Chapitre 9 Flashcards

1
Q

Q1 – Quelle est la principale différence entre les phases d’exploration et de faisabilité?

A

L’objectif premier de la phase d’exploration comporte l’identification de plusieurs options au
projet. Dans cette phase, on effectue la collecte d’informations et de données historiques sur
l’environnement de la région du projet, y compris le milieu aquatique.
Pour sa part, la phase de faisabilité consiste à effectuer une évaluation préliminaire des options
identifiées à l’étape d’exploration. Elle vise à établir la faisabilité de ces options en termes de
protection de l’environnement et de potentiel socioéconomique du projet.
(pp. 326-327)

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2
Q

Q2 – À quelles phases d’un projet requiert-on des études d’impact ou de suivi
environnemental?

A

Au cours de la phase de planification, on doit démontrer la faisabilité technique du projet et
déterminer les mesures d’atténuation, le cas échéant, pour minimiser les impacts du projet sur
l’environnement.
Finalement, le suivi environnemental est la dernière phase du projet et elle est dédiée aux
programmes de surveillance de l’environnement, pour vérifier l’efficacité des activités de
fermeture et de restauration.
(pp. 327-328)

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3
Q

Q3 – Quel est le principal critère de conception du culot d’un réservoir?

A

D’abord, le culot d’un réservoir correspond au volume d’eau emmagasiné qui ne peut être évacué
en conditions normales d’opération (réserve d’eau morte). Le culot doit être conçu pour pouvoir
accueillir les sédiments transportés dans le réservoir tout au long de sa durée de vie utile.
(p. 329)

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4
Q

Q4 – Dans quelles conditions souhaiterait-on maintenir un débit environnemental en aval
d’un réservoir?

A

Afin de préserver un milieu de vie aquatique minimal.

p. 330

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5
Q

Q5 – Quelle est la valeur maximale absolue d’un débit tiré garanti?

A

Il s’agit du soutirage admissible qu’il faut respecter pour éviter que le réservoir ne descende sous
son niveau minimum (où il serait alors impossible d’extraire de l’eau).
(p. 330)

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6
Q

Q6 – Pour quelles raisons une analyse par simulation est-elle une étape indispensable dans
la conception de la réserve utile d’un réservoir?

A

La simulation permet de reproduire le comportement futur du réservoir. Il s’agit d’un outil
important, dans la phase intermédiaire de conception d’un réservoir, qui sert à vérifier et à
optimiser par raffinement les valeurs du débit tiré et de la réserve utile.
(pp. 331-332)

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7
Q

Q7 – Qu’est-ce que l’abaissement critique d’un réservoir?

A

Il s’agit du plus grand abaissement simulé de la réserve utile d’un réservoir.
(p. 331)

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8
Q

Q8 – Quelles sont les fins de l’évacuateur d’un réservoir?

A

Le rôle d’un évacuateur consiste à protéger le barrage et l’ensemble de ses digues des
conséquences d’une montée de l’eau au-delà de la conception de ces ouvrages, causée par
l’arrivée d’une crue extrême.
(pp. 336-337)

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9
Q

Q9 – Pour un barrage, que signifie une gestion au fil de l’eau?

A

Ces barrages ne disposent que d’une capacité réduite de marnage (fluctuation), soit parce que la
navigation exige un niveau fixe, soit parce que la topographie ou l’utilisation du réservoir ne
permet pas leur présence.
(p. 337)

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10
Q

Q10 – Comment calcule-t-on la hauteur de chute d’un ouvrage hydroélectrique?

A

C’est la différence de hauteur entre le niveau de restitution en aval et le niveau d’eau du réservoir
immédiatement en amont de la prise d’eau.
(p. 338)

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11
Q

Q11 – Quelles sont les conséquences probables d’une modification marquée de l’occupation
du territoire sur le débit?

A

Une répartition différente des débits ruisselés dans le temps, des pointes de crues plus ou moins
fortes et des volumes ruisselés différents.

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12
Q

Q12 – Comment fonctionne la méthode des bassins versants appariés?

A

Il y a d’abord une phase de calage, où on peut procéder à la manipulation de la couverture
végétale de l’un des bassins. On qualifie ce dernier de « bassin traité » et celui qui demeure dans
son état initial de « bassin de contrôle ». On utilise la relation établie avant le traitement entre les
débits des deux bassins pour reconstituer ce qu’aurait été la production du bassin traité s’il n’y
avait pas eu de traitement. Cette reconstitution permet une évaluation directe de l’impact du
traitement sur le comportement hydrologique du bassin considéré.
(p. 340)

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13
Q

Q13 – Quelle est la conséquence de la présence ou de l’absence d’une forêt sur la crue
découlant d’une précipitation exceptionnelle?

