cours 10 - processus cognitifs Flashcards

1
Q

Comment se passe la formation de relations

A

La formation de relations débute avec des individus initialement étrangers l’un à l’autre, évoluant progressivement en connaissances plus approfondies.

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2
Q

Quel rôle crucial joue la formation d’impression

A

La formation d’impression joue un rôle crucial dans la compréhension des dynamiques relationnelles, aidant à naviguer et à interpréter les interactions sociales initiales.

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3
Q

en quoi consiste le processus cognitifs dans la transition des étrangers à partenaire ?

A

Les processus cognitifs facilitent la transition des étrangers aux partenaires intimes, en traitant efficacement les indices et comportements pour guider les interactions.

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4
Q

pourquoi les premières impressions sont importantes ?

A

Importance des premières impressions: Les premières impressions jouent un rôle significatif en psychologie sociale, influençant profondément la dynamique des relations dès les premiers instants

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5
Q

En quoi consiste l’apparence et les indices situationnnels ?

A

L’apparence et les indices situationnels servent de premiers indicateurs lors de la formation d’impression, orientant les perceptions et anticipations initiales.

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6
Q

Qu’est-ce qu’est l’efficacité cognitive et quel est son rôle ?

A

L’efficacité cognitive dans le traitement de ces indices joue un rôle essentiel dans la guidance des interactions initiales, permettant une adaptation rapide et appropriée aux nouvelles rencontres.

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7
Q

Selon Bargh (1994, 1996) que dit-il par rapport à apprendre et prédire le comportement ?

A

Selon Bargh (1994, 1996), connaître une personne implique de prédire son comportement avec précision, en particulier dans les interactions. Cette capacité de prédiction est cruciale pour la coordination des comportements et la transition vers une interaction fluide dans les relations établies.

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8
Q

en quoi consiste la connaissance approfondie et la prédiction lorsqu’on apprend à connaitre une autre personne ?

A

Une connaissance approfondie permet de prédire le comportement d’une personne dans une grande variété de situations, même inédites. Cette prédiction précise enrichit la dynamique relationnelle et facilite une interaction harmonieuse (Kenny, 1994a).

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9
Q

Quel est l’impact sur l’auto-concept et l’estime de soi ?

A

Les partenaires proches influencent l’auto-conception et l’estime de soi, révélant l’importance des interactions et des attentes mutuelles dans la perception de soi (Swann, 1984).

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10
Q

Qu’est-ce que Tolman (1932) a introduit ?

A

Tolman (1932) a introduit le concept d’attente en psychologie, soulignant son rôle dans la prédiction du comportement des autres. Ces attentes influencent profondément les interactions sociales, guidant nos comportements et perceptions.

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11
Q

VRAI OU FAUX
Influence des partenaires proches sur l’auto-concept : Selon Andersen et Baum (1994), les partenaires proches jouent un rôle significatif dans la formation de l’auto-concept et l’estime de soi, illustrant l’impact profond des attentes relationnelles sur la perception de soi

A

vrai

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12
Q

VRAI OU FAUX
Holmes (2002) discute de l’importance des attentes dans la cognition sociale, notant qu’il est relativement rare de connaître quelqu’un profondément, ce qui souligne le rôle crucial des attentes dans les relations.

A

vrai

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13
Q

quelle est la mission principale de la psycho cognitive ?

A

Comprendre la structure psychologique et les processus opératoires de l’esprit humain, soulignant que la plupart des activités mentales restent inaccessibles même à la personne concernée (James, 1890; Mandler, 1975).

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14
Q

vrai ou faux
les activités mentales sont majoritairement cachées

A

vrai
La majorité des activités mentales ne sont pas accessibles aux autres, ni à soi-même, révélant notre inconscience des processus internes qui guident notre comportement (Freud, 1999).

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15
Q

qui a caractérisé la consicnece comme le mystère ultime pour les psychologues ?

A

Conscience : un mystère ultime : William James (1890) a caractérisé la conscience comme le “mystère ultime” pour les psychologues, avec une focalisation plus récente sur l’attention focale plutôt que sur l’ensemble de l’esprit (Mandler, 1975).

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16
Q

comment se passe la traitement des info sociales ?

A

Focus sur la manière dont nous traitons les informations relatives aux personnes, structurons et organisons ces informations en mémoire, et accédons aux connaissances accumulées pour prédire les comportements (Fiske & Taylor, 1991; Kunda, 1999).

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17
Q

vrai ou faux
La perception des personnes ne diffère pas significativement de celle des objets physiques, notamment en termes de réciprocité et d’influence de l’auto-perception (Kenny, 1994a).

