COURS 2 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le paradigme du connexionisme?

A

Associationisme (donc bout du béhaviorisme) ET études des représentations mentales

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2
Q

Quelle est la différence entre le connexionisme et le traitement de l’information?

A

Le connexionisme de voit pas d’utilité à passer par le niveau programme-logiciel pour décrire l’exprit, il veut donner un modèle général pour comprendre et prédire le comportement (Sans avoir un programme pour chq processus cognitif). POUR EUX: esprit = cerveau

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3
Q

Qu’est-ce que l’esprit dans le connexionisme?

A

Esprit = cerveau. Réseaux de neurones interconnectés et traiement du signal en parallèle. Apprentissages = formation d’associations!!

Étude des règles générales basées sur le fonctionnement du cerveau et non étude des réseaux de neurones littéralement.

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4
Q

Règles général de Hebb

A

Neurones = unités. Plus des unités sont activées simultanément, plus elles vont être associées. Donc, l’activation de l’une facilitera l’activation de celles qui y sont associées

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5
Q

Explique moi ce qu’est un réseau connexioniste.

A

Rseau de neurones interconnectés qui permet l’apprentissage d’associations. Lorsqu’une s’active, l’autre aussi, jusqu’à donner une réponse qui sera entraînée avec de la rétroaction donc apprentissage des bonnes réponses

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6
Q

Pourquoi les réseaux connexionistes sont préférables aux modèles symboliques du traitement de l’information (3)? (deux paradigmes en compétition!!

A
  1. Plausibilité bio
  2. Apprentissage autonome
  3. Certains types d’apprentissage plus faciles à expliquer
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7
Q

Qu’est ce que la neuroscience cognitive?

A

Ce sont des mesures béhaviorales ET des mesures biologiques (limitations du cerau, architecturem fonctionnnement) pour créer des théories sur l’esprit vérifiables.
ex de branche: études des mécanismes neuronaux de la cognition

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8
Q

C’est quoi des mécanismes neuronaux de la cognition?

A

Le processus biologique qui sous-tend la production de la cognition, où se trouve-il dans le cerveau, comment il se déroule dans le cerveau.

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9
Q

Qu’est-ce que Hubel et Wiesel ont étudié et comment? Qu’ont-ils pu conclure?

A

Les détecteurs de caractéristiques. En étudiant des neurones uniques et en présentant différant stimuli, ils ont pu découvrir ce qui sitmule un neurone. Ils découvrent que certains neurones sont stimulés par des orientations spécifiques (Cellules simples), mais aussi à des stimulus complexes comme des coins, cours, mouvement (Cellules complexes). Ils peut aussi y avoir pour les objets complexes des ensemble de détecteurs.

MAIS SUROUT, ils décrouvrent que c’est cellules détectrices de caractéristiques simples du monde réelle sont déjà prêtes à la naissance!

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10
Q

Qu’est-ce que Gross et al. découvrent?

A

Les neurones spécifiques à objets. (en passant sa main devant le projecteur, le neurone uniques du macaques s’active, et que pour les objets ressemblant de plus en plus à une main de macaque qui donne l’activation la plus intense)

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11
Q

Explique ce qu’est un neurone miroir.

A

Un mm neurone qui s’active quand un humain ou animal agit OU observe kkun agir une mm action. (pour tt genre, visuel, auditif, sensoriel)

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12
Q

Aire FFA?

A

Aire fusiforme des visages

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13
Q

Vrai ou Faux: L’aire FFA s’active purement pour les visages.

A

Faux. Aussi sensible à l’apprentissage et au développement de l’Expertise, ex: devient sensible aux bonhommes verts après entrainement

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14
Q

Aire PPA

A

Aire des ENDROITS parahipoccampique

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15
Q

Quel est le nom de l’aire spécifique au corps?

A

Aire du corps extrastriée (EBA)

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16
Q

Vrai ou Faux : L’aire du corps extrastriée (EBA) s’active pour le corps entier.

A

Faux, elle ne s’active pas pour le visage

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17
Q

Qu’est-ce qu’une cellule grand-mère?

