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Relations interpersonnelles PSY2071 > cours 11- Influences dispositionnelles > Flashcards

cours 11- Influences dispositionnelles Flashcards

1
Q

pourquoi est-ce important d’avoir des propriétés personnelles ?

A

Chaque interaction sociale est influencée par un ensemble unique de propriétés personnelles, incluant traits démographiques et dispositions, qui déterminent la nature des relations développées. (Berscheid & Kelley, 2002)

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2
Q

quels sont les attributs visibles du sommet de l’iceberg des propriétés personnelles ?

A

Les attributs visibles tels que l’âge, le sexe et le statut socio-économique ne sont que la partie visible de l’iceberg. Ce sont les dispositions cachées qui influencent significativement les interactions. (Rusbult & Van Lange, 2003)

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3
Q

quelle est la critique de l’approche individualiste-psychométrique ?

A

La critique de l’approche individualiste-psychométrique souligne l’importance de considérer l’interaction entre les propriétés des partenaires et le contexte situationnel. (Berscheid & Kelley, 2002; Rusbult & Van Lange, 2003)

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4
Q

quelle est la définition du sexe biologique et du genre psychologique ?

A

Le sexe biologique se réfère aux caractéristiques physiques et génétiques distinguant les hommes des femmes. Le genre psychologique concerne les traits et caractéristiques considérés socialement appropriés pour chaque sexe. (Beall & Sternberg, 1993; Maccoby & Jacklin, 1974)

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5
Q

quel est l’impact de la masculinité-féminité sur les relations ?

A

Les notions de masculinité et de féminité influencent les attentes et les comportements dans les interactions sociales, modulant la dynamique des relations personnelles et professionnelles. (Peplau, 1983/2002)

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6
Q

quel est la différence entre la culture populaire et les découvertes scientifiques ?

A

La culture populaire tend à simplifier et exagérer les différences de genre, alors que les études scientifiques mettent en lumière une réalité bien plus nuancée et complexe, montrant que les différences sont souvent moins marquées que perçu. (Gray, 1992; Hyde, 1996)

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7
Q

quels sont les différences biologiques entre les sexes ? hommes et femmes

A

Les différences biologiques entre les sexes incluent les chromosomes (XX chez la femme, XY chez l’homme), ainsi que les différences dans les organes génitaux externes et reproducteurs internes. (Eagly & Steffen, 1986; Maccoby & Jacklin, 1974)

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8
Q

VRAI OU FAUX
: Hommes et femmes peuvent avoir des approches différentes de l’amour, de la sélection du partenaire et suivre des normes sexuelles distinctes, influencées par des facteurs biologiques et sociaux. (Peplau, 1983/2002).

A

vrai

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9
Q

que montre les méta-analyses sur les différences de sexes ?

A

Les méta-analyses montrent que si des différences de sexe existent dans plusieurs domaines, elles sont souvent moins prononcées que ce que la culture populaire suggère. (Hyde, 1996)

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10
Q

Quel est la définition et croyances sociétales sur les différences de genre ?

A

Définition et croyances sociétales sur les différences de genre: La précision empathique, souvent perçue comme plus développée chez les femmes, désigne la capacité à comprendre les émotions et pensées d’autrui. Cette perception est influencée par des croyances sociétales largement répandues. (Eisenberg & Lennon, 1983; Ickes, 1997)

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11
Q

VRAI OU FAUX
Les différences de précision empathique entre les sexes peuvent être modulées par des facteurs méthodologiques, tels que la manière dont les études sont conçues et les attentes sociales envers les genres. (Ickes, Gesn, & Graham, 2000)

A

vrai

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12
Q

VRAI OU FAUX
Les recherches suggèrent que les différences entre hommes et femmes en termes de précision empathique reflètent plus une différence de motivation qu’une différence de capacité intrinsèque. (Klein & Hodges, 2001)

A

vrai

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13
Q

quelle est la définition du coping centré sur le problème et le coping centré sur l’émotion ?

A

Le coping fait référence aux réponses cognitives et comportementales utilisées pour gérer le stress. Le coping centré sur le problème vise à modifier la source du stress, tandis que le coping centré sur l’émotion vise à gérer la réponse émotionnelle au stress. (Lazarus & Folkman, 1984)

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14
Q

Quelles sont les différences de genre dans les stratégies de coping : Mythe vs. réalité

A

Contrairement aux idées reçues, les recherches montrent que les différences de genre dans les stratégies de coping ne sont pas aussi prononcées. Les femmes et les hommes utilisent une variété de stratégies en fonction du contexte. (Tamres, Janicki, & Helgeson, 2002)

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15
Q

L’efficacité d’une stratégie de coping dépend de ?

