CM 3 Flashcards
Les 3 catégories de modèle de reconnaissance des mots écrits
1/ modèles de recherche sérielle
2/ Modèles d’activation
3/ Modèles de recherche - activation
Les modèles de recherche sérielle
1/ Modèle de Goodman
2/ Modèle de Gough
3/ Modèle de Foster
Modèle de Goodman
Modèle qui se focalise sur l’effet des attente sur la lecture.
Lecture = processus de devinement
Critiques: la lecture n’est pas que de la devinette, c’est surtout de la prise d’informations
Modèle de Gough
Ancien modèle de sérialité
Modèle de Foster
Basée sur la métaphore informatique poussée au plus loin.
Modèle autonome, actif et sériel.
Architecture du modèle de Foster
Comprend un lexique mental ou fichier central : comprend toutes les infos que la mémoire contient sur tous les mots
Avec 3 fichiers périphériques d’accès:
- fichier orthographique: qui contient la forme écrite des mots = reconnaissance des mots écrits
- fichier phonologique: forme phonologique des mots = reconnaissance des mots de la parole
- fichier sémantique/syntaxique qui permet la production de la parole
Ces fichiers sont munis de pointeurs qui renvoient vers le fichier central: recherche séquentielle et active jusqu’à correspondance entre la forme phono/écrite du mot et la représentation lexicale correspondante.
Notions de Bins du modèle de Foster
A cause des critiques: trop long de scanner tout le répertoire lexicale.
Bin = casier = secteur lexical structuré en fonction de proprités ortho, phono du début de mot et classé en fonction de la fréquence (les + fréquents en 1er).
Permet d’expliquer l’effet de fréquence.
Les modèles d’activation
Reposent sur l’idée que les représentations lexicales sont directement activées par le mot (pas de recherche sérielle)
- modèle des logogènes de Morton
- Modèle IACde McClelland et Rumelhart
Modèle des logogènes de Morton
Chaque mot connu est représenté par une unité interne ou détecteur appelé logogène.
Le logogène appartenant au système cognitif, il y a interaction => système à la fois top down et bottom up.
Modèle passif, interactif et non computationnel
Caractéristiques des logogènes du modèle de Morton
1/ contiennent toutes les infos relatives à un mot: orthographiques, phono, syntaxiques et sémantiques
2/ ils ont un niveau d’activité de base: qui peut varier en fonction de l’environnement
3/ Seuil d’activation: qui doit être atteint pour provoquer l’activation et l’accès aux infos contenues dedans.
4/ Après activation, le retour au niveau de base se fait graduellement.
Explication de l’effet de fréquence dans le modèle de Morton
Comme le niveau de base se déplace en fonction de l’environnement et qu’il redescend graduellement, on considère que pour les mots fréquents, le niveau de base ne redescend jamais et que c’est pour cela qu’ils sont toujours reconnus plus rapidement.
Objectif du modèle IAC de McClelland et Rumelhart (1981)
1er modèle computationnel de lecture
Modèle révolutionnaire à sa sortie
= interactive activation compétition model
Vise a expliquer et reproduire l’effet d’efficacité du mot
Modèle de perception des lettres en contexte
Points communs entre modèle des logogènes et modèle IAC (3)
1/ modèles passifs et interactifs
2/ Reposent sur une métaphore neuronale = modèle connexionniste
3/ Expliquent les effets de contexte dans la reconnaissances des lettres/ mots
Différences entre modèle des logogènes et modèle IAC (3)
1/ le mot logogène
2/ modèle computationnel
3/ explique le ttt des non mots
Modèle IAC de McClelland et Rumelhart (1981): postulats de départ (3)
1/ il existe plusieurs nvx de ttt: traits, lettres, mots
2/ ttt en parallèle (modèle en cascade) sur le plan spatial et sur les différents niveaux
3/ ttt interactif