chap 13 Flashcards
Le but des politiques
macroéconomiques
contracycliques
Les politiques contracycliquesvisent à réduire l’intensité et l’amplitude des fluctuations économiques et à lisser le taux de croissance du PIB (plus facile qd prévisible
-> job du gouv de gérer les écarts
-> d’habitude écart de + ou - 5%
-> qd ca va pas bien on veut booster l’économie mais qd ca va bien on veut la restreindre pour pas trop s’éloigner car les écarts sont pas bon
type de politiques contracycliques
Une politique expansionniste vise à réduire l’ampleur d’une récession, en stimulant la demande de travail et l’économie. On cherche à « accélérer » ou à « réchauffer » l’économie.
-> qd l’économie va mal
-> avec salaire flexible qd récession, ca fait déplacer la courbe de demande de travail vers la droite pour une reprise partielle de l’économie, donc salaire augmente et qtité de travail aussi
-> avec salaire rigide, qd récession, la politique a un effet plus grand car le point d’équilibre est a la hauteur du salaire rigide plutot que sur la courbe d’offre, mais le creux de la récession etait pire que qd salaire flexible
Une politique restrictive est utilisée pour ralentir l’économie, lorsque celle-ci croît trop rapidement ou qu’elle surchauffe.
-> qd ca va «trop bien»
-> prob d’inflation
-> L’objectif principal de la Banque du Canada est de maintenir l’inflation le plus près possible de 2 % par année, à l’intérieur de la cible de maîtrise de l’inflation (entre 1 % et 3 %). Son principal instrument est le taux du financement à un jour.
Pourquoi les autorités voudraient-elles réduire l’emploi et la croissance du PIB ?
Réponse 1: Une politique restrictive peut diminuer l’inflation en réduisant la croissance de la masse monétaire.
Réponse 2: Une politique restrictive peut réduire les risques de contraction extrême en tentant de refroidir l’économie avant qu’elle ne surchauffe.
-> on veut pas que ca crash
résumé politique contracyclique
expansionniste:
- politique monétaire: baisse des taux d’intérêt et augmentation de la masse monétaire par Banque du CAN
- politique budgétaire (variation de (T-G)): diminution des taxe et augmentation des dépense du gouv ou publique par le gouv
restrictive:
- politique monétaire: augmentation des taux d’intérêts et diminution de la masse monétaire par la Banque du CAN
- politique budgétaire (variation de (T-G)): augmentation des taxe et diminution des dépenses du gouv ou publique par le gouv
La politique monétaire contracyclique
expansionniste
La politique monétaire contracyclique est dirigée par la banque centrale (Banque du Canada).
-> La Banque du Canada influence les réserves bancaires et les taux d’intérêt (taux directeur qui lui influence les autres taux)
Une politique monétaire expansionniste diminue les taux d’intérêt à court terme, ce qui stimule l’activité économique.
Le principal outil de la politique monétaire est le contrôle du taux du financement à un jour, par le biais des opérations d’open market (voir chapitre 11).
- La Banque du Canada peut augmenter les réserves bancaires avec une opération d’achat.
-> augmente réserve et diminue les investissements le tout dans l’actif
- La Banque du Canada peut diminuer les réserves bancaires avec une opération de vente.
-> augmente réserve du passif et cp et augmente les investissements a l’actif
L’efficacité de la politique monétaire dépend des anticipations relatives aux taux d’intérêt et à l’inflation.
-> Taux d’intérêt réel à long terme anticipé = Taux d’intérêt nominal à long terme – Taux d’inflation à long terme anticipé
-> lien avec la théorie quantitative de la monnaie
Comment une baisse des taux d’intérêt à court terme peut-elle stimuler la production ?
Politique monétaire expansionniste
- la Banque du CAN abaisse les taux d’intérêt à court terme (taux directeur qui affecte les autres taux)
- les taux d’intérets à long terme baissent
- la consommation et l’investissement augmentent, la demande de biens et services s’accroit
- la demande de travail se déplace vers la droite
- mais aussi les taux vont mener a une diminution de la demande de titres canadiens, demande baisse et offre augmente, ce qui vient diminuer le taux de change, donc diminuer importation et augmenter exportation
inverse pour restrictive
Outils de la Banque du CAN
- open market
- la modification de la quantité de réserves obligatoires
- la fourchette cible du taux du financement à un jour
- l’assouplissement quantitatif.
-> jouer directement sur la masse monétaire mais danger de déclencher de l’inflation
La politique monétaire contracyclique
restrictive
La politique monétaire contracyclique est dirigée par la banque centrale (Banque du Canada).
-> La Banque du Canada influence les réserves bancaires et les taux d’intérêt (taux directeur qui lui influence les autres taux)
Qu’en est-il de la politique monétaire restrictive ? C’est l’inverse de la politique expansionniste.
Une politique monétaire restrictive diminue la croissance des réserves bancaires, augmente les taux d’intérêt,
diminue les emprunts, diminue la croissance de la masse monétaire et réduit l’inflation.
Avec open market, qd les réserves de la Banque du CAN augmente, ca augmente les prets accordés par les institutions financières, les dépots dans les institutions financières augmentent ce qui augmente la masse monétaire, l’inflation augmente par la suite (gap de 1% à 3% visant le 2%)
Qu’est-ce qui arrive si le taux du financement à un jour s’approche de la limite du 0 % ?
Exemple :
Le Japon de 1990 à 2010
La combinaison de la borne inférieure du zéro et de la déflation est un grand problème pour la politique monétaire.