A

L’efficacité d’une stratégie de coping dépend souvent de la nature du stress rencontré. La flexibilité dans l’utilisation des stratégies de coping est cruciale pour une gestion efficace du stress. (Lazarus & Folkman, 1984; Tamres et al., 2002)

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16
Q

quelle est la différence de genre dans l’auto-divulgation ?

A

Les femmes tendent à s’auto-divulguer plus que les hommes, partageant davantage d’informations personnelles et émotionnelles, ce qui reflète des normes sociales et des attentes de genre. (Dindia & Allen, 1992; Petronio & Sargent, 2003)

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17
Q

Pourquoi est-ce important l’auto-divulgation dans les amitiés entre personnes du même sexe ?

A

L’auto-divulgation joue un rôle clé dans la formation et le maintien des amitiés intimes, surtout parmi les femmes, où elle favorise une connexion et compréhension mutuelles. (Hussong, 2000)

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18
Q

VRAI OU FAUX
Dans le contexte des relations amoureuses hétérosexuelles, les différences de genre dans l’auto-divulgation tendent à diminuer, les partenaires partageant un niveau similaire d’intimité personnelle. (Vangelisti & Daly, 1997)

A

vrai

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19
Q

quels sont les types d’agressions et leurs manifestations ?

A

L’agression peut être physique, verbale, directe ou indirecte. Les hommes ont tendance à exhiber plus d’agression physique, tandis que les femmes montrent plus souvent des formes d’agression verbale et indirecte. (Archer, 2000b; Eagly & Steffen, 1986)

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20
Q

VRAI OU FAUX
Les différences de genre dans l’agression ne sont pas statiques mais dépendent largement du contexte, notamment des relations intimes où les femmes peuvent être tout aussi agressives que les hommes. (Straus, Gelles, & Steinmetz, 1980)

A

vrai

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21
Q

VRAI OU FAUX
L’agression dans les relations amoureuses peut ne pas avoir des conséquences graves, affectant la dynamique du couple et la santé émotionnelle des partenaires. Les femmes sont plus susceptibles de causer des blessures graves. (O’Leary, 2000)

A

faux
L’agression dans les relations amoureuses peut avoir des conséquences graves, affectant la dynamique du couple et la santé émotionnelle des partenaires. Les hommes sont plus susceptibles de causer des blessures graves. (O’Leary, 2000)

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22
Q

VRAI OU FAUX
Les différences de sexe sont souvent attribuées à la socialisation et aux influences culturelles qui encouragent des comportements spécifiques chez les hommes et les femmes. (Maccoby, 1990; Tannen, 1990)

A

vrai

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23
Q

Les différences biologiques, telles que les [ ….], jouent également un rôle dans le comportement sexuel, notamment en ce qui concerne l’agression et la compétitivité. (Breedlove, 1992; Dabbs & Morris, 1990)

A

Les différences biologiques, telles que les niveaux d’hormones, jouent également un rôle dans le comportement sexuel, notamment en ce qui concerne l’agression et la compétitivité. (Breedlove, 1992; Dabbs & Morris, 1990)

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24
Q

Qu’est-ce qui reconnait l’interaction entre la biologie et la socialisation dans la formation des différences de sexe, suggérant que ni l’une ni l’autre ne peut entièrement expliquer ces différences (Eagly & Wood, 1999)

A

Une perspective intégrative

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25
Q

quel est l’inventaire des rôles sexuels de Bem et les autres mesures ?

A

Des instruments comme l’Inventaire des Rôles Sexuels de Bem évaluent comment les individus s’identifient aux traits traditionnellement masculins ou féminins, offrant une perspective sur l’androgynie et les rôles sexuels. (Bem, 1974)

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26
Q

VRAI OU FAUX
Les personnes androgynes, combinant des traits masculins et féminins, tendent à avoir une satisfaction relationnelle plus faible, suggérant aucune flexibilité des rôles bénéfique pour les relations. (Bem, 1975; Wood, 1987)

A

faux
Les personnes androgynes, combinant des traits masculins et féminins, tendent à avoir une satisfaction relationnelle plus élevée, suggérant une flexibilité des rôles bénéfique pour les relations. (Bem, 1975; Wood, 1987)

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27
Q

VRAI OU FAUX
L’orientation vers des rôles sexuels traditionnels ou androgynes peut influencer l’ajustement conjugal, les couples androgynes montrant souvent une meilleure communication et satisfaction. (Antill, 1983; Helgeson, 1994)

A

vrai

28
Q

Quelles est la définition et stabilité de la personnalité ?

