Cognitive Flashcards

1
Q

la psychologie au sens commun est :

croyances qu’on les individus sur ce qu’est la psychologie, cette façon dont on pense l’utiliser au quotidien

A
  • subjective
  • abstraite
  • contextuelle
  • biaisée
  • non explicative
  • partielle
  • individuelle
    et ne permet donc pas d’élaborer de connaissance générales
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2
Q

la psychologie scientifique :

A
  • objective
  • concrete
  • le moins possible contextuelle
  • biaisée ?
  • explicative
  • d’abord partielle puis tend vers l’exhaustivité
  • généralisable
  • permet d’établir des lois générales
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3
Q

grande fonction de la psychologie cognitive relative au traitement de l’information

A
  • attention
  • mémoire
  • langage
  • résolution de problème
  • intelligence
  • jugement
  • biais cognitifs
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4
Q

qu’a fondé Gustave fechner ?

A

la psychophysique

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5
Q

qu’étudie Ebbinghaus ?

A

des fonctions supérieures : la mémoire (se met a travailler avec des enfants puis finalement il va travailler sur lui même

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6
Q

Pavlov nationalité et travaillait sur quoi ?

A

chercheur russe qui travaillait sur la salivation

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7
Q

Watson et Rayner font une expérience, sur qui ?

A

1920 L’expérience du petit Albert(11 mois)

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8
Q

limites scientifiques et éthiques de l’expérience du petit Albert

A

Limites scientifiques :
- non contrôle des biais

Limites éthiques :

  • Maltraitante
  • Violences psychologique
  • Absence de consentement
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9
Q

en 1970 qu’est ce qui est instauré et pourquoi ?

A

l’éthique car les expérience sont faites n’importe comment

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10
Q

pour Watson tout doit être ?

A

observable et réfutable

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11
Q

pour qu’il est conditionnement opérant il faut :

A

renforcement et punition

les deux peuvent être positif ou négatif

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12
Q

renforçateurs primaires :

A

(nourriture, eau, sexe…)

de nature biologique

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13
Q

renforçateurs secondaires :

A

(jouets et caresses)

récompenses et renforçateurs

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14
Q

sur quoi Skinneur a travailler

A

des pigeons

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15
Q

quelles sont les limites majeures du béhaviorisme ?

A

Il y a énormément d’études sur les animaux

Il ne se pose pas de question sur l’affects, l’humeur, tout ce qui est interne.

Il y a beaucoup de rapport au conditionnement et font donc l’impasse sur les apprentissages

Il ne prenne pas en compte nos capacité a nous adapter mais se concentre que sur le nos comportements conditionner.

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16
Q

Barlett s’interresse a :

A

la notion de schéma (histoires, comtes)

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17
Q

Les grandes questions:

1 Quelles informations apprend-on?

2 Comment apprend-on?

3 Comment utilisons-nous ce que nous avons appris?

A

1 attention

2 processus mnésique, résolution de problème

3 langage

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18
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?

CHERRY :

A

cocktail party

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19
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?CHOMSKY :

A

acquisition du langage/linguistique

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20
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?PIAGET :

A

développement de l’intelligence

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21
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?MILLER :

A

mémoire (CT)

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22
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?SHANNON :

A

développement de la théorie de l’information

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23
Q

Qu’est ce qui lui est associé ?

MC CARTY

A

développement de l’informatique

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24
Q

pourquoi il faut une méthodologie pour les études ?

A
  • nécessaire pour garantir l’objectivité des conclusion
  • nécéssaire pour reproduire les résultats
  • s’aligner sur des standards
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25
Q

hiérarchie des preuves

A

preuves fortes

  • méta-analyses (thématique précise)
  • études expérimentales (montre lien de causalité)
  • études corrélationnelles (corrélation entre deux)
  • études animales (pigeons)
  • témoignages (invérifiable)

preuves faibles

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26
Q

Quelque règles plus générale pour une expérience :

A
  • Il faut prouver l’existence d’un phénomène avant d’en chercher sa ou ses causes
  • On ne peut pas prouver l’inexistence d’un phénomène
  • Ce qui est affirmé sans preuve peut être rejeté sans preuve
  • Une affirmation extraordinaire demande des preuves extraordinaire
  • S’applique aussi (et surtout) a vos centres d’interêts, donc la psychologie cognitive
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27
Q

Shaw et porter (2015) sur quoi travaillent-ils ?