A

Toutes les expérimentations qui font intervenir un déboisement montrent un accroissement des
pointes de crue. Par contre, le reboisement des terres agricoles n’occasionne que de très faibles
réductions des crues. En général, il semble donc que les crues rares soient peu influencées par le
déboisement ou le reboisement.
(p. 341)

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14
Q

Q14 – Pourquoi existe-t-il une quarantaine de scénarios d’évolution des concentrations de
gaz à effet de serre?

A

L’évolution de l’émission des gaz à effet de serre est très incertaine, notamment car elle dépend
des scénarios de développement socioéconomiques. (p. 343)

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15
Q

Q15 – Qu’est-ce qu’un modèle climatique global?

A

Ils simulent le climat de toute la surface de la Terre.

p. 344

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16
Q

Q16 – Qu’est-ce qui dicte le choix entre une gestion basée sur un emmagasinement
interannuel et celle sur un emmagasinement intra-annuel?

A

L’emmagasinement intra-annuel vise à combler les fluctuations saisonnières du débit alors que
l’emmagasinement interannuel correspond aux cas où la demande en eau est élevée par rapport à
la moyenne du débit. (p. 329)

17
Q

Q17 – Quels sont les trois critères qui permettent de classifier les modèles hydrologiques?

A

Les processus d’écoulement dans la partie continentale, le domaine spatial et le domaine
temporel. (p. 348)

18
Q

Q18 – Quelle est la principale différence entre les modèles hydrologiques physiques et
conceptuels?

A

Un modèle physique possède une description physique des différents flux du cycle de l’eau,
notamment en exploitant les équations de Richards pour les écoulements en sols non saturés, de
Boussinesq pour les écoulements en sols saturés et de Saint-Venant pour les écoulements à
surface libre. Un modèle conceptuel impose des simplifications dans la formulation
mathématique des processus physiques d’écoulement, afin de tenir compte des données
disponibles ou d’accélérer le temps de calcul.
(pp. 348-349)

19
Q

Q19 – Quelles sont les cinq principales applications des modèles hydrologiques?

A

1) Estimation : évaluer les débits associés à des précipitations de période de retour connues.
2) Prévision : déterminer l’évolution du débit au cours des quelques prochains pas de temps
du modèle.
3) Simulation : évaluer les débits associés à une précipitation quelconque, généralement
observée à un autre site ou encore générée mathématiquement.
4) Reconstitution : estimer les débits associés à des précipitations historiques au site.
5) Projection : évaluer l’évolution future des débits au cours des 50 à 100 prochaines années.

20
Q

Q20 – En quoi les phases de calibration et de validation des modèles hydrologiques sontelles complémentaires?

A

Le but de la validation est de s’assurer que les paramètres ne se sont pas fixés spécifiquement
pour les données qui ont servi à la calibration.
(p. 351)

21
Q

Q21 – En quoi les systèmes d’information géographiques sont-ils utiles aux hydrologues?

A

Ils sont utiles par exemple dans la préparation de données pour les modèles hydrologiques.
(p. 352)

22
Q

Q22 – Que mesure-t-on par la télédétection?

A

L’énergie à des bandes spécifiques du spectre électromagnétique.
(p. 354)

23
Q

Q23 – Que signifient la télédétection active et la télédétection passive?

A

La télédétection passive se rapporte à toute technologie qui ne fait que capter l’énergie. La
télédétection active se rapporte à toute technologie qui émet de l’énergie et capte l’énergie
réfléchie.
(p. 358)

24
Q

Q24 – En quoi le spectre électromagnétique de transmission dans l’atmosphère affecte-t-il
la conception des capteurs actifs et passifs?

A

Les diverses composantes de l’atmosphère terrestre absorbent l’énergie à différentes fréquences.
Par conséquent, un grand nombre d’outils de télédétection ont été conçus pour un usage dans le
domaine du visible, dans certaines parties du domaine infrarouge et dans une large bande du
domaine des micro-ondes, où à la transmission à travers l’atmosphère est plus favorable.
(p. 355)

25
Q

Q25 – Comment, à la conception d’un capteur, les notions d’échelle spatiale et d’échelle
temporelle sont-elles liées?

A

On doit prendre en considération les contraintes de résolution pour déterminer l’utilité d’un
capteur dans l’étude d’un phénomène hydrologique. Par exemple, il y a peu d’intérêt à étudier des
événements pluvieux de quelques heures avec un capteur dont la fréquence de passage est de
plusieurs jours.
(p. 358)

26
Q

Q26 – Quel est le principe du radar météorologique?

A

L’énergie émise par le radar est réfléchie par la masse nuageuse. Plus le contenu en eau du nuage
est élevé, plus il y a d’énergie réfléchie.
(p. 358)