A

Définition et stabilité de la personnalité: La personnalité est un ensemble de comportements, pensées et émotions stables dans le temps et cohérents à travers différentes situations, soulignant la singularité de chaque individu. (McCrae & Costa, 1987)

29
Q

quelle est la vision interactionniste de la personnalité ?

A

L’approche interactionniste reconnaît que le comportement est le résultat de l’interaction entre la personnalité de l’individu et les spécificités de la situation. (Bowers, 1973)

30
Q

qu’est-ce que le modèle en cinq facteurs de la personnalité ?

A

Ce modèle décrit la personnalité à travers cinq dimensions larges : l’ouverture à l’expérience, la conscience, l’extraversion, l’agrément et le neuroticisme, fournissant un cadre pour comprendre la variabilité humaine. (Goldberg, 1990)

31
Q

quelle est la définition et caractéristiques de l’extraversion ?

A

Définition et caractéristiques de l’extraversion: L’extraversion est une dimension de la personnalité caractérisée par l’orientation vers l’extérieur, l’enthousiasme pour les interactions sociales, l’énergie et l’optimisme. (McCrae & Costa, 1987)

32
Q

VRAI OU FAUX
Les individus introvertis tendent à participer plus activement à des activités sociales, à rechercher des expériences stimulantes et à avoir un réseau social plus large. (Ashton, Lee, & Paunonen, 2002)

A

faux
Les individus extravertis tendent à participer plus activement à des activités sociales, à rechercher des expériences stimulantes et à avoir un réseau social plus large. (Ashton, Lee, & Paunonen, 2002)

33
Q

VRAI OU FAUX
L’extraversion a été associée à une satisfaction conjugale plus élevée, les traits comme l’ouverture et la chaleur étant bénéfiques pour la qualité de la relation. (Gottman & Levenson, 1992)

A

vrai

34
Q

quelle est la définition et implications du névrosisme ?

A

Définition et implications du névrosisme: Le névrosisme est une dimension de la personnalité caractérisée par une tendance à éprouver des émotions négatives telles que l’anxiété, la colère et la dépression. Les individus à haut niveau de névrosisme peuvent avoir des difficultés à gérer le stress et à faire face à des situations conflictuelles. (Costa & McCrae, 1987)

35
Q

Des niveaux faibles de névrosisme sont associés à une forte satisfaction conjugale et à un risque accru de dissolution du mariage, en partie à cause de la gestion moins efficace des conflits et de la communication négative. (Karney & Bradbury, 1995)

A

Faux
Des niveaux élevés de névrosisme sont associés à une moindre satisfaction conjugale et à un risque accru de dissolution du mariage, en partie à cause de la gestion moins efficace des conflits et de la communication négative. (Karney & Bradbury, 1995)

36
Q

VRAI OU FAUX
Le névrosisme peut influencer positivement la dynamique relationnelle en augmentant la sensibilité aux comportements du partenaire perçus comme positifs, conduisant à des cycles d’interaction favorables. (Levenson, Carstensen, & Gottman, 1993)

A

faux
Le névrosisme peut influencer négativement la dynamique relationnelle en augmentant la sensibilité aux comportements du partenaire perçus comme négatifs, conduisant à des cycles d’interaction défavorables. (Levenson, Carstensen, & Gottman, 1993)

37
Q

quels sont les deux supertraits vu dans le cours ?

A

extraversion et névrosisme

38
Q

Quelle est la définition et importance de la motivation à l’intimité ?

A

La motivation à l’intimité se réfère au désir d’établir des relations étroites et significatives, caractérisées par un haut degré de compréhension, de soin et de partage émotionnel. (McAdams, 1980)

39
Q

VRAI OU FAUX
Les individus avec une faible motivation à l’intimité tendent à développer des relations moins profondes et satisfaisantes avec leurs pairs, marquées par un partage émotionnel et une compréhension mutuelle. (McAdams, 1985)

A

faux
Les individus avec une forte motivation à l’intimité tendent à développer des relations plus profondes et satisfaisantes avec leurs pairs, marquées par un partage émotionnel et une compréhension mutuelle. (McAdams, 1985)

40
Q

la motivation à l’intimité influence quoi ?

