Cours 2-croyances Flashcards

1
Q

def croyance

A

conviction relative à un object psychologique. c’est tt ce qui peut émerger dans notre conscience
On ne dével pas des croyances inconsciemment, doit passer un moment ou lautre par notre conscient. (ex tu nais pas raciste) on connait srm pas la portée de ce qu”on pense/intègre comme info qui nous influencera pt des années plus tard

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2
Q

def objet psychologique

A

tout ce qu’on peut se représenter, y compris les ind; peut être concret ou abstrait, réel ou imaginaire. (ex une personne- a dimension concrète ofc et une dimension imaginaire, soit notre représentation de cette personne crée dans notre tête. Peut être juste abstrait ex, amour, liberté, l’ordre.)

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3
Q

def pensée réflexible

A

on fais pas juste penser, on pense qu’on pense

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4
Q

acquisition de croyances par

A

apprentissage, l’expérience perso/des nos parents, l’environnement familliale, sociale, culturelle
1-l’expérience personnelle (être témoins de qq étant violent)
2-une info donnée par autrui (apprendre que qq à été violent)
3-une inférence (si avec juste cette info -2-, je déduis que cette personne à un tempérament violent= je crée de toute pièce une coryance nouvelle avec l’aide de d’autres croyance qui sont déjà ds ma tête)

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5
Q

Inférence

A
  • Notre besoin de comprendre notre monde, nous oublige à faire des inférences- souvent sans qu’on s’en rende compte et basé sur des impressions plus ou moins clairs (ex rencontrer qq de nouveaux et analyser son ton de voix, sa posture, son discours etc)
  • faire inférence/comprendre les autres= on peut prédire leur comportement et partager un sys de communiaction avec eux
  • par raisonnement/le résultat d’un processseus déductif d’inférence, qui peuvent se faire de façon érronéen(connecté au dév de la depression)
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6
Q

Psychologie naive

A

idée que si je regarde qqc attentivement, je devrais pouvoir le comprendre, pas faux mais cest juste une petite observation vs les chercheurs genre. Les gens pense que on peut pas pas avoir raison si on réfléchit genre inférence
- Les ê humains croient que si on fais attention à, que fait un “effort” et que de cette observation (qu’on a vu, entendu) on devrait comprendre. Je l’ai vu donc je l’ai cru

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7
Q

supposition

A

peu d’effort, impression spontané, observation limitée
c’est NOTRE SUPPOSITION, on fais une projection de nos croyances/opinions
–psycho naive

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8
Q

attribution des causes au comp à partir 1 seul comp

A

Arrive qd qq nous rapporte les propos/gestes de qq qu’on connait pas ou peu
Pour expliquer son comp on fais un lien avec un/pls trait de la personnalité y correspondant= “inférences correspondantes” (attribution d’une disposition (d’un trait) qui correspond directement à la nature du comp observé)

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9
Q

théorie inférences correspondantes

A

l’attribution d’un trait (de perso). Cette théorie explique le pourquoi de la psychologie naive; Si j’ai fais l’effort, je ne peux pas pas avoir raison.
Je vois son comportement, j’attribue une cause à un trait de sa personnalité.
On peut pas attribuer à qq qqc qu’on a pas déjà dans notre tête, ça part vrm plus de nous (projection) vu qu’on a aucune idée de ce qui se passe dans la tête de l’autre

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10
Q

pourquoi humain doivent attribuer des causes

A

évolue comme façon pour les humains de comprendre les choses, mécanisme qui sert à expliquer ce qui se passe, ce qu’on pense, ce qui arrivera. Nous permet de ne pas être paralyser par la peur et de continuer d’avancer.

