on dresse une liste de symptômes mais on receuille d’autres informations…

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2
Q

L’évaluation psychologique

Lors d’une évaluation psychologique, quels sont les informations à obtenir sur le client? (8)

A

1- Le motif de consultation (problématique telle que vécue par la personne)
2- La compréhension de la problématique
3-Les attentes envers la démarche
4- Fonctionnement dans les différentes sphères de vie (travail, loisirs, relations d’amitié intimes et sexualité)
5- Autres difficultés (même celles non reconnues)
6- L’histoire développementale
7- Étiologie
8- Obstacles au traitement

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3
Q

L’évaluation psychologique

1- Le motif de consultation

A

Fait référence à la problématique telle que vécue par le client

Il s’agit d’une information importante mais on doit garder un jugement clinique. (ex: motifs cachés)

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4
Q

L’évaluation psychologique

2- La compréhension de la problématique

A

Il s’agit d’un très bon point de départ pour un entretien thérapeutique.

On veut voir comment le client comprend sa propre problématique ; peu ou beaucoup de nuances, compréhension élaborée vs limitée.

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5
Q

L’évaluation psychologique

3-Les attentes envers la démarche

Donne un exemple

A

Très tôt dans l’entretien, on doit s’entendre avec le client sur les attentes de celui-ci.

Il peut arriver que ces attentes soient plus ou moins claires, ou bien cachées.

Ex: enfant dont les parents sont séparés et dans un conflit de garde. L’enfant vit des difficultés par rapport à ça. Plus tard le psy reçoit une demande de l’avocat pour avoir une copie de l’évaluation de l’enfant dans la guerre sur la garde = attentes moins claires ici!

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6
Q

L’évaluation psychologique

4- Fonctionnement dans les différentes sphères de vie

A

On questionne la personne sur son travail, ses loisirs, relations d’amitiés, relations intimes, sexualité etc pour comprendre les impacts des difficultés déjà présentes ou pour découvrir d’autres difficultés

Même si certaines difficultés du client, en terme d’apparence, ne semblent pas toucher tous les sphères de sa vie, on doit quand même les évaluer.

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7
Q

L’évaluation psychologique

5- Autres difficultés (même celles non reconnues)

Donne un exemple

A

Signifie que l’on questionne les symptômes vécus chez le client autre que ceux qu’il a relevés.

Ex: client qui se trouve très épuisé dernièrement et qui a tendance à se surentrainer. Ici le psychologue pourrait aller questionner l’alimentation même si elle n’est pas soulevé par le client.

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8
Q

L’évaluation psychologique

6- L’histoire développementale

A

L’histoire développementale est importante dans la manière dont on va intervenir auprès d’une personne.

Par exemple, on intervient différement auprès d’une personne qui a toujours bien fonctionné et tout a coup elle se “brise” vs une personne qui a développer des difficultés graduellement.

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9
Q

L’évaluation psychologique

7- Étiologie

A

Ce sont les facteurs explicatifs que le thérapeute peut observer dans le moment présent autant dans l’histoire développementale que l’hisoire récente.

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10
Q

L’évaluation psychologique

8- Obstacles au traitement

Défini pronostic & donne un exemple

A

Consiste à identifier les possibles obstacles au traitement du client.

Pronostic: L’évolution prévisible d’un trouble. Quelle est la probabilité que la personne s’améliore sur tel aspect?

Exemple d’obstacle : Personne qui ment énormément ; effort conscient. Ici c’est difficile de faire un réel travail avec le client.

Ex 2 : Bénéfices secondaires d’une personne que peut apporter la psychothérapie. (ex : dépression et ne veut pas retourner au travail car lui permet d’être payée et ne pas travailler. Donc ici la personne ne fait pas d’effort dans le parcours thérapeutique car elle ne veut pas perdre ce bénéfice)

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11
Q

L’évaluation psychologique

Compte tenu des informations mentionnées comme étant importantes à collectionner lors d’une évaluation psychologique, une bonne évaluation devrait comprendre tous ces éléments. Toutefois, qu’est-ce que nous avons tendance à remarquer aujourd’hui?

A

Nous vivons dans une société où la pression à évaluer et traiter les gens souffrants rapidement est grande.

Ainsi, on remarque une tendance des psychologues à devoir “couper les coins ronds” lorsque vient de temps de faire une évaluation psychologique et donc d’entreprendre tout de suite l’intervention.

