CM2 Flashcards

1
Q

Classification des mémoires à long terme :

A
  • mémoire déclarative (explicite)
  • non déclarative (implicite)

Dans la mémoire déclarative (conscient ) :

  • sémantique
  • épisodique/ autobiographique

Dans la mémoire non déclarative (inconscient) :

  • procédurale ( habilité motrice)
  • d’amorçage ( rappel à partir d’indice )
  • conditionnement (classique et opérant )
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2
Q

apprentissage perceptuel ( mémoire d’amorçage) :

A
  • reconnaissance d’un stimulus qui à déjà été perçu auparavant ( ex: visage )
  • permet d’identifier les personnes, objets, sensations
  • lieux de l’apprentissage perceptuel : cortex associatifs sensoriels
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3
Q

Le conditionnement classique : (Pavlov )

A
  • “apprendre une réponse comportementale spécifique face à un stimulus donnée”
  • de type “stimulus-réponse”
  • réponse simple, presque automatique
  • ne permet pas de changer les événements
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4
Q

mécanisme du conditionnement classique :

A

Loi de hebb :
- “les neurones qui sont actifs ensemble, se déchargent ensemble”

  • la décharge répétée de la synapse faible + la viande qui produit une synapse forte va renforcer la réponse de la synapse faible.
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5
Q

le conditionnement émotionnelle :

A

-est géré par l’amygdale (système limbique)

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6
Q

que se passe-t-il pendant la réponse émotionnelle conditionnée ?

A

L’amygdale reçoit des entrées ( son et choc ).
Avant l’apprentissage, le son déclenche faiblement les synapses et les chocs fortement.
Les neurones qui reçoivent ces 2 signaux projettent vers la partie de l’amygdale qui génère la réponse émotionnelle.

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7
Q

Résumé :

A
  • les apprentissages de type conditionnement classique qui font intervenir les émotions implique l’amygdale
  • on est capable de se souvenir de ces “peur apprises”
  • il y a donc en plus un lien avec l’hippocampe
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8
Q

propriétés du conditionnement classique :

A
  • aide à comprendre les comportements involontaires, et renseigne sur les événements futurs
  • se caractérise par une courbe d’apprentissage
  • on peut déclencher son extinction (on arrête l’association)
  • la récupération spontanée : sans refaire l’association
  • si après une pause on refait l’association, l’apprentissage sera encore plus rapide
  • la généralisation : réponses apprises peut être généralisée à des stimuli proches
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9
Q

le conditionnement opérant :

A
  • apprendre une tâche par essai-erreur

- apprentissage plus actif que le conditionnement classique : le sujet agit sur son milieu

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10
Q

La loi de l’effet (Thorndike) :

A

“les comportements s’expriment plus ou moins suivant qu’ils produisent des conséquences positives ou non”

  • à inventé la boite à problème : pour tester si les animaux apprennent de façon instinctive
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11
Q

Skinner l’appel la loi du conditionnement opérant :

A

“le comportement d’un organisme “opère” sur l’environnement afin de l’aider à atteindre son but recherché”

> > processus d’apprentissage actif

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12
Q

Selon Skinner, l’apprentissage opérant est :

A
  • volontaire et dirigé vers un but (motivation )
  • contrôlé par les conséquences de mon action sur l’environnement
  • renforcée si il y a une récompense et diminué si il y a une punition
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13
Q

Résumé :

A
  • le conditionnement opérant c’est associé l’un de ses comportements à une récompense ou punition puis tendre à répété ou éviter ce comportement
  • c’est l’association entre un stimulus discriminant ( un indice contextuel), une sortie comportementale et les conséquences de cette sortie
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14
Q

notion de renforcement :

