Cours 1 (13 janvier) Flashcards

Introduction

1
Q

Description du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

(juste description et pas les manifestations)

A

Mode général d’instabilité des relations interpersonnelles, de l’image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivante…

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Q

Ça prend combien de manifestations pour avoir un diagnostic de trouble de personnalité borderline selon le DSM-5 ? Qu’arrive-t-il si quelqu’un en a moins ?

A

5

si quelqu’un en a moins (même si c’est 4), c’est catégoriel : la personne n’a PAS le trouble

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3
Q

clivage

A

Mécanisme de défense qui sépare l’image de soi ou l’image de l’autre en extrémité soit bonne ou mauvaise.

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4
Q

qui suis-je ? : Mécanisme de défense qui sépare l’image de soi ou l’image de l’autre en extrémité soit bonne ou mauvaise.

A

clivage

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5
Q

Critère 1 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

1. Efforts effrenés pour éviter les abandons réels ou imaginés (pas critère 5).

Exemple : supplier, retenir physiquement, se chicaner parce que c’est mieux que ne pas être avec l’autre).

  • Pas obligé d’être un abandon réel.
  • Attention : menace suicidaire, même si c’est pour ne pas être abandonné correspond plutôt au critère 5.
  • (???) Différence ici avec personnalité dépendante : la personnalité borderline est impulsive, instable. (???)
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6
Q

v ou f : un des critères du DSM-5 pour la personnalité borderline est que la personne fait des efforts effrenés pour éviter les abandons réels seulement.

A

Non, ça peut aussi être pour éviter les efforts imaginés.

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7
Q

En quoi faut-il faire attention de ne pas se tromper avec le critère 1 et 5 ?

A

Si une personne fait des menaces suicidaires ou d’automutilations pour éviter de ne pas se faire abandonné, malgré le fait que ce soit en effet un effort effrené pour éviter l’abandon, ça correspond tout de même au critère 5 et non au critère 1.

Attention toutefois, pour que ce soit le critère 5 officiellement il doit y avoir une répétition. (ok mais si ca arrive juste 1x est-ce que ca peut correspondre au critère 1 alors??? demande sur studium).

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8
Q

Comment différencier le critère 1 du DSM-5 pour le trouble de personnalité borderline avec la personnalité dépendante ?

A

demande sur studium ou réécoute audio

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9
Q

Critère 2 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

2. Mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l’alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation.

  • Surtout avec personnes proches
  • Les personnes ne sont pas vu dans leur complexité et nuances. C’est soit tout bon ou tout mauvais.
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10
Q

Quels sont les 2 critères du trouble de personnalité borderline qui font référence au clivage ?

A
  1. Mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l’alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation.
  2. Perturbation de l’identité : instabilité marquée et persistante de l’image ou de la notion de soi.
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11
Q

Critère 3 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

3. Perturbation de l’identité : instabilité marquée et persistante de l’image ou de la notion de soi.

Exemple : Les croyances religieuses d’une personne, son choix de carrière, ses valeurs, etc., qui changent pour être comme son partenaire et lui plaire.

  • On parle ici d’instabilité par rapport à des choses qui sont normalement stables, comme les valeurs, croyances, personnalité, etc.
  • Être un·e chaméléon
  • Image de soi qui change en fonction des relations.
  • Le clivage lié à ce critère peut expliquer pourquoi une personne borderline se déteste (« je suis toute mauvaise »).
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12
Q

Critère 4 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

4. Impulsivité dans au moins deux domaines potentiellement dommageables pour le sujet (ex : dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie).

Attention : à ne pas confondre avec le critère 5 ni le critère 8.

  • But = se sentir mieux, mais il y a une perte de contrôle.
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13
Q

En quoi faut-il faire attention de ne pas se tromper avec le critère 4 et 5 ?

A

Le but du critère # 4 est de se sentir mieux.

Donc, le fait de s’automutiler impulsivement pour se sentir mieux correspond à quel critère ? : le critère # 5 !

Pourquoi ? : Aussitôt qu’il y a comportements, gestes, ou menaces suicidaires, ou d’automutilations, même si c’est de manière impulsive pour se sentir mieux comme dans le critère # 4, ca correspond au critère # 5.

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14
Q

En quoi faut-il faire attention de ne pas se tromper avec le critère 4 et 8 ?

A

Les colères intenses et inappropriées ou la difficulté à contrôler sa colère (ce qui correspond au critère # 8) pourrait facilement être confondu avec l’impulsivité du critère # 4.

