Chapitre 5 Partie 2 - Relation sexuelle Flashcards

1
Q

Définir ‘‘Comportement Sexuel’’

A

Manifestation comportementale des désirs, pulsions et instincts sexuels.

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2
Q

Concernant les interactions sexuelles des adolescents actifs, quelles dimensions devraient on prendre en considération pour évaluer ces dernières et obtenir plus de précision?

A

La fréquences des relations
Les conditions dans lesquelles elles se déroulent
Le plaisir lié à la sexualité.

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3
Q

Pourquoi a-t-on besoin de précision par rapport aux différentes dimensions sur l’activité sexuelle des adolescent?

A

Il y a beaucoup de différence quant à la fréquence, les conditions et le plaisir liés à la sexualité.

Par exemple, un jeune peut avoir une relation sexuelle et être considéré comme actif, mais peut ne plus avoir de relations pendant quelques années après.

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4
Q

Quand peut-on considérer un jeune comme actif sexuellement?

A

On pourrait dire après une interaction sexuelle qui aurait pu causer une FÉCONDATION ou une TRANSMISSION D’ITS

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5
Q

Quel problème restreint la recherche sur les activités sexuelles des jeunes d’âge mineur?

A

Des conditions éthiques qui restreignent parfois les questions qui peuvent être posés selon le contexte des enquêtes.

Les données de bases sont aussi ce que les jeunes veulent bien révéler.

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6
Q

Quel comportement est répandu et très fréquent à l’adolescence?

A

La masturbation

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7
Q

Pourquoi les estimations prévalantes de la masturbation reste encore approximatives aujourd’hui?

A

À cause de la résistance à parler ouvertement de cette pratique.

Les jeunes parlent plus de leur relation sexuelle avec un partenaire que de masturbation

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8
Q

Pourquoi les jeunes ne veulent pas parler de masturbation?

A

Cette pratique est encore peu valorisée socialement et il y a un sentiment de culpabilité qui l’entoure.

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9
Q

Quel pourcentage de garçon et de fille considère qu’il n’y a rien de mal à se masturber?

Quel est le problème de poser la question de cette façon?

A

Dans une étude récente d’adolescents canadiens, 61% des garçons contre 33% des filles.

On interpelle pas personnellement les adolescent.

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10
Q

Quel était le résultat de l’enquête internet sur la masturbation où les questions étaient plus directe?

A

63% des garçons affirment s’être déjà masturbé et 36 % des filles.

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11
Q

Quel mythe est bien enraciné sur la sexualité des adolescents?

A

Le fait que leur sexualité est précoce.

Dans une large proportion, les adultes perçoivent les adolescents comme plus précoce qu’ils ne le sont en réalité.

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12
Q

Pourquoi la question ‘‘Avez-vous déjà eu des relations sexuelles’’ doit être analysés avec prudence?

A

La perception des jeunes concernant ce qu’est avoir des relations sexuelles peut être très variable. Les ados comme les enfants n’ont pas tous la même conception du sexe et des activités sexuelles.

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13
Q

Quels sont les trois indicateurs documentés par les études pancanadiennes et américaines sur la sexualité des adolescents?
EQSJC (Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire)
ESCC (Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes)

A

La prévalence, la précocité, le nombres de partenaires.

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14
Q

Selon l’EQSJC, combien de jeunes de + de 14 ans sont actif sexuellement?

A

37% puisqu’ils ont répondus à l’affirmative à ‘‘as-tu déjà eu des relations sexuelles’’

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15
Q

Quel est la progression du taux de jeunes ayant déjà eu des rapports sexuels selon le niveau scolaire et le sexe?

A

Environ 20% en première secondaire
Environ 30% en 3ième secondaire (légère hausse chez les garçons)
Environ 40% en 4ième secondaire (léger avantage filles)
Environ 50% en 5ième secondaire (léger avantage filles)

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16
Q

Par rapport à l’étude ESCC quel pourcentage des 26 000 élèves de 15à17 ans on affirmé avoir eu des rapport sexuel?

Et la subdivision du Québec?

A

30% pour le Canada

40% pour le Québec.

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17
Q

Quel sont les 2 causes considérés pour l’augmentation naturel du taux de jeunes actifs sexuellement?

A

La poussée hormonale et la maturation sexuelle.

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18
Q

Quel proportion d’élève Canadien vs Québécois de 15 à 17 ans ont affirmé avoir déjà eu des rapports sexuels?

A

30% au Canada

40% au Québec.

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19
Q

Que confirment les dernières enquête sur la prévalence sexuelle fille-garçon?

A

Il n’y a pratiquement plus de différence entre les filles et les garçons.

Les garçons semblent amorcer leur trajectoire plus tôt mais les écarts s’effacent par la suite.