A

le paradigme des faux souvenirs

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28
Q

la mémoire encode, stocke et récupère (que signifie chaque mots ?)

A

encodage : filtre
stockage : consolidation
recuperation : reconstruction

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29
Q

3 approches dans les 4 sous disciplines de la psychologie :

A

approche générale
approche différentielle
approche du dysfonctionnement

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30
Q

L’approche différentielle met l’accent sur :

A
  • Les observations relatives aux différences entre individus dans le fonctionnement
  • Les problèmes que pose l’existence de ces différences.
  • Les perceptives théoriques que ces différences suggèrent
  • Les méthodes d’exploitation et de vérification
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31
Q

le développement différentielle est associé au développement du système philosophique avec deux courants (philosophique) :

A

innéiste/idéaliste (inné)

empiriste (acquis)

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32
Q

La psychologie scientifique, différentielle est née vers ?

A

1900 en Angleterre

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33
Q

3 philosophes empiristes :

*Pour les empiristes, l’esprit humain est une table rase sur laquelle viennent s’inscrire les sensations et les connaissances (idées)

A

HOBBES
LOCKE
HUME

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34
Q

Les associationnistes, HUME présente 3 lois de l’association :

A
  • contiguïtés spatiale ou temporelle
  • ressemblance
  • des relations de causalité
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35
Q

système biologique,

Le darwinisme a donné naissance a deux branches de la psychologie :

A

la psychologie comparée et la psychologie différentielle

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36
Q

système scientifique,

PLATON définit dans la république 3 types d’individus correspondant à 3 propriétés innées de l’âme humaine :

A
  • ces “appétits”
  • la “passion” qui correspond aux manifestations des appétits
  • la raison qui les contrôle
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37
Q

système scientifique,

HIPPOCRATE décrit 4 types de tempérament en termes d’humeur :

A
  • le “colérique”
  • le “mélancolique”
  • le “flegmatique”
  • le “sanguin”
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38
Q

système scientifique, les travaux de Galton en psychologie différentielle ont 3 objectifs :

A
  • décrire et mesurer la variabilité psychologique inter-individuelle.
  • montrer que cette variabilité est d’origine héréditaire.
  • tirer les implications de la théorie de l’évolution quant à l’amélioration de l’espèce humaine.
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39
Q

a l’heure actuelle la psychologie différentielle traite de plusieurs domaines dont :

A

les réactions psychophysiologiques,
la cognition
l’affectivité

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40
Q

L’approche différentielle met l’accent sur :

A
  • Les observations relatives aux différences entre individus dans le fonctionnement.
  • Les problèmes que posent l’existence de ces différences.
  • Les perspectives théoriques que ces différences suggèrent.
  • Les méthodes d’exploitation et de vérification
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41
Q

Interaction entre psychologie différentielle & psychologie générale qui peut se manifester sous deux formes:

A

Complémentarité et Remise en cause

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42
Q

huteau regroupe ces travaux selon 3 niveau :

A
  • Celui des comportements directement observables dans la vie quotidienne
  • Celui des propriétés psychologiques permettant d’expliquer les conduites intelligentes
  • Celui des propriétés physiologiques (Burt) = hérédité
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43
Q

en ce qui concerne le niveau (des propriétés psychologiques permettant d’expliquer les conduites intelligentes)
l’intelligence est influencée par 2 grands facteurs :

A

Les déterminants motivationnels.

Les déterminants cognitifs et métacognitifs

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44
Q

2 américains ont fait une expérience dans laquelle les participants devaient cocher dans une liste les comportements ceux qui faisaient partis intégrante de l’intelligence
les 5 premiers étaient :

A
  • Raisonnement abstrait
  • Aptitude à résoudre des problèmes
  • Capacité d’acquérir des connaissances
  • Mémoire
  • Adaptation au milieu
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45
Q

année de l’échelle métrique de Binet et Simon + année de remaniement :

A

1905 + 1908

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46
Q

Selon BINET l’intelligence devrait être appréhender à travers les processus … et non travers … :

A

supérieurs et non a travers des processus élémentaires

47
Q

BINET caractérise le retard mental par un retard de développement.
Cela l’a conduit à deux choses:

A
  • Choisir des épreuves représentatives d’un âge
  • A proposer la notion d’âge mental.