Toutefois, la différence est que dans le critère # 4, le but de la personne est de se sentir mieux. Même si la personne en colérique peut elle aussi être impulsive, ce n’est pas à ce genre d’impulsivité que l’on fait référence dans le critère # 8.

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15
Q

Il faut qu’une personne présente de l’impulsivité dans combien de domaines potentiellement dommageables pour correspondre au critère # 4 du trouble de personnalité limite selon le DSM-5 ?

A

Au moins deux domaines

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16
Q

Critère 5 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

5. Répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires ou d’automutilations.

  • Donc pas juste 1 fois, il faut que ce soit répétitif. Il faut que ce soit une manière de se gérer pour la personne, et que ça fasse partie de sa personnalité.
  • Attention : dans le cadre du travail de session, c’est correcte que ça arrive juste 1 fois parce qu’on ne sait pas si ça arrive plus. On peut plus nuancer ici. (et dans le cadre de l’examen ou juste travail session ?)
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17
Q

Critère 6 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

6. Instabilité affective due à une réactivité marquée de l’humeur (ex : dysphorie épisodique intense, irritabilité ou anxiété durant habituellement quelques heures et rarement plus de quelques jours.

Attention : à ne pas confondre avec le critère 8.

  • La personne change rapidement comment elle se sent.
  • Typiquement il y a dysphorie (souffrance).
  • L’humeur bouge en fonction des relations.
  • On précise « durant habituellement quelques heures et rarement plus de quelques jours » pour éviter la confusion avec le trouble bipolaire.
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18
Q

Critère 7 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

7. Sentiments chroniques de vide.

  • Ce critère fait référence à u vide relationnel, où la personne a besoin de l’autre pour ne pas se sentir vide.
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19
Q

Critère 8 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

8. Colères intenses et inappropriées ou difficulté à contrôler sa colère (ex : fréquentes manifestations de mauvaise humeur, colère constaante ou bagarres répétées.

Attention : à ne pas confondre avec impulsivité du critère # 4 et instabilité affective du critère # 6.

  • Le caractère « inapproprié » de ce critère est subjectif. Malgré tout, ce sera facile à voir que c’est une colère qui est trop intense pour la situation.
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20
Q

En quoi faut-il faire attention de ne pas se tromper avec le critère 6 et 8 ?

A

Le critère # 6 est lié à une instabilité affective alors que le critère # 8 est lié à des colères intenses et inappropriées. Le critère # 6 fait référence à des émotions changeantes alors que le critère # 8 fait référence à de la colère trop intense.

Si une personne est juste colérique et que ça ne change pas particulièrement rapidement de la colère à d’autres affects, ça correspond au critère 8. Toutefois, si une personne passe de très en colère à très triste à anxieuse à joyeuse par exemple, ça correspond au critère # 6.

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21
Q

Critère 9 du trouble de personnalité borderline selon le DSM-5

A

9. Survenue transitoire dans des situations de stress d’une idéation persécutoire ou de symptômes dissociatifs sévères.

Par exemple : se faire laisser et croire que la personne nous a jamais aimé, qu’elle nous a trompé tout le long de notre relation avec la voisine.

  • Idées paranoïdes
  • Dans les moments de stress (surtout reliés à une rupture, un abandon, un rejet relationnel), la personne borderline peut frôler la psychose et voir la réalité de manière paranoïde.
  • Ne pas oublier le « ou de symptômes dissociatifs sévères ».
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22
Q

Les 3 P qui doivent être présents pour que ce soit un trouble de personnalité.

juste les nommer

A

Permanent

Pervasive

Pathologique

attention : dans le travail de session, on peut diminuer l’importance de ces 3 P car on ne pourra pas le savoir juste en regardant le film.

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23
Q

Un des 3 P qui doit être présent pour que ce soit un trouble de personnalité est qu’il faut que ce soit permanent. Expliquez.

A

Ça ne dure pas juste 1 mois, ça fait parti de la personnalité de manière durable au cours de la vie de la personne.

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24
Q

Un des 3 P qui doit être présent pour que ce soit un trouble de personnalité est qu’il faut que ce soit pervasive. Expliquez.

A

Ça envahi la personne dans tous les sphères de sa vie.

Donc, ce n’est pas juste au travail ou dans son couple mais à plusieurs niveaux.

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25
Q

Un des 3 P qui doit être présent pour que ce soit un trouble de personnalité est qu’il faut que ce soit pathologique. Expliquez.

