Cours 10 Flashcards

1
Q

Pleine conscience

A

-Capacité de porter une attention stable, sans jugement, sur un objet (interne ou externe) d’une manière volontaire et de maintenir cette attention pendant une certaine période de temps
-Peut référer tant à l’état qu’au processus
-Ce n’est PAS une intervention en soi
-La surutilisation du circuit par défaut peut faire développer des neuropathologies. Donc, la pleine conscience peut être une solution.

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2
Q

Objectif de la pleine conscience

A

-Apprendre à contrôler le circuit focal de l’attention et maintenir cette attention sur certaine période
-On peut développer un contrôle sur notre cycle attentionnel (attention focale à rêverie).

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3
Q

4 pratiques de la pleine conscience

A

-Balayage corporel
-Yoga
-Méditation assise
-Méditation marchée

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4
Q

7 attitudes de la pleine conscience + objectif

A

-Non jugement, patience, esprit du débutant, confiance, non effort, acceptation, non attachement
-Ont pour objectif de contrecarrer les formes les plus communes de détresse psychologique (rumination, inquiétude, colère) qui sous tendent une tendance exagérée à éviter les objets indésirables ou déplaisants et à s’attacher trop fortement aux objets désirables ou plaisants

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5
Q

Non-attachement

A

Ne pas trop s’attacher aux moments négatifs et aux grands succès
-De lâcher prise sur ces moments (composante semblable à psychothérapie)

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6
Q

Père du mouvement de l’étude de la pleine conscience (MBSR)

A

Jon Kabar-Zinn

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7
Q

MBSR

A

-Étude de la pleine conscience
-Intervention pour réduire les sx anxieux basé sur la pleine conscience
-Explosé dans les dernières années
-Généralisé à différentes pathologies (dépression, vieillissement, troubles qui affecte attention, TDAH)

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8
Q

La MBSR est-elle souvent utilisée seule en clinique?

A

-Dans approche clinique, c’est rare qu’on fait juste pleine conscience. C’est souvent un ingrédient au travers d’autres approches

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9
Q

3 avantages d’utiliser la MBSR

A

Intéressant, car :
-facile d’accès
-peu couteux
-facile à faire en groupe

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10
Q

But des fluctuations de l’attention durant la méditation

A

Comprendre les fluctuations dans le cycle de l’attention

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11
Q

La rêverie fait-elle partie de la pleine conscience?

A

Oui

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12
Q

À force de travailler ce cycle, on apprend à mieux…

A

contrôler la rêverie et l’attention focale

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13
Q

Fluctuations de l’attention durant la méditation (4 étapes du cycle)

A

1-Attention soutenu (axé sur la respiration
-Cx frontal dorsolatéral

2-Rêverie
-La personne décroche et tombe dans la rêverie (souper) qui est relié au circuit par défaut

3-Conscience de la rêverie
-Prend conscience de sa rêverie et elle ne se concentre pas sur sa respiration.
-ACC (détection de conflit) et insula

4-Déplacement de l’attention
On retombe dans un mode d’attention dans un moment présent avec respiration.
-Cx pariétal postérieur et cx préfrontal latéral

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14
Q

Il y a donc un…

A

effet affectif (et non juste cognitif)

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15
Q

Expérience méditative et réponse cérébrale aux stimuli émotionnels

A

-Étude intéressante, car accessible, méditation à la maison
-Pendant 7 jours
-On montre images +, - et neutres
-2 conditions: regarder ou “mindful’ (porter attention à pleine conscience)
-Doivent citer la valence/intensité émotionnelle sur échelle de 1 à 4

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16
Q

Résultats intensité de l’état émotionnel

A

-Pas de différence entre les deux groupes (expérimentés et débutants)
-Pour toutes les valences de stimuli (+,-, neutre), l’intensité émotionnelle est plus ÉLEVÉE dans la condition observer que dans la condition Mindful
-La pleine conscience réduit l’intensité émotionnelle

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17
Q

Résultats IRMF: (Région?)

A

Amygdale

-Tant pour les images positives que négatives, l’amygdale gauche est désactivée en condition Mindful par rapport à la condition Observer chez les débutants mais pas chez les expérimenté
-Le fait de pratiquer le Mindful entraine une désactivation plus grande dans circuit « par défaut »

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18
Q

Résultats IRMF: (Région?) et (Région?)

