CM2 Psycho Flashcards
quel est l’objet 1 de la psychologie sociale ?
comprendre le fonctionnement d’un groupe = comprendre sa structure => étude sur les statuts, rôles interrelations
objectif 2 de la psychologie sociale
comprendre la distinction entre :
- l’ “endogroupe” (in-groupe, groupe d’appartenance, “nous”)
- et l’ “exogroupe (out-groupe, groupe de non appartenance, “eux” )
=> distinction en 2 groupes psychologie = catégorisation
quelles sont les conditions minimales de la discrimination intergroupe ?
- le contact est-il nécessaire ?
- le conflit réel est-il nécessaire ?
la répartition d’individus sur une base arbitraire est-elle suffisante ?
- étude de Rabbie et Horwitz (1969) = sort commun
- étude de Tajfel, Flament, Billig et Bundy (1971) : paradigme des groupes minimaux
qu’est ce que l’étude de Rabbie et Horwitz et quelle année
en 1969
- adolescents : “une étude sur les impressions”
- procédure: 8SJ : 2 groupes de 4
3 groupes XP: récompenses : au hasard, par expérimentateur, ou par le vote d’un seul des deux groupes
condition controle, aucune récompense
- formuler impressions sur les personnes présentes ( choir avec qui travailler plus tard )
resultats;
- conditions contrôle: pas de biais in-group
- 3 conditions expérimentales : biais quelque soit la condition ( les sujets vont privilégier les gens de leur groupe en les valorisant )
qu’est que l’étude de Tajfel, Billig et Bundy et quelle année
étude en 1971
- sujet : élèves de 14/15 ans , se connaissent bien ( étude prise de décision)
- tache de jugement esthétiques:
groupe “Klee”/ “Kandinsky”
informé individuellement de son appartenance à l’une des catégories
isolé dans une cabine, carnets de matrices de décision
rémunération à 2 personnes dont l’apparence catégorielle connue - diverses matrices furent utilisées; diverses stratégies
gain max pour tous , gain max pour les membres de leur groupe , établir une diff max en faveur de leur groupe (quitte à gagner moins)
le paradigme des groupes minimaux :
une situation minimale=> biais pro-endogroupe
=> Catégorisation d’individus à partir d’un détails tout à fait arbitraire
le biais de favoritisme intra groupe :
amène à considérer plus favorablement ce qui émane de notre groupe préféré que ce qui provient des hors-groupes
comment expliquer “eux-nous” suffit à provoquer le biais endo-groupe
- activation d’une norme de compétition ?
- tendance à rendre son groupe le plus différent possible de l’exogroupe
comment expliquer “eux-nous” suffit à provoquer le biais endormi-groupe
- activation d’une norme de compétition ?
- tendance à rendre son groupe le plus différent possible de l’exogroupe
explication du biais pro-endogroupe (différenciation catégorielle) selon Tajfel
identité positive
def identité sociale positive
le groupe d’appartenance doit apparaître différent des autres groupes sur les dimensions jugées positives et importantes pour l’individu
définition de déviance
transgression perçue de règles ou de normes dans un système social donné . remise en cause :
- normes sociales
- cohésion ou unité du système
le groupe face à la déviance :
Scahchter ? année ?
en 1951
résultat :
- communication/déviant
= augmentent dans tous les clubs , dans e cas le nombre de communications diminue à la fin (=rejet symbolique du déviant) - communication/ converti
= nombreuses communications au début, à partir du moment où il se range à la majorité, leur nombre diminue - choix sociométriques
= classement des 9 personnes : rang moy > 5 = rejet
= rejet déviant> converti: jugement déviant <converti
=rejet des clubs cohésif > non cohésif
def naturalisation
= attribution de caractéristiques stables, essentielles ou naturelles au déviant
=> cette manière de penser permet de ne pas tenir compte des discours déviants
les formes de naturalisation des déviants pour expliquer leur comportement :
1) biologisation
2) psychologisation
3) sociologisation
Marques, Abrzms et Serodio (2001) ?
- tests de détection de perception
- niveau moral le + élevé ( questionnaire sur homosexualité )
- une semaine plus tard : identité de groupe menacée ou sécurisée
les caractéristiques des déviants ?