A

Soit que ça cause beaucoup de souffrance pour la personne ou soit que ça l’empêche de fonctionner.

Par exemple, il y a des gens instables mais ce n’est pas à un niveau pathologique.

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26
Q

Pourquoi on dit borderline et pas « personnalité émotionnellement labile », comme dans la CIM-10 ?

A

On a passé proche de l’appeler comme ça, mais à cause de l’histoire du concept on l’appelle trouble de personnalité borderline. En effet, c’est un trouble à la limite de plusieurs aures troubles.

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27
Q

C’est à noté que le trouble de personnalité borderline est le seul trouble du DSM dont le dénominateur ne dit rien de la pathologie qu’elle tente de décrire. Qu’est-ce que ça veut dire ?

A

je ne comprends pas demande sur studium

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28
Q

Le trouble de personnalité borderline réfère à une limite dans 2 sens du terme. Expliquez.

A
  • Une condition qui s’apparente à une autre, bien établie (ex : forme atténuée de schizophrénie, dans le sens que ça peut ressembler à une psychose mais en même temps pas vraiment).
  • Une condition qui occupe une région floue entre deux niveaux de fonctionnement mental difficilement différentiables (ex : entre névrose et psychose).
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29
Q

Comment les grecs voyaient-ils la psychopathologie ?

A

On a identifié des troubles comme la manie, l’épilepsie, la démence, la paranoïa, l’hystérie et la dépression sévère (mélancolie).

On ne s’intéressait pas encore aux troubles de la personnalité.

Hippocrate propose quelque chose qui ressemble aux troubles de la personnalité toutefois, en parlant de tempérament avec sa théorie humorale, associé aux humeurs ou 4 fluides corporels :

  • le sang (coeur) - joyeux
  • la bile noire (rate) - dépressif
  • la bile jaune (foie) - colérique
  • la lymphe (cerveau) - calme/froid
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30
Q

Selon la théorie humorale d’Hippocrate, une personne avec un excès d’humeur ou de fluides corporels de sang (coeur), menait à quel tempérament ?

A

joyeux

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31
Q

Selon la théorie humorale d’Hippocrate, une personne avec un excès d’humeur ou de fluides corporels de bile noire (rate), menait à quel tempérament ?

A

dépressif

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32
Q

Selon la théorie humorale d’Hippocrate, une personne avec un excès d’humeur ou de fluides corporels de bile jaune (foie), menait à quel tempérament ?

A

colérique

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33
Q

Selon la théorie humorale d’Hippocrate, une personne avec un excès d’humeur ou de fluides corporels de lymphe (cerveau), menait à quel tempérament ?

A

calme/froid

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34
Q

Comment voyaient-ils la psychopathologie au 19e siècle ?

A

Grâce à Émil Kraepelin (1865 - 1926), la démence précoce (schizophrénie) et la maniaco-dépression étaient différenciées et acceptées.

Un patient était soit aliéné (psychotique) ou normal.

La personnalité criminelle ne pouvait pas être considérée comme normale (Lombroso, 1870). On commençait alors à penser que des individus (ex : criminels) pouvaient se situer entre la psychose et la normalité.

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35
Q

Comment voyaient-ils la psychopathologie au 20e siècle ?

A

Abandon de la démence précoce par schizophrénie grâce à Eugen Bleuler.

La schizophrénie selon Eugen Bleuer (1857 - 1939), est devenue une catégorie diagnostique populaire (vers 1911), englobante et floue.
4 « A » :

  • ambivalence
  • pensée autistique
  • émoussement de l’affect
  • relâchement des associations

Jusqu’à la définition de critères précis en 1972.

Les individus pas suffisamment malades étaient considérés comme étant des schizophrènes borderline (forme atténuées de schizophrénie). Bref, la seule vraie maladie était la psychose. On disait donc que les gens pouvaient être à la limite de la la psychose.

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36
Q

Comment voyaient-ils la psychopathologie avec Freud, vers 1910 ?

A

Avec Freud (vers 1910), des formes non psychotiques de maladie mentale ont été définies :

Névroses avec symptômes : Névrose hystérique, névrose obsessionnelle-compulsive, etc.

Troubles du caractère (personnalité) : troubles du caractère hystérique, obsessionnel, etc.