A

Cx cingulaire postérieur et préfrontal médian

-Ils sont plus fortement désactivées dans la
condition Mindful par rapport à la condition Observer chez les expérimentés mais pas chez les débutants
-Ces deux régions font partie du circuit par défaut

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19
Q

Résumé des 3 résultats

A

Intensité émotionnelle
-Plus élevé chez observer que mindful

Amygdale
-Plus désactivé avec mindful seulement chez débutants

Cx ccingulaire postérieur et cx préfrontal médian
-plus désactivé avec mindful seulement chez expérimentés

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20
Q

Le mindfulness atténue…

A

l’intensité émotionnelle peu importe:
-Les valences de stimuli (+,-, neutre)
-Le bagage d’expérience de méditation

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21
Q

les mécanismes d’atténuation émotionnelles diffèrent…

A

…en fonction du bagage d’expérience avec le mindfulness:
*chez les débutants, le mindfulness désactive l’amygdale (traitement et réponse émotionnelle)

*chez les expérimentés, le mindfulness désactive une partie du circuit par défaut (PCC: mémoire autobiographique; PFCm: simulation mentale)

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22
Q

2 domaines d’application de la neuroimageries

A

Recherche
-Bases physiologiques des phénomènes cognitifs
-Processus pathologiques sous-jacents aux maladies neurologiques et psychologiques

Clinique
-Neurochirurgie assistée par cartographie cérébrale
-Développement et test de médicaments
-Nouvelles approches pour diagnostiquer et traiter les maladies, possiblement aux stades pré-symptomatiques

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23
Q

Est-ce utile ou néfaste que les données scientifiques soient récupérés dans la presse?

A

-L’idée d’avoir des données en neuroscience qui montre « preuves » des problèmes de santé mentale peuvent être validant pour ceux atteins. (Certains peuvent dire que dépression est manque de motivation…)
-Il y a un “effet sensationnaliste » lors de ces articles « scientifiques » provenant du « Le devoir »

24
Q

Limites et interprétation

A

Limite: Risques reliés aux limites des connaissances acquises par neuroimagerie et à leurs sphères d’application (ex. stigma)

Interprétation: Risques reliés à l’interprétation des résultats par les chercheurs et par le public (cmt les lecteurs vont interprétés les résultats + parfois chercheurs n’a pas dit ça)

25
Q

Attitudes inconscientes (Hart)

A

-Étude qui veut savoir s’il y avait une structure dans cerveau qui rendait plus raciste
-On demandait si c’était un homme ou une femme
-Dans le questionnaire avant de commencer on demande s’il se considère raciste?
-Moitié cauca et moitié noire

26
Q

Résultats de Hart

A

-Dans amygdale (affectif, conditionnement de peur)
-Il y a une différence au deuxième scan, (une fois familiarisés avec photos)
-Quand origine ethnique est pareille, on avait atténuation de l’activation de l’amygdale
(mais pas quand origine ethnique différente)
-On conclut qu’il y a une suractivation de l’amygdale quand personne d’origine ethnique différente.
-On émet hypothèse que la personne reste plus méfiante quand l’autre est d’origine ethnique différente (donc, biais racial)

27
Q

Le patron d’activation cérébrale traduit-il fidèlement les traits d’une personne? (question éthique)

A

… C’est réductionniste
-Est-ce qu’on fait de la lecture de pensée? Avec techniques de neurosciences on ose dire qu’on connait mieux la personne… (Bof)
-Entraine encore des généralisations basées sur une petite étude
-Les chercheurs ne disaient pas ça non plus. Ils émettaient une hypothèse, soulevaient la question.

28
Q

Étude: Imaging or Imagining? A Neuroethics Challenge Informed by Gentetics

A

Défis :
1-Premier défi : Interprétation des résultats
-On essaye de s’imaginer ce qui se passe dans cerveau de la personne

2-Les biais d’interprétations, comment l’étude est construite, Bais sociaux-culturels

29
Q

Validité

A

-Risques reliés au protocole de recherche scientifique
-Biais méthodologie : faire des IRMS coute cher, compliqué a interprété, pour cibler analyse longue et complexe, on va cibler des régions d’intérêts.
-On cible amygdale et on ne fait pas attention aux autres régions
-Très complexe d’interpréter des données en neuroimageries donc erreurs de mesures possibles

30
Q

Électroconvulsivothérapie (ECT)

A

-Patient sous anesthésie et curarisé (paralysée)
-Monitorage EEG pour évaluer la crise convulsive
-Électrodes de stimulation placés au niveau temporal ou frontal (ECT bilatérale ou unilatérale)

31
Q

ECT (partie 2)

A

-Se pratique encore, régulièrement
-Ce n’est pas un traitement de première instance
-Ce sont des électrodes qui donne des chocs électriques qu’on place à différents endroits sur la tête
-Fait dans une salle de chirurgie, sous supervision de professionnels
-La personne n’est pas consciente pendant, on injecte un sédatif et du Kurar (Pour réduire spasmes musculaires)
-On bloque accès à un pied pour pas que le Kurar va dans un pied pour visualiser la crise
-Placé au niveau bi-temporal (classique), il y a aussi bi-frontal et uni-latéral (différent endroit sur MÊME côté)
-Les stimulations sont progressivement augmentés

32
Q

Est-ce qu’il y a une ordonnance pour l’ECT?

