Colette Exposé Oral Flashcards
Présentation oeuvre partie 1
Sido, paru en 1930, comportant 3 parties
Sido relatant l’enfance heureuse de Colette dans son petit village natal de Saint Sauveur en Puisaye (Bourgogne) + portrait de sa mère très proche de la nature et harmonie humain, plantes et animaux de leur jardin (thème principal de cet ouvrage) le capitaine (surnom de son père militaire)
les sauvages (portrait de ses deux frères)
Présentation oeuvre partie 2
Les vrilles de la vigne paru en 1908 recueil de 20 nouvelles autobiographiques aux thèmes variés:
3 textes consécutifs dédiés à Missy, son amante Nuit Blanche. Jour gris et le demier feu
+ nostalgie enfance
Textes dédiés aux animaux (dialogues) comme Toby Chien parle dialogue de bêtes
univers mondain (fête, spectacles, maquillages)+ son amie Valentine, très attachée aux apparences
Etc
Parcours
Célébration du monde: différente des autres ceuvres au programme apporte un regard joyeux et nouveau sur le monde nous invite à apprécier la beauté de la nature qui nous entoure
Le monde m’est nouveau à chaque réveil »
Écriture
grande richesse de vocabulaire + utilisation de termes précis pour décrire la nature Milles roses fleurissaient hors d’atteinte parmi des glycines à longues gouttes de fleurs et des bigonniers pourpres, victorieux ennemis des clématites épuisées» effet réaliste mělé au lyrisme et à la sensualité de l’écriture presque impression de lire
de
la poésie en prose
En effet Colette allie les senteurs, les sensations et les sentiments nous immerge dans son
= univers edenique
+ Petite touche d’humour = légèreté
Nostalgie
enfance heureuse de Colette parmi la nature.
Il y avait dans ce temps-là de grands hivers, de brûlants étés. J’ai connu depuis des étés dont la couleur si je ferme les yeux, est celle de la terre ocreuse fendillée entre les tiges du blé et sous la géante ombelle du panais sauvage, celle de la mer grise ou bleue Mais aucun été, souf ceux de mon enfance ne commémore le géranium écarlate et la hampe enflammée des digitales Aucun hiver n’est plus d’un blanc pur à la base d’un ciel bourré de nues andolsées, qui présagealent une tempête de flocons plus épais, puis un dégel illuminé de mille gouttes d’eau et de bourgeons lancéolés.
Hommage à sa mère
profonde admiration pour Sido, attachement:
Je répétais la fin de ses phrases. J’avais déjà la voix plus grave que la sienne, mais j’imitais sa manière. Je l’imite encore» = éloge décrite comme une déesse
anecdote. “ Tu es si humain ! lui disait parfois ma mère, avec un occent d’indéfinissable suspicion. Elle ajoutait pour ne le point trop blesser -Oui, tu comprends, tu étends la main pour savoir s’il pleut”
→Sido capable de prévoir la météo, I heure ou le soleil se couche connection nature + transmission de ses savoirs à Colette
grande connection avec la nature + transmission des ses savoirs à Colette
+qui lui donne beaucoup de liberté et à contribué à faire de Colette la femme libre qu’elle est devenue (même si en opposition avec les valeurs qu’elle prone)
Moins aimé
Vrilles de la vigne un peu moins aimé car pas vraiment de suite logique, continuité, thémes variés et souvent sans rapport
Mystifié
Peut-être nos voisins imitaient-ils, dans leurs jardins, la paix de notre jardin ou les enfants ne se battaient point où bétes et gens s’exprimaient avec douceur, un jardin ou, trente années durant, un mari et une femme vécurent sans élever la voix l’un contre l’autre
18 au lieu de 30 ans - déménagement
Sensualité
→ Source à laquelle elle s’abreuvait lors de ses escapades noctures (3H 30 matin) La première avait goût de feuille de chêne, la seconde de fer et de tige de jacinthe. Rien qu’à parler d’elles je souhaite que leur saveur m’emplisse la bouche au moment de tour finir, et que j’emporte, avec moi, cette gorgée imaginaire. » montre caractère très libre de Colette même si contraire à ses dires
Paradoxe
liberté de Colette dans son écriture et dans sa vie (3 maris, amants, libérée sexuellement) libené enfance épisode des sources, dit “« Je veux faire ce que je veux. Je veux jouer la pontomime, même la comédie. Je veux danser nue, si le maillot me gene et humilie ma plastique. »”
Toby-chien parle
VS : “Les femmes libres ne sont pas des femmes”
“Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l’homme. Une femme intelligente y renonce.”
Les vrilles de la vigne (lere)= métaphore d’un Rossignol emprisonné pendant son sommeil par la vigne métaphore des liens d’ emprise que Colette a du briser pour devenir une écrivaine libre et indépendante
Humour / ironie
-Eh bien, voilà, justement, c’est comme un fait exprés. Figurez-vous, demain après-midi, je suis toute seule, toute seule -Et vous vous plaignez ()
Vous vouliez venir chez moi demain, mon petit ? Mais venez donc | C’est une très bonne idée Je n’en pense pas un mot mais elle me remercie, d’un regard chien-perdu propre à me toucher er elle s’en va, vite pressée comme si vraiment elle avoit quelque chose à faire DIMANCHE-Mon cher dimanche de paresse et de lit tiède, mon dimanche de gourmandise de sommeil de lecture te volló perdu gáché, et pour qui ? Pour une incertaine amie qui m’apitole
voguement
«_space;Sido répugnait à toute hécatombe de fleurs. Elle qui ne savait que donner, je l’al pourtant vue refuser les fleurs qu’on venait parfois quéter pour parer un corbillard ou une tombe. Elle se faisait dure, fronçait les sourcils et répondait non d’un air vindicatif - Mais c’est pour le pouvre M. Enfert, qui est mort hier à la nuit | La pauvre Mme Enfert fait peine, elle dit qu’elle voudrait voir partir son mari sous les fleurs, que ce serait sa consolation! Vous qui avez de si belles roses-mousse, madame Colette
-Mes roses-mousse | Quelle horreur ! Sur un mort Après ce cri elle se reprenait et répétait
Non Personne n’a condamne mes roses à mourir en même temps que M. Enfert
Raconte une nuit d’été. Elle me disait qu’elle avait trouvé son ainé endormi, les bras fermés sur sa poitrine, la bouche fraîche et les yeux clos, et tout empreint de sa sévérité de sauvage pur -Songe donc, c’est pour étre seul, loin de ces gens en sueur pour être endormi et caressé par le
vent de la nuit qu’il avait brisé un carreau Y eut-il jamais un enfant aussi sage?
Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne.»