cours 13- Sélection d'un partenaire Flashcards

1
Q

quels sont les catégories de relations complexes

A

Les relations de couplage sont diverses, incluant les partenariats romantiques, cohabitants et matrimoniaux, chacun avec des caractéristiques et des attentes uniques (Scanzoni et al., 1989).

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2
Q

VRAI OU FAUX
Malgré leur diversité, les relations primaires basées sur la sexualité sont unifiées par la vision des partenaires des échanges sexuels comme un aspect légitime de leur union, indépendamment de leur niveau d’activité sexuelle actuel (Scanzoni et al., 1989).

A

vrai

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3
Q

En quoi consiste les théories du contexte social ?

A

Ces théories soulignent le rôle des contextes sociaux, culturels et historiques contemporains dans la formation des préférences des partenaires et le comportement sexuel, proposant que les individus cherchent à maximiser les récompenses dans leurs interactions sociales (Homans, 1961 ; Murstein, 1970, 1976).

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4
Q

Les modèles évolutifs se concentrent sur quoi ?

A

Les modèles évolutifs se concentrent sur les processus de sélection naturelle et sexuelle qui ont façonné le couple humain, mettant en lumière l’évolution de l’esprit pour résoudre les problèmes adaptatifs rencontrés par nos ancêtres (Cosmides & Tooby, 1997).

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5
Q

quels sont les interactions entre les théories du contexte social et les théories évolutives ?

A

Alors que les théories du contexte social offrent un aperçu des mécanismes proximaux de la sélection des partenaires, les théories évolutives fournissent une perspective distale, liant les comportements de couplage actuels aux défis historiques de survie et de reproduction.

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6
Q

que suggèrent les modèles d’échange et d’équité ?

A

Ces modèles suggèrent que les personnes s’engagent dans des relations où les avantages perçus l’emportent sur les coûts, l’attrait physique étant souvent considéré comme un trait hautement désirable pour l’attraction sexuelle et la sélection des partenaires (Homans, 1961 ; Murstein, 1970, 1976).

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7
Q

quelle notion la recherche empririque soutient par rapport à l’accouplement assortatif ?

A

La recherche empirique soutient la notion d’accouplement assortatif, où les individus ont tendance à s’associer avec des partenaires qui leur ressemblent en divers attributs, incluant la personnalité, l’attrait physique et le statut socioéconomique (Buss, 1985 ; Murstein, 1980 ; Vandenburg, 1972).

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8
Q

quel est l’impact des rôles sociaux et leurs scripts ?

A

La théorie des rôles sociaux et les scripts sociaux influencent le comportement de couplage en façonnant les attentes basées sur les rôles de genre et les comportements approuvés culturellement, affectant ainsi la préférence et le choix des partenaires (Eagly, 1987 ; Eagly & Karau, 1991 ; Reiss, 1986).

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9
Q

que dit la psychologie évolutive sur les problèmes adaptatifs et sur la sélection des partenaires ?

A

La psychologie évolutionniste postule que l’esprit humain a évolué pour résoudre des problèmes adaptatifs, incluant la sélection des partenaires, pour améliorer le succès reproductif (Cosmides & Tooby, 1997).

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10
Q

quels sont les attributs qui influencent le succès reproductif chez un partenaire ?

A

Les théories suggèrent que les attributs des partenaires tels que la forme physique et génétique, l’investissement émotionnel, l’exclusivité relationnelle et la provision de ressources sociales sont cruciaux pour le succès reproductif (Buss & Kenrick, 1998 ; Gangestad & Simpson, 1990).

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11
Q

quelles sont les différences entre les sexes dans leurs stratégies de couplage selon les modèles évolutifs?

A

Les modèles évolutifs expliquent les différentes stratégies de couplage des hommes et des femmes basées sur l’investissement parental différentiel, prédisant que les hommes valorisent l’attrait physique et la jeunesse, tandis que les femmes valorisent le statut social et la provision de ressources (Trivers, 1972 ; Buss & Schmitt, 1993).

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12
Q

selon la recherche à travers diverses culture, quelle est la conclusion selon la préférence recherchée chez un partenaire ?

A

La recherche à travers diverses cultures montre une préférence constante pour des partenaires intelligents, honnêtes et ayant un bon sens de l’humour, indiquant certains critères universels pour la sélection des partenaires (Buss, 1989).