Chez les filles on observe même au milieu de l’adolescence plus d’activités sexuelles que chez les garçons.

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20
Q

Vrai ou Faux

Le rapprochement des conduites sexuelles féminines et masculines signifie que la société est plus tolérante envers les filles et les garçons, par égard à leur exploration sexuelle.

A

Faux.

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21
Q

Pourquoi la précocité intéresse particulièrement les chercheurs?

A

À cause de l’augmentation des risques pour la santé sexuelle des adolescents.

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22
Q

Si on considère l’âge moyen des première relations sexuelles est de _______ avoir des relations avant _______ peut être considéré comme précoce.

A

16-17 ans

15 ans

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23
Q

Dans l’étude québécoise de Pica, ______ des élèves du secondaire actifs ont affirmé avoir vécu leur premières relations avant l’âge de 15 ans.

A

22%.

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24
Q

Au Canada, ______ % des élèves de 15-24 ans actifs on dit avoir eu des relations avant l’âge de 15 ans.

A

9%

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25
Q

Dans l’étude Québécoise de Pica sur la précocité, quels facteurs peut faire gonfler les chiffres?

A

Le fait que les adolescents dans l’enquête sont actifs sexuellement.

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26
Q

Quel sont les deux points qui peuvent expliquer la différence sur la précocité entre l’étude québécoise et canadienne?

A
  • Dans l’étude québécoise, les adolescents du secondaire sont actifs sexuellement.
  • L’étude canadienne inclut les jeunes adultes donc presque tous les répondants ont déjà fait leur première expérience sexuelle et ont en mesure de répondre à une question sur leur âge d’initiation.
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27
Q

Quel pourcentage d’adolescent indique avoir eu une relation sexuelle vers 12-13 ans?

Pourquoi faut-il être prudent quand on utilise ces résultats?

Est-ce que les Américains ont des résultats similaires?

A

Environ 6% pour les garçons et 2% pour les filles

Il faut être prudent car ces pourcentages signifient en fait que 6 et 2% des jeunes actifs sexuellement en 3ieme et 4ieme secondaire ont eu leurs premières relations vers 12-13 ans et moins.

Oui.

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28
Q

Quel pourcentage d’adolescent de 3-4 ième secondaire n’ont pas encore eu des relations sexuelles?

A

73% pour les garçons et 76% pour les filles.

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29
Q

Les jeunes précoces agissent plus souvent sous ________ et ______ ce qui est préoccupant.

A

la pression et sont plus souvent non consentant.

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30
Q

À quoi est lié une précocité sexuelle?

A

Nombres plus élevés de partenaire
Consommation de drogue et d’alcool
Ne pas utiliser de protection (condom)

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31
Q

Est-ce que les problèmes liés à la précocité sexuelle sont dû spécifiquement à la précocité?

A

Non pas directement. Ils sont plus attribuables aux facteurs de risques qui sont présents dans la vie de ces jeunes.

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32
Q

Quel(s) facteur(s) de risque sont souvent liés à une précocité sexuel?

A

Se sentir moins compétent
Proviennent de milieu socioéconomiques moins favorisés.
Vivent avec des parents moins présents et chaleureux.

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33
Q

Comment est considéré le nombres de partenaires qu’un jeune a eu au cours de sa vie par rapport au risque?

A

Un facteur de risque d’inadaptation associé à la présences d’autres risques comme la prise d’alcool et de drogues.

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34
Q

Du point de vue du nombres de partenaires, quel statistiques est encourageante?

A

La majorité des jeunes qui ont eu des relations sexuelles ont eu seulement un partenaire au cours de leur vie.

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35
Q

Quel proportion de jeunes déclarent avoir eu au moins 2 partenaires au cours de la dernière années?

A

Environ le tiers ce qui demeure inchangé depuis 2003.

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36
Q

À quel facteurs est liés le fait que les garçons affirment avoir eu plus de partenaires que les filles?

A

La précocité des relations sexuelles.

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37
Q

Que veut-on dire quand on qualifie les jeunes de monogames en série?

A

Ils n’ont jamais eu plus d’un partenaire à la fois.

Pour les personnes ayant eu plusieurs partenaires, le nombres élevés est plus souvent liés à la courte durée des relations.

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38
Q

Décrire l’évolution de la prévalence de l’activité sexuelle des adolescents des années 50 à aujourd’hui?

A

Il est certain que les jeunes sont plus actifs aujourd’hui qu’ils ne l’étaient dans les années 50 ou 60.

La proportion a augmenté de ces années jusqu’en 1990 et depuis cette période elle a eu tendance à fléchir puis se stabilisé tant au Canada qu’ailleurs dans le monde.

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39
Q

Est-ce que l’âge moyen des premières relations sexuelles reste stable depuis les dernières années?

