Chapitre 7 Flashcards

1
Q

Q1 – Que décrivent les temps de concentration et de réponse d’un bassin versant?

A

Le temps de concentration est le temps que met une goutte d’eau d’une averse pour parvenir à
l’exutoire d’un bassin versant à partir du lieu pour lequel la durée du parcours est la plus longue.
Le temps de réponse est le temps écoulé entre les centres de gravité de la pluie nette et du débit
ruisselé.
(pp. 232-233)

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2
Q

Q2 – Que décrivent les trois temps de parcours utiles au calcul du temps de concentration
d’un bassin versant naturel?

A
Ils décrivent les temps de parcours :
• de l’écoulement laminaire de surface
• de l’écoulement hypodermique
• de l’écoulement canalisé
(p. 233)
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3
Q

Q3 – Quel lien existe-t-il entre la durée du parcours en conduite et le temps de
concentration en milieu urbanisé?

A

Le temps de concentration en milieu urbanisé doit inclure la durée du parcours en conduite.
(p. 237)

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4
Q

Q4 – Quelles sont les hypothèses d’application de la méthode rationnelle?

A

L’intensité de précipitation doit être constante pendant une durée d’au moins un temps de
concentration.
• Le coefficient de ruissellement est constant pour la période à l’étude.
• Le débit de pointe est atteint et maintenu dès que la durée de la précipitation dépasse le
temps de concentration.
• La précipitation n’a pas pour effet de faire varier l’aire du bassin versant.
(p. 239)

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5
Q

Q5 – En quoi le temps de concentration du bassin versant influence-t-il l’application de la
méthode rationnelle?

A

Il s’agit du temps nécessaire pour atteindre la crue maximale pour une intensité de précipitation
constante.

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6
Q

Q6 – Quelles sont les composantes d’un hydrogramme de crue?

A

Le débit de base et le ruissellement direct.

p. 244

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7
Q

Q7 – Quel type d’écoulement génère le débit de base des cours d’eau?

A

Les écoulements souterrains lents.

p. 244

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8
Q

Q8 – Pourquoi doit-on recourir à des hypothèses pour déterminer l’évolution du débit de
base au cours d’une crue?

A

Afin d’isoler l’hydrogramme de ruissellement direct et ainsi produire un hydrogramme unitaire
pour une pluie donnée.

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9
Q

Q9 – Quel est le lien entre la précipitation nette et l’hydrogramme de ruissellement direct?

A

Le volume de ruissellement direct est égal au volume de la précipitation nette.
(p. 244)

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10
Q

Q10 – Quelles sont les trois hypothèses de linéarité qui sous-tendent l’utilisation d’un
hydrogramme unitaire dans la simulation d’un événement de crue?

A

Le temps de base est fonction de la durée et non du volume de la précipitation nette.
• Les débits engendrés par deux précipitations de durées identiques mais d’intensités
différentes sont proportionnels au volume total de chacune de ces pluies nettes.
• Le débit engendré par chaque segment d’une précipitation est indépendant de ceux
associés aux segments de pluies nettes précédents, ce qui implique qu’un hydrogramme
composé est la superposition (somme) d’hydrogrammes unitaires pondérés par leur
hauteur de précipitation respective et décalés pour tenir compte de leur période d’activité.
(pp. 249-250)

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11
Q

Q11 – Quel est l’intérêt des hydrogrammes unitaires synthétiques?

A

Il permet de monter un modèle averse-crue en contournant l’étape de la construction d’un
hydrogramme unitaire.
(p. 255)

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12
Q

Q12 – Dans quel contexte recourt-on à une méthode de propagation des ondes de crue?

A

L’objectif est de déterminer un hydrogramme à un emplacement non jaugé d’un bassin versant, à
partir d’un hydrogramme connu en un point situé plus en amont.
(p. 257)

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13
Q

Q13 – Quelles sont les différences entre la propagation d’une crue dans un lac et la
propagation d’une crue dans un bief?

A

Pour un lac, une fonction unique relie l’emmagasinement au débit de sortie. La surface du plan
d’eau est maintenue horizontale, le débit de sortie est uniquement fonction de la hauteur d’eau à
l’exutoire et l’emmagasinement atteint son sommet en même temps que le débit sortant
maximum.
Pour un bief (tronçon de rivière), une fonction non unique relie l’emmagasinement et le débit de
sortie. La pente de l’eau en surface varie tout au long du passage de la crue. Le débit sortant
maximum est retardé par rapport au moment où le volume emmagasiné atteint son sommet.
(pp. 257-258)

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14
Q

Q14 – Que sont les temps de propagation, de redistribution et de translation d’une crue?

A

Le temps de propagation d’une crue est le laps de temps qui sépare les centres de gravité des
hydrogrammes entrant et sortant.
Le temps de redistribution de la crue est le délai causé par la retenue temporaire de l’eau.
Le temps de translation de la crue est le délai nécessaire au parcours de l’eau entre l’entrée et la
sortie du système

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