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13
Q

quelles sont les variations culturelle dans les préférences des partenaires à travers les cultures ?

A

Malgré les tendances universelles, les préférences des partenaires peuvent varier significativement à travers les cultures. Des attributs comme la capacité domestique et le désir pour un foyer et des enfants sont valorisés différemment à travers les sociétés, soulignant l’impact des normes culturelles sur la sélection des partenaires (Buss, 1989).

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14
Q

quels sont les influences concernant les facteurs socioéconomiques concernant le choix d’un partenaire ?

A

Le statut socioéconomique et l’apparence physique jouent des rôles cruciaux dans la sélection des partenaires, mais leur importance peut varier selon la culture et l’ethnicité, suggérant que les préférences des partenaires sont façonnées par à la fois des tendances humaines universelles et des contextes culturels spécifiques (Sprecher et al., 1994).

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15
Q

VRAI OU FAUX
Un répertoire d’expressions faciales, de gestes et de comportements non-verbaux, tels que le contact visuel prolongé et le sourire, jouent un rôle crucial dans la communication de l’intérêt romantique et l’initiation de la cour à travers les cultures (Moore, 1995).

A

vrai

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16
Q

VRAI OU FAUX
L’attrait mental influence significativement l’attraction sexuelle et le désir de poursuivre des relations romantiques, avec des préférences pour certaines formes et caractéristiques corporelles étant relativement consistantes à travers les genres et les cultures (Singh, 1993 ; Lavrakas, 1975).

A

Faux
L’attrait physique influence significativement l’attraction sexuelle et le désir de poursuivre des relations romantiques, avec des préférences pour certaines formes et caractéristiques corporelles étant relativement consistantes à travers les genres et les cultures (Singh, 1993 ; Lavrakas, 1975).

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17
Q

comment guide les scripts sociaux et culturels pour les rencontres ?

A

Les scripts sociaux et culturels guident les attentes et les comportements dans les rencontres et la cour, avec des variations dans les normes et les pratiques à travers les cultures affectant comment les relations romantiques se développent (Reiss, 1986).

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18
Q

VRAI OU FAUX
Les individus tendent à sélectionner des partenaires qui leur ressemblent en personnalité, attrait physique et attributs démographiques, un phénomène soutenu par une recherche étendue documentant la tendance pour les similaires à s’attirer (Buss, 1985 ; Murstein, 1980).

A

vrai

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19
Q

VRAI OU FAUX
Dans le processus de sélection des partenaires, les individus considèrent leurs propres attributs et cherchent des partenaires qui correspondent à leur niveau de désirabilité, un principe qui sous-tend le concept de correspondance dans les théories de l’échange social (Homans, 1961 ; Murstein, 1970, 1976).

A

vrai

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20
Q

comment les théories évolutives et de contexte social expliquent les différences observées dans les préférences des partenaires ?

A

Les théories évolutives et de contexte social expliquent les différences observées de sexe dans les préférences des partenaires, avec les hommes valorisant généralement plus l’attrait physique, et les femmes accordant plus d’importance aux ressources sociales et économiques d’un partenaire (Buss, 1989 ; Eagly & Karau, 1991).

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21
Q

VRAI OU FAUX
Le mariage, impliquant une coopération économique, sociale et reproductive entre partenaires, est une institution universelle à travers les sociétés humaines, avec des variations dans le rôle du choix individuel et l’importance de l’amour (Betzig, 1989 ; Daly & Wilson, 1983).

A

vrai

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22
Q

comment s’est produit l’évolution des mariages basés sur l’amour ?

A

Au fil du temps, il y a eu un changement mondial vers l’amour comme base principale pour le mariage, même dans les cultures pratiquant traditionnellement les mariages arrangés, reflétant des changements dans les normes sociétales et les attentes individuelles (Levine et al., 1995).

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23
Q

Qu’est-ce qui ont conduit à des modifications des coutumes matrimoniales, incluant une emphase accrue sur l’amour mutuel et la compatibilité émotionnelle, et le déclin des mariages arrangés dans de nombreuses parties du monde (Kumagai, 1995).

A

La modernisation et l’échange culturel

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24
Q

explique la dominance de monogamie

A

Malgré l’existence de divers systèmes de couplage, la monogamie prévaut dans la majorité des sociétés, soulignant son importance dans les modèles de couplage humains (Betzig, 1989).

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25
Q

pourquoi les hommes entrent dans des unions monogames ?