A

faux, elle diffère

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18
Q

Quelle était le défi de la perception précise ?

A

La perception précise des attributs d’autrui est complexe, influencée par l’auto-présentation et la capacité des individus à tromper délibérément sur leurs attributs (Gilbert, 1989).

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19
Q

De quoi les théories contemporaines du traitement de l’info sociale de distinguent-ils ?
(2 méthodes)

A

Ces théories contemporaines du traitement de l’information sociale distinguent deux méthodes distinctes : le traitement automatique/associatif et le traitement contrôlé/basé sur des règles, soulignant leur complémentarité dans notre compréhension sociale (Smith & DeCoster, 2000).

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20
Q

Explique ce qu’est le traitement automatique/associatif

A

Traitement automatique/associatif: Caractérisé par Bargh (1994, 1996) comme étant rapide et hors de la conscience, ce type de traitement permet une réponse immédiate basée sur des associations préalables, facilitant ainsi la reconnaissance et la réaction face à de nouvelles rencontres.

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21
Q

Explique ce qu’est le traitement contrôlé/basé sur des règles.

A

Traitement contrôlé/basé sur des règles: Ce mode de traitement, plus lent et délibéré, permet une analyse plus profonde et est utilisé lorsqu’il y a une forte motivation pour faire des prédictions précises sur le comportement d’autrui ou dans des situations nécessitant un effort cognitif conséquent (Gilbert, 1989).

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22
Q

quelle est la différence entre les caractérisques du traitement automatique et associatif ?

A

Bargh (1994, 1996) décrit le traitement automatique comme possédant quatre caractéristiques : non intentionnel, incontrôlable, inaccessible à la conscience, et efficace. Ce mode de traitement permet une réaction rapide et instinctive sans effort conscient.

Le traitement associatif joue un rôle crucial dans la formation instantanée d’attentes basées sur la similarité avec des individus connus, facilitant immédiatement nos interactions sociales (Smith & DeCoster, 2000).

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23
Q

VRAI OU FAUX
Les expériences passées influencent directement les réactions sociales immédiates sans que nous en ayons conscience, à travers des associations rapides et efficaces, illustrant la puissance de notre mémoire associative dans le traitement de l’information sociale.

A

vrai

24
Q

Smith et DeCoster (2000) soutiennent quoi par rapport aux systèmes de mémoire humains ?

A

Smith et DeCoster (2000) soutiennent, comme de nombreux psychologues cognitifs, que les humains possèdent trois systèmes de mémoire : sensorielle, à court terme, et à long terme (mémoire associative), chacun incorporant des informations de manière lente et incrémentielle basée sur des régularités éprouvées.

25
Q

quelle est la fonctionnalité de la mémoire associative ?

A

La mémoire associative, enregistrant lentement les nouvelles expériences, est essentielle pour maintenir une structure stable et éviter la perturbation par des événements rares, permettant ainsi la formation d’attentes stables basées sur des régularités physiques et sociales avérées.

26
Q

Kohler 1929 a voulu démontrer quoi à travers de son expérience avec les poulets ?

A

Kohler (1929), à travers son expérience classique avec des poulets, a démontré l’aptitude particulière du cerveau humain à détecter des invariances dans les environnements sociaux et physiques, qui sont ensuite stockées dans la mémoire associative pour former des attentes stables.

27
Q

VRAI OU FAUX

Contraste entre les modes de traitement: Le traitement automatique/associatif, rapide et inconscient, est complémenté par le traitement contrôlé/basé sur des règles, qui est délibéré, intentionnel et exige une attention consciente pour l’apprentissage de nouveaux comportements et la prise de décisions complexes (Smith et DeCoster, 2000).

A

vrai

28
Q

Quels sont les caractérisques du traitement contrôlé ?

A

Ce mode permet une analyse profonde, accédant aux systèmes de mémoire à long et à court terme pour l’application de connaissances et de règles nouvellement acquises, essentielles dans des situations exigeant une réflexion approfondie ou un apprentissage (Bargh, 1996).

29
Q

VRAI OU FAUX
Application et accessibilité des mémoires: Le traitement contrôlé ne tire pas profit de la mémoire à long terme pour les connaissances établies et de la mémoire à court terme pour les informations récentes, permettant une flexibilité cognitive et une adaptation aux nouvelles situations (Smith et DeCoster, 2000).

A

faux, elle en tire profit

30
Q

que disent Fiske et Taylor sur les premières impressions ?

A

Selon Fiske et Taylor (1991), les premières impressions sont déterminantes pour l’avenir des relations. Une impression favorable peut favoriser des interactions futures, tandis qu’une impression défavorable peut les limiter.

