Chronologie de traitement PAP-PAC Flashcards
Pour réaliser un modèle préliminaire (d’étude), on réalisera une empreinte à l’alginate qu’on coulera au plâtre de type
II (après désinfection)
L’étude préliminaire comporte:
- paralléliseur
- tracé
L’ordre des améloplasties est:
- guidage
- sustentation
- rétention
Type I de plâtre
= Snow White
-> mise en articulateur (galets)
-> empreinte primaire de PAC
-> empreinte implanto
-> précis, bonne stabilité dimensionnelle
Type II de plâtre:
-> modèle d’étude
Pas cher
Type III de plâtre
- modèle secondaire de PAC
‘Adapté à la mise en moufle, plus cassant que la résine (permettant de sortir la prothèse)
Type IV de plâtre
- modèle réalisation chassis métallique
- Modèles en PC, PIP, PF
Très cher et qualitatif
Stabilité dimensionnelle des plâtres (ordre)
IV > I > III > II
Contre indications à l’empreinte au plâtre:
- patient ayant subi radiothérapie cervico-faciale
- asialie totale
- présence de dents
Empreinte secondaire: pour le joint complet on utilise:
Pâte de Kerr et Permadyne Orange
Pour le surfaçage on utilisera:
Un matériau de faible viscosité:
- pate oxyde de zinc Eugénol (impression paste ou REPIN) sauf que tps de prise court (or il faut faire les mvmts fonctionnels)
- permadyne bleue (polyether de faible viscosité)
- permlastic (polysulfure de faible viscosité)
Stabilisation des maquettes d’occlusion sur modèle secondaire (et non en bouche) avec quel matériau ?
Impression Paste
Sur quel plan est réglé la base d’occlusion maxillaire ?
Plan de camper (tragus- point sous nasal)
Réglage des maquettes d’occlusion: il ne faut pas oublier de … ?
Marquer la position du point inter-incisif sur le bourrelet
Quel contact privilégie-t-on pour l’enregistrement du RMM dans une situation de PAC maxillaire face à une PAP de classe I mandibulaire ?
Bourrelet - bourrelet
-> l’interêt est de ne pas faire intervenir la proprioception du patient afin de le mettre en ORC
Lors de l’enregistrement de notre RMM, nous allons interposer du matériau entre les 2 bourrelets, le patient sera donc en sur-DV qu’on appellera « dimension verticale d’enregistrement » (DVE).
Une différence entre la DVE et la DVO de …..reste acceptable car l’ATM reste en rotation pure, donc notre occlusion en relation centrée n’est pas faussée
1 à 2 mm
Pour compenser la sur-DV d’enregistrement, il faut
Abaisser la tige incisive lors du montage du modèle mandibulaire:
- Une sur-DV signifie que les modèles sont trop éloignés l’un de l’autre (la bouche trop “ouverte”).
- Pour réduire cette ouverture, tu dois faire descendre la partie supérieure de l’articulateur, donc : abaisser la tige incisive, ce qui permet de rapprocher les modèles → donc de réduire la DV.
-> il faudra abaisser la tige de 4/3 X mm (car elle se trouve plus loin que le point interincisif)
Après validation de l’essayage sur cire, il faut:
Gratter le joint postérieur sur le modèle en plâtre
Pourquoi ?
pour assurer l’étanchéité, la rétention et la stabilité de la prothèse complète maxillaire en créant un effet ventouse par compression douce du palais mou.
Car une fois l’essayage validé, le modèle en plâtre (maître) va servir à la mise en moufle pour le polymérisat de la résine.
Et donc en grattant le joint postérieur, on va créer une compression controlée du palais mou
Empreinte dissociée de Mac Cracken:
= empreinte secondaire réalisée directement sur le châssis métallique d’une PAP
1) A l’issus de l’empreinte primaire mandibulaire, le modèle est coulé avec du plâtre de type 4 et on demande au prothésiste de réaliser le châssis métallique.
2) Le châssis est essayé en clinique pour vérifier l’adaptation.
3) Le châssis et le modèle sont renvoyés au prothésiste en lui demandant de réaliser des selles porte empreinte (en résine) munies de bourrelet de préhension (en Stent’s ou en résine).
4) L’empreinte 2ndaire est réalisée au niveau des selles porte empreinte : on stabilise les poches de Fish puis on surface l’empreinte.