Cours 1 Flashcards
Quels sont les deux mandats du criminologue?
- Protection de la société (autorité)
-Respect des droits des individus / aide à la réinsertion (aide)
Quel est l’objectif du criminologue en vertu des deux mandats?
L’équilibre entre les deux
Nomme trois caractéristiques d’une entrevue
- Possède des objectifs préalablement déterminée
- Est généralement prévue dans l’espace et dans le temps (à l’horaire)
- Se déroule dans un contexte professionnel et donc formel
Qu’est-ce qu’une entrevue en relation d’aide si ce n’est pas une conversation , une discussion
ou un interrogatoire?
une rencontre concertée entre deux ou plusieurs personnes afin d’évaluer écouter et apporter un support à l’aidé concernant la problématique vécue
Nommer les types d’entrevue et les définir
- L’entrevue d’évaluation
- L’entrevue de suivi
- L’entrevue en situation de crise
- L’entrevue en situation de crise
suicidaire - L’entrevue non-suggestive (particulière, faut surtout pas indduire des réponses)
- L’entrevue disciplinaire (Quand bris de condition/règlement etc. Doit être autoritaire, moins place aux échanges)
Nommer les méthodes d’entrevue et les définir
- La méthode directive - entrevue dirigée
- La méthode semi-directive - entrevue guidée
- La méthode non-directive - entrevue non-guidée
Expliquer l’entrevue en contexte d’autorité
L’entrevue en contexte d’autorité contrairement à l’entrevue dans un cadre volontaire:
- Est souvent régie par l’application d’une mesure
- Généralement plus «directive» (cadrant) que dans un contexte volontaire, sans compter que la durée du service est prescrite dans le temps.
- Vise avant tout le changement d’un comportement portant atteinte à l’intégrité de l’aidé ou d’autrui plutôt que cheminement personnel et l’émancipation de soi
- Est surtout caractérisé par le pouvoir e l’aidant d’imposer une sanction ou un comportement à l’aidé
Différencier la notion d’autorité et de pouvoir
Pouvoir: Reflet de la capacité réelle de la personne d’exercer une influence sur autrui ou de diriger ses agir. Seulement si le client reconnait l’autorité de l’intervenant.
Autorité: Droit institutionnel reconnu et exercé par une personne ayant un statut défini socialement, dans le but d’influencer les actions des autres
Différencier l’autorité et l’autodétermination
L’autorité:
L’autorité coercitive des intervenants doit être limitée à deux conditions:
- Lorsqu’il y a un besoin de protection
- Lorsqu’il y a un besoin de forcer une réhabilitation
Dans les autres conditions, il faut favoriser l’autodétermination plutôt qu’un usage de l’autorité coercitive
L’autodétermination:
- Ce principe supporte le droit du client de prendre des décisions par lui-même et de réaliser ses souhaits
- principe moral
- mais aussi, changement plus significatifs.
Au service de qui travail l’intervenant social?
Client :
- Travailler pour le bien du client (parfois meme à son insu)
- Le rapporcher de la normalité
- Le client ne sais pas toujours ce qui est bien pour lui
La société :
- Appel au parens patriae (nécessité de prendre soin quand l’autre peut pas le faire) (ex: loi p-38)
- Protection de la société
L’institution:
- L’agir déterminé par directive opérationneles
- Variation selon l’organisme
Soi:
- Selon son identité professionnelle
- Les facteurs personnels modulant l’intervention sociale
- Argument éthique et déontologique
Dans la lecture Miller-Rollnick : L’entretient motivationnel, quels sont les trois aspect positifs de l’engagement
- Établissement d’une relation de travaille confiante et empreinte de respect
- Accord sur objectifs de traitement
- Collaboration sur tâches négociées pour atteindre objectifs
Dans la lecture Miller-Rollnick : L’entretient motivationnel, quels sont les six pièges qui provoquent le désengagement, et leur explication:
- Piège de l’évaluation
Le fait de poser une tonne de question place le client dans un rôle passif et une position inférieure. L’anxiété de l’intervenant est associé à un comportement moins empathique, et l’anxiété du client qui s’habitue et devient plus à l’aise à un entretient passif. - Piège de l’expert
Ce n’est pas comme chez le médecin, une attente se crée quand on pose des question qui devrait mener à une « réponse » de comment s’en sortir. Mais ce n’est pas comme ça que ça fonctionne lorsqu’on essaie de faire un changement personne. C’est différent pour chaque personne, pas comme le physique. - Piège de la focalisation prématurée
Il ne faut pas focaliser sur le problème qu’on croit être le « vrai problème »(ses propres conceptions du problème) alors que le client a peut-être d’autre problèmes plus urgents. - Le piège de l’étiquetage
Ne pas donner de diagnostique prématuré. Cela peut provoquer une dissonance dans la relation qui conduit à la prise de parti et fait reculer le client. Donc, ne pas encourager la personne a accepter une étiquette ou même la décourager… Ça ne devrait pas avoir d’important dans l’EM - Le piège de la critique
Mettre le client confortable, afin qu’il comprenne que nous ne sommes pas là pour le critiquer, nous ne nous intéressons pas aux torts, mais nous nous intéressons aux personnes, à ce qui les trouble, à ce que la personne pourrait faire pour y faire face. - Piège des banalités
Ne pas faire la conversation n’étant pas en lien avec l’entretient… Discussion banale. La quantité de bavardage informel est corrélée avec une plus basse motivation du client pour le changement et le maintien dans le programme de traitement.
Dans la lecture Miller-Rollnick : L’entretient motivationnel, quels sont les facteurs qui influencent l’engagement/ désengagement :
- Les désirs et objectifs
- L’importance
- L’ambiance positive
- Les attentes
- L’espoir