31
Q

VRAI OU FAUX
Les impressions initiales façonnent la nature des interactions futures. Les attentes créées lors de la première rencontre guident le comportement dans les interactions subséquentes (Berscheid, 1994; Wyer & Gruenfeld, 1995).

A

vrai

32
Q

À quoi sert la catégorisation sociale et les premières impressions ?

A

La catégorisation sociale lors de la première rencontre repose souvent sur la similitude avec des individus connus, facilitant la formation d’attentes et la préparation aux interactions (Bruner, 1957).

33
Q

Que dit Bruner 1957 sur l’importance de la catégorisation et la similitude ?

A

Bruner (1957) souligne l’importance de la similitude entre un étranger et des individus déjà connus pour accéder à notre réserve de connaissances sociales, facilitant ainsi la catégorisation sociale rapide.

34
Q

VRAI OU FAUX
L’accessibilité des catégories est influencée par la fréquence et la récence d’utilisation. Des catégories socialement accessibles sont plus susceptibles d’être utilisées pour catégoriser des étrangers (Fiske & Taylor, 1991).

A

vrai

35
Q

VRAI OU FAUX

Erreur et ajustement : La catégorisation sociale peut mener à des erreurs et nécessiter des ajustements basés sur de nouvelles informations ou des interactions continues (Goldstein & Papageorge, 1980; Simpson & Crandall, 1972).

A

vrai

36
Q

Explique le principe de similarité

A

La similarité entre un étranger et des personnes déjà connues détermine l’accès à notre réserve de connaissances sociales. Plus une personne partage de caractéristiques avec ceux d’une catégorie sociale, plus il est probable que cette catégorie, et les attentes qu’elle représente, soit accessible (Smith & DeCoster, 2000).

37
Q

l’accessibilité d’une catégorie est influencée par …..?

A

: L’accessibilité d’une catégorie est influencée par la fréquence et la récence de son utilisation. Les catégories fréquemment et récemment utilisées sont plus susceptibles d’être appliquées aux étrangers (Higgins & Bargh, 1987).

38
Q

l’interaction entre la similarité et l’accessibilité dans la catégorisation sociale affecte notre ….?

A

L’interaction entre la similarité et l’accessibilité dans la catégorisation sociale affecte notre perception et interaction avec les autres, illustrant comment nos attentes dirigent notre attention vers des événements congruents et peuvent nous faire négliger des événements incongruents (Zadny & Gerard, 1974).

39
Q

quel est le rôle de l’amorçage ?

A

L’amorçage augmente l’accessibilité des catégories, influençant la perception et l’interaction sociale. Cette technique peut rendre certaines catégories plus saillantes, affectant notre interprétation des comportements et des traits d’autrui (Carver, Ganellen, Froming, & Chambers, 1983).

40
Q

VRAI OU FAUX

Les attentes amorcent les catégories et schémas pertinents, facilitant l’interaction sociale rapide et efficace. Ce processus souligne l’efficacité de notre cognition à ajuster nos perceptions et interactions en fonction des attentes préalables (Zadny & Gerard, 1974; Olson et al., 1996).

A

vrai

41
Q

quels sont les impacts des attentes sur l’attention et interprétation ?

A

Les attentes issues de la catégorisation influencent ce qui capte notre attention et comment les événements sont interprétés, démontrant comment nos préjugés cognitifs dirigent notre focus et peuvent biaiser notre perception des interactions (Snyder & Stukas, 1999).

42
Q

VRAI OU FAUX
Les attentes peuvent créer une réalité conforme à elles-mêmes, illustrant le potentiel des attentes à façonner les interactions de manière à confirmer ces mêmes attentes, un concept central en psychologie sociale (Kelley & Stahelski, 1970; Snyder, Tanke, & Berscheid, 1977).

A

vrai

43
Q

quelles avancées ont généré de nouveaux modèles de cognition, dépeignant l’esprit non comme un entrepôt d’unités de connaissance fixes, mais comme un ensemble de motifs d’activité cérébrale uniques à chaque expérience (Smith, 1998; Damasio, 1994).

A

les avancées en neurosciences cognitives

44
Q

VRAI OU FAUX
Implications pour la cognition sociale: Ces modèles offrent des nuances et implications que les modèles traditionnels n’avaient pas, s’accordant mieux avec les connaissances actuelles sur le cerveau et les relations interpersonnelles, enrichissant ainsi la compréhension des interactions sociales et des dispositions relationnelles (Damasio, 1994).