Pourquoi ? Parce que les ménages et les firmes prennent leurs décisions d’investissement en se basant sur le concept suivant : Taux d’intérêt réel anticipé = Taux d’intérêt nominal – taux d’inflation anticipé = 0% – (– 1%) = 1%
Les autorités monétaires font face à plusieurs considérations contradictoires.
La Banque du Canada voudrait stimuler l’économie
en période de récession, mais on ne veut pas créer des problèmes d’inflation par la suite…
essayer de trouver un équilibre, doser et etre prudent
La politique budgétaire contracyclique
La politique budgétaire contracyclique, qui est adoptée par le pouvoir législatif et promulguée par le pouvoir exécutif, vise à aplanir les fluctuations économiques en influant sur les dépenses publiques et les impôts.
Une politique budgétaire expansionniste recourt à l’augmentation des dépenses publiques et à la baisse des impôts pour accélérer le taux de croissance du PIB réel.
-> diminue taxe et augmente depense gouv ou publique
Une politique budgétaire restrictive recourt à la diminution des dépenses publiques et à la hausse des impôts pour réduire le taux de croissance du PIB réel.
-> augmente taxe et diminue depense gouv ou publique
- Les stabilisateurs automatiques sont des mécanismes budgétaires qui agissent automatiquement pour aplanir les fluctuations économiques.
-> Exemples : impôts, assurance-emploi. - Les composantes contracycliques discrétionnaires sont des mesures de politique budgétaire que les décideurs adoptent délibérément en réponse aux fluctuations économiques.
solde budgétaire
T-G
donc qd dette c’est une accumulation des déficits budgétaires
Le multiplicateur des dépenses publiques
multiplicateur: variation du PIB (Y)/variation de G
Si une variation de 1 $ des dépenses publiques entraîne une variation de m$ du PIB, le multiplicateur des dépenses publiques est mG.
-> Identité des comptes économiques nationaux :
Y = C + I + G + EX – IM
-> Si une hausse de G de 1 $ ne modifie pas les autres termes du côté droit : [Y + 1] = C + I + [G + 1] + EX – IM. Question : Quelle est la valeur du multiplicateur ? 1/1=1
-> Si une hausse de G de 1 $ fait
aussi augmenter C de 1 $ : [Y + 2] = [C + 1] + I + [G + 1] + EX – IM. Question: Quelle est la valeur du multiplicateur ? 2/1=2 (donc le gouv dépense 1 et obtient 2)
Il y a effet d’éviction lorsque l’augmentation des dépenses publiques détourne partiellement ou même entièrement les dépenses des ménages et des entreprises.
-> Si une hausse de G de 1 $ fait diminuer I de 1 $ : Y = C + [I – 1] + [G + 1] + EX – IM. Question: Quelle est la valeur du multiplicateur ? 0/1=0 (si G augmente, ca fait augmenter le déficit, donc doit demander crédit, ce qui diminue I car taux d’intérêt augmente)
- Les partisans de la politique budgétaire basée sur les dépenses gouvernementales croient que le multiplicateur est entre 1 et 2, mais il pourrait allerjusqu’à 3 pour certains types de dépenses gouvernementales.
- Les critiques de la politique budgétaire basée sur les dépenses gouvernementales croient que le multiplicateur est plus faible que 1, à cause de l’effet d’éviction, et pourrait même être près de 0.
- Alors, qui a raison ? Les économistes ne sont pas certains. Ils s’entendent toutefois sur le fait que l’effet multiplicateur est plus grand lorsque l’économie est clairement en-dessous du PIB tendanciel, et plus près de 0 lorsque l’économie est près de son potentiel.
Le multiplicateur des impots
c’est variation de Y/variation de T
-> si pasle T on se fit au C
Identité des comptes économiques nationaux :
Y = C + I + G + EX – IM
Scénario 1 : Une baisse d’impôts de 1 $ augmente la consommation d’autant : [Y + 1] = [C + 1] + I + EX – IM. Question : Quelle est la valeur du multiplicateur ? 1/1=1
Scénario 2 : Une baisse d’impôts de 1 $ augmente la consommation de 2 $, grâce à l’effet multiplicateur : [Y + 2] = [C + 2] + I + EX – IM. Question : Quelle est la valeur du multiplicateur ? 2/1=2
Scénario 3 : Une baisse d’impôts de 1 $ augmente la consommation de 2 $, grâce à l’effet multiplicateur, mais elle réduit l’investissement de 1 $ : [Y + 1] = [C + 2] + [I – 1] + EX – IM. Question : Quelle est la valeur du multiplicateur ? 1/1=1
Scénario 4 : Si une baisse d’impôts de 1 $ augmente la consommation de 2 $, grâce à l’effet multiplicateur, mais augmente les importations de 1 $ : [Y + 1] = [C + 2] + I + EX – [IM + 1]. Question : Quelle est la valeur du multiplicateur ? 1/1=1
si le but est d’augmenter le PIB par exemple de 50, c’est la diff entre tendentiel et PIB réel donc 50/variation de T=2 -> donc T=25
Mais quel est le bon scénario ? Les économistes croient que le multiplicateur des impôts est entre 0 et 2, selon (1) le niveau de la consommation, et (2) les anticipations de hausses d’impôts.
Quelques politiques budgétaires ciblent directement le marché du travail
- l’assurance-emploi ;
- les subventions aux salaires.
-> qd subvention ca déplacent la courbe de demande de travail vers la droite ce qui augmente la qtité de travail et le salaire