*Exemple: un enfant de 7 ans qui réussit les épreuves pour 8 ans à 8 ans d’âge mental.

attention !
BINET a inventé la notion d’âge mental mais il n’a jamais calculé le quotient intellectuel.

48
Q

Wechsler considère comme BINET que l’intelligence doit être évaluer par un ensemble de processus supérieurs mais ses échelles sont différentes sur 2 points :

A
  • Les épreuves ne sont plus représentatives d’un âge, mais ce sont des sous-tests constitués d’items de difficultés graduées.
  • Wechsler n’utilise pas la notion d’âge mental, mais le QI dans un sens différent
49
Q

le WAIS-R est constitué de 11 sous test dont:

A

6 sous test verbaux.

et 5 sous tests de performances

50
Q

le WAIS-R permet de calculer 3 scores (QI) :

A

Un QI verbal.
Un QI de performances.
Un QI global.

51
Q

Kaufman et sa femme (1982) s’inspire de WISC et créaient :

A

K-ABC basé davantage sur des bases neuropsychologiques

52
Q

Le K.ABC comporte 16 sous tests regroupés en 3 classes:

A
  • Evaluer le retard, l’efficience dans le traitement séquentiel de l’information
  • Evaluer le retard dans le traitement simultané de l’information
  • D’autres tests qui portent sur des connaissances
53
Q

Le K.ABC permet de calculer 5 scores, 5 quotients intellectuels :

A
  • Processus séquentiels.
  • Processus simultanés.
  • Processus séquentiels et simultanés (ou intelligence fluide)
  • Connaissances (ou intelligence cristallisée)
  • Performances
54
Q

la personnalité, possède 2 versants :

A

Un versant ‘’conatif’’ exprimé en termes de : traits

Un versant ‘’cognitif’’ exprimé en termes de styles : cognitifs.

55
Q

conatif possède 2 traits :

A

les traits centraux et secondaires

56
Q

on peut décrire la personnalité par 5 grandes dimensions :

et chaque dimensions possèdent 2 pôles opposés :

A

5 :

  • Extraversion vs introversion.
  • Agréabilité vs désagréabilité.
  • Conscience vs inconscience.
  • Stabilité émotionnelle vs instabilité.
  • Ouverture d’esprit vs rigidité.

2 :
pole positif = socialement désirable
pole negatif = socialement indésirable

57
Q

Méthodes de recueil de données, il en existe deux types :

A

Non scientifique et scientifique

58
Q

5 types de méthodes non scientifiques :

A
  • l’intuition (spontané)
  • accorder credit aux croyances populaires
  • accorder crédit à des autorités en la matière. (experts)
  • certitude basée sur l’expérience.
  • raisonnement (logique)
59
Q

en ce qui concerne le raisonnement cette nouvelle connaissance peut être fausse si :

A
  • Une prémisse s’avère être fausse.
  • Une prémisse n’a pas été vérifiée.
  • Le raisonnement est basé sur un postulat faux.
60
Q

la méthodes scientifique, le scientifique doit respecter 2 critères :

A

l’objectivité et la rigueur

61
Q

il existe 3 méthodes scientifiques :

+ description

A
  • Méthode de l’observation (description)
  • Méthode corrélationnelle (relation)
    la corrélation va de 0 (absence) a 1 (parfaite) et peut être négative ou positive
  • Méthode expérimentale (lien cause a effet) et contient 3 types de variables VI, VD, VC
62
Q

monozygotes ?

A

vrais jumeaux

63
Q

dizygotes ?

A

faux jumeaux

64
Q

une grille d’observation peut être de 2 types :

A

ouverte ou fermée

65
Q

il existe 4 types de tests (psychologique) :

A
  • psychométrique
  • d’intelligence
  • d’aptitude
  • de personnalité
66
Q

l’échelle de Binet était une épreuve de 3 types :

A

individuelle
global
verbale

67
Q

il existe 2 types de tests :

A

test d’habilité (ce qu’un individu peut faire et non ce qu’il fait)

test de personnalité (montre des caractéristiques)

68
Q

les test d’habilité comprennent 2 types de tests :

A

d’intelligence et d’aptitude

69
Q

caractéristiques d’un bon test :