A

vrai

45
Q

VRAI OU FAUX
Perception contextuelle et dynamique: Les modèles suggèrent que les représentations mentales de notre environnement social sont reconstruites de manière contextuelle, indiquant que notre interaction avec le monde est influencée par des états internes et des situations spécifiques, plutôt que par des catégories fixes (Damasio, 1994).

A

vrai

46
Q

Qu’ont introduit Baldwin 1992 et Planalp 1987 dans des structures cognitives ?

A

Structures cognitives des schémas relationnels: Baldwin (1992) et Planalp (1987) introduisent le concept de schéma relationnel comme des structures cognitives représentant les régularités des patterns d’interaction interpersonnelle, incluant un schéma de soi, un schéma pour le partenaire, et un script d’interaction

47
Q

Des études montrent que certains schémas relationnels, comme le [……..], sont chroniquement accessibles, influençant la reconnaissance des thèmes interpersonnels positifs ou négatifs (Baldwin, Fehr, Keedian, Seidel, & Thomson, 1993).

A

Des études montrent que certains schémas relationnels, comme le style d’attachement adulte, sont chroniquement accessibles, influençant la reconnaissance des thèmes interpersonnels positifs ou négatifs (Baldwin, Fehr, Keedian, Seidel, & Thomson, 1993).

48
Q

qu’est-ce qui peut modifier l’auto-évaluation d’une personne en fonction de sa perception de soi dans cette relation ?

A

L’activation d’un schéma relationnel spécifique peut modifier l’auto-évaluation d’une personne en fonction de sa perception de soi dans cette relation (Baldwin, Carrell, & Lopez, 1990; Hinkley & Andersen, 1996).

49
Q

Quelle est la définition des scripts d’interaction ?

A

Définition des scripts d’interaction: Les scripts d’interaction sont des ensembles d’attentes sur l’ordre temporel des comportements propres et ceux du partenaire dans des contextes spécifiques, facilitant la coordination des actions et réduisant l’effort d’interaction (Ginsberg, 1988).

50
Q

comment se développe les scripts d’interaction ?

A

Les scripts se développent progressivement à mesure que les partenaires coordonnent leurs actions, rendant les séquences comportementales plus fluides et moins exigeantes en attention consciente au fil du temps (Berscheid, 1983/2002).

51
Q

Quel est le rôle dans l’automatisation des interactions ?

A

Avec la répétition, ces scripts permettent une exécution automatique de séquences d’interaction complexes, soulignant l’importance des schémas relationnels dans la régulation des comportements dans les relations à long terme (Surra & Bohman, 1991).

52
Q

Quels sont les défis de la mémoire relationnelle ?

A

Défis de la mémoire relationnelle: Les souvenirs des événements relationnels sont sujets à des biais et déformations, notamment à cause de la tendance à surévaluer sa propre contribution (Ross & Sicoly, 1979) et de l’effet de congruence d’humeur sur le rappel (Forgas, 1991).

53
Q

quelles émotions tendent à être bien mémorisés?

A

Les événements relationnels provoquant des émotions, surtout ceux inattendus et significatifs, tendent à être bien mémorisés. Ce phénomène est en partie expliqué par l’hypothèse de mobilisation-minimisation de Taylor (1991), qui suggère une meilleure mémorisation initiale des événements négatifs pour mobiliser des ressources face à l’adversité.

54
Q

VRAI OU FAUX
Au fil du temps, les souvenirs positifs semblent s’atténuer au profit des souvenirs négatifs, un effet connu sous le nom de principe de Pollyanna (Matlin & Stang, 1978). Cette tendance peut contribuer à l’amélioration du bien-être subjectif et à une perception plus positive des expériences relationnelles passées.

A

faux, c’est l’inverse
Influence de la positivité sur la mémoire: Au fil du temps, les souvenirs négatifs semblent s’atténuer au profit des souvenirs positifs.

55
Q

À quoi sert les récits ?

A

Les récits représentent les histoires que les individus construisent pour donner un sens aux événements relationnels passés. Cette approche a été largement étudiée par Harvey, Weber, et leurs collaborateurs (1989), qui ont souligné l’importance de ces récits dans l’ajustement à la perte d’une relation.

56
Q

Pourquoi les individus sont particulièrement motivés à construire des récits cohérents ?

A

Les individus sont particulièrement motivés à construire des récits cohérents après des événements de vie négatifs majeurs, comme la perte d’une relation, pour mieux comprendre leur signification et leurs implications futures (Harvey, Weber & Orbuch, 1990).

57
Q

VRAI OU FAUX
La construction d’un récit cohérent de l’événement troublant peut promouvoir la santé physique et mentale, éventuellement par l’amélioration de l’estime de soi et le renforcement du sentiment de contrôle (Berscheid & Reis, 1998).

A

vrai