Cours 10 Flashcards
Interprétation et stratégie séquentielle
Dans une situation où le parent et l’enfant rapportent des informations très différentes dans leurs tests, quel est le point à retenir?
Il faut aider l’enfant qui rapporte qu’il souffre et s’en tenir au mandat.
Vrai ou faux, les problèmes émotionnels et comportementaux varient d’un contexte à l’autre à l’enfance, mais restent strables chez les adultes et les ados.
FAUX ils peuvent varier à tout âge.
Autre que la situation en soit, qu’enst-ce qui peut en influencer son interprétation ?
-La capacité des évaluateurs à observer les émotion et comportementaux de manière inrta-contexte ou inter-contexte.
Donner un exemple de variation inter contexte .
Mère apporte plus d’agressivité physique qu’à l’école
Comment peut on mieux comprendre la complexité des différentes présentation cliniques ?
Évaluation multi-informateurs.
Sur quoi est largement basée l’évaluation clinique des ado et adultes généralement?
Des autoévaluation par entrevues ou questionnaires.
Qu’est-ce qu’on dit souvent des autoévaluation ? Comment ça !!
Essentielles, mais non suffisantes. Sans l’info de première main, on n’a pas accès à toutes les infos qu’on voudrait, mais il y a des biais flagrants.
Quelle est l’importance des évaluations par des informateurs autres que le client ?
Leurs pertinence est pourvée : elles ont une validité incrémentielle.
Sachant la valeur de l’évaluation par d’autres informateurs qu’est-ce qui va de soit dans le modèle compréhensif d’évaluation psychoéducative ?
La recommandation d’utiliser plusieurs méthodes d’évaluation et plusieurs informateurs.
Quelle est l’étapes facile de l’interprétation des scores ?
Qualifier les scores en fonction d’une norme pour différents informateurs.
Quelle est la chose la plus complexe dans l’interprétation ?
L’intégration de toutes les informations cliniques (différentes dimensions, différents contextes, différentes perceptions des informateurs) afin de répondre au otif de référence, pourter un jugement clinique et proposer de pistes d’intervention.
L’accord inter-juge est-il élevé avec les échelles d’évaluation comportementale et émotionnelle ?
non
Quels sont les deux schémas à utiliser lorsqu’il y a plusieurs informateurs?
Schéma simple et schéma complexe
Qu’est-ce que le schéma complexe ? exemple.
On donne différents poids aux réponses de différents informateurs. Par exemple, l’autoéval a plus de valeur pour déterminer si la personne a des idées suicidaires et l’enseignante a une meilleure idée de l’inattention de l’enfant que ses parents.
Qu’est-ce que le schéma simple?
L’information des différents informateurs a le même poids, tout est équivalent, dès qu’un score est élevé, le problème est présent.
Quelle approche est utilisée dans le dépistage ?
Catégorielle, car meme si ce n’Est pas un dx, jugé de si une personne est à risque ou pas à risque équivaut à la mettre dans un catégorie.
Quel schéma est le plus souvent utilisé et pourquoi?
Schéma siple, car on n’a pas trouvé encore de valeur ajoutée significative au schéma complexe et le schéma simple est plus facile d’utilisation.
Qu’est-ce qui arrive lorsqu’une psychoed n’a pas une excellente connaissance de la documentation scientifique et utilise un schéma cmplexe ?
Il est alors davantage influencé par la théorie implicite et l’expérience clinique… ça peut être bon commme très négatif.
Qu’est-ce qu’on assumme avec le schéma simple ?
Que les faux positifs (dx là où il n’y a pas de trouble) sont moins dommageable que les faux négatifs (absence de dx pour un trouble existant) HASHTAG vaut mieux trop que pas assez am i right
Qu’est-ce qui peut faire que l’interjuge est faible ?
-des différences réelles : variabilité situationnelle des comportements émotion et traits…
-le niveau d’analyse : accord généralement meilleur pour trait ext. que pour comp. spécifiques
-la méthode d’évaluation : même avec la même méthode, les items sont parfois différents.
Quels sont 3 facteurs clés de la faiblesse de l’accord inter-juge ?
1- Le contexte d’observation : attentes dirfférentes mènent à des comportements différents.
2- Le tpye de poblème évalué : meilleur accord pour comp. observables que pour épisodiques ou difficiles à observer (applicable à traits de perso. pas juste comp.)
3- L’âge des indiividus évalués : niveau d’accord diminue avec l’augementation de l’âge des évalués (makes sense pcq ado parle pas à ses parents)
Quelles sont les 4 questions que l’évaluatrice doit se poser pour interpréter les convergences et divergences entre informateurs ?
1- Est-ce qu’il est possible et explicable sur le plan conceptuel que le contexte cause des comportements différents ( plus grande pression environnementale)
2- Y at-il variation de la sévérité clinique ? (++convergence suggère ++ sévérité)
3- Y’a-t-il spécificité des informateurs ? peut inclure : la perception de la problématique ; ses motivation ; ses th iplicites ; ses biais socio-cl; ses styles de réponses et ses problèmes d’adaptatioin.
4-Y’at-il erreur de mesure ? erreur aléatoire associée à l’instrument, systématique ou autre liée à l’admin.
Quelles sont les étapes pour intégrer les informations de différents informateurs ?
1- identifier les résultats normatifs et ceux problématiques pour tous les informateurs et toutes les méthodes d’évaluation
2- Identifier les résultats convergents de divergents
3-Tenter d’expliquer les divergences
4-Développer un profil hiérarchique des problèmes et des forces de l’individu (donc basé sur les priorités, problématique la plus urgente)
5-Déterminer l’information à inclure dans le rapport (nécessaire et suffisant)
Sur quoi peut-on se baser pour tenter d’expliquer les divergences des informations rapportées?
-Familiarité/connaissance différentes à propos de l’enfant
-Demandes différentes des différents contextes
-Motivation différentes des informateurs
-Personnalité des informateurs diffèrent bcp ?
-Différences dans la méthode d’Évaluation
-Différences réelles dans le comportement de l’‘enfant