A

C’est le nom donné au cellules selon la théorie de l’encodage spécifique. Chq cellule de s’active que pour un objet spécifique. Elle tien le nom du fait que si elle se brûle, et que c’était la celulle qui s’active pour l’obejt grand-mère, il serait soi-disant impossible de reconnaitre sa grand-mère.

18
Q

Quelles sont les limites de l’encodage spécifique? (4)

A

1. Petite capacité de représentation (pas assez de neurones pour TOUS les objets existants)
2. Mort d’un neurone? (grand-mère)
3. Problème d’invariance (reconnaitre les différents pdv d’une mm personne)
4. Aucune généralisation (Ex: jumeau)

19
Q

Quest-ce que l’encodage distribué et ses avantages?

A

Chq neurone s’active à des intensités différentes pour chq objets. GRAND ensemble commun de neurones!!

Avantages: TRÈS grand capacité de représentation, dégradation progressive (En cas de mort cellulaire), bonne généralisation

19
Q

Qu’est-ce que l’encodage semi-distribué comparativement à l’encodage distribué?

A

Le plus réaliste. Ensemble LIMITÉ de neurones pour codés de façon distribuée entre eux un ensemble d’objets différents.

Hypothèse la plus plausible

19
Q

Quel est le problème dans l’encodage distribué?

A

Demande bcp d’activation pour interpréter chq objet

19
Q

Qu’est ce que la dissociation en neuroscience cognitive?

A

C’est l’identification et la localisation des systèmes et aires cérébrales responsables d’opérations cognitives spécifiques.

20
Q

Quelles sont les méthodes utilisées en étude de dissociations?

A

Procédure de dissociation à l’aide de neuropsychologie (aires lésées) et psychoneuroscience cognitive (systèmes, empiriquement)

21
Q

Qu’est ce qu’une simple dissociation?

A

C’est la preuve que deux processus cognitifs dépendant de deux systèmes cognitifs-aires cérébrales différentes, mais pas nécessairement indépendantes.

Comment: quand il est possible d’influencer A sans influencer B OU vice-versa.

22
Q

Quelle méthode neuropsychologique est utilisée pour montrer une simple dissociation?

A

Une patiente avec une lésion cérébrale ET un processus cognitif atteint

23
Q

Quelle méthode empirique est utilisée pour montrer une simple dissociation?

A

Définir une tâche qui influence le système ou l’aire du processus A, sans toucher celle du processus B.

24
Q

Qu’est ce qu’une double dissociation?

A

C’est la preuve que deux processus cognitifs dépendant de deux systèmes cognitifs-aires cérébrales différentes ET indépendantes.

Cela demande deux personnes ayant deux processus cognitifs atteints complémentaires ET deux lésions cérébrales complémentaire (méthode neuropsychologique)

Cela demande sinon deux tâches dont chacune est influencée sans influencer l’autre. ICI, c’est ET vice-versa (et non ou vice-versa)

25
Q

Quelle est la différence entre apprentissage implicite et explicite (Faulkner et Foster)?

A

La présence ou l’absence de conscience.

26
Q

Quelles méthodes permettent d’évaluer la présence d’apprentissage implicite ou explicite (Graf et Schacter)?

A

Explicit: demande à l’individu de rapportés les événements déliberement

Implicite: évaluer le changement de comportement-de performance de façon indirecte

27
Q

Décrit l’expérience de Nisser et Bellemer ainsi que les résultats. (Apprentissage de séquence, Coglab)

A

Deux conditions possibles: séquence ou hasard et observer si possibilité d’apprentissage implicte de la séquence.

Résultats: C’est vrai que le groupe de la condition séquence à beaucoup d’accélération dans les TR, mais majorité d’entre eux ont explicitement décrit la séquence, donc apprentissage explicite et non implicite.

28
Q

Décrit l’expérience de Lewicki, Hill et Bizot ainsi que les résultats.

A

Mm expérience que coglab, mais rendent la séquence plus difficles pour qu’elle ne puisse pas ¸etre apprise explcitement.

