Chapitre 3 Flashcards

1
Q

Q1 – Quels sont les quatre processus physiques nécessaires à la génération d’une
précipitation?

A

a) refroidissement d’une parcelle d’air humide jusqu’à son point de rosée
b) condensation de vapeur d’eau
c) croissance des gouttelettes d’eau
d) apport de vapeur d’eau pour compenser les pertes par condensation
(p. 56)

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2
Q

Q2 – Quelle est l’influence de la température de l’air sur le processus de précipitation?

A

La température de l’air va être responsable de la phase de la précipitation, soit liquide (pluie) ou
solide (neige). (p. 56)

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3
Q

Q3 – Quel mécanisme de refroidissement a le plus de chance d’engendrer une précipitation
substantielle?

A

Refroidissement adiabatique après une remontée verticale de la masse d’air. (p. 56)

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4
Q

Q4 – Pourquoi le refroidissement adiabatique de l’air saturé est-il moins élevé que celui de
l’air non saturé?

A

Pour une masse d’air non saturé : ~ -10°C/km
Pour une masse d’air saturé : ~ -5°C/km
Ce gradient est moins important lorsque la masse est saturée car la vapeur d’eau qui se condense
libère de la chaleur latente qui compense partiellement le refroidissement de la masse d’air causé
par son expansion. (p. 57)

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5
Q

Q5 – Quel est le rôle des aérosols dans la formation de gouttelettes?

A

Ils fournissent le substrat nécessaire à la condensation de la vapeur d’eau. (p. 57)

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6
Q

Q6 – Qu’est-ce qui distingue les aérosols hygroscopiques des aérosols ordinaires?

A

Les aérosols hygroscopiques attirent l’eau, ils permettent la condensation de la vapeur d’eau à des
taux de saturation de l’ordre de 75%. (p. 57)

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7
Q

Q7 – Quels sont les deux mécanismes de croissance des gouttelettes d’eau?

A

La collision des gouttelettes et la croissance de cristaux de glace. (p. 58)

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8
Q

Q8 – Quels sont les trois évènements météorologiques qui peuvent engendrer une
précipitation substantielle?

A

Convergence, convection et effet orographique. (p. 59)

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9
Q

Q9 – Comment un cyclone extratropical se développe-t-il?

A

Interface de masses d’air de différentes températures, d’humidité et de masse volumique.
Formation de fronts, ascension d’air qui vient condenser la vapeur d’eau. Création de nuages,
puis de pluie. (p. 61)

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10
Q

Q10 – Comment distingue-t-on une convergence frontale d’une convergence non frontale?

A

Convergence frontale : rencontre de masses d’air dont les caractéristiques de température et
d’humidité diffèrent de l’une à l’autre (p. 59)
Convergence non frontale : Il en existe deux types : a) issu de la circulation générale de l’air dans
l’atmosphère, qui pousse les masses d’air entre les latitudes 30°S et 30°N vers l’équateur; b)
formation de cyclones entre les latitudes 5° et 20° de chaque hémisphère, se nourrissant de l’air
ascendant fortement chargé en vapeur d’eau par une évaporation soutenue (p. 62).

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11
Q

Q11 – Quels sont les éléments nécessaires au développement d’une précipitation
orographique?

A

Réchauffement de la surface d’une montagne, ascension forcée d’une masse d’air ou encore une
combinaison de ces deux phénomènes. (p. 65)

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12
Q

Q12 – Quelle est la répartition longitudinale des précipitations?

A

1) symétrie relative des deux hémisphères
2) chutes très abondantes à l’équateur
3) diminution marquée entre les latitudes 10° et 30°
4) augmentation des précipitations entre les latitudes 30° et 60°
5) faibles précipitations aux pôles
(p. 66)

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13
Q

Q13 – Comment les pluviomètres fonctionnent-ils?

A

Contenant dont l’ouverture est orientée vers le ciel et qui sert à mesurer les précipitations

liquides. Il en existe plusieurs types : manuel, à auget basculeur et à pesée.
(p. 68)

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14
Q

Q14 – Comment mesure-t-on les précipitations solides?

A

Plusieurs possibilités. On peut mesurer la hauteur de la chute de neige au sol à l’aide de la table à
neige et de la règle à neige. On peut aussi utiliser un nivomètre, à pesée par exemple ou encore
avec un pluviomètre en faisant fondre la neige avant d’en mesurer la quantité. (p. 70)

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15
Q

Q15 – Quelle est la source majeure d’erreurs de mesure de précipitations?

A

Le vent, qui vient diminuer l’efficacité de captage. (p. 70)

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16
Q

Q16 – Pourquoi la densité minimale recommandée par l’OMM pour les réseaux de stations
pluviométriques varie-t-elle selon le type de climat?

A

En raison du type de précipitation rencontrée le plus fréquemment (convergence, convection ou
orographie). (p. 72)

17
Q

Q17 – Qu’est-ce qu’un hyétogramme?

A

Un histogramme des hauteurs de pluie (ou des intensités de pluie) observées au cours
d’intervalles de temps égaux et successifs. (p. 74)

18
Q

Q18 – Pourquoi la notion d’intensité de précipitation est-elle importante?

A

La gestion de grands volumes d’eau en peu de temps. Par exemple, une précipitation de 20 mm
d’une durée de 2 heures n’a pas les mêmes conséquences hydrologiques que 20 mm en 15 min.
(p. 74)

19
Q

Q19 – Quelle stratégie peut-on employer pour combler des observations manquantes?

A

On utilise trois méthodes d’estimation dans le remplacement d’une valeur manquante :
a) par la valeur de la station la plus proche
b) par la moyenne des valeurs des stations voisines
c) par une moyenne pondérée par rapport à la tendance annuelle des stations
pluviométriques
(p. 75)

20
Q

Q20 – Pourquoi doit-on vérifier l’homogénéité des observations de précipitation?

A

Pour corriger la présence d’erreurs systématiques, causées par un mauvais fonctionnement du
pluviomètre ou de changements dans la méthode, les appareils ou les lieux de mesure. (p. 76)

21
Q

Q21 – Quel est l’objectif du calcul des précipitations moyennes (spatiales) sur un bassin
versant?

A

Pour la gestion de l’eau à l’échelle du bassin versant, la prévision des crues, etc.

22
Q

Q22 – Quelles sont les différences entre la méthode des isohyètes et celle des polygones de
Thiessen?

A

Méthode des isohyètes : interpolation de la surface définie par les précipitations mesurées à
chaque site. Un isohyète est une ligne qui relie des points d’égale hauteur de précipitation
recueillie pendant une période donnée.
Méthode des polygones de Thiessen : fait appel à des propriétés géométriques pour déterminer la
région d’influence, et donc le poids de chaque station. (pp. 80-81)

23
Q

Q23 – Pourquoi recourt-on à des hyétogrammes synthétiques?

A

Dans le processus de conception d’infrastructures pour passer le débit ou contenir un volume
d’eau généré par cette pluie de conception. (p. 84)

24
Q

Q24 – Pourquoi existe-t-il plus d’un modèle d’hyétogramme synthétique?

A

Car ils sont adaptés aux conditions locales (disponibilité de l’eau, orographie, etc.). (p. 84)