Chapitre IV - L'Éthique Utilitariste Flashcards

1
Q

1) Quel type d’utilitarisme se rapproche de l’éthique de Kant?

A
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Q

2) Pour les utilitaristes, qu’est-ce qui est sacré?

A
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3
Q

3) Quelle est la position de Mill au sujet du mensonge en regard du bien commun?

A
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4
Q

4) Selon Bentham, quels sont les deux véritables maîtres de l’être humain?

A
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5
Q

5) Quels sont les deux niveaux de moralité selon Mill?

A

1.

2.

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6
Q

6) Quels sont les reproches que l’on peut faire au calcul d’utilité?

A
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7
Q

7) Pour les utilitaristes, sur quoi se fonde la dignité humaine?

A
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8
Q

8) Selon Peter Singer, quelle proportion du revenu familial américain est consacrée à l’achat de
choses non essentielles?

A
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9
Q

9) Quelles éthiques se basent sur des impératifs pratiques conditionnels?

A
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10
Q

10) Quel est le bien moral suprême pour les hédonistes?

A
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11
Q

11) Est-ce que l’éthique utilitariste conduit au règne de la majorité sur la minorité?

A
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12
Q

12) Selon Mill, est-ce que nos actions sont faites surtout par devoir?

A
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13
Q

13) Quel autre critère est utilisé par les utilitaristes contemporains pour pallier aux faiblesses du
calcul d’utilité formulé par Bentham

A
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14
Q

14) Pour juger de la moralité d’une action que prennent principalement en considération les utilitaristes?

A
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15
Q

15) Comment peut-on qualifier l’éthique utilitariste? L’éthique de Kant?

A
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16
Q

16) Quel est le second principe de l’éthique utilitariste?

A
17
Q

17) Quels sont les principes non reconnus par l’éthique utilitariste?

A
18
Q

18) Selon Peter Singer, quelle proportion de son salaire chaque adulte vivant dans un pays
développé devrait-il donner durant les quinze prochaines années pour aider les pays pauvres?

A
19
Q

19) Les énoncés qui suivent sont-ils vrais ou faux?

  1. L’utilitarisme trouve son inspiration première dans l’éthique hédoniste du philosophe grec Épicure selon lequel le bien est le plaisir et le mal, la douleur.
  2. L’utilitarisme soutient que la personne qui fait l’action compte plus que les autres dans sa prise de décision.
  3. Les principes utilitaristes obligent la personne qui agit à procéder à un calcul pour évaluer les conséquences des différentes actions possibles.
  4. Le principe de l’utilitarisme est qu’il faut choisir l’action qui respecte les principes fondamentaux de la morale, peu importe que cela cause du plaisir ou du déplaisir à certaines personnes.
  5. Selon l’utilitarisme, le bien-être collectif passe avant le bien-être individuel.
A
1.
2.
3.
4.
5.
20
Q

20) Les énoncés suivants reflètent-ils la position de Kant ou celle des utilitaristes?

  1. Les animaux méritent notre respect moral parce qu’ils sont capables de souffrir.
  2. Même si une action est effectuée pour des motifs égoïstes, elle reste bonne sur le plan moral dans la mesure où elle contribue au bonheur du plus grand nombre.
  3. Les principes moraux sont des impératifs catégoriques ne souffrant aucune exception.
  4. Seuls les êtres libres et rationnels méritent le respect moral.
  5. La plupart de nos bonnes actions ne sont pas accomplies par pur désir de respecter notre devoir moral.
  6. Être honnête par souci d’avoir bonne réputation n’est pas une attitude morale.
  7. Les obligations morales sont des impératifs conditionnels, car elles commandent de tenir compte des circonstances particulières de l’action.
A
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
21
Q

21) Les énoncés suivants correspondent-ils à une éthique déontologique ou à une éthique conséquentialiste?