Surtout une pression exercée au public. Non présent au privé.

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12
Q

Quel est l’objectif de l’évaluation psychologique?

A

Identifier les facteurs cognitifs et émotionnels liés à la personnalité et au comportement qui témoignent d’un fonctionnement psychopathologique.

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13
Q

Méthodes d’évaluation

L’entrevue clinique

A

Entrevue qui vise à passer au travers des informations mentionnées à la page 1.

Il s’agit d’une méthode libre et flexible qui permet de couvrir un vaste répertoire de thèmes. Les techniques de cette entrevue dépendent du paradigme auquel le psychologue adhère.

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14
Q

L’entrevue clinique

À quoi le psychologue doit être particulièrement attentif lors de l’entrevue clinique?

A

Il doit être attentif au contenu verbal et non verbal du client (discours, comportements, réactions affectives, ton de voix etc).

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15
Q

L’entrevue clinique

Quel est l’inconvénient majeur de l’entrevue clinique?

A

L’inconvénient est de se faire prendre ou de se laisser emporter dans le discours du client car par moment il peut nous éloigner de la compréhension de sa problématique.

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16
Q

Méthodes d’évaluation

L’entrevue dirigée

Donne un exemple

A

Entrevue qui comporte une structure (sujet précis) ; elle contient donc des questions et des possibilités de sous-questions.

Elle permet de couvrir un vaste répertoire de psychopathologies ou de processus psychologiques car les questions sont dirigées pour chaque thème.

Ex: entrevues portant sur l’attachement (questions préparées d’avance pour explorer la relation de la personne avec ses principales figures d’attachement)

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17
Q

L’entrevue dirigée

Les entrevues dirigées peuvent être ( ) ou reposer sur un ( ).

Explique chacun.

A

Athéoriques: Entrevues qui portent sur les symptômes du DSM-5 (SCID)

Paradigme: Entrevues centrées sur un paradigme (ex: TCC anxiété ; entrevue avec questions sur les facteurs prédisposant à l’anxiété + questions sur les symptômes liés // ex 2 : TCC à quel moment les cpts de l’enfant sont récompensés? punis?)

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18
Q

Méthodes d’évaluation

Les tests psychologiques définition et nomme les 3

A

Test psychologique : Outil standardisé et normé pour évaluer divers éléments du fonctionnement psychologique (questionnaires ou épreuves).

1- Les échelles de symptômes
2- Les inventaires de personnalité
3- Les tests projectifs

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19
Q

Les tests psychologiques

Les échelles de symptômes

Secteur d’utilisation + ce qu’ils permettent

Donne un exemple

A

Évalue les symptômes spécifiques ou généraux.

Permettent d’appuyer un diagnostic, suivre l’évolution d’un traitement (ex: passer l’échelle à 2 différents temps).

Habituellement utilisé en clinique ou en recherche.

Avantage : Rapport coût-bénéfice.

Ex: BDI

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20
Q

Les tests psychologiques

Les inventaires de personnalité

Échelles + ce qu’ils permettent + contexte d’utilisation

Donne une exemple

A

Inventaire couvrant un large éventail de difficultés sur le plan de la personnalité.

Il contient des échelles de validité (mensonge, désirabilité sociale etc) et des échelles longues (mais exhaustives).

Il permet d’appuyer un diagnostic et est souvent utilisé en clinique, recherche ou bien en contexte psycho-légal (ex: apte à subir un procès)

Ex: MMPI-2 , Millon

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21
Q

Inventaires de personnalité

Quel est l’avantage principal d’un inventaire de personnalité comparativement aux autres méthodes d’évaluation?

A

Les inventaires de personnalité sont très difficiles à déjouer notamment grâce à leurs échelles de validité.

Ainsi, il est difficile pour le client de mentir, paraître sous un meilleur jour ou bien aggraver ses symptômes.

22
Q

Les tests psychologiques

Les tests projectifs

A

Ce sont des stimuli vagues qui permettent une grande variété de réponses influencées par des processus inconscients.

23
Q

Les tests projectifs

Sur quoi repose les tests projectifs et dans quels contexte sont-ils utilisés?

A

Les tests projectifs reposent sur des données probantes et non l’interprétation personnelle du psychologue.

Ils sont utilisés dans un contexte clinique et psycho-légal (car difficiles à déjouer).

24
Q

Les tests projectifs

Rorschach

Système de cotation, et contexte d’utilisation

A

10 planches d’encre.

