CM3 Flashcards

1
Q

Approche hiérarchique :

A

il y a un ordre et un age précis pour l’acquisition de chaque catégories

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2
Q

L’effet du niveau de base :

A
  • la différentiation des catégories peut se mesurer selon la cohérence et le caractère distinct
  • cohérence: similitude entre les membres d’une même catégorie.
  • caractère distinct: différence entre les membres d’une catégorie et ceux d’une autre catégorie pour un même niveau d’inclusion

> > exemple : chiens et chats

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3
Q

Le rôle du niveau de base dans la catégorisation :

A
  • considéré comme le niveau le plus représentatif
  • permet une classification plus rapide
  • les expert peuvent être très rapide à classifier des objets de catégorie subordonnée dans leur domaine d’expertise
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4
Q

Tanaka et Taylor (1991) : étude sur les oiseaux et les chiens

A
  • les expert canins sont plus rapides pour catégoriser au niveau de base s’il s’agit d’oiseaux mais pas de chiens.
  • pour les chiens leurs réponses étaient aussi rapide au niveau subordonné qu’au niveau de base

> > > l’activité de catégorisation est influencé par l’apprentissage et l’expérience.

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5
Q

Les première infos pris en compte sont de nature perceptive ou conceptuelle ?

A
  • Perceptive : se sera une organisation bottom-up

- conceptuelle : se sera une organisation top-down

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6
Q

Pourquoi est-il difficile de répondre à cette question ?

A

car la plupart des travaux sont fait auprès des adultes et chez eux les deux processus (perceptif et conceptuel ) sont très présent et il est difficile de les étudier séparément

> > création de catégories artificielles pour y remédier

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7
Q

La validité écologique :

A

C’est la formation de catégorie naturelle

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8
Q

Validité écologique chez des enfants de 3/4 mois :

A
  • hypothèse : pas de connaissance préalable des catégories ( étudier leur émergence)
  • ils doivent catégoriser des chiens et chats ( méthode d’habituation visuelle)
  • résultat divergent
  • critique : même si ils savent catégoriser de manière perceptive on ne sait pas s’ils ont une conscience cognitive de leur différence (Mandler 2004)
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9
Q

Halford et Andrews 2006 :

A

“les catégories conceptuelles se basent plus sur les relations entre les objets et sont plus accessibles que les catégories perceptives qui sont fondées sur des mécanismes associatif”

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10
Q

Développement de la catégorisation par plusieurs stade :

A
  • chez le très jeunes bébé ( 2 à 4 mois)
  • de 6/7 mois à 1 an
  • de 1 à 2 ans
  • dès 14/15 mois : la généralisation d’actions
  • à partir de 2/3 ans
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11
Q

La catégorisation de 2 à 4 mois :

A
  • le répertoire du comportement du bébé est très limité
  • on mesure l’attention visuelle pour étudier les capacité de catégorisation ( attention attiré par ce qui est nouveau)
  • on peut aussi utiliser la procédure de comparaison par paire ( on familiarise les enfants aux chats puis on ajoute un chien)

> > si bébé regarde + longtemps l’objet d’une nouvelle catégorie en comparaison à l’objet de la catégorie de familiarisation alors il catégorise

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12
Q

Les bébés catégorisent :

A
  • au niveau globale ( dès 2-3 mois) : vrais objet que bébé peut manipuler
  • au niveau plus spécifique ( vers 3/4 mois) : chat/oiseau, chat / chien , chaise/ table

> > ils jouent sur les différences et les ressemblances = ce qui empêche la catégorisation

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13
Q

La catégorisation de 6-7 mois à 1 an:

A
  • répertoire comportemental plus étendu ( ils acquièrent la coordination vision-préhension à 5 mois)
  • mesure du temps pendant lequel bébé manipule l’objet
  • même principe que l’habituation avec phase de familiarisation et phase de test
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14
Q

La catégorisation de 1 an à 2 ans

A
  • augmentation des capacités attentionnelles : plusieurs objets miniaturisés en même temps
  • technique de toucher séquentielle : ( 4 objet d’une catégorie A, puis B ..)

> > il y a catégorisation si les séquences de touchers d’objets d’une même catégorie diffèrent au hasard

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15
Q

La généralisation d’actions dès 14/15 mois :

A
  • mesure la capacité de l’enfant à agir sur les objets avec l’imitation généralisé
  • l’adulte fait une action (donner a boire à un chien) et on présente ensuite à l’enfant un oiseau et une voiture et on regarde si l’enfant effectue l’action avec un objets de la même catégorie ( oiseau) ou avec un autre objet (voiture)
  • On se demande si l’action est restreinte ( que pour les chiens, et non les oiseaux et les voiture) ou si elle est globale ( pour un oiseau mais par une voiture)
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16
Q

La catégorisation à partir de 2-3 ans :

A
  • tâche de l’appariement d’image: trouver l’objet qui va avec la cible. Dans cette technique on mesure la préférence catégoriel de l’enfant associé à 3 choix corrects : taxonomique, thématique, perceptif
  • tâche du tri : mettre ensemble les objets qui s’associe bien
  • tâche de généralisation des propriétés: une cible à laquelle on attribut une propriété inconnue
17
Q

La notion de vivant/ non vivant :

A
  • c’est la construction et conceptualisation des catégories des animaux, végétaux et objets fabriqués.
  • ils ont un caractère universel (Atran 1994 )
  • c’est un des concepts les plus précocement construit ( Gelman et Opfer 2002)
  • montre des déficits de catégories spécifiques chez les patients ( Capitani 2003)
18
Q

L’objectif des travaux sur le vivant / non vivant :

A

étudier quels types d’info les enfant entre 3 et 6 ans prennent en compte et comment ils les mettent en relation, quand il construisent les catégories des animaux, des végétaux ou des objets fabriqués

19
Q

Limites de ces travaux :

A
  • regroupement des objets de différentes nature : animaux, humains, partie du corps…
  • items de niveau de base : cible chien et associé taxonomiquement à un autre chien
  • consigne explicite : lequel est de la même famille ?
  • pas de justification
20
Q

Que nous apprennent ces travaux ?

A

Ces travaux nous informent plus sur le mode de catégorisation des enfants ( taxonomique, thématique, perceptif) que sur le contenu des catégories

21
Q

Choix méthodologique de cette étude

A
  • utilisation systématique des exemplaires des catégories : animaux, végétaux et objets fabriqués
  • le niveau taxonomique est sur ordonnée : ce qui réduit la similarité et favorise la recherche de critère commun plus conceptuels
  • consigne neutre : observer la catégorisation spontanée des enfants
  • demande de justification : mieux saisir la compréhension et la conceptualisation
  • observer à la fois les modes de catégorisation et le contenu sémantiques des catégories
22
Q

La tâche du tri pour le vivant / non vivant :

A

Cette tâche à été réalisé auprès des enfants :

Résultats:
- tout âge : ++ tri non taxonomique

  • tri taxonomique + pour végétaux > animaux > objet fabriqué

Argument pour justifier les tris taxonomiques :
- animaux : référence à la catégorie d’appartenance et aux propriétés biologique communes

  • végétaux: principalement la catégorie d’appartenance
  • objets fabriqué : catégorie d’appartenance et fonctionnalité des items