A. Si un mensonge fait plus de bien que de mal, alors il est permis de mentir.
B. Aucune circonstance ne pourra jamais justifier le viol.
C. Si la torture est immorale, alors elle ne peut être employée en aucun cas, même pour sauver la vie d’un grand nombre de personnes.
D. L’action qui avantage un grand nombre de personnes est préférable à celle qui apporte un grand bonheur à une seule personne, mais qui en désavantage plusieurs autres.
E. Les raisons de sécurité nationale ne sauraient justifier la moindre entorse au droit à la vie privée.

A
A.
B.
C.
D.
E.
22
Q

22) Voici dix énoncés. Ils contiennent pêle-mêle des critiques fréquemment adressées aux utilitaristes et des arguments que ceux-ci y opposent. Indiquez pour chacun des énoncés s’il doit être rangé parmi les critiques ou les réponses.

  1. Les plaisirs sont si différents et si variés qu’on ne peut les comparer.
  2. Aucun droit n’est absolu. Il faut accepter qu’il y ait des cas d’exception.
  3. Sacrifier un individu pour assurer le bien-être de plusieurs autres est une violation du principe fondamental du respect de la personne.
  4. On ne peut mettre à égalité le plaisir que procure une boisson gazeuse et celui que procure un acte de bonté.
  5. L’obligation de toujours viser dans nos actions le bonheur du plus grand nombre nous obligerait à renoncer à une grande partie de nos projets de vie personnels.
  6. S’occuper de ses enfants avant de s’occuper de ceux des familles plus défavorisées que la nôtre est une règle acceptable, car elle contribue finalement au bonheur de l’ensemble de la société.
  7. La recherche d’un étalon de mesure permettant de comparer tous les avantages et les désavantages d’un projet d’action incite fortement à s’en remettre à l’argent comme critère d’évaluation. Il y a cependant des valeurs qui ne peuvent être exprimées en argent.
  8. Il faut être contre le racisme, non parce que le racisme viole un principe moral absolu, mais parce qu’il inflige des souffrances à un grand nombre de personnes.
  9. La question n’est pas de savoir si la vie d’un meurtrier a ou non une valeur sacrée, mais d’évaluer si la peine de mort est efficace, c’est-à-dire si elle a ou non un effet dissuasif sur les meurtriers potentiels.
  10. Il est impossible de prévoir toutes les conséquences de nos actes.
A
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
23
Q

23) Indiquez à quelle version de l’éthique utilitariste correspondent les énoncés suivants: à l’utilitarisme de l’acte ou à l’utilitarisme de la règle?

  1. Il vaut mieux interdire le vol en général plutôt que de l’interdire seulement lorsqu’il viole le critère de l’utilité maximale.
  2. La question est de savoir quelle action contribuera davantage au bonheur du plus grand nombre dans chaque cas particulier.
  3. Il existe des cas exceptionnels où la violation d’une règle morale de base peut être envisagée sans que cela remette en cause la validité de ladite règle.
A

1.
2.
3.

24
Q

24) Voici une série d’énoncés portant sur les caractères distinctifs des trois grandes théories éthiques étudiées jusqu’ici: l’éthique des vertus, l’éthique kantienne et l’éthique utilitariste. Sont-ils vrais ou faux?

  1. L’intention a une importance fondamentale en morale selon l’éthique utilitariste.
  2. Selon l’éthique des vertus, le jugement moral doit porter sur les actions et non sur les personnes.
  3. Les commandements moraux sont des impératifs conditionnels selon l’éthique utilitariste.
  4. La raison n’est pas le fondement de la morale selon l’éthique des vertus.
  5. L’éthique kantienne est une éthique de normes plutôt qu’une éthique de valeurs.
  6. Toute la morale peut être ramenée à un principe fondamental unique selon l’éthique des vertus.
  7. Les critères du jugement moral sont multiples selon l’éthique kantienne.
  8. Le principe de base de l’éthique utilitariste combine une valeur (bien-être) et une norme (égalité).
  9. Pour Kant, l’intention de la personne qui agit est fondamentale dans l’évaluation de la moralité d’une action.
  10. Selon l’éthique des vertus, celles-ci sont essentiellement des valeurs.
A
1.
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8.
9.
10.