A

Non,
il n’y a PAS d’ordonnance de traitement.
Mais, il faut un consentement béton.
-Le consentement est essentiel pour recevoir l’ECT
-Le consentement est monitoré tout au long du traitement
-Il faut plusieurs rencontre d’ECT
-La poursuite la plus fréquente est parce qu’une dent s’est brisée

33
Q

Mettre les électrodes sur le même côté (uni-latéral)…

A

entraine moins d’effets indésirables

34
Q

But de ECT

A

est de déclencher une crise d’épilepsie contrôlée, de type tonico-clonique

35
Q

Crise tonico-clonique

A

Schéma
-2 = phase tonique : Activation brève et rapide des neurones reliée au système nerveux autonome parasympathique

-3 = phase clonique : Activation rythmique des neurones reliée au système nerveux autonome sympathique

-Risques les plus importants sont au niveau du SNA parasympathique, mais RARE
-Exemple : Arrêt cardiaque
-Phase clonique est maximum 90 secondes
-Pas de période de coma

36
Q

Effets indésirables des crises tonico-clonique

A

-Perte de mémoire sur moment d’intervention, se limite à 6 mois post-intervention
-PAS à long-terme

37
Q

Données cliniques ECT et dépression

A

-20 à 30% (ou plus) des patients ne répondent PAS ou PEU aux traitements pharmacologiques standards

-Phase aiguë : 3 séances par semaine
*Effets rapides dès la 4e séance, mais généralement entre 6 et 12

-Phase de maintien : 1 à 2 séances par semaine

-ECT efficace chez 50 à 60% des patients réfractaires aux antidépresseurs
*Chau et al., 2017 : taux de réponse de 80%

Mécanismes d’action :
-Neurotransmission : modulation dopamine et sérotonine?
-Système immunitaire : stimulation des cytokines anti-inflammatoires ou réduction des cytokines pro-inflammatoires?
-Épigénétique : diminution des taux de méthylation du BDNF?
-Neuroplasticité : régulation à la hausse du Brain-derived neurotrophic factor (BDNF)?
-Neuroanatomie : hippocampe et amygdale?

38
Q

Donc…

A

-Il y a un effet clinique
-Des patients ne répondent pas toujours à des traitements standards
-Découverte de l’ECT : Les gens épileptiques avaient moins grande prévalence de sz.
-Sur une période de temps sévère (3 séances par semaine) (pas juste une fois)
-La réponse est rapide. On voit des effets dès la 4ème séance
-50 à 60% des patients réfractaires aux antidépresseurs montraient des améliorations des sx

39
Q

Nommer les 2 éléments de: Régulation du circuit par défaut

A

-ECT
-Antidépresseurs

40
Q

2 régions du circuit par défaut

A

-Cx cingulaire postérieur (PCC)
-Cx préfrontal médian

41
Q

Régulation du circuit par défaut

A

ECT semble régler les régions du circuit par défaut

-Réduction de l’activité au
post-traitement dans 2
régions du « circuit par
défaut » bilatéralement à la
suite de l’ECT
*Cx préfrontal ventromédian
*Cx cingulaire postérieur

-Réduction de l’activité posttraitement
aux antidépresseurs
*Insula antérieure gauche
(diminution des sentiments
négatifs)

-Effets neurofonctionnels
distincts
*Symptômes cognitifs versus
somatiques

42
Q

Martha Farah U Penn

A

Elle nomme 7 catégories thématiques d’étude en neuroimageries

-Informations personnelles
-Pensées spécifiques
-Personnalité
-Préférences
-Attitudes sociales
-Attitudes morales
-Imagerie légale

43
Q

2 régions associés à personnalité

A

Amygdale et cx rostral

44
Q

Personnalité

A

-Peux on inférer des traits de personnalité grâce à neuroimagerie (ex : optimiste)?
-Pensez à un évènement futur positif (optimiste) ou négatif (pessimiste)

-Résultats : amygdale et cx antérieur rostral (détection des conflits émotionnels)
-Plus grande désactivation quand on pensait a un évènement futur négatif
-C’est comme si le pessimiste réduit activation dans amygdale et cx rostral