A

Oui, environ 16-17 ans.

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40
Q

Quel est la séquence ‘‘attendue’’ de progression sur le plan de l’intimité?

Est-elle encore d’actualité aujourd’hui?

A

Baisers, caresses au-dessus puis au-dessous de la ceinture qui se poursuit pas le sexe orale puis par la pénétration. Pour certains par contre, le sexe orale peut être plus avancé qu’une relation avec pénétration.

Oui.

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41
Q

Quel pourcentage des jeunes ont leur première expérience dans un contexte non-romantique?

A

Environ le tiers des jeunes.

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42
Q

Quel genre de partenaire est souvent présent dans un contexte non-romantique?

A

Un ami, un ex ou une personne avec qui elle veut développer une relation.

Ce genre de partenaire est plus fréquence qu’une rencontre d’un soir.

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43
Q

Quel est la principal différence dans le choix du partenaire entre les filles et les garçons pour la première relation sexuelle?

A

Chez les filles, le partenaire a plus tendance à être une fréquentation ou un amoureux.

Chez les garçons, on observe aussi cette tendance. Par contre, ils sont plus nombreux à déclarer une personne qu’ils venaient de rencontrer ou fréquentaient sans engagement.

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44
Q

Par rapport au contexte relationnel, quel changement se passe-t-il avec l’âge lorsque les ados parlent de leur sexualité?

Y-a-t-il une différence entre les garçons et les filles?

A

Ils sont de plus en plus à l’aise de parler de leur sexualité sans être obligé de justifier leur activité par le contexte relationnel.

Pour les garçons, ce pourrait être l’inverse. Plus ils vieillissent, plus les motivations relationnelles figurent au premier plan tandis que l’expérimentation et le statut social sont relégués au second plan.

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45
Q

Quels sont 3 facteurs de motivations mentionnés par les ados pour justifier leurs activités sexuelles?

A

Les motivations relationnelles
Le statut social
L’expérimentation.

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46
Q

Quel sont les motif les plus fréquent invoqués par les adolescents pour justifier une relation sexuelle?

A

L’amour en premier lieu surtout pour les jeunes plus âgés (5 ième secondaire) et pour les filles.

L’expérimentation en deuxième (plus fréquent chez les garçons).

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47
Q

Quels sont les 5 raisons invoqués pour justifier la première relations sexuelle?

A
Par amour
Par curiosité (expérience)
Influence de drogue ou d'alcool
N'a pas pu résister
Pour perdre sa virginité
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48
Q

Quels sont les 6 principaux motifs d’abstinence?

A
Pas prêt
Pas eu l'occasion
Pas rencontré la bonne personne
Veut rester vierge
Peur de tomber enceinte
Religion
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49
Q

Quel pourcentage de filles ont dit avoir ressenti des pressions lors de leur première relations sexuel vs les garçon?

A

17% des filles de 16 ans vs 5% des garçons au Canada.

Au Québec, 11% des filles disent avoir été obligés par pression, harcèlement ou force physique.

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50
Q

Les filles sont plus sensibles que les garçons sur ces 2 facteurs dans leur conduite sexuelle ;

A

les facteurs sociaux et culturelles.

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51
Q

Vrai ou Faux ;

Le contexte influe beaucoup sur les comportements sexuels.

A

Vrai.

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52
Q

Donnez un exemple de comment le contexte peut avoir une influence sur l’activité sexuelle des filles précoces?

A

Les filles précoces sur le plan pubertaire sont plus susceptibles de fréquenter des amis plus vieux qu’elles ce qui augmente les chances qu’elles soient actives sexuellement.

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53
Q

Le lien étroit observé entre _____ et ______ appuie l’hypothèse d’une influence prépondérantes du contexte social sur le début des activités sexuelles.

A

La durée des fréquentations

La probabilité d’être actif sexuellement

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54
Q

Pourquoi l’expérience sexuelle est vu comme un rite de passage surtout chez les garçons?

A

L’expérience sexuelle, encore aujourd’hui, a quelque chose de valorisant. Ça permettrait de distinguer ceux qui ne sont plus des enfants de ceux qui en sont encore.

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55
Q

Au niveau de la famille, quels facteurs liés au parents peut mener à une hausse de probabilité d’activité sexuelle?

A

Des parents désengagés, un jeunes qui n’est soumis à aucun contrôle très strict.

Les parents permissifs ont aussi tendance à laisser leurs jeunes affronter seuls les pressions sociales ce qui favorise la précocité sexuelle.

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56
Q

Est-ce que le fait d’avoir des parents stricts mènent à des résultats plus normales sur l’activité sexuelle?

Comment?

A

Non.

Au delà d’un certain seuil d’autoritarisme, la qualité de la communication se dégrade et l’adolescent se rebelle contre les volontés de ses parents.