A

Bien que la polygynie soit permise dans de nombreuses sociétés, sa pratique réelle est limitée, la plupart des hommes entrant dans des unions monogames en raison des contraintes de ressources, illustrant la nature nuancée des stratégies de couplage humaines (Daly & Wilson, 1983).

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26
Q

VRAI OU FAUX
La pratique répandue de la monogamie, aux côtés de la prévalence limitée de la polygynie, reflète à la fois les normes culturelles et les pressions évolutives favorisant le lien de couple dans les sociétés humaines (Fisher, 1989).

A

vrai

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27
Q

VRAI OU FAUX
Comme le mariage, le divorce est un phénomène universel, soulignant son rôle comme aspect significatif des systèmes de couplage humains à travers les cultures (Fisher, 1989).

A

vrai

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28
Q

que montre la recherche sur les modèles interculturels de divorce ?

A

La recherche montre des modèles cohérents dans le divorce, tels que son occurrence principalement dans les premières années de mariage et la présence commune de peu ou pas d’enfants au moment du divorce, soulignant des points communs dans la dissolution matrimoniale à travers les sociétés (Fisher, 1989).

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29
Q

qu’est-ce que la monogamie sérielle ?

A

Le modèle de se marier, divorcer et se remarier suggère la monogamie sérielle comme une stratégie de couplage prévalente, reflétant à la fois les défis et l’adaptabilité des comportements de couplage humains dans différents contextes culturels (Fisher, 1989).

30
Q

La recherche indique que les rapports sexuels et autres activités sexuelles sont considérés comme les plus appropriés _____________________________, avec une tendance vers des attitudes plus libérales concernant le sexe dans les situations de rencontres occasionnelles (Sherwin & Corbett, 1985 ; Rubinson & de Rubertis, 1991).

A

La recherche indique que les rapports sexuels et autres activités sexuelles sont considérés comme les plus appropriés au sein des relations engagées, avec une tendance vers des attitudes plus libérales concernant le sexe dans les situations de rencontres occasionnelles (Sherwin & Corbett, 1985 ; Rubinson & de Rubertis, 1991).

31
Q

les femmes ont tendance à associer le sexe avec ?

A

Les femmes ont tendance à associer le sexe avec l’amour et l’intimité émotionnelle dans une plus grande mesure que les hommes, qui voient souvent le désir sexuel comme plus détaché des contextes relationnels (Regan & Berscheid, 1996).

32
Q

comment les attitudes envers la sexualité au sein du mariage ont évolué ?

A

Les attitudes envers la sexualité au sein du mariage ont évolué, avec une emphase croissante sur le plaisir mutuel, l’autonomie sexuelle et le rejet des rôles de genre traditionnels dictant la prise de décision sexuelle dans les relations matrimoniales (Weinberg, Swensson, & Hammersmith, 1983).

33
Q

quelle est la définition de l’attrait sexuel ?

A

L’attrait physique est un composant clé de l’attrait sexuel, influençant l’attraction sexuelle initiale et la poursuite des relations romantiques, mais les traits dispositionnels comme l’humour et la sensibilité contribuent également de manière significative à la désirabilité sexuelle d’un individu (Regan & Berscheid, 1995, Étude 2).

34
Q

quel est le rôle des attributs physique selon l’attraction sexuelle et la désirabilité ?

A

Des préférences cohérentes pour certaines formes et caractéristiques corporelles à travers les genres et les cultures soulignent l’importance des attributs physiques dans l’attraction sexuelle et la sélection des partenaires (Singh, 1993 ; Lavrakas, 1975).

35
Q

VRAI OU FAUX
Alors qu’une expérience sexuelle étendue est souvent vue négativement chez les partenaires potentiels, l’inexpérience sexuelle complète (chasteté) est de plus en plus jugée sans importance, reflétant une vision nuancée de l’histoire sexuelle dans la sélection contemporaine des partenaires (Regan & Berscheid, 1997 ; Buss & Schmitt, 1993).

A

vrai

36
Q

quels sont les 4 types principaux attributs des partenaires d’après les théories évolutives ?

A

Les théories évolutives mettent en évidence quatre types principaux d’attributs des partenaires affectant le succès reproductif : forme physique/génétique, investissement émotionnel, exclusivité relationnelle et provision de ressources sociales (Buss & Kenrick, 1998 ; Gangestad & Simpson, 1990).