Méthode de cotation longue et complexe (système d’Exner)

Utilisation en clinique et en contexte psycho-légal car difficile à déjouer.

25
Q

Les tests projectifs

Nomme quelques forces des tests projectifs

A
  • Difficile à déjouer
  • Capte des aspects subtils de trouble de la pensée
  • Opposition
  • Aspects malins (mensonges)
26
Q

Les tests projectifs

TAT

A

Stimuli ambigues présentant des personnages dans des situations ambigues.

On demande au client de raconter une histoire qui explique ce qui se passe sur la planche (début, milieu et fin).

27
Q

Méthodes d’évaluation

Les tests d’intelligence

Elle évalue 4 choses…

A

Visent à évaluer le QI, prédire le rendement scolaire et évaluer la douance ou la déficience intellectuelle.

Ils visent aussi à évaluer des fonctions neuropsychologiques précises comme l’attention, la flexibilité mentale, la vitesse de traitement de l’info, la mémoire de travail etc.

28
Q

Les tests d’intelligence

À quoi doit-on être vigilent par rapport aux tests d’intelligence?

A

Ce type de test demande une certaine ordre de passation précise ET une procédure standardisée. (règle d’arrêt).

ex : psy qui a été sanctionnée car elle étirait le test d’intelligence malgré la règle d’arrêt

29
Q

L’évaluation neuropsychologique (4 précisions)

A
  • Permet d’établir des liens entre le comportement et les fonctions cérébrales.
  • Identification de syndrome précis (ex: trouble de la mémoire épisodique)
  • Évaluation des impacts de lésions (AVC, traumatismes crâniens)
  • Faire des recommandations pour surmonter les difficultés observées chez le client.

champ de la psychométrie

30
Q

Diagnostic

Diagnostic psychologique : Avantages (3)

A

1- Informe sur l’étiologie et les traitements à suivre: Regroupement des sx qui permet de prédire comment le client réagira à un traitement.

2- Permet un langage commun:Facilite la communication quand on maîtrise un même langage diagnostic.

3- Facilite et organise la recherche: Permet de faire de la recherche sur des problématiques ou traitements précis.

31
Q

Diagnostic

Diagnostic psychologique : Désavantages (2)

A

1- Simplification du fonctionnement psychologique de la personne:Un diagnostic simplifie d’une manière ce que la personne vit.

2- Stigmatisation:Le diagnostic peut être plus dommageable pour le client qu’un avantage. (ex: narcissique)

32
Q

Validité des catégories diagnostiques : Leurs prédictions justes

5 points

A

Les diagnostics permettent des prédictions justes.

  • Causes communes (on peut avoir une idée de certaines causes reliées à un type de dx)
  • Permet une réponse au traitement prévisible (surtout pharmacologique)
  • Prédire l’évolution (pour certains dx, traitement = plus long)
  • Prédire les comportements (ex: phobies)
  • Spécificité de la catégorie
33
Q

Validité des diagnostics

Spécificité de la catégorie

A

Les catégories de psychopathologies sont relativement spécifiques malgré qu’il peut y avoir de la comorbidité.

Exemple, une personne peut avoir un diagnostic (dépression) et répondre aux critères diagnostic d’un autre trouble (anxiété).
- Comorbidité est très présente dans les troubles de la personnalité. (ex : TPL et personnalité dépendante)

34
Q

Diagnostic

Approche catégorielle

A

selon cette approche, le client appartient ou non à une catégorie diagnostique selon des symptômes spécifiques et un seuil clinique. (ex: avoir 4 critères sur 9)

Plutôt issu du modèle biologique.

35
Q

Diagnostic

Approche dimensionnelle

A

Selon cette approche, on fait une mesure continue des symptômes appartenant à une catégorie.

Peut tout de même avoir un seuil clinique identifié et reconnu.

Plutôt issu du domaine de la recherche.

36
Q

L’approche catégorielle

DSM-5

Définition et il contient… (3)

A

Manuel dans lequel les troubles mentaux sont organisés en catégories.

Il contient :
- Critères et symptômes spécifiques.
- Un seuil clinique établi en fonction d’un nombre de critères ou de certains critères essentiels au dx.
- Demande une altération du fonctionnement (psychologique, comportemental et relationnel) ou une détresse significative.