La psychopathologie a été séparée en :

  • Névrose (entité large incluant névrose avec symptômes et trouble du caractère).
  • Perversion
  • Psychose (la psychose est vu comme intraitable

En psychiatrie, le traitement psychanalytique de névrose était devenu le modèle du traitement de la maladie mentale.

  • Cure psychanalytique classique : divan, analyste hors de vue, association libre, régression, névrose de transfert, interprétation, etc.

On s’est aperçu que vien des patients réagissaient mal à la cure type.

  • Ils vivaient une sorte de « psychose » de transfert.
  • C’est ainsi que le trouble borderline a été révélé (mais pas encore conceptualisé).
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37
Q

Avec Freud (vers 1910), des formes non psychotiques de maladie mentale ont été définies. Lesquelles ?

A

Névroses avec symptômes : Névrose hystérique, névrose obsessionnelle-compulsive, etc.

Troubles du caractère (personnalité) : troubles du caractère hystérique, obsessionnel, etc.

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38
Q

Névrose avec symptômes

A

Une des 2 grandes catégories de névroses définies par Freud vers 1910.

Névrose hystérique, névrose obsessionnelle-compulsive, etc.

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39
Q

Troubles du caractère (personnalité)

A

Une des 2 grandes catégories de névroses définies par Freud vers 1910.

Troubles du caractère hystérique, obsessionnel, etc.

Caractère = personnalité.

Logique de l’axe 2 ici (on parle de personnalité). C’est donc moins intense mais ça fnctionne de la même façon inconsciemment selon Freud, que les névroses avec symptômes.

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40
Q

Selon le système multiaxial du DSM-IV, quel est l’axe 1 ?

A

Trouble mental cliniquement observable

  • Symptômes : délire, démence, troubles cognitifs…
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41
Q

Selon le système multiaxial du DSM-IV, quel est l’axe 2 ?

A

Troubles de la personnalité

  • Symptômes : paranoïa, schizophrénie, obsessif-compulsif…
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42
Q

Selon le système multiaxial du DSM-IV, quel est l’axe 3 ?

A

Troubles physiologiques associés à un trouble mental.

exemple : hypo-hyperthyroïdie

43
Q

Selon le système multiaxial du DSM-IV, quel est l’axe 4 ?

A

Troubles psychosociaux et environnementaux

exemple : événement précipitant (séparation)

44
Q

Selon le système multiaxial du DSM-IV, quel est l’axe 5 ?

A

Fonctionnement global

exemple : relations interpersonnelles

45
Q

Névrose

A

Le terme névrose peut être utilisé de plusieurs façons. Soit de manière générale -> une grande famille de problèmes, soit de manière précise -> maladie avec symptômes du genre axe 4.

(comment ca axe 4 wtf)

46
Q

Avec Freud, la psychopathologie a été séparée en quels 3 catégories ?

A

La psychopathologie a été séparée en :

  • Névrose (entité large incluant névrose avec symptômes et trouble du caractère)
  • Perversion
  • Psychose (la psychose est vue comme intraitable)
47
Q

Selon Freud, comment pouvait-on traiter une psychose ?

A

La psychose est vu comme intraitable à cette époque.

48
Q

En psychiatrie, le traitement psychanalytique de névrose vers 1910 était devenu quoi ?

A

Le modèle du traitement de la maladie mentale

  • Cure psychanalytique classique : divan, analyste hors de vue, association libre, régression, névrose de transfert, interprétation, etc.

Avec le temps, l’inconscient sort et l’analyste peut l’analyser.

49
Q

Névrose de transfert

A

La névrose du client va se jouer dans sa relation avec l’analyste (ex : client a vécu avec une personne très critique et va s’imaginer que le thérapeute le critique (cest pas de la projection ça ?)

50
Q

Cure psychanalyste classique

A

Divan, analyste hors de vue, association libre, régression, névrose de transfert, interprétation, etc.

Avec le temps, l’inconscient sort et l’analyste poura l’analyser.

51
Q

Dans l’histoire de la psychanalyse, on s’est aperçu que bien des patients réagissaient mal à la cure type. Expliquez.

A

Ça arrivait souvent que des gens qu’on pensait névrotiques (fonctionnelles) répondaient mal à la cure type, en agissant de façon un peu trop psychotique. C’était la révélation du trouble de personnalité borderline.

  • Ils vivaient une sorte de « psychose » de transfert.
  • C’est ainsi que le trouble borderline a été révélé! (mais pas encore conceptualisé)
52
Q

Quelle est la différence entre névrose de transfert et psychose de transfert ?

