Chapitre 5. P.1 : Flashcards
La mise en mémoire est - elle un processus passif ? Expliquer et donner un exemple :
La mise en mémoire n’est pas processus passif, sinon on se souviendrais de tout depuis notre naissance.
Qu’est ce que l’encodage ou l’enregistrement ?
C’est un processus d’apprentissage, caractéristiques d’un stimulus ou d’un événement sont saisies par les organes puis transformé en une trace mnésique.
Comment est gravée la trace mnésique ? Expliquer ce qu’est un épisode :
La trace mnésique est matérialisé de façon physique sous la forme d’un engramme. Un épisode est constitué d’un ensemble plus ou moins complexe d’information. Le déroulement de l’épisode va créer des liens entre ces différents informations.
Qu’est ce que l’encodage passif ne nécessite pas ?
Nb. L’encodage passif lui n’exige ni une qualité d’attention particulière ni la volonté d’apprendre quelques choses.
La théorie de Lockhart et Craik effectuent une théorie par rapport à la façon de traiter un stimulus, donner les deux options :
- Soit de façon plus ou moins superficielle, on parle alors de traitement structural.
- Soit de façon plus ou moins profonde, on parle alors de de traitement sémantique.
Le traitement de type attentionnel géré par l’AC, donne lieu soit à :
- Analyse superficielle, càd la prise en compte de la forme au détriment du fond = souvenir plutôt pauvre et peu durable dans le temps.
- MEJ de l’AC qui conduit à l’extraction des caractéristiques sémantiques cad le fond. Donc = souvenir plutôt riche et persistant dans le temps évidemment.
Qu’est ce que montre les travaux de la vie quotidienne ?
Plus la trace mnésique est forte durable dans le temps est récupérable lors de la tentative de rappel de l’info.
Une mauvaise liaison d’un point de vue clinique peux se traduire comment ? Si ces fragments ont été activés de quoi parle - t - on ? Si un encodage réussi nécessite la mise en œuvre d’un processus de liaison, de quoi à t-il besoins encore ? Et pourquoi ?
Par une amnésie de la source, l’individu récupère correctement ses fragments mais sans être capable de savoir : Où ? Quand ? et Comment ?
On parle de déficit du contrôle de la source.
Il nécessite aussi la mise en œuvre d’un processus de séparation d’un épisode.
En effet si le recouvrement de différents épisodes est trop important alors l’individu va récupérer l’élément qui est commun à tous ces épisodes.
Qu’est ce que l’encodage d’une info ? La récupération nécéssite de quoi ?
L’encodage d’une information ou d’un événement est la trace mnésique qui en dévoile est le fait d’un processus actif de construction.
La récupération, cad le rappel de I.E.S mis en mémoire nécessite la mise en œuvre d’opérations cognitives de recherche dans le but d’accéder à la trace mnésique initiale.
Le repêchage a des chances de réussir si quoi ?
Le ou les indices de récupération sélectionné, sont capables de faire revivre mentalement l’individu la perception subjective de l’information cible ou encore de l’événement qui recherche.
Cas du mot : poisson et requin. Que peut on déduire de cet expérience ?
- L’encodage profond sera généralement compatible avec une grande variété d’indices différents de rappel. L’encodage superficiel, au contraire, ne pourra être récupéré que par un petit nombre d’indices parfaitement appareillés.
- La phase d’encodage et de récupération sont liées de façon indissociables. Lors de la tentative de rappel, les informations contextuelles peuvent servir d’indices de récupération permettant de repêcher une information cible.
Moscovitch distingue deux processus, Quels sont - ils ? Expliquez - les :
Un processus associatif et un processus de récupération stratégique.
- Le processus de récupération associatif (impliqué dans le rappel « facile ») Exemple d’Anna Zavatta et l’affiche de cirque.
- Le processus de récupération stratégique (impliqué dans le rappel « difficile ») → sans l’avoir souhaité et sans effort particulier, Anna vient de ressurgir dans la mémoire.