36
Q
A
37
Q

que suggèrent les modèles évolutifs basés sur l’attachement ?

A

Les modèles évolutifs basés sur l’attachement suggèrent que les relations de couplage durables sont favorisées en raison de la dépendance prolongée des enfants, mettant l’accent sur les traits de personnalité prosociaux et les attributs interpersonnels dans la sélection des partenaires (Zeifman & Hazan, 1997).

38
Q

qu’est-ce que la théorie de l’investissement parental ?

A

La théorie postule des différences de sexe dans la sensibilité à certains attributs des partenaires : les femmes priorisent le statut social reflétant la capacité de provision de ressources, tandis que les hommes se concentrent sur les indicateurs de santé et de fertilité (Buss & Schmitt, 1993 ; Trivers, 1972).

39
Q

Qu’est-ce qui dominent la recherche sur les préférences des partenaires, employant des procédures de classement, d’évaluation et de classement en pourcentage pour évaluer l’importance ou la désirabilité des caractéristiques chez les partenaires potentiels (Hill, 1945 ; Regan & Berscheid, 1997).

A

Les méthodologies d’auto-évaluation dominent la recherche sur les préférences des partenaires, employant des procédures de classement, d’évaluation et de classement en pourcentage pour évaluer l’importance ou la désirabilité des caractéristiques chez les partenaires potentiels (Hill, 1945 ; Regan & Berscheid, 1997).

40
Q

Quelles approches expérimentales fournissent des aperçus sur les préférences des partenaires au-delà des données auto-déclarées, suggérant que les hommes et les femmes sont influencés par l’attrait physique lors de l’évaluation de la désirabilité des rencontres (Graziano et al., 1997 ; Townsend & Levy, 1990). ?

A

Bien que moins courantes, les méthodes expérimentales fournissent des aperçus sur les préférences des partenaires au-delà des données auto-déclarées, suggérant que les hommes et les femmes sont influencés par l’attrait physique lors de l’évaluation de la désirabilité des rencontres (Graziano et al., 1997 ; Townsend & Levy, 1990).

41
Q

Quelles sont les critiques soutiennent que les méthodes d’auto-évaluation ?

A

Les critiques soutiennent que les méthodes d’auto-évaluation peuvent ne pas capturer pleinement les dynamiques de choix de partenaires humains, soulignant l’écart entre les préférences exprimées et les comportements réels de sélection des partenaires (Sprecher, 1989).

42
Q

que démontre les deux genres sur leurs préférences partagées chez un partenaire ?

A

Les deux genres montrent une forte préférence pour des partenaires intelligents, honnêtes et émotionnellement stables, soulignant des points communs dans les critères de sélection des partenaires à long terme (Buss & Barnes, 1986 ; Howard et al., 1987).

43
Q

quels sont les traits qui sont universellement indésirables chez les partenaires ?

A

La recherche identifie des attributs de partenaires universellement indésirables, tels que l’excès habituel et les mauvaises manières, suggérant que certains traits sont universellement répulsifs chez les partenaires potentiels (Cunningham, Barbee, & Druen, 1996).

44
Q

VRAI OU FAUX
Malgré les aversions générales, les individus affichent une haute sélectivité pour les partenaires à long terme, soulignant l’importance des attributs au-dessus de la moyenne chez les partenaires potentiels (Kenrick et al., 1993 ; Regan, 1998b).

A

vrai

45
Q

VRAI OU FAUX
Les femmes priorisent plus l’attrait physique que les hommes chez les partenaires potentiels, tandis que les hommes mettent plus en évidence le statut social ou économique (Feingold, 1992a ; Sprecher et al., 1994).

A

faux
Les hommes priorisent plus l’attrait physique que les femmes chez les partenaires potentiels, tandis que les femmes mettent plus en évidence le statut social ou économique (Feingold, 1992a ; Sprecher et al., 1994).

46
Q

Les préférences pour l’apparence et le statut sont influencées par des facteurs ___________________, avec des recherches indiquant que les deux sont importants à travers les genres, bien qu’à des degrés variables (Buss, 1989 ; Regan, 1998b, 1998c).

A

Les préférences pour l’apparence et le statut sont influencées par des facteurs culturels et individuels, avec des recherches indiquant que les deux sont importants à travers les genres, bien qu’à des degrés variables (Buss, 1989 ; Regan, 1998b, 1998c).