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57
Q

Quel est le meilleur contexte parent-enfant pour une éducation sexuelle idéal?

A

Une relation parent-ado de qualité, d’une bonne communication satisfaisante pour les deux parties en cause.

Une supervision active que les parents exercent.

Un soutien parental constant, qui n’est pas imposé par la force.

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58
Q

Comment les parents peuvent-ils jouer leur rôle et quel est celui de l’adolescent dans la communication parent-ado?

Pourquoi ce processus est-il bi-directionnel?

A

Principalement dans la première moitié de l’adolescence, les parents doivent pouvoir savoir où est leur jeune, avec qui il es, ce qu’il fait et à quel heure il est censé rentré.

Le jeune doit accepter de dévoiler ces information et faire confiance à son parent. Voilà pourquoi ce processus est bi-directionnel.

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59
Q

Est-ce que le fait d’avoir des parents séparés ou monoparentale influe sur l’activité sexuelles des jeunes?

Comment?

A

Oui. Tendance à être plus actif sexuellement que leur pairs.

Ces conditions stimuleraient chez le jeune un besoin de compensation l’incitant à rechercher des gratifications à court terme et s’engager plus à fond sur le plan émotionnel.

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60
Q

Qu’est-ce que les transitions familiales peuvent affecter entre le jeune et le parent?

Quels en sont les conséquences?

A

La qualité de la relation.

Elle aurait une incidence sur l’adoption de divers comportements à risque comme ;
la prise d’alcool, la délinquance mineures et les comportements sexuels risqués.

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61
Q

Est-ce que la structure familiale qui serait liée au comportement du jeunes?

A

Non. Ce serait plutôt la qualité des relations qui découle de cette structure.

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62
Q

Quels sont les facteurs sociaux qui influences les comportements sexuels des adolescents?

A

La famille, les pairs et les médias.

63
Q

Comment les pairs peuvent affecter l’activité sexuelle des jeunes?

A

Les adolescents sont plus susceptibles d’être actifs sexuellement lorsque leurs amis le son ou lorsqu’ils croient qu’ils le sont.

Le groupe de pairs établit des normes ou des attentes concernant les comportements sexuels.

Les amis créent un climat propice aux contacts sexuels. (Party, alcool et drogue)

64
Q

Quel influence des jeunes est considérée comme un mode d’influence indirecte?

A

Les amis créent un climat propice aux contacts sexuels. Occasion typique du party où tout le monde prend de la drogue dure et où l’alcool est consommé de façon irresponsable.

65
Q

De quel façon la société envoie des messages contradictoires relativement à la sexualité?

A

Dans les médias, on exploite la sexualité de façon à attirer le téléspectateur.

De l’autre côté on passe sous silence ce qui concerne les côtés négatifs comme les grossesses non désirés et les ITS.

66
Q

Dans les médias, la sexualité est coupé en 2. Expliquez de quel façon?

A

D’un côté il y a la majorité du contenu à caractère sexuel présenté comme source de bonheur sans conséquence.

De l’autre côté, une minorité de contenu traitent des méfaits de ITS.

67
Q

Les médias ne permettent pas au jeune ________ ;

A

d’intégrer toutes les composantes de la sexualité.

68
Q

Les médias favorisent le cloisonnement entre ______ ;

A

l’action et la réflexion

69
Q

Quel élément médiatique a particulièrement augmenté la disponibilité du contenu sexuellement explicite?

A

L’internet qui est désormais omniprésent dans la vie des jeunes.

70
Q

Quels sont les côtés positifs d’avoir accès à du contenu sexuellement explicite dans les médias comme internet?

A

Le jeune peut explorer des facettes de sont identité ou sa sexualité naissante.

Il peut se rendre sur des sites d’information qui font la promotion des comportement sains en matière de santé sexuelle.

71
Q

Quels sont les côtés négatifs de l’internet?

A

Les jeunes peuvent faire l’objet de sollicitation sexuel non désiré et parfois agressive.

72
Q

Quel pourcentage de jeunes disent avoir été exposés à du matériel sans le vouloir?

A

Environ le quart des jeunes.

73
Q

Quels peuvent être les conséquences de messages à caractères sexuels sur le web?

A

Des ramifications légales

La victimisation et la détresse des jeunes.

74
Q

Comment l’exposition à du matériel sexuel (médias) peut-elle avoir une incidence sur les comportements?

A

Les médias mettent à l’avant-scène la sexualité et transmette l’idée que tout le monde le fait.

Ils renforcent les stéréotypes à propos de ce qui est un comportement approprié pour un homme ou une femme dans une culture donnée.

75
Q

Qu’est-ce qui fait que les comportements vus dans le médias seront imités aussi promptement?