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11
Q

3 questions; le raisonnement derrière une opinion

A

1- si personne pouvait agir autrement= si elle avait pas le choix, je vais penser qu’elle a agit par obligation, pas prc elle a un trait de personnalité particulier
- 1- ex. le barbecue en tutu-parce que ya un gun mis sur la tempe=j’arrête mon processus et je leur ferai pas d’attribution de causes internes. Ils y sont obligé donc ce n’est pas une démonstration de ce qu’ils sont.
On assume, dans nos société démocratique, que les gens font ce qu’ils veulent. Donc on va jamais présumer que les gens sont forcé sans preuve, c’est l’inverse

2- SI le comp répond aux attentes des autres= si son comp répond aux attentes sociales, on pense que s’est juste comformé et que ça reflète pas sa perso
Ex. une pers. Voit que le porte-feuille de l’autre tomber de sa poche à son insu. Toi tes témoins de la sit et tu vois elle le ramasser et lui redonner.->l’attente sociale c’est que en public on vole pas! Donc critères de désirabilité sociale parce qu’il y avait un témoin. Est-ce que la personne agit selon les normes surtout devant des publics. On peut donc pas attribuer ce geste (redonner le porte feuile)à la personne en tant que tel parce qu’elle agis comme tout le monde devant une audience. La présence d’une audience agis comme rappel de la norme. Par contre, si yavais pas de témoins et qu’elle l’aurait qd mm redonner, là on peut plus faire une attribution de cause. Autre ex. un parent crie sur l’enfant au resto. On pense “imagine cmt ca doit etre pire à la maison”->on fait attribution.

3- quelles sont les conséquences particulières de son comp? =on est plus suceptible d’attribuer une disposition à qq si son comp à effets distinctifs
EX Se demander, quesque ce comp apporte à la personne? Est-ce que le geste/parole étaitla seule option pour atteindre notre but. Caractère distinctif. Police utilise force abusive- c’était pas la seule strat possible à adopter, le seul but de la violence=c’était d’utiliser la violence

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12
Q

théorie de la covariation kelley (attribution cause à partir pls comp)

A

Si on peut les voirs plusieurs fois
Kelley- covariation, sorte de stat/calcul (pas réel mais mm concept), c’est une somme des observations/interactions. On fait pls fois le processus d’attribution de causes, mais la on en est d’autant plus convaincue.
Plusieurs observations ds le temps, mis en parralèle- détecte covariation
- (théorie qui explique l’attribution par la perception d’un lien entre le comportement et la cause avec laquelle il varie systématiquement ds le temps)

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13
Q

3 critères pour faire attribution à pls comp

A

-La constance (est-ce qu’elle réagit tjrs demme)
Si on assiste à un comportement isolé, (ex mon voisin en tutu), on pourrait se dire se qu’il FAIT est fou, plutôt qu’il est fou.
S’il agis toujours de la mm manière, ça vient de lui, sinon c’est la situation qui le provoque

-Le caractère distinctif (est-ce que c’est juste avec moi/qd ca qu’elle réagit dmm)
EX; L’étudiant dort spécifiquement dans ses cours de maths. On va pas dire que la personne dort dans tt les cours, mais qu’elle dort à cause du cours de math
Alors si la personne dort dans touuus les cours, ca doit dire que ça vient de la personne et que c’est pas à cause du cours de math

-Le critère de consensus (est-ce que tout le monde réagit dememe avec moi)
Ex;Ecq TOUT le monde dort ds le cours de math

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14
Q

Les trois critères d’attribution permettentent de faire un choix entre sorte d’attribution

A
  • une attribution interne (le comp s’explique par des dispotions personnelles de l’ind observé) ou
  • une attribution externe (le comp s’explique par la situation dans laquelle se trouve l’ind)
    ->Les facteurs situationnels ont deux choix;
  • Soit la réaction est attribuable à l’entité (le stimulus particulier auquel est il est soumis)
    Soit la réaction répond à des circonstances particulières
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15
Q

Erreur d’attribution fondamentale

A

-c’est la tendance de l’observateur à sous-estimer les facteurs externes et sur- estimer les dispositions internes comme étant la cause du comp
-pourquoi ce biais est autant répandue? Notre culure nous apprend que chacun est respo des ses actes, libre de se comp comme il veut, est autonome. Donc on percois le comp d’autrui comme découlant de son libre plutôt que des pressions sociale.
EX Le fait que je conclu que ee faire du bbq en tutu, c’est qu’il a CHOISIT de et que c’est ce qui est étrange parce que selon moi, on fait pas ça normallement