Blocs 1 à 15: séquence, Bloc 16-17: autre règle

La diminution des TR de 1 à 15 ne prouve PAS l’apprentissage, ça pourrait être que de l’habituation, ce n’est que l’augmentation des TR aux blocs 16-17 qui prouvent réellement un apprentissage, prouve que de 1 à 15 c’était bien l’information séquentielle qui était utilisée et qui a permis une diminution des TR.

ET, puisque les participants ne peuvent pas décrire la séquence, on peut dire que l’apprnetissage est implicite.

29
Q

Vrai ou Faux: dans l’expérience de Lewicki, Hill et Bizot, les diminution des TR des blocs 1 à 15 prouve un apprentissage de la séquence.

A

FAUX, La diminution des TR de 1 à 15 ne prouve PAS l’apprentissage, ça pourrait être que de l’habituation, ce n’est que l’augmentation des TR aux blocs 16-17 qui prouvent réellement un apprentissage, prouve que de 1 à 15 c’était bien l’information séquentielle qui était utilisée et qui a permis une diminution des TR.

30
Q

Décrit la méthodologie de l’expérience de Curran et Keele.

A

Expérience TRS avec blcos séquence/hasard. Séquence de 6 positions

Deux ohases: apprentissage avec la séquence et phase test avec double tâche (compte des tonalités)

3 groupes:
explicite
plus conscinets
peu conscients

31
Q

Que sont les résultats de l’expérience de Curran et Keele?

A

Durant la phase tâche unique: SA plus grand que zéro donc apprentissage chez les trois groupes car utilisation de ATT disponible et non de NA

CONCLUSION 1: lorsque toute l’attention est dispo, le niveau de conscience influence le niveau d’apprentissage de séquence

Durant double tâche: ATT occupée donc utilisation de NA très imparfait. Reste une martie de l’apprentissage!!! SA plus grand que zérie, mais bcp moins pour la double tâche

CONCLUSION 2: Lorsque seulement NA est disponible, le niveau de conscience n’a pas d’effet. Aucun apprentissage de la séquence. SA n’a pas rapport avec la séquence, c’est que en terme de probabilités.

CONCLUSION 3: DISSOCIATION NA ET ATT: NA peut contribuer ssans ATT, donc dissociation simple confirmée

32
Q

Vrai ou Faux: les système ATT et NA font preuve de dissociation simple.

A

VRAI.

33
Q

Quels sont les niveaux d’analyses possibles?

A
  • Tt le cerveau
  • Structures du cerveau
  • Signaux électriques et produits chimiques qui les permettent

Études des différents niveaux nécessaires pour une compréhension complète.

34
Q

Quelle est l’expérience de Blakemore et Cooper?

A

La plasticité dépendante de l’expérience: cerveau façonné et strucure change selon l’expérience

Vision du chat des stimulis horizontaux supprimée si dans un milieu ou il n’y a QUE du vertical.

35
Q

Qu’est-ce que le processus hiérarchique?

A

les neurones qui répondent aux stimuli simples envoient leurs axones aux autres régions et interagissent et se connectent, qui permet ensuite aux neurones de niveau supérieur de répondre aux stimuli plus complexes comme les objets géométriques, qui eux-mm envoient à d’autres aires qui combinent et ne réagiront qu’à des stimuli encore plus complexes comme les visages

36
Q

Qu’est-ce que le concept d’équipotentialité corticale? Est-il valide?

A

Ancien principe comme quoi le cerveau fonctionne comme un tout et non avec des aires spécialisées. Invalidé par les découvertes de Broca et Wernicke

37
Q

Décris le fonctionnnement de l’IRMf

A

Activité neurale amène plus d’oxygène à cet endroit-là, qui se lie à hémoglobine dans le sang, qui devient plus magnétique. Donc, les molécules d’hémoglobines grandement oxygénées répondent plus fortement au champs magnétique, ce qui cause une augmentation du signal de l’IRMf

38
Q

Comment l’IRMf a pu remettre en question l’équipotentialité?

A

Résultats paradoxaux: MM si en effet on voit des aires diff pour la perception de diff stimuli spécifique, cette image montre aussi qu’une grand aire du cerveau est stimulée, il faut donc reconsidérée la vision du cerveau comme un tout pour comprendre la base physiologique de la cognition