A
  • conséquence qui augmente la chance d’émettre un comportement
  • mécanisme neuronaux renforcent les synapses entre les neurones qui détectent le stimulus discriminant et les neurones qui produisent le comportement de réponse
  • le circuit neuronale du renforcement est lié à celui de la récompense
  • le circuit de la réponse = système mésolimbique
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15
Q

les neurones à dopamines

A
  • lieux : dans l’aire tegmental ventrale ATV) projettent sur l’amygdale, l’hippocampe, le noyau accubens et le cortex frontal et préfrontal.
  • rôle : rôle majeur dans la motivation à la récompense
  • L’ATV est capable d’anticiper l’arrivée d’une récompense après conditionnement. L’ATV code l’arrêt de récompense.
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16
Q

système mésolimbique :

A

entrées sensorielles se projettent vers l’ATV tels que :

  • l’amygdale : détection des stimuli
  • l’hypothalamus latéral : indique la présence de stimuli renforçant
  • le cortex préfrontal : évalue les stimulis sensoriels, fabrique les stratégie et évalue la sortie.
17
Q

mécanisme du système mésolimbique :

A
  • un même neurone du Nac reçoit des axones à dopamines de l’ATV + des axones a glutamate de l’hippocampe, de l’amygdale et du cortex préfrontale
  • la dépolarisation du Nac par la DA potentialise les synapses glutamatergiques augmentant la chance d’émission du comportement récompensé.
  • Puis Nac projette vers les ganglions de la base influençant la sortie comportementales
18
Q

mémoire procédurale : apprentissage moteur

A

“changement qui résultent en l’acquisition d’une nouvelle séquence motrice”

19
Q

apprendre une nouvelle séquence motrice implique :

A
  • des entrées sensorielles

- ses sorties motrices

20
Q

2 voies connectent les cortex associatif moteur et sensoriel :

A
  • voies transcorticales : directes sans passage par le thalamus
  • des connexions au travers du thalamus et des ganglions de base
21
Q

l’apprentissage initiale requiert :

A

une attention élevé vers :

  • les stimuli environnementaux
  • les processus de traitements des entrées sensorielles

> > l’attention élevé est principalement due aux voies transcorticale qui sont directes sans passage par le thalamus.

> > a force de répétition du comportement, celui-ci devient automatique. L’intégration est transférée vers les ganglions de la base (le striatum = gère nos habitudes comportementales)

22
Q

processus de l’apprentissage initiale :

A
  • les ganglions de la base reçoivent des entrées depuis les aires associatives sensorielles et le cortex préfrontal
  • puis projettent vers l’aire associative motrice (AMS) qui initie la sortie motrice
  • la répétition du mouvement renforcent les synapses entre les entrées sensorielles et les sorties motrices
  • le cortex devient moins compliqué

> > au départ de l’apprentissage des séquences motrices : on note une activation du cortex cérébelleux puis des couches profonde du cervelet, puis transfert de l’info vers le système striatocortical.

23
Q

résumé :

A
  • cervelet, ganglion de la base et cortex jouent un rôle déterminant dans la mémoire procédurale (des habitudes motrices ou cognitive)
  • des lésions des ganglions de la base perturbent les apprentissages moteurs et les performances d’un apprentissage acquis
24
Q

apprentissage relationnel :

A
  • c’est le plus complexe qui existe
  • la plupart des apprentissages implique un apprentissage relationnel
  • c’est le niveau le plus intégré
  • il requiert l’apprentissage des stimuli individuellement et aussi comment chacun d’eux est lié aux autres

exemple : apprentissage épisodique, spatiale, par observation, apprentissage social

25
Q

Mémoire spatiale :

A
  • localisation des objets et des lieux dans l’espace
  • lié à l’hippocampe droit

–> si hippocampe endommagé : déficit

–> augmentation d’activité dans cette région quand on se rappel des localisations spatiales ..

L’hippocampe n’est pas nécessaire pour lés apprentissage les plus simple de type «stimulus réponse» mais est critique pour lés apprentissage relationnels

26
Q

exemple du labyrinthe aquatique de Morris :

A

Principe : plonge un rat dans une piscine rempli d’eau non transparente, il doit trouver le chemin le plus rapide pour se rendre à la plate-forme

Expérience : lèse l’hippocampe du rat = pas d’apprentissage du rat

Résultats:
-montre l’importance de l’hippocampe dans l’apprentissage de la navigation spatiale