A
  • objectivité des observations
  • fidélité (cest le cas quand un coeff de cor est de +0,90 ou plus)
  • validité (quand le coef de cor est de +0,50 ou +0,60)
70
Q

l’objectivité d’un bon test désigne :

A
  • La façon dont le test doit être administré aux sujets.
  • La façon dont il doit être corrigé par l’examinateur.
  • La Normalisation qui concerne les normes du test.
71
Q

neupsy, processus cognitifs :

A
  • Attention
  • Perception
  • Memoire
  • Langage
  • Raisonnement

72
Q

exemples de lésions cérébrales :

A
  • traumatiques (exemple : traumatismes crâniens)
  • Tumorales (exemple : tumeurs cérébrales)
  • Neuro dégénératives (exemple : parkinson)
  • Vasculaires (exemple : AVC)
  • Toxiques (exemple : intoxication au monoxyde de carbone)
  • Infectieuses (exemple : encéphalite herpétique)

73
Q

il y a notamment 2 champs d’activités dans cette discipline :

A

neuropsychologies cognitive ou experimentale et clinique

74
Q

deux objectifs de la neuropsychologie :

A

comprendre l’organisation et le fonctionnement des processus cognitif dans des conditions normales

Identifier les substrat cérébraux du comportement et de la cognition

75
Q

la patient HM (27 ans, épilepsie pharmaco-résistante)

épilepsie partielle car :

A

car les crise ce passent toujours au même endroit dans son cerveau

76
Q

qui opère HM ?

A

William Scoville

il retire l’hippocampe au patient et il est impossible pour lui de créer de nouveaux souvenirs

77
Q

amnésie rétrograde ?

A

avant le problème neurologique

78
Q

amnésie antérograde ?

A

après le problème neurologique

79
Q

le patient TAN, 21 ans de quoi souffrait t-il pour ne plus savoir parler et qui a découvert son problème ?

A

lésion syphilitique de l’hémisphère gauche (syphilis) découverte par BROCA (centre de la parole)

80
Q

phinéas gage, 25 ans que lui est t il arrivé et comment a t-il changé ?

A

une barre lui a transpercée le crâne, perte de l’œil gauche et il change de personnalité dans le mauvais sens

(ce qui a permet de comprendre l’importance des lobes frontaux dans le comportement émotionnel et social)

81
Q

qu’est ce qu’une tache d’empan ?

A

nombre maximum d’éléments que l’on peut retenir et restituer immédiatement après les avoir entendus

82
Q

phonèmes ?

A

langage parlé

83
Q

graphèmes ?

A

signes écrits

84
Q

exemple de mot réel non familier

A

zinzolin

85
Q

exemples de logatomes

A

otrudiré, volifula

86
Q

il existe 2 voies (+informations)

A

Adressage = voie lexicale,
empruntée pour lire les mots écrits familiers


Assemblage = voie non lexicale, (sub-lexicale),
utilisée pour lire les mots écrits non familiers et non-mots


87
Q

activités d’un neuropsychologue clinique :

A

évaluation du fonctionnement cognitivo-comportemental

prise en charge et rééducation des troubles cognitivo-comportemental

88
Q

Notion de troubles développemental

A

renvoie à toute une catégorie de pathologies cognitives, connu sous l’appellation de troubles spécifiques du développement

89
Q

Notion de trouble acquis

A

renvoie à toute une catégorie de pathologies cognitives qui surviennent suite à un problème neurologique identifié

90
Q

formes d’apraxie :

A
  • idéatoire
  • idéomotrice
  • mélokinétique (ou motrice)
  • bucco-faciale
  • de l’habillage
  • constructive
91
Q

apraxie idéatoire ? évaluation ?

A

difficulté ou incapacité à réaliser une suite d’action destiné à un but (exemple : allumer une bougie avec une boîte d’allumette)

Évaluation : réalisation de manipulation… agencement de plusieurs étapes

92
Q

apraxie idéomotrice ? évaluation ?

A

perturbation de gestes simples et isolé

Evaluation : production de pantomimes se peigner, gommer). Production de geste symbolique (salut militaire, pied de nez…).

93
Q

apraxie mélokinétique ? évaluation ?

A

troubles de la réalisation de mouvement fins, rapide et précis

Évaluation : réalisation de gestes fins et précis (pianoter)

94
Q

apraxie bucco-faciale ? évaluation ?