A

Dans la névrose de transfert, le client est conscient qu’il perçoit des choses qui ne sont pas nécessairement là (ex : j’ai l’impression que tu me critiques mais je sais que c’est surement juste ma perception).

Dans la psychose de transfert, la personne est absolument convaincu sans aucun doute de sa perception. Il y a carrément une déformation de la réalité (ex : je sais que tu me critiques, c’est sur !).

53
Q

Qu’introduit le psychanalyste L. Pierce Clark en 1919 ?

A

A introduit la notion de borderland pour décrire une condition toute proche de la névrose ou de la psychose. Il a proposé une approche thérapeutique modifiée (de l’analyse) pour leur traitement.

54
Q

borderland

A

En 1919, un psychanalyste (L. Pierce Clark) a introduit la notion de borderland pour décrire une condition toute proche de la névrose ou de la psychose. Il a proposé une approche thérapeutique modifiée (de l’analyse) pour leur traitement.

55
Q

Quand et part qui le terme borderline a-t-il été utilisé pour la première fois ?

A

Le termine borderline a été utilisé pour la première fois en 1921 par un analyste, Thomas Vernor Moore, qui y voyait une « forme fruste » de la dépression psychotique en mettant en évidence l’importance des facteurs héréditaires (forme proche ou atténue de trouble bipolaire)

56
Q

Le terme borderline a été utilisé pour la première fois en 1921 par l’analyste Thomas Vernor Moore, qui y voyait quoi ?

A

Qui y voyait une « forme fruste » de la dépression psychotique en mettant en évidence l’importance de facteurs héréditaires (forme proche ou atténuée de trouble bipolaire).

57
Q

Le terme borderline a été utilisé pour la première fois en 1921 par l’analyste Thomas Vernor Moore, qui y voyait une « forme fruste » de la dépression psychotique en mettant en évidence l’importance de quoi ?

A

des facteurs héréditaires (forme proche ou atténuée de trouble bipolaire)

58
Q

Quel terme a été popularisé dans les années 20 ?

A

le terme « schizophrénie borderline »

Beaucoup de patients qui réagissaient mal à l’analyse étaient considérés comme présentant une forme atténuée de schizophrénie.

59
Q

Dnas les années 20, beaucoup de patients qui réagissaient mal à l’analyse étaient considérés comme présentant quoi ?

A

Dans les années 20, le terme « schizophrénie borderline » a été popularisé.

Beaucoup de patients qui réagissaient mal à l’analyse étaient considérés comme présentant une forme atténuée de schizophrénie.

60
Q

Expliquez la naissance officielle du TPB

A

C’est Adolph Stern (1938) qui a mis le terme de borderline sur la map. Il a parlé :

  • du narcissisme de cartains patients, qui idéalisaient et dévalorisaient l’analyste
  • de leur difficulté à gérer le stress par l’expression d’hémorragie psychique
  • de leur hypersensibilité à la critique
  • de leur propension à extérioriser les conflits (blâmer les autres)

Le terme est alors essentiellement utilisé dans les sphères psychanalytiques.

61
Q

Après qu’Adolph Stern mit le terme « borderline » sur la map, plusieurs contributions/accumulations d’observations se sont succédées. Lesquelles ?

4

A
  • Helene Deutsch (1942) et la personnalité « comme si » (Une personne qui joue des rôles en fonction des gens autour) (ressemble au critère d’identité du DSM-5)
  • Schideberg (1947) a parl de patients borderlines, fonctionnant à un nouveau intermédiaire entre la névrose et la psychose, stables dans leur instabilité, problèmes d’humeur et de comportement, vies chaotiques. (ressemble au critère d’instabilité émotionnelle du DSM-5)

-Selon Robert Knight (1953), les borderlines formaient un groupe dans le continuum entre la névrose et la psychose

  • John Frosch (1954) a mis l’accent sur le trouble impulsif et il a suggéré de remplacer le terme borderline par caractère psychotique : il a parlé du problème de l’expérience de la réalité problématique, même si l’épreuve de réalité est bonne. (ressemble au critère d’épreuve de la réalité du DSM-5)
62
Q

Après qu’Adolph Stern mit le terme « borderline » sur la map, plusieurs contributions/accumulations d’observations se sont succédées. Quelle était celle d’Helene Deutch en 1942 ? Ça ressemble à quel critère ?

A

la personnalité « comme si »

Quelqu’un qui joue des rôles en fonction des gens autour, un caméléon.