47
Q

quels sont les aperçus d’une enquête mondiale sur les différences interculturelles ?

A

Une enquête mondiale de Buss (1989) révèle des différences interculturelles robustes dans les préférences des conjoints, incluant des variations dans l’évaluation des compétences domestiques et le désir pour un foyer et des enfants, soulignant l’influence de la culture sur les préférences des partenaires.

48
Q

quel est le lien entre l’auto-perception et les préférences dans la sélection d’un partenaire ?

A

Les préférences des partenaires des individus sont étroitement alignées avec leurs attributs perçus de soi, suggérant une tendance à chercher des partenaires correspondant à leur propre niveau de désirabilité (Regan, 1998c).

49
Q

Est-ce que la nécessité de compromis dans la sélection des partenaires est évidente ?

A

Oui
La nécessité de compromis dans la sélection des partenaires est évidente, car les individus ajustent leurs standards basés sur la disponibilité des partenaires potentiels et leur propre désirabilité (Murstein, 1970).

50
Q

que revèle l’étude de terrain sur les standards de couplage ?

A

La recherche dans des contextes sociaux révèle que l’attractivité perçue des partenaires potentiels augmente à mesure que les options diminuent, indiquant une flexibilité et une variabilité dans les standards de couplage (Pennebaker et al., 1979).

51
Q

à quoi sert les comportements non-verbaux dans la cour ?

A

Certains indices non-verbaux, tels que le contact visuel prolongé, le sourire et les caresses légères, sont des indicateurs universels d’intérêt romantique, facilitant l’intérêt romantique ou sexuel initial à travers les cultures (McCormick & Jones, 1989 ; Moore, 1985).

52
Q

quelles sont les différences de sexe dans la flirtation ?

A

Bien que les deux genres se livrent à la flirtation, les femmes utilisent plus fréquemment des indices non-verbaux comme le sourire et les caresses brèves, tandis que les hommes sont plus susceptibles d’afficher la dominance par le langage corporel (Kolaric & Galambos, 1995 ; McCormick & Jones, 1989).

53
Q

est-ce que le flirt est efficace ?

A

Les études observationnelles révèlent que les comportements de flirt augmentent significativement la probabilité d’intérêt et de comportements d’approche réciproques, en particulier dans les contextes propices à la sélection des partenaires (Moore, 1985).

54
Q

quelles sont les attentes du premier rdv ?

A

Les normes sociales dictent souvent que les hommes prennent l’initiative de demander un premier rendez-vous, avec les deux genres abritant des attentes distinctes concernant le rôle du sexe et la progression romantique (Baxter & Bullis, 1986 ; McNamara & Grossman, 1991).

55
Q

quelles sont les barrières à la poursuite romantique ?

A

La peur du rejet et l’interprétation erronée des niveaux d’intérêt peuvent inhiber la progression de l’attraction initiale à un engagement romantique plus profond, soulignant la complexité des dynamiques de rencontres précoces (Vorauer & Ratner, 1996).

56
Q

quelles sont les stratégies pour la transition de rencontres occasionnelles à des rencontres sérieuses

A

Les stratégies pour la transition de rencontres occasionnelles à des rencontres sérieuses incluent l’augmentation de l’interaction, la communication directe sur les sentiments et l’exploitation des réseaux sociaux pour consolider la relation naissante (Tolhuizen, 1989 ; Clark, Shaver, & Abrahams, 1999).

57
Q

quel est le lien entre l’amour et la sexualité ?

A

Les individus perçoivent généralement les activités sexuelles comme plus appropriées et désirables dans le contexte de l’amour et de l’engagement, avec des changements notables vers une plus grande acceptation des expressions sexuelles dans des scénarios de rencontres moins engagés (Sherwin & Corbett, 1985 ; Rubinson & de Rubertis, 1991).

58
Q

quelles sont les différences de genre dans la permissivité sexuelle ?

A

Les hommes et les femmes diffèrent dans leur permissivité sexuelle et leurs attentes, avec les femmes associant plus le sexe à l’amour et à l’intimité émotionnelle que les hommes (Robinson, Balkwell, & Ward, 1980 ; Regan & Berscheid, 1996).

59
Q

quelles sont les attitudes sexuelles dans les relations matrimoniales versus de rencontres ?