A

Les personnages manifestent une belle apparence, ont du plaisir et n’en subissent aucune conséquence.

76
Q

Les médias influencent donc les jeunes de façons indirectes et directe de quel manière?

A

Par observation directe des comportements
Par influence indirecte des normes concernant la sexualité des jeunes.

Les médias jouent donc un rôle de super pair dans les aspects positif et négatifs.

77
Q

Quel est la différence entre les jeunes dans la réception et l’interprétation des médias?

A

Ils ne sont pas tous exposés à la même quantité et la même sorte de messages.

Ils ne sont pas passifs dans l’interprétation. Il peuvent critiquer et façonner les messages médiatiques.

78
Q

Définir l’orientation sexuelle ;

A

Attirance physique et émotionnelle envers d’autres personnes en fonction du sexe.

Peut être de sexe opposé, même sexe ou le deux à la fois.

79
Q

Définir minorité sexuelle ;

A

Groupes de personnes constitués des lesbiennes, gais et personne bisexuelles, transsexuelles ou transgenres

Utilisé pour décrire l’ensemble des personnes autre qu’hétérosexuelle.

Ces appellations se veulent plus inclusives en proposant une vision plus fluide de l’orientation sexuelle.

80
Q

Comment voit-on l’orientation sexuelle de nos jours?

A

Elle est vu comme un continuum et non pas des catégories bien définis.

Le continuum va d’attirance seulement hétérosexuelle, à exclusivement hétérosexuel avec bisexuel dans le milieu.

81
Q

Quels sont les caractéristiques du groupe ‘‘non-exclusivement hétérosexuel’’?

A

Ce groupe est très hétérogène et représente environ 10-20% des jeunes.

82
Q

Quels sont les 3 dimensions plus précises composant l’orientation sexuelle?

A

L’attirance, les comportement et l’identification.

83
Q

Définir la dimension de l’attirance de l’orientation sexuelle ;

A

Renvoie au désir d’avoir des relations intimes et sexuelles avec des hommes, femmes ou les deux.

84
Q

Définir la dimensions du comportement de l’orientation sexuelle ;

A

Fait référence aux activités consenties mutuellement comportant des contact génitaux, l’excitation ou la stimulation sexuelle.

85
Q

Définir la dimensions de l’identification de l’orientation sexuelle ;

A

Consiste dans l’identification la personne en tant que gaie, lesbienne ou bisexuelle.

86
Q

Pourquoi le fait de tenir compte des 3 dimensions de l’orientation sexuelle complique la classification?

A

Une personne peut agir d’une façon différente dans différentes dimensions. Une personne peut se définir comme hétérosexuel mais avoir une relation avec un homme sans pour autant se définir comme homosexuelle.

87
Q

Quels problèmes peut-on expérimenter dans les études sur les différentes dimensions de l’orientation sexuelle

A

L’instabilité des réponses. Au fil du temps les gens ont tendance à changer leur répondre par rapport à leur orientation à cause de leurs expériences et leurs sentiments.

88
Q

Qu’est-ce que les enquête québécoises sur l’attirance, les comportements et l’orientation sexuelles montrent sur la prévalence de chaque facteurs?

A

L’attirance ; 9% des adolescents rapportes des attirances pour des personnes de même sexe

Les comportements ; 4 % des expériences

Identification ; environ 3% se décrivent une orientation homosexuelle ou bisexuelle.

Les garçons sont toujours inférieur aux filles.

Ces décalages sont aussi vu dans les études américaines.

89
Q

Quels éléments principaux ressort des études sur les 3 dimensions de l’orientation sexuelle?

A

Tous les jeunes qui ont des désirs homosexuels ne s’identifient pas en tant que LGBT

Tout ceux qui s’identifieront plus tard n’aurons pas nécessairement d’expériences homosexuelles pendant l’adolescence.

90
Q

Que suggère le fait que les filles sont toujours supérieur au garçon dans leur déclaration d’attirance, comportement et identification?

A

Que les filles seraient plus fluides que les garçons.

Par contre la stigmatisation de l’homosexualité à l’adolescence est plus fortes chez les garçons ce qui pourrait fausser les résultats.

91
Q

Selon certains auteurs, est-il possible de prédire avec certitude quelle proportion de jeunes ayant eu des rapports homosexuelles vont s’identifier comme homosexuelle?

A

Non.

92
Q

Quel est l’un des meilleurs prédicateurs de l’homosexualité à l’âge adulte?

A

Des comportements homosexuelles pendant l’adolescence.

93
Q

Est-ce que les comportements homosexuels sont de meilleurs indicateurs de l’orientation adulte chez l’homme ou la femme?

A

Chez la femme.