Ça ressemble au critère d’identité du DSM-5.

63
Q

Après qu’Adolph Stern mit le terme « borderline » sur la map, plusieurs contributions/accumulations d’observations se sont succédées. Quelle était celle de Schmideberg en 1947 ? Ça ressemble à quel critère ?

A

Shmideberg (1947) a parlé de patients borderlines, fonctionnant à un niveau intermédiaire entre la névrose et la psychose, stables dans leur instabilité, problèmes d’humeur et de comportement, vies chaotiques.

Ceci ressemble au critère d’instabilité émotionnelle du DSM-5.

64
Q

Après qu’Adolph Stern mit le terme « borderline » sur la map, plusieurs contributions/accumulations d’observations se sont succédées. Quelle était celle de Robert Knight en 1953 ?

A

Selon Robert Knight (1953), les borderlines formaient un groupe dans le continuum entre la névrose et la psychose.

65
Q

Après qu’Adolph Stern mit le terme « borderline » sur la map, plusieurs contributions/accumulations d’observations se sont succédées. Quelle était celle de John Frosch en 1954 ? Ça ressemble à quel critère ?

A

John Frosch (1954) a mis l’accent sur le trouble impulsif et il a suggéré de remplacer le terme borderline par caractère psychotique : il a parlé du problème de l’expérience de la réalité problématique, même si l’épreuve de la réalité est bonne.

Ceci ressemble au critère d’épreuve de la réalité du DSM-5.

66
Q

Expliquez l’histoire de l’organisation borderline de la personnalité.

A

Otto Kernberg (1967) a distingué trois organisations de la personnalité : névrotique, borderline et psychotique.

L’organisation borderline comportait deux caractéristiques importantes : une bonne épreuve de la réalité, pour distinguer de l’organisation psychotique, et une identité diffuse pour distinguer de l’organisation névrotique.

Il a mis l’accent sur l’utilisation du mécanisme de défense de clivage, qui scinde les représentations de soi et des autres en deux extrêmes (bon-mauvais).

Même si la formulation de kernberg s’appliquait à des niveaux d’organisation de la personnalité, elle renvoyait davantage à des niveaux d’organisation mentale, dont la personnalité n’est qu’une manifestation.

67
Q

On entend quoi exactement par « organisation » de la personnalité ?

A

Quand on parle d’organisation, on ne parle pas de Sx, on parle de ce qui se passe dans la tête des gens, de leurs patternes, de leurs mécanismes de défenses, de comment ils perçoivent les autres. Bref, ce qu’on ne voit pas. C’est des organisations mentales (des processus psychologiques dans la tête)

68
Q

Comment fait-on pour distinguer l’organisation borderline de l’organisation psychotique ?

A

L’épreuve de la réalité n’est pas bonne chez l’organisation psychotique. Chez l’organisation borderline elle est normalement conservé (même si elle peut être mauvaise dans des situations de stress).

69
Q

Comment fait-on pour distinguer l’organisation borderline de l’organisation névrotique ?

A

L’identité est diffuse chez l’organisation borderline, alors qu’elle est dite intégrée chez l’organisation névrotique.

70
Q

Épreuve de la réalité de l’organisation psychotique

A

mauvaise

71
Q

Épreuve de la réalité de l’organisation borderline

A

bonne (peut être mauvaise en contexte de stress)

72
Q

identité de l’organisation borderline

A

diffuse

73
Q

identité de l’organisation névrotique

A

intégrée

74
Q

Qui a distingué trois organisations de la personnalité : névrotique, borderline, psychotique ?

A

Otto Kernberg (1967)

75
Q

L’organisation borderline comportait deux caractéristiques importantes selon Otto Kernberg. Lesquelles ?

A

Une bonne épreuve de la réalité, pour distinguer de l’organisation psychotique, et une identité diffuse, pour distinguer de l’organisation névrotique.

76
Q

Qu’est-ce qui peut expliquer l’identité diffuse de l’organisation borderline ? Pourquoi ?

A

le clivage

Selon Kernberg, l’identité est perturbé par le clivage. Quand notre représentation de nous-même est clivée, on ne sait pas qui on est parce que ça change en fonction d’avec qui on est, de comment on se sent, etc.

77
Q

Otto kernberg a mis l’accent sur quoi en lien avec l’organisation borderline de la personnalité ?

A

Il a mis l’accent sur l’utilisation du mécanisme de défense de clivage, qui scinde les représentations de soi et des autres en deux extrêmes (bon-mauvais).