45
Q

Attitudes morales

A

-IRMF
-Étude sur la moralité des gens
-Hypothèse : faut un engagement émotionnel qui doit etre présent dans le jugement moral

46
Q

3 régions associé à moralité

A

-cx préfrontal médian
-cx cingulaire
-Gyrus pariétal angulaire gauche/droit

47
Q

2 questions (Attitudes morales)

A

1-jugement moral impersonnel (train qui va foncer sur 5 personnes ou bouton qui change trajectoire qui fonce sur une personne)
*La plupart des gens choisi une personne

2-jugement moral personnel (Passage à piéton : Train fonce sur 5 personnes. Si tu pousses la personne en bas du pont, son cadavre arrête le train)
*Les gens ne pousseront pas, car la personne a une action plus directe.

-Résultats : Régions plus ACTIVÉS dans condition morale : cortex préfrontal médian, cortex cingulaire, Gyrus pariétal angulaire
-Les personnes font de la théorie de l’esprit (se projette à la place de la personne qui est poussée)

48
Q

Imagerie légale

A

-Polygraphe : Est-ce qu’une personne ment ou non, on la croit ou non?
-Ne peux pas être utilisé en cour
-Mais est-ce que la neuroimagerie peut aider?
-Structures impliqués dans le mensonge?
-Les gens devaient répondre par vérité ou mensonge
-Personnel : autobiographiques
-Impersonnel : mentir en disant que tour Effel est au Canada

49
Q

4 régions associés à imagerie légale

A

ACC
nx causé
nx thalamique
cx préfrontal dorsolatéral

50
Q

Résultats

A

-Le temps de réaction AUMGENTE (plus lent) lors du mensonge
-Augmentation ACC, nx causé, nx thalamique et cx préfrontal dorsolatéral
-Circuit impliqué dans résolution de conflits et le contrôle cognitif
-Encore plus intense lorsque le mensonge est autobiographique
-Plus le temps de réaction était lent, plus activation dans noyau caudé était lent

Corrélation entre temps de réaction et active dans nx causé (réponse inhibition)

51
Q

Étude

A

-Étude montre que le comportement agressif et antécédant de violence qui étaient plus associés a des gestes impulsifs, les gens montraient des activations au niveau préfrontal couplé à suractivation dans structures sous corticales (Désactivation frontal avec suractivation limbique)

52
Q

Neurosciences, séduction et fallacieux sentiment de crédibilité

A

-Peut amener des risques de comment on peut s’en servir dans le futur
-Atteinte à la vie privée
-Nouveau Tinder, Acceptation au doctorat

«Les explications de phénomènes psychologiques sont jugées plus crédibles ou plus satisfaisantes lorsqu’elles traitent de neurosciences. Même de l’information neuroscientifique qui est sans pertinence, voire hors de propos, peut interférer avec la capacité à considérer de façon critique la logique d’une explication»
-Taille échantillon problématique

53
Q

Neuroenchantement

A

-Fascination par rapport aux neurosciences
-Résultats : majorité des participants PEU sceptiques NI méfiants et jugent la technologie plausible
-« Ça l’air scientifique et vrai » Donc, peu teinter le jugement des gens MÊME des personnes spécialisés dans le domaine. Encore pire pour ceux qui ne sont pas dans le domaine

54
Q

Neuro-réalisme

A

-Comment la façon de rapporter les études d’IRMf peut rendre un phénomène incontestablement réel, objectif et efficace aux yeux du public
-Croyance que l’IRMf est une preuve visuelle de l’activité cérébrale et fait fi de l’énorme complexité de l’acquisition et de l’analyse des données
-Je peux le voir

55
Q

Neuro-esssentialisme

A

-Occulter qu’il y a une personne derrière le cerveau
- « Le cerveau réagit de cette manière donc toi tu es ça »
-C’est réductionniste. On réduit la personne à ce qui se passe dans son cerveau

-Comment la recherche en IRMf peut être apparentée à la subjectivité et à l’identité personnelle du cerveau; le cerveau devient alors le raccourci vers des concepts plus globaux de «personnes» et de «soi»
-Réduction du concept d’identité au cerveau

56
Q

Neuro-politique

A

-Tentative d’utilisation des résultats d’IRMf pour promouvoir des idéaux politiques ou personnels
-Fondé sur les préceptes du neuro-réalisme et du neuro-essentialisme

-Utiliser ces concepts à des fins politiques, des fins personnelles
-Faire avancer nos idéaux personnels
-On fait de études en neurosciences pour prouver notre point en mettant des données qui veulent être incontestables (alors qu’elles sont contestables)

57
Q

On ne veut pas retourner à…

A

la phrénologie