- les sujets déviants se perçoivent de manière négative et perçoivent une pression à se conformer
- ils sont donc motivés à minimiser ou réduire leur sentiment de déviance
- situation ambiguë et anxiogène : recherche affiliation ou support social auprès d’autres déviants
def de stéréotype
“croyance partagée et réductrice concernant les caractéristiques personnelles, le caractère, les comportant d’u ensemble d’individus” Rey , 2001
- les stéréotypes : connaissances/croyances à l’égard d’individus membre d’endodonties et d’exo- groupes
- ils peuvent être négatifs mais aussi positifs
ex de stéréotypes
français=> baguette
Italiens => spaghettis , amants
Anglais=> thé
processus psychologique de stéréotype
assimilation : augmentation subjectives des ressemblances entre les membres d’un groupe
=> Stéréotypes
contraste : Augmentation subjective des différents en entre les groupes
=> discrimination
quand est ce que les stéréotypes deviennent problématiques ?
- lorsqu’ils sont inexactes +résistent aux changements face aux informations les contredisant
- lorsque leur usage mène à des jugements erronés en raison des généralisations
def de discrimination
” constitue à institutionnaliser + ou - formellement la mise à distance d’un autre groupe en rendant impossible un rapprochement avec son propre groupe” Rey 2001
- conduit à des inégalités ente les membres de deux groupes
stone, Lynch , Sjomeling et Darley (1999)
explications données aux réussites sportives des blancs et des noirs ?
- losrsqu’un individu noir réussit mieux c’est parce qu”il possède de plus grandes capacités physiques
- lorsque c’est un banche qui réussit = ressources intellectuelles
Duncan 1976
= questionnaire pour évaluer les stéréotypes
avec 2 acteurs (noir et blanc) nuant à tour de rôles “agresseur- agressé”
resultats :
quand l’agresseur est noir = jugé plus violent que quand il est blanc
on dit que :
agresseur blanc = causalité externe ( = actions)
agresseur noir = causalité interne ( = caractéristiques de l’individu
comment est la relation entre les préjugés et le comportement discriminatoire :
elle n’est pas automatique
mécanisme de la confirmation d’hypothèse :
ce n’est pas parce qu’il constitue en lui-même un élément d’information que le stéréotype
affecte le jugement, mais par le biais de son impacteur sur le traitement des autres informations »
Etude de Cohen (1981) :
Sujets visionnent un film : une femme en train de dîner avec son mari
1) Catégorisation : la femme est présentée
- Soit comme bibliothécaire
- Soit comme serveuse
2) Information stéréotypée et contre-stéréotypée
Même nombre d’attributs typiques de bibliothécaires et de serveuse
3) Tâche : sujets doivent se rappeler toutes les informations qu’ils ont observé
Résultats :
➔ Meilleure rappel des informations cohérentes avec schéma
➔ Erreur d’intrusion : ils se « rappellent » des informations cohérentes mais non présentées
Sujets (étiquette bibliothécaire) : musique classique, lunette, un verre de vin
Sujets (étiquette serveuse) : télévision, une canette de bière
Shérif (1966,1971) :
- 1
ère phase : les enfants réalisaient des activités communes, mais non collaboratives - Notaient favorablement les membres de leur propre groupe, ils ne semblaient pas dénigrer
ceux de l’autre groupe, mais ne leur accordaient pas non plus d’adjectifs positifs. - 2
ème phase : activités compétitives pour lesquels chaque groupe luttait contre l’autre pour le
même objectif. - Biais envers le groupe d’appartenance et envers le groupe extérieur : les enfants décrivaient
très favorablement les membres de leur propre groupe et utilisaient de nombreux adjectifs à
connotation négative pour décrire les enfants de l’autre groupe. - 3
ème phase : activités communes non collaboratives.
10
* Troisième mesure : aucun changement
* 4
e phase : activités communes et hautement collaboratives : épreuve dans laquelle les deux
groupes auraient besoin l’un de
Le contact intergroupe :
a- Coopérative
b- Appui des autorités (autorité induit les contacts intergroupe → soumission à l’autorité)
c- Groupes de statut et de pouvoir égaux
qui pour Les buts communs et la coopération
approche sociocognitive aves Turener en 1982-85