Cours 13 Flashcards
OUI ou NON concernant l’aversion sexuelle :
L’aversion et l’évitement peuvent-ils être mieux expliqués par un autre trouble sexuel ou non sexuel ?
NON
OUI ou NON concernant l’aversion sexuelle : L’aversion et l’évitement sexuels occasionnent-ils une souffrance marquée ou des difficultés interpersonnelles ?
OUI
Qu’est-ce que l’état de spectatoring peut mener à … dans le trouble de l’excitation génitale persistante féminine
- une diminution de l’excitation
- évitement de l’intimité
- augmentation des difficultés sexuelles comme: douleurs lors de la pénétration.
VRAI OU FAUX :
Concernant le trouble de l’excitation génitale persistante féminine, les données recensées seulement auprès de personnes possédant un vagin.
VRAI
Quels sont les facteurs concernant les TCA et la fonction sexuelle ?
Dépression
Anxiété
Image corporelle négative (idéaux de beauté socioculturel)
Traits de personnalité
Enjeux de contrôle
Agression sexuelle
Expliquer : Les pensées envahissantes peuvent conduire à un état de spectatoring (attention dirigée vers des stimuli non érotiques) pendant les activités sexuelles. (trouble de l’excitation génitale persistante féminine)
- Hypervigilance aux différentes parties du corps qui causent l’insatisfaction corporelle.
- Dissimulation de certaines parties du corps, positionnements qui permettent d’avantager, nudité partielle: tentative de diminution des symptômes d’anxiété en lien avec l’apparence
Expliquer en quoi l’aversion sexuelle est différent de l’asexualité.
Souffrance peut être présente dans les deux MAIS Souffrance asexualité dû aux pressions sociales et NON à l’évitement sexuel.
VRAI OU FAUX : Les hommes gays sont ceux avec le taux le plus élevé de TCA
FAUX : Les garçons/hommes trans et les jeunes non binaires (assignés femme à la naissance) et les filles/femmes cisgenres, les filles/femmes trans et les jeunes non binaires (assignés homme à la naissance) sont ceux avec le plus haut taux de TCA.
Quel est le but de l’évaluation des TCA &
L’évaluation ici n’est pas dans un but diagnostic, mais plus une compréhension de l’impact des TCA sur la sexualité et le fonctionnement de l’individu. Respectez vos limites et compétences
VRAI OU FAUX :Concernant les interventions concernant l’importance du suivi médicale pour le trouble de l’excitation génitale persistante féminine, n’importe quels professionnels peut faire le suivi.
FAUX - Doit être entreprise par
un·e professionnel·le familier·ère avec les dimensions
psychosexuelles du trouble
Quels sont les contextes variés que peut représenter l’aversion sexuelle ?
solitaire/dyadique, fantasmes, images ou
films érotiques/pornographique, comportements entourant
la sexualité (p. ex. câlins, baisers, communication sexuelle)
Quels sont les interventions SIMILAIRE AUX TROUBLES DE LA DOULEUR pour le trouble de l’excitation génitale persistante féminine ?
- Prise en charge de l’anxiété, l’hypervigilance et catastrophisation
- Présence attentive (non-réaction et non-jugement): wise voice
- Favoriser le soutien du·de la·les partenaire·
Expliquer les impacts sur la fonction sexuelle concernant les compulsions alimentaires (BN + AH) dans le TCA
- Sexualité plus impulsive?
- Certaines études mentionnent: partenaires multiples, plus de prise de risque dans la sexualité, âge des
premières relations sexuelles plus jeune. - grande fréquence de crise alimentaire objective = plus faible capacité orgasmique, plus faible
satisfaction sexuelle, plus faible fonction sexuelle globale
- grande fréquence de crise alimentaire objective = plus faible capacité orgasmique, plus faible
- Emotional eating -> associé à + de dysfonctions sexuelles chez les femmes souffrant d’AH
VRAI OU FAUX :
L’insatisfaction corporelle est l’un des prédicteurs les plus importants pour les
difficultés sexuelles, dysfonctions sexuelles et l’insatisfaction sexuelle sur le plan du désir, de l’excitation, du plaisir ressenti et de l’orgasme.
VRAI
Quels sont les impacts rapportés concernant la prévalence du trouble de l’excitation génitale
persistante féminine dans la vie des personnes qui en sont touchés?
- Détresse psychologique (anxiété, dépression), pouvant inclure suicidalité
- Retrait de la vie sexuelle et pertes relationnelles
- Diminution de la capacité à effectuer des tâches au quotidien
- Honte et dégoût de soi
- Stigmatisation et isolement
VRAI OU FAUX :
L’aversion concernant les fluides génitaux existe.
VRAI - Aspects du corp/comportements spécifiques (p.ex., fluides génitaux)
Quels sont les limites de la prévalence concernant l’aversion sexuelle
Précision des critères et outils de mesure, peu
de diversité dans la composition des
échantillons
Donnez la définition du trouble de l’excitation génitale persistante féminine (TEGP)
Sensation d’excitation physiologique persistante et non-désirée dans la zone génitale
en l’absence de stimulation interne ou externe
Qu’est-ce que la dysmorphie musculaire
peur que le corps soit insuffisamment mince et musclé
défini
Quels sont les deux comportements concernant les pratiques sexuelles aversives et quels sont leurs différents formes ?
Les comportements d’évitement ou de réassurance peuvent prendre diverses formes:
▪ Généralisées
▪ Subtiles et localisée
À qui appartient cette définition :
Expérience sexuelle est désirée, et
comporte des sensations de plaisir
A) Dépendance sexuelle
B) Excitation génitale persistante
A)
VRAI OU FAUX : Les symptômes de vessie hyperactive et syndrome
des jambes sans repos (restless leg fait partie des étiologie physiologique du trouble de l’excitation génitale persistante féminine.
VRAI
Concernant le trouble de l’excitation génitale
persistante féminine, donner la prévalence
Autour de 1% rapporte TOUS les critères dans la population
générale et entre 20-25% rapportent des difficultés apparentes en milieu clinique
Concernant l’évaluation pour le trouble de l’excitation génitale persistante féminine, nommez ce qui est à évaluer
- Dans quel contexte le TEGP est-il déclenché ? Déclencheurs?
- Est-ce toujours avec le·la·les même partenaire·s ?
- Quelles stimulations sexuelles ne déclenchent pas le TEGP ?
- Si toute excitation sexuelle déclenche le TEGP, est-ce que la stimulation sexuelle
du·de la·les partenaire·s déclenche aussi une hausse des symptômes ? - Quels moyens sont employés pour obtenir un soulagement? (masturbation, distraction, reassurance, sexualité avec partenaire, exercice, compresses froides, etc.)
- Antécédents pharmacologiques??
- Réaction et attitude du·de la·les partenaire·s
- Anxiété face aux sensations, hypervigilance et pensée catastrophique
- Perception de soi et émotion de honte; présence de jugement?