A

La motivation à l’intimité influence la qualité et la nature des amitiés, favorisant des liens basés sur l’authenticité, le soutien et l’échange émotionnel profond. (McAdams & Bryant, 1987)

41
Q

Quelle est la définition et expressions du motif de pouvoir ?

A

Le motif de pouvoir est défini comme le désir d’avoir une influence sur les autres, de contrôler les ressources ou d’être en position d’autorité. Il se manifeste à travers divers comportements, allant de l’affirmation de soi à la compétitivité. (Winter, 1973)

42
Q

quelle est l’impact de la motivation au pouvoir sur la dynamique relationnelle?

A

Une forte motivation au pouvoir peut conduire à des dynamiques relationnelles conflictuelles, en particulier si elle n’est pas tempérée par l’empathie ou la recherche du bien-être mutuel. (Kipnis, 1976)

43
Q

les individus ayant un besoin élevé de pouvoir sont souvent confrontés à des défis dans leurs relations, lesquels ?

A

Les individus ayant un besoin élevé de pouvoir sont souvent confrontés à des défis dans leurs relations, tels que des conflits fréquents et une satisfaction relationnelle moindre, en raison de leur tendance à prioriser le contrôle sur la connexion. (McClelland, 1975)

44
Q

quelle est la définition et dimensions de l’auto-surveillance ?

A

L’auto-surveillance fait référence à la tendance à réguler son comportement et ses expressions en fonction des indices sociaux et des attentes des autres, impliquant une adaptabilité dans les présentations de soi. (Snyder, 1974)

45
Q

que choisis les hauts auto-moniteurs et les bas auto-moniteurs dans leurs relations amoureuses ?

A

Les hauts auto-moniteurs ont tendance à choisir des partenaires basés sur des critères externes tels que l’attractivité, tandis que les bas auto-moniteurs privilégient la compatibilité des valeurs et des attitudes. (Snyder & Simpson, 1984)

46
Q

que sont les résultats rapportés par les haut auto-moniteurs et les bas auto-moniteurs ?

A

Les hauts auto-moniteurs rapportent une plus grande variété dans leurs expériences de rencontres et ont tendance à avoir des relations moins stables et moins engagées que les bas auto-moniteurs. (Snyder, Simpson, & Gangestad, 1986)

47
Q

Quelle est la définition et importance du locus de contrôle ?

A

Le locus de contrôle désigne les croyances d’un individu concernant l’étendue de son influence sur les événements de sa vie. Les individus à locus interne croient en leur capacité à influencer les événements, tandis que ceux à locus externe attribuent les événements à des facteurs extérieurs. (Rotter, 1966)

48
Q

à quoi est associé une personne ayant un locus de contrôle interne sur ses gestions des transitions relationnelles ?

A

Un locus de contrôle interne est associé à une meilleure gestion des transitions relationnelles, comme le mariage ou la parentalité, grâce à une perception accrue de l’agence personnelle. (Terry, 1991)

49
Q

VRAI OU FAUX
Les individus à locus de contrôle interne tendent à avoir des expériences amoureuses plus satisfaisantes, attribuant les réussites et les échecs de leurs relations à leurs propres actions plutôt qu’à la chance ou au destin. (Dion & Dion, 1973)

A

vrai

50
Q

quelle est la définition et l’évaluation de l’orientation socio-sexuelle ?

A

L’orientation socio-sexuelle dénote l’ouverture d’un individu aux expériences sexuelles sans engagement émotionnel ou relationnel. Les individus avec une orientation socio-sexuelle non restreinte tendent à engager des relations sexuelles plus librement et rapidement. (Simpson & Gangestad, 1991)

51
Q

Quelles sont les impacts de la socio-sexualité sur les expériences romantiques et sexuelles ?

A

Les personnes avec une orientation socio-sexuelle non restreinte rapportent plus de partenaires sexuels et des relations amoureuses moins stables et moins satisfaisantes. (Gangestad & Simpson, 2000)

52
Q

VRAI OU FAUX
L’orientation socio-sexuelle influence la manière dont les individus interagissent socialement, affectant leurs préférences pour les partenaires potentiels et leur comportement dans les relations amoureuses. (Baumeister & Twenge, 2002)

A

vrai

53
Q

VRAI OU FAUX
Les états d’humeur chroniques, tels que la tendance à l’optimisme ou au pessimisme, influencent la perception des interactions sociales et la dynamique relationnelle. (Gottman & Levenson, 1992)

A

vrai

54
Q

quels sont les troubles de l’humeur et leur prévalence dans la population ?