78
Q

v ou f : la formulation de Kernberg s’appliquait à des niveaux d’organisation de la personnalité et c’est tout

A

faux

-> Même si la formulation de kernberg s’appliquait à des niveaux d’organisation de la personnalité, elle renvoyait davantage à des niveaux d’organisation mentale, dont la personnalité n’est qu’une manifesation.

79
Q

Quelle est la contribution de Roy Grinker dans l’histoire ?

A

Roy Grinker - psychiatre - (1900-1993) a formulé l’idée d’un syndrome borderline (1968), qui mêlait des éléments de personnalité et une définition du niveau de fonctionnement. (un problème borderline mais qu’on pourrait considérer comme dans l’axe I)

Il divisait le domaine borderline en 4 champs (des niveaux de sévérité) :
a) la frange psychotique
b) le syndrome central (acting de la colère, dépression, identité branlante, investissement vacillant des autres)
c) le type as if
d) la frange névrotique (dépression anaclitique, anxiété, caractéristique névrotique/narcissique)

Son équipe (de Chicago) a souligné l’importance de l’affect de colère comme seul ou principal affect.

80
Q

syndrome borderline

(Roy Grinker, 1968)

A

Idée qui mêlait des éléments de personnalité et une définition du niveau de fonctionnement. (problème borderline mais qu’on pourrait considérer comme dans l’axe I)

81
Q

Roy Grinker divisait le domaine borderline en quels 4 champs/niveaux de sévérité ?

A

a) la frange psychotique

b) le syndrome central (acting de la colère, dépression, identité branlante, investissement vacillant des autres)

c) le type as if

d) la frange névrotique (dépression anaclitique, anxiété, caractéristique névrotique/narcissique)

82
Q

L’équipe de Roy Grinker (de Chicago) a souligné l’importance de quelle affect pour le syndrome borderline ?

A

Son équipe a souligné l’importance de l’affect de colère comme seul ou principal affect.

83
Q

syndrome (sRdYom)

A

syndrome (sRdYom) n.m.

  • 1824; n. f. de 1547 à 1872; gr. sundromê « réunion », par le lat.

Méd. Association de pusieurs symptômes, signes ou anomalies constituant une entité clinique reconnaissable, soit par l’uniformité de l’association des manifestations morbides, soit par le fait qu’elle traduit l’atteinte d’un organe ou d’un bien défini.

Affection, maladie. Syndrome clinique, biologique.

Fig. Ensemble des signes révélateurs d’une situation jugée mauvaise.

84
Q

Expliquez en quoi Roy Grinker voyait le « syndrome borderline » comme sous une logique de l’axe I du DSM-III

A

je ne sais pas, réécoute audio ou pose la question dans forum

85
Q

Contributions de John Gunderson (1942-2019) et Singer dans en 1975

A

John Gunderson (1942-2019 et Singer ont proposé le terme trouble de personnalité borderline (1975).

  • Donc, ils ne pensent pas que c’est un problème de l’axe I comme Roy Grinker, mais bien un trouble de personnalité plutôt d’une logique de l’axe II du DSM-III.

Préoccupations pour une définition opérationnelle.

Ont développé une entrevue pour la mesure du trouble : le DIB.

Ces travaux ont favorisé la définition de l’entité clinique en terme de trouble de personnalité (d’organisation > à syndrôme > à trouble de personnalité).

86
Q

Différence entre la conception de Roy Grinker vs John Gunderson et Singer en lien avec le borderline

A

Roy Grinker le voyait le syndrome borderline d’un point de vu biologique/médicale. C’est plus une logique de l’axe I du DSM-III.

En revanche, Gunderson et Singer le voyait comme un trouble de personnalité borderline. Leur vision est moins biologique. Por eux, le trouble borderline ainsi que tous les troubles de personnalité sont des choses qu’on apprend à être, c’est dans le développement. C’est plus une logique de l’axe II du DSM-III

87
Q

Qui propose le terme « trouble de personnalité borderline » ? En quelle année ?

A

John Gunderson et Singer, en 1975

88
Q

En quelle année le trouble de personnalité borderline apparait-il dans le DSM ?

A

Dans le DSM-III en 1980, avec l’axe II.

89
Q

Comment le problème de la définition d’une entité en lien avec la schizophrénie a été réglé dans le DSM-III, en 1980 ?

A

Le problème de la définition d’une entité en lien avec la schizophrénie a été réglé par la création d’un trouble de personnalité schizotypique par Robert Spitzer (1932-2015).