94
Q

Quel pourcentage d’homme et de femme ayant eu des contacts homosexuelles au cours de leur vie ont continués ces pratiques à l’âge adulte?

A

42% des hommes

Pratiquement toutes les femmes.

95
Q

Est-ce que le processus d’identification sexuelle est linéaire?

A

Non.

96
Q

Quels sont les étapes du processus de formation identitaire chez la minorité sexuelle?

A

Prise de conscience ; de son attirance pour les personnes du même sexe.
Période d’exploration ; cherche de l’information et s’engage dans des contacts.
Identification à la diversité sexuelle
Dévoilement de l’orientation et engagement dans les relations.

97
Q

Qu’est-ce que la sortie du placard?

A

Processus de révélation de son identité aux personnes de son entourage.

98
Q

Quand débute le processus de formation identitaire?

A

Enfance et début de l’adolescence.

99
Q

Quel est le problème avec les recherches sur la sortie du placard?

A

Elle sont rétroactive et donc la cohérence du récit est souvent augmenté.

100
Q

Quel est le principal motif des premiers rapports sexuels chez les filles et les gaçons?

A

Par amour

101
Q

Quel sont les 2 principaux motifs d’abstinence chez les filles et les garçons?

A

Garçons ; n’a pas eu l’occasion (30-40% entre 3ième et 5ième secondaire)

Filles ; Pas prête (40-30% entre 3ième et 5ième secondaire)

102
Q

V ou F ?

Toutes les sociétés sont tolérantes à l’égard de l’homosexualité.

A

Faux.

103
Q

À quel problème font face les jeunes qui construisent leur identité en ayant une orientation différente de la norme et comment y fait-il face??

A

Un problème identitaire. Le jeune est tenté de cacher son orientation sexuelle

La stigmatisation de l’homosexualité ne l’encourage pas à s’ouvrir franchement.

Il y a une difficulté de construire son identité puisqu’il tend à la cacher.

104
Q

Quel est l’une des voie proposé à un adolescent homosexuel ou bisexuel pour se construire une identité face à sa sexualité?

A

Il doit entreprendre une démarche d’acceptation personnel.

Faire une dévoilement sélectif (informé les personnes dont on est sûr du soutien)

Attendre d’être indépendant sur les plans économiques et professionnel.

105
Q

Quel est la véritable solution face au problème d’affirmation identitaire des adolescent homosexuel ou bisexuel?

A

La mise en place de politiques sociales et l’adoption d’attitudes culturelles moins fermées.

106
Q

Quel est la proportion de canadien qui pensent que l’homosexualité est un état anormal?

A

50%.

107
Q

Qu’est-ce que l’homophobie?

A

Manifestation d’une hostilité psychologique et physique à l’égard des personnes qui appartient à la diversité sexuel.

108
Q

Qu’a emmené l’introduction du terme ‘‘homophobie’’ dans les années 70?

A

Maintenant, le discours ne s’attarde plus seulement aux comportements homosexuels mais dénonce aussi le problème de l’hostilité suscitée par l’homosexualité.

109
Q

Quels sont les diverses formes de violence dont peuvent être victime les jeunes de la diversité sexuelle?

A

Le rejet
Le dénigrement
L’agression verbale et physique.

110
Q

Quels sont les conséquences des difficultés à vivre chez les adolescents de la minorité sexuelle?

A

Plus à risque que les pairs hétérosexuels de ;

  • abuser de drogue
  • adopter des comportements sexuels à risque
  • contracter des ITSS.
  • Vivre de l’anxiété ou une dépression.
111
Q

Quels sont les 2 principaux problèmes quant à l’adoption des pratiques contraceptives chez les jeunes?

A
  • La nature sporadique de leur relation fait qu’ils ne peuvent pas toujours se tenir prêt et avoir de la protection sur eux.
  • Les parents sont souvent hésitant entre une attitude qui promouvait la protection et leur crainte que cette attitude ne soit percu comme un accès à une sexualité libre.
112
Q

Est-ce que les jeunes d’aujourd’hui utilisent plus la contraception?

Dans quel proportion?

A

Oui.

68% lors de relation vaginale et 50% lors de relation anale.

113
Q

Qui entre les adultes ou les adolescents sont plus susceptibles de discuter du type de protection qu’ils vont utiliser?

A

Les adultes.

Les jeunes rapportent avoir parlé de contraception après avoir eu leur première relation sexuelle.

114
Q

Quel est le meilleur prédicteur de l’utilisation du condom?

A

L’intention d’utiliser un condom et le fait de communiquer cette intention à son partenaire

115
Q

Quels habiletés devraient cibler les interventions sur la pratiques contraceptive?

A

Les habiletés de communication à propos de la contraception et non seulement les connaissances sur le sujet.

116
Q

Quels sont les facteurs d’influence des pratiques contraceptives?