A

Alors que l’exclusivité sexuelle est attendue au sein des relations matrimoniales, les normes sociales en évolution ont conduit à une acceptation plus large de diverses expressions sexuelles au sein des relations de rencontres, reflétant des valeurs sociétales changeantes envers le sexe prémarital (Michael, Gagnon, Laumann, & Kolata, 1994).

60
Q

comment l’attrait physique influence significativement le désir sexuel et la sélection des partenaires potentiels ?

A

L’attrait physique influence significativement le désir sexuel et la sélection des partenaires potentiels, avec des préférences pour des formes et caractéristiques corporelles qui sont des indicateurs de santé et de fertilité (Singh, 1993 ; Lavrakas, 1975).

61
Q

quel est le lien entre l’image corporelle et la désirabilité sexuelle ?

A

Des perceptions négatives de sa propre image corporelle peuvent diminuer la désirabilité sexuelle perçue, affectant la confiance dans les poursuites romantiques et la qualité des relations romantiques et sexuelles (Lamb et al., 1993).

62
Q

VRAI OU FAUX
Les idéaux culturels de beauté et de forme corporelle influencent la sélection des partenaires et l’estime de soi, avec des représentations médiatiques amplifiant souvent l’importance de l’attrait physique dans la désirabilité sexuelle et romantique (Ellis, 1954).

A

vrai

63
Q

quel est l’impact de l’histoire sexuelle sur l’attractivité ?

A

Un niveau modéré d’expérience sexuelle est généralement préféré chez les partenaires potentiels, avec les deux extrêmes de promiscuité et de chasteté vus moins favorablement, reflétant les normes sociétales et les attentes concernant le comportement sexuel (Regan & Berscheid, 1997 ; Buss & Schmitt, 1993).

64
Q

quel est le changement sur les perceptions de la virginité ?

A

La valeur accordée à la virginité a diminué au fil du temps, avec les sociétés contemporaines accordant moins d’importance à l’inexpérience sexuelle comme critère pour la sélection des partenaires, indiquant un changement vers des attitudes sexuelles plus libérales (Hoyt & Hudson, 1981 ; Sprecher et al., 1997).

65
Q

VRAI OU FAUX
Bien que l’histoire sexuelle puisse influencer la sélection initiale des partenaires, la qualité et la satisfaction des relations à long terme sont plus fortement déterminées par la compatibilité, la communication et le respect mutuel que par les expériences sexuelles passées (Bettor et al., 1995 ; O’Sullivan, 1995).

A

vrai

66
Q

La compatibilité sexuelle, incluant ______________ similaires, des préférences et des attitudes envers la sexualité, joue un rôle crucial dans la satisfaction et la longévité des relations romantiques (Regan, 2000).

A

La compatibilité sexuelle, incluant des désirs sexuels similaires, des préférences et des attitudes envers la sexualité, joue un rôle crucial dans la satisfaction et la longévité des relations romantiques (Regan, 2000).

67
Q

est-ce que la communication est non efficace lors de la communication sur les besoins sexuels ?

A

Une communication efficace sur les attentes et les préférences sexuelles est essentielle pour atteindre la compatibilité sexuelle, améliorant l’intimité et résolvant les conflits dans les relations (Regan, Levin, Sprecher, Christopher, & Cate, 2000).

68
Q

comment les couples s’adapte aux changement sexuels ?

A

Les couples doivent naviguer les changements dans le désir et la fonction sexuels au cours de leur relation, avec l’adaptabilité et l’ouverture à l’exploration étant clés pour maintenir la satisfaction sexuelle et la santé relationnelle (Regan, 2002).

69
Q

est-ce que les relations de couplage peuvent intégrer la sexualité avec l’intimité émotionnelle ?

A

Les relations de couplage réussies intègrent l’attraction sexuelle et l’activité avec une intimité émotionnelle plus profonde, soutenant le développement de liens forts et durables (Regan, 2000).

70
Q

quels sont les défis et opportunités dans la dynamique de coulage moderne ?

A

La dynamique de couplage moderne présente à la fois des défis, tels que naviguer les normes sexuelles en évolution, et des opportunités pour une compréhension plus profonde et une réalisation à travers l’intégration de la sexualité et de l’intimité (Regan, 2002).

71
Q

quelles sont les directions futures dans la recherche sur les relations ?

A

L’exploration continue de l’interaction entre l’attraction sexuelle, la compatibilité et la satisfaction relationnelle peut offrir des aperçus précieux pour améliorer la qualité et la stabilité des relations dans les sociétés contemporaines.