En effet, dans le DSM-III, on a essayé d’enlever le côté psychotique du trouble de personnalité borderline. C’est pour ça qu’à l’époque, il y avait seulement 8 critères diagnostics pour le trouble de personnalité borderline (le 9e n’était pas là pour enlever justement ce critère psychotique).

90
Q

Dans le DSM-III, il y avait combien de critères diagnostics pour le trouble de personnalité borderline ? Pourquoi ?

A

Dans le DSM-III, on a essayé d’enlever le côté psychotique du trouble de personnalité borderline. C’est pour ça qu’à l’époque, il y avait seulement 8 critères diagnostics pour le trouble de personnalité borderline (le 9e n’était pas là pour enlever justement ce critère psychotique).

91
Q

Dans quelle version du DSM le trouble de personnalité schizotypique apparait-il ? En quelle année ?

A

DSM-III en 1980

92
Q

Dans le DSM-III, en 1980, on pensait donner au borderline quel terme à la place ?

A

On pensait donner au borderline le terme de trouble de personnalité émotionnellement instable, mais le terme de Gunderson (borderline) a été retenu finalement.

93
Q

Les critères du trouble de personnalité borderline dans le DSM-III (axe II) étaient un mélange des formulation de qui ? Expliquez en quoi c’est la cas.

A

Les critères sont un mélange des formulations de Kernberg et de Gunderson :

  • Impulsivité soulignée par les deux
  • Relations polarisées (clivage) et diffusion de l’identité par Kernberg
  • Auto-agression, colère excessive et incapacité à être seul par Gunderson (incapacité à être seul = l’ancêtre du critère 1 du DSM)
94
Q

mettez les conception de borderline en ordre dans le temps : syndrôme, trouble de personnalité, organisation

A

d’organisation / à syndrôme > à trouble de personnalité

grâce aux travaux de Gunderson et Singer

95
Q

les 2 saveurs de psychoses

A

schizophrénie
troubles affectifs

96
Q

troubles affectifs

A

maniacodépression c’est tu la même chose ?

soit bipolaire ou unipolaire (ex : dépression)

97
Q

troubles affectifs atypiques

A

Formes atténuées de troubles affectifs (ex : cyclothymie)

98
Q

Comment les critères du trouble de personnalité borderline changent-ils du DSM-III au DSM-IV ?

A

Les critères du DSM-III ont été tous conservés dans le DSM-IV, bien qu’un peu reformulés. (ex : incapacité à être seule -> efforts effrenés pour éviter l’abandon)

Addition du critère des dérapages paranoïdes ou dissociatifs suite à un stresseur (critère 9) (on remet la psychose dans le trouble borderline).

99
Q

année du DSM-IV

A

1994

100
Q

En 1994 dans le DSM-IV, il y avait des controverses avec le trouble de personnalité borderline. Lesquelles ?

3

A

Controverses de l’époque. la question de l’étiologie tendait à subdiviser le TPB :

a) trouble de l’humeur (est-ce que ce ne serait pas plutôt un trouble bipolaire ?)

b) facteur traumatique (abus sexuels entre autres) et comorbidité avec le PTSD et le trouble dissociatif (donc le TPB serait un trouble dissociatif de l’identité) ;

c) lien avec impulsivité agressive et le spectre du trouble compulsif-impulsif

101
Q

Comment les critères du trouble de personnalité borderline changent-ils du DSM-IV au DSM-V ?

A

Intégration des axes I, II et III (fin du diagnostic multiaxial)

Tentative de redéfinir en profondeur les TP dans le DSM-5

  • proposition rejetée et mise en section III du DSM-5 (AMPD dans emerging measures and models)( je ne comprend pas vrm ici)

Le TPB est inchangé dans le DSM-5, critères identiques au DSM-IV-TR. (donc presque pas d’évolution depuis les années 80…)

102
Q

année du DSM-5

A

2013

103
Q

Année du DSM-V-TR

A

2022

104
Q

Différence entre conception du trouble de personnalité borderline dans le DSM-5 vs la CIM-11

A

La CIM-11 s’align e sur la définition du DSM-5 - « pattern borderline », mêmes critères.

Dans la CIM-11, « pattern borderline » est un ajout à d’autres troubles. Mais, quand tu regardes « pattern borderline » dans la CIM-11, c’est les 9 mêmes critères que le DSM-5 par rapport au TPB.