A

Les troubles de l’humeur, y compris la dépression majeure et le trouble bipolaire, affectent une large part de la population, ayant un impact significatif sur les relations personnelles et professionnelles. (Kessler et al., 2005)

55
Q

la dépression est un résultat de …..?

A

La dépression résulte d’une interaction complexe entre facteurs biologiques (génétique, déséquilibres chimiques), psychologiques (traits de personnalité, expériences de vie) et sociaux (support relationnel, stress environnemental). (Caspi et al., 2003)

56
Q

VRAI OU FAUX
La dépression peut entraîner un retrait social, diminuant la qualité et la quantité des interactions sociales, affectant négativement les amitiés existantes et la capacité à en former de nouvelles. (Hammen, 2005)

A

vrai

57
Q

quels sont les impacts de la dépression dans les relations amoureuses ?

A

Dans les relations amoureuses, la dépression peut contribuer à des cycles d’interaction négatifs, augmenter le conflit et réduire la satisfaction relationnelle pour les deux partenaires. (Whisman, 2001)

58
Q

VRAI OU FAUX
la dépression peut agir aussi dans la dynamique familiale et dans les relations parents-enfants ?

A

La dépression d’un parent peut avoir des répercussions profondes sur la dynamique familiale, influençant négativement les relations parent-enfant et contribuant à un environnement familial tendu. (Goodman & Gotlib, 1999)

59
Q

quelle est l’impact de la dépresion sur les expériences relationnelles ?

A

Les expériences relationnelles négatives peuvent aggraver la dépression, tandis que la dépression elle-même peut détériorer la qualité des relations, créant un cycle vicieux. (Davila, 2001)

60
Q

Quels sont les traitements de la dépression sur les facteurs interpersonnels ?

A

Les traitements de la dépression incluent souvent des composantes interpersonnelles, soulignant l’importance des relations dans le processus de guérison. (Gotlib & Hammen, 1992)

61
Q

VRAI OU FAUX
Les interventions ciblant la dynamique du couple et de la famille peuvent être particulièrement efficaces pour traiter la dépression, en améliorant la communication et en résolvant les conflits. (Beach, Sandeen, & O’Leary, 1990)

A

vrai

62
Q

quels sont les fondements de la théorie de l’attachement ?
Et qui l’a développé ?

A

La théorie de l’attachement, développée par Bowlby, propose que les expériences précoces avec les soignants forment des modèles internes opérants qui influencent les comportements relationnels à l’âge adulte. (Bowlby, 1969/1982)

63
Q

comment sont catégorisé les styles d’attachement adulte ?

A

Les styles d’attachement adulte sont généralement classés en sécurisé, anxieux (préoccupé) et évitant, chacun reflétant des schémas distincts dans la perception de soi et des autres dans les relations. (Bartholomew & Horowitz, 1991)

64
Q

comment le style d’attachement influence la dynamique relationnelle ?

A

Le style d’attachement influence la dynamique relationnelle, y compris la proximité, la dépendance et la gestion des conflits, ayant un impact significatif sur la satisfaction relationnelle et la stabilité. (Hazan & Shaver, 1987)

65
Q

quelle est la définition et développement de la sensibilité au rejet ?

A

La sensibilité au rejet décrit une tendance à anticiper, percevoir et réagir de manière excessive aux signes de rejet dans les relations interpersonnelles. Cette disposition est souvent développée à partir d’expériences relationnelles négatives précoces. (Downey & Feldman, 1996)

66
Q

quel est l’impact sur les interactions interpersonnelles ?

A

Les personnes sensibles au rejet peuvent interpréter de manière erronée des comportements neutres comme rejetants, conduisant à des réactions défensives ou à un retrait qui peut saboter les relations. (Romero-Canyas et al., 2010)

67
Q

VRAI OU FAUX
Des stratégies de coping adaptatives et des interventions thérapeutiques ciblant la sensibilité au rejet peuvent ne peut aider à améliorer la régulation émotionnelle et à renforcer la résilience dans les interactions sociales. (Ayduk et al., 2008)

A

Faux

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