37
Q

L’approche catégorielle

Quels sont les utilités du DSM-5

(6)

A
  • Cadre de référence utilisé à grande échelle pour comprendre les troubles mentaux. (populaire)
  • Langage commun entre professionnels
  • Descriptions de phénomènes cliniques
  • Phénomènes pseudo-homogènes (sx qui tentent de se regrouper ensembles et donner qqc d’homogène donc permet de faire des prédictions et orienter le traitement)
  • il est athéorique (se base pas sur des théories précises)
  • Nous informe sur la prise en charge (sous chaque psychopathologie il y a une section sur la prévalence du trouble et la prise en charge prévue)
38
Q

L’approche catégorielle

Limites du DSM-5

(7)

A
  • Peu d’appuis empiriques pour certains diagnostics.
  • Chevauchement entre les catégories (sx non spécifiques)
  • Manque d’information sur l’étiologie
  • Ne reflète pas la réalité clinique qui est plus hétérogène que ce que le diagnostic semble dire.
  • Aucun modèle intégratif de compréhension clinique (pas d’info sur comment certains cpts s’organisent entre eux, plutôt une liste à cocher)
  • Informe peu la prise en charge psychologique.
  • Les diagnostics sont posés en fonction de prototypes (représentations habituelles de certains sx ; ex: si la personne s’automutile = borderline)
39
Q

L’approche catégorielle

Rappel : À quoi sert le diagnostic ?

5 “étapes”

A
  • identifier le problème
  • planifier une intervention
  • informe le pronostic
  • favorise l’empathie
  • aider la personne à mieux comprendre sa situation
40
Q

L’approche catégorielle

vrai ou faux : Le diagnostic est suffisant pour apporter une aide à la personne?

A

Faux! On doit planifier une intervention, évaluer le pronostic, favoriser l’empathie et aider la personne à mieux comprendre sa situation. (dernière diapo)

41
Q

L’approche catégorielle

Les risques du diagnostic (5)

Plus centrés sur les retombées sur le client et un sur le psy

A
  • Susciter de la peur ou des inquiétudes.
  • Confusion ou incompréhension
  • Utilisation pathologique du diagnostic
  • Stigmatisation
  • RIgidité ou erreur (possible que le psy se trompe!)
42
Q

L’approche catégorielle

Est-ce que le psychologue doit partager ou non le diagnostic psychologique du client?

A

Certains diagnostics permettent l’accès à certains services ou accomodement.

Ainsi, le psychologue doit bien réfléchir pour identifier si un diagnostic serait nécessaire ou non.

43
Q

L’approche catégorielle

Modèles alternatifs (PDM) : 3 Forces

PDM : Psychodynamic Diagnostic Manual

A
  • Basés sur les données de recherche à jour
  • Plus près de la réalité clinique
  • Compréhension clinique et étiologique (au lieu d’avoir le dx comme focus)

L’accent ici est sur la compréhension clinique de ce que peut vivre le client et moins sur le diagnostic.

44
Q

L’approche catégorielle

Modèles alternatifs (PDM) : Limites

A
  • Moins connus et moins utilisés (langage moins commun)
  • Moins reconnu (provinces, pays)
45
Q

Approches dimensionnelles

Modèles hybrides

A

Modèles qui contiennent une amalgame de catégories et d’éléments dimensionnels.

Exemples de modèles hybrides:
- Modèle alternatif des troubles de la personnalité du DSM-5
- Modèle des relations d’objet d’Otto Kernberg

46
Q

Approches dimensionnelles

Modèles hybrides : Forces

A
  • Reflet plus juste de la réalité
  • Modèle de compréhension clinique
47
Q

Approches dimensionnelles

Modèles hybrides : Faiblesses

A
  • Complexité
  • influence théorique
48
Q

Méthodes de recherche en psychopathologie

La science

A

Méthode d’acquisition et d’évaluation systématique des connaissances.

Ces connaissances sont vérifiables (peuvent être soumises à un examen systématique) et fiables (peuvent être reproductibles)

49
Q

Méthodes de recherche en psychopathologie

La théorie

A

Ensemble de propositions visant à expliquer un phénomène d’intérêt.

50
Q

La théorie

La théorie en psychopathologie permet de… (5)

A
  • Structurer la pensée (avoir un modèle théorique en tête pendant la rencontre permet d’organiser l’information)
  • Expliquer des** liens entre des construits ou des phénomènes**
  • Formuler des hypothèses
  • Tester les autres théories
  • Faire des inférences ou des prédictions (ex: inférer le niveau de risque de suicide chez une personne)