A

1) L’âge
2) La précocité sexuelle
3) La stabilité dans la relation amoureuse
4) La différence d’âge entre les partenaires
5) La communication entre les partenaires
6) Le sentiment de compétence et les aspirations.
7) Le milieu socioéconomique

117
Q

Vrai ou Faux ;

Les connaissances des jeunes ont augmentés par rapport à la contraception, mais il existe encore un fossé entre connaissance et utilisation?

A

Vrai.

Le contexte chargé émotionnellement nuit à la conduite.

118
Q

Quel groupe d’âge est le plus touché par les ITSS?

A

les 15-24 ans.

119
Q

Quels sont les 2 ITSS qui touchent les jeunes le plus?

A

La chlamydia et la gonorrhée.

120
Q

Quels pourcentages de jeunes actifs sexuellement affirment avoir déjà contractés une ITS?

Justifier le nombre.

A

2-5%.

Ce nombre est bas car les jeunes sont mal à l’aise de discuter de ce sujet.

121
Q

Quel est la principal raison qui pousse les jeunes à passer des test de dépistage?

A

Le désir de cesser la contraception.

122
Q

Vrai ou Faux ;

Les filles sont moins nombreuses à recevoir un diagnostic d’ITSS car elles sont moins nombreuses à passer des test de dépistage.

A

Faux.

123
Q

Vrai ou Faux ;

La prévalence du VIH-Sida est plus faibles chez les adolescents?

A

Vrai.

124
Q

Est-ce que les adolescents sont considérés comme population à risque pour le VIH-Sida?

A

Oui à cause de leurs comportements.

125
Q

Quel est le principal facteur de risque pour contracter une ITSS?

Nommez les deux suivants.

A

Les relations non protégées.

Les relations sexuelles précoces
Avoir connu plus de partenaires.

126
Q

Quels sont les 2 extrêmes sur le continuum des risques de contracter une ITSS?

A

D’un côté, une jeune non actif sexuellement qui n’utilise pas de seringue et un jeune qui n’utilise pas de contraception avec des partenaires multiples et des seringues.

127
Q

Qu’est-ce qui est encourageant par rapport à la possibilité des transmission des ITS à l’adolescence?

A
  • La proportion de jeunes actifs sexuellement est à la baisse
  • L’utilisation du condom dès les premières relations sexuelles est plus fréquente qu’avant.
128
Q

En 1968, Campbell ; L’adolescente enceinte qui décide de garder son enfant a déjà ____ % de son plan de vie d’établi.

A

90.

Aujourd’hui, la trajectoire des adolescentes est moins sombres et est plus nuancé.

129
Q

Lorsque maternité et adolescence se rencontrent, quel problèmes peuvent survenir?

A
  • L’abandon scolaire
  • L’insertion sociale et professionnel
  • L’obtention de plus faibles revenus
  • La monoparentalité
130
Q

Pourquoi dit-on qu’il est difficile de départager les origines des conséquences dans la maternité à l’adolescence?

A

Beaucoup des jeunes étaient déjà en situation précaire sur le plan social et économique.

Des auteurs soulignent que les facteurs considérés comme des conséquences, sont en fait à l’origine.

Beaucoup de ces jeunes filles ont déjà subit des agressions sexuelles et de la maltraitance.

131
Q

Les trajectoire d’insertion social et professionnel positives rencontrés par les adolescentes qui ont vécu une grossesse sont ;

a) Fréquente
b) Marginale

A

B)

132
Q

Dans le groupe des 15-19 ans, combien de femmes sur mille on eu un enfant en 2013?

A

8

133
Q

Quel pourcentage de naissance proviennent des 19 ans et moins?

A

2,1%

134
Q

Décrire l’évolution des naissances chez les 14-17 ans depuis les années 1980 à aujourd’hui.

A

Environ 12% en 1980. Augmentation progressive jusqu’en 1992 à environ 18%. Reste stable. Baisse au début des années 2000 pour descendre à 13%.

135
Q

Est-ce que le taux de naissance des 15-19 ans est plus élevé au canada ou aux USA?

A

Oui, lui aussi diminue depuis les années 90 mais est le double de celui du Canada.

136
Q

Quels sont les 3 moyens de résolution de la grosses adolescente et leur prévalence?

A

Maternité ; Moins du quart des adolescentes.

Avortement ; La majorité des grossesses.

Adoption ; Moins de 2% aujourd’hui. Près de 80% il y a 50 ans.

137
Q

Quel est la majorité des résolutions de grossesse adolescentes?

A

La décision d’interrompre la grossesse.

138
Q

Quel sont les caractéristiques personnelles et socio-économiques des adolescentes qui prennent la décision d’interrompre leur grossesse?