A

perturbation de la réalisation de gestes bucco-faciaux

Evaluation : réalisation de gestes bucco-faciaux (souffler, siffler, tirer la langue,…

95
Q

apraxie de l’habillage ? évaluation ?

A

difficulté à agencé, orienter et disposer des vêtements

Evaluation : (on demande aux patients d’enfiler une blouse ou un vêtement pour voir comment il se débrouille)

96
Q

apraxie constructive ? evaluation ?

A

troubles de l’exécution de dessins (spontané ou sur copie) + l’exécution de construction bi ou tridimensionnels (cubes)…

Evaluation : copie de dessin (exemple : figure de Rey), ou assemblage de cubes avec un modele en photo

97
Q

2 aphasies :

A

Broca (production) et Wernicke (compréhension)

98
Q

agnosie ?

*peut être visuelle (pas de déficit visuel)

A

perte de la capacité à identifier les stimuli de l’environnement

À savoir qu’une personne qui possède une agnosie auditive va très bien entendre mais ne sera pas capable de dire ce qu’il entend (aboiement il ne sait pas que s’en est un)

99
Q

prosopagnosie ?

A

agnosie visuelle, difficultés à identifier les visages auparavant familier (proche, parents, personnages célèbres…

dû à des lésions du gyrus fusiforme D

100
Q

SYNDROME DE NEGLIGENCE SPATIALE UNILATERALE (la NSU)

exemples :

  • il est assez rare que cela dure toute la vie du patient grâce a de la rééducation et la plasticité cérébrale
A

difficulté à détecter, identifier, s’orienter vers des stimuli situé dans la moitié espace controlatérale (opposée) a l’hémisphère cérébral lésé

En général elle fait suite à une lésion pariétal droite (donc NSU gauche), (souvent a gauche)

ils mangeront seulement un côté de leur assiette ou se raseront un côté de leur barbe…

101
Q

syndrome frontaux :

A

principaux troubles consécutif à des lésions préfrontales

102
Q

Les syndrome frontaux regroupe différents troubles :

A

troubles de la personnalité et de l’humeur

trouble du comportement moteur

troubles des fonctions exécutive

trouble de la cognition sociale

103
Q

les troubles de la personnalité et de l’humeur, possèdent 2 versants :

A

pseudo-dépressif : manque d’initiatives, manque d’intérêt…

pseudo-maniaque : désinhibition verbale…

104
Q

les trouble du comportement moteur, possèdent 2 versants :

A

comportement d’utilisation : tendance exagéré à saisir et à utiliser les objets présentés devant soi

comportement d’imitation : incapacité à s’empêcher d’imiter les gestes réalisés devant soi

105
Q

les troubles des fonctions exécutive :

A

troubles des capacités d’inhibition, de planification, de raisonnement, d’organisation etc..

106
Q

les trouble de la cognition sociale, possèdent 1 versant :

A

théorie de l’esprit : capacité à se représenter les états mentaux d’autrui et à utiliser ses représentations pour comprendre, prédire et juger des comportements de l’autre

107
Q

qu’est ce qu’un trauma crânien ?

A

lésion provoquées par un choc ou blessure de la boite crânienne

108
Q

Combien de pourcentage de cause de mentalité des 15/25 ans est dû à un traumatisme crânien

A

75%

109
Q

Quelles peuvent être les causes d’un traumatisme crânien

A
  • Accidents de la voie publique (AVP)
  • Chutes
  • Accidents de sports
  • Actes de violence (agression)
  • Syndrome du bébé secoué
110
Q

Il existe deux natures de TC :

A

fermé (un coup) et ouvert (crâne pénétré)

111
Q

qu’est ce que l’on appelle des lésions atonales diffuses ?

A

lésions étendues et qui selon leur sévérité peuvent venir couper la communications entre différentes régions du cerveau

112
Q

il existe 2 types de lésions ? et elles peuvent être de plusieurs types :

A

primaires : cutanées, osseuses, encéphaliques

secondaire: hématomes, hypertension intracrânienne, engagement cérébral

113
Q

il existe 3 phases d’éveil de coma :

A

végétatif
pauci-relationnel
premiers échanges relationnels

114
Q

les proches décrivent souvent 4 phases

A
  • une phase d’inquiétude majeure
  • une phase d’espoir
  • une phase de perception progressive de la gravité
  • un épuisement possible