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16
Q

Saillance perspective

A

tendance à attribuer une influence plus importante aux personnes qui sont plus perceptiblement en évidence (ex expé ou tu vois de face un des interlocuteurs et l’autre de dos, ont dit que celui qu’ils voyaient de face avait plus de poind dans la convo)
**‘attention sélective est aussi un biais=on regarde les gens pas leur environnement

17
Q

Efficacité (jugement hatif) vs rationnalité

A

Les jugements hatifs sont utile dans le sense qu’ils nous permettent une cohérence dans notre environnement, c’est rassurant
L’observateur peut ofc avoir raison, mais le prob c’est qu’en devant choisir entre 2 causes (interne ou etx) il va choisir la première, mm si les contraintes de la sit sont évidentes.
->attributions interne demande moins d’effort cognitif prc c’est juste une catégorisation “avare cognitif”, OU prc c’est ce que notre culture occidentale nous pousse è croire

18
Q

Modèle tridimensionnel de Weiner- 3 dimensions;

A

Quand on cherche des causes à notre propre comp on passe par/catégorise en 3 dimensions;
-les causes internes ou externes
-causes contrôlables ou non contrôlable
-causes stables ou instables

19
Q

formation d’une Impression def

A

processus coginitf par lequel nous organisons divers éléments d’info se rapportant à une personne ou à un tout
Impression-L’idée qu’on fait des attribations ponctuelles de l’in, on finit par en arriver (revient théorie de covariation), par se faire une impression globale.
Quand on fait pls attribuation, on finit par avoir un tout

20
Q

intégration de l’info

A

= processus cognitif par lequel nous combinons les traits d’une personne afin d’en avoir une perception unifié. Comme ca qu’on arrive à une impression globale de qq

21
Q

Effet de halo

A

quand on voit une caractéristique physique de la personne on en assume d’autre, ils viennent en groupe. Là on tombe dans les préjugé; elle blonde;elle est fun ;srm conne

22
Q

Étapes de la perception d’autrui

A

1-Éléments percus;
Tois sources nous permettent de discerner les traits de pero en cherchant la cause dun comp;
1) Infos. Fournies par le compo
2) Caractéristiques de la sit où s’inscrit le compo
3)L’apparence physique (facteur le plus important)

2-processus d’attribution->traits
Ca rentre ds processus de l’attribution (va chercher mémoire, schémas etc)
L’attribution la plus fréquentes- c’est une attri internes-> soit un trait

3-processus d’intégration
Après, indépendement de ce qu’on pense, la personne pourrait nous parler d’elle mm, ou qq pourrait nous dire qqc et invalider/valider.

4-impression
Tous ça va ensuite résulter en une impression

23
Q

Deux modes de fonctionnements cognitifs

A

¡ - ce sytème repose sur des proc automatique- inconscient et donc échappe au contrôle de la pers,- qui permettent de traiter en peu de temps bcp d’info ou d’arriver à une conclu avec peu d’indice
¡¡ - ce syst repose sur une réflexion plus formelle et contrôlée, plus lente aussi, demande effort cognitif qui mobilise pensée consciente et les fonctions exécutives assurant le contrôle de soi

Qd on doit décider rapidement, ex tard le soir on entend des pas derrière nous, on va pas se mettre à réfléchir et évaluer blabla. On doit réagir vite et dans ces cas réfléchir c’est pas la bonne réponse. En survie/danger (réel ou percu) la bonne réponse c’est celle qui vient automatiquement.
En général, on opte souvent pr le mode automatique, plus pratique et demande moins d’énergie (ex conduire)

24
Q

cognition sociale def

A

façon dont l’être humain arrive , de facon rapide et efficace,mais parfois comptant des erreurs logiques, à donner un sens à un enviro social et ainsi à pouvoir s’y adapter et le contrôler