A

La majorité des jeunes qui choisissent cet avenue sont celle qui ont un bon rendement à l’école et ne pourraient pas réaliser leur aspirations sans poursuivre leur études.

Elle proviennent de milieux stables et favorisés sur le plan financier.

139
Q

Quels sont les causes des séquelles psychologiques d’un avortement?

A
  • Une mauvaise connaissance de la situation et des enjeux de l’avortement.
  • Les pressions de l’entourage
  • Qu’elles soient en faveur ou non de l’avortement.
  • Un fort sentiment de culpabilité
  • Le sentiment de ne pas avoir eu assez de temps pour réfléchir.
  • Une ambivalence persistante entre le désir de l’enfant et son incapacité à lui assurer des conditions de vie décentes.
140
Q

Quel milieu est idéal pour une adolescente qui vient de vivre un avortement?

A

Un milieu respectueux, non culpabilisant, sécurisant et apte à la soutenir.

C’est un gage d’adaptation à la situation.

141
Q

Quels sont les trois catégories relatives au désir d’enfant des adolescentes?

A

Désir planifié ; moins fréquent
Devenir enceinte accepté
Accident désiré

142
Q

Pourquoi la perspective d’avoir un enfant peut un plan de vie intéressant pour certaines adolescentes?

Chez qui ce choix est le plus fréquent?

A
  • Leur permet d’accéder au monde des adultes plus rapidement.
  • Leur permet d’obtenir l’affection dont elles ressentent le besoin.
  • Donne un sens à la vie et une place dans la société.

Ce choix est plus fréquent chez les jeunes femmes qui viennent de milieux moins favorisés, n’ont pas de projet scolaire précis et croient peut en leurs capacités en ce domaine.

143
Q

Qu’est-ce que le concept de ‘‘besoin d’enfant’’?

A

Lorsque la désir d’enfant s’apparente davantage à un besoin d’enfant pour pallier des manques. Les responsabilités reliés au rôle de parent augmenteront les risques de déception.

144
Q

Quel est la principale différence entre les très jeunes mères et les mères plus proches de l’âge adulte par rapport à la grossesse (psychologiquement)?

A

Chez les jeunes mères, le risque est plus grand qu’elles ne comprennent pas toutes les conséquences de sa décision et que ultérieurement elle ait le sentiment qu’on l’a emmené dans cette direction contre sa volonté.

Les mères plus proches de l’âge adulte sont plus avancé sur le plan cognitif, émotionnel et social et dispose de plus d’expériences.

145
Q

Quels sont les problèmes de santé associés à la grossesse adolescente?

A

Anémie, hypertension, problèmes urinaires, post-partum

146
Q

Quels sont les problèmes de santé du bébés liés à la grossesse adolescente?

A

Prématurité, faible poids et anomalies physiologiques.

147
Q

Du point de vue des risques associés à la grossesse adolescente, comment doit on séparer les grossesses dans la première et la deuxième moitié de l’adolescence?

A

Si l’organisme vient tout juste d’atteindre la maturité sexuelle, l’adolescente n’est pas encore prêt à porter la charge reproductive.

Par contre une adolescente dont la croissance physique est presque achevé et menstrues depuis 3-4 ans possède une énergie et des capacité de récupération plus grande.

148
Q

Plus on avance vers la fin de l’adolescence, plus les risques liés à la grossesse _______

A

diminuent.

149
Q

Qu’est-ce que le risque lié à la clandestinité de la grossesse?

A

Les jeunes femmes qui vivent leur grossesse dans le suivi médical approprié sont plus à risque.

150
Q

Quel conditions sont pointés du doigt par rapport à la clandestinité de la grossesse?

A

Les conditions socioéconomiques et l’absence de réseaux d’entraide.

151
Q

Sur le plan psychologique les mères adolescentes vivent plus de ?

A

Stress et dépression, elles auraient aussi une estime de soi plus faible.

152
Q

Qu’-est ce qui serait à la base des problèmes psychologiques chez les mères adolescentes?

A

L’isolement social
Éloignement des amis
Perte du partenaire amoureux

153
Q

Quels sont les conséquences socio-économiques chez les mères adolescentes?

A

Plus faible chance d’obtenir un diplôme secondaire et collégial
Plus de risques d’être au chômage et de vivre dans la pauvreté
Risque d’avoir d’autres grossesses non désirés.

154
Q

À quels risques font faces les enfants de parents adolescent?

À quoi sont dû ces séquelles?

A

Éprouver des troubles développement aux.
Difficulté scolaires
Problème pubertaire
Risque de grossesse adolescente

Au conditions matérielle, environnementale et psychologique dans lesquelles l’enfant a été élevé. L’adolescente n’a pas fini de se développer sur le plan physique psychologique et social et n’est pas préparer à ce rôle.