25
Q

exactitude des premières impressions

A
  • certaines cara sont plus faciles à voir correctement (extravertion ex), d’Autres non
    -moins fiable si on se base sur observations comp, vs sur auto-desciprion (parler avec l’autre)
    -les 1e impressions sont résistantes au changement
26
Q

les schémas

A

def= structure cognitive qui permet d’organiser l’info complexe se rapportant aux pers et aux sit. Les schémas orientent la perception de l’envi, l’organisation des info en mémoire et les inférences.
- Les schémas se dév au fur et à mesure de nos interactions sociale
- Ils permettent de traiter l’info non-verbale, on connait tout les expressions faciales
- Bref quand on a les info-on les traitent et quand on les a pas- on les invente! (en palliant avec nos schémas)
-Les schémas faconnent et détermine notre perception et sont créer par elle.
-Première chose qu’on fais qd on a une nouv info-> on essait de la rentrer dans un tiroir

27
Q

schémas et mémoire

A

Mémoire; Ultimement les infos s’accumulent en nous.
Plus précisement, la mémoire est organiser en schémas!
Réseaux d’info interrelier, catégoriser en schémas
Un schéma c’est comme un tiroir.
Représentations mentales des objects psychologiques
Notre mémoire pass par l’organisation

28
Q

développement des schémas

A

Au début, on est “vide”, sans structure. On apprend ensuite à organiser les infos
-on s’appuie sur schémas des autres, surtout de nos folks au début, qd on arrive à l’âge adulte, on a déjà hériter des stéréotypes
-on a le potentiel de changer/se débarrasser de ce qu’on hérite (ex en psychothérapie

29
Q

def règles heuristiques

A

=processus cognitif qui permet de faire rapidement des estimations
on a recours à la règle heuristique pas juste pour faire moins d’effort cognitif mais prc ya pas vrm d’Autre outils.
- C’est une forme d’adaptation sociale. Ofc ca amène des erreurs de raisonnements

30
Q

heuristique de disponibilité

A

règle qui consist à juger de la fréquence ou de la probabilité d’un event en fonction de la facilité avec laquelle on peut s’en remémorer des exemples
Donc plus qu’on se souvient facilement de qqc ou d’un évent, plus on pense que c’est fréquent
Ex penser que le sida est mak répandue prc les cas en exemple sont vrm frappant, ou encore les images frappantes de édu-alcool
- EX choix multiple, jsp, mais je reconnais un énoncé qui me “dit qqc”

31
Q

Heuristique de représentativité

A

= règle qui consiste à estimer la probabilité d’Appartenance d’un object à une classe donnée à partir de sa ressemble avec un cas prototype de cette classe
-catégorisation, généralisation excessive
-placer des ind dans une classe sociale (ex profession, tatouages, cheveux long boucle d’oreille= étudiant en science sociale ben plus que finance)

32
Q

Heuristique d’ancrage et d’ajustement

A

= règle qui consiste à estimer une grandeur (probabilité/fréquence) en se fondant sur la quantité connue relative à un évent donné, puis à ajuster cette grandeur pour tenir compte des particulariteés d’un évent semblable
Ex. combien de personne au match, prix “normal” d’un appart à mtl etc = point d’ancrage
^dépends après dla météo, du prix du billet etc = ajustement
- C’est sketch prc qu’on peut manipuler le point d’ancrage pour prouver notre point, et c’est difficile de savoir exactement
Classique dans les transactions- vendre sa maison, demander plus que ce qu’on veut

33
Q

biais de positivité

A

tendance gén à faire évaluation positive des autres plutot que néga. on est socialisé comme espèce, donc on aime les contacts sociaux, en ont vision positive, on s’attend à ce que notre envrironnement sociale soit acceuillant

34
Q

négligence de la ligne de base

A

=se fier à info anecdotiques putot qu’aux statistiques
Ex. acheter un char sur recommendation proches vs faits stats éprouvés

35
Q

corrélation illusoire

A

= faire des liens entre des phéno indépendant, Les gens voirs une corrélation (pour eux lien de causalité), là ou yen a mm pas. EX, porte bonheur, crayon magique d’examen,

36
Q

persistance de croyances

A

=maintenir des croyances en présence d’info qui les remettent en question. on prend des mauvaises décisions et MêME avec mauvais feedback on continue de le faire. Difficulté de changer

37
Q

raisonnement contrefactuel

A

=revivre mentalement des sit passée en imaginant des scénarios autres
ex. si je serais sorti avec Max ce soir-là, elle aurait pas rencontré lili et c’Est moi qui serait en couple avec elle.