chap 12 Flashcards
Fluctuations économiques
Fluctuations économiques (ou cycles
économiques) : changements à court terme du taux de croissance du PIB réel.
On peut examiner les cycles économiques en comparant le PIB réel (en vague) au PIB tendanciel aussinommé pib potentiel (quasi linéaire)
-> pib tendentiel: c’est normal comme un peu le plein emploin dans le fond c’est ce a quoi on s’attend
-> pib tendentiel est environ 2%
Il est probablement plus facile de voir les cycles économiques si on représente les variations du PIB réel par rapport au PIB tendanciel
l’écart en pourcentage entre les deux est d’environ + ou - 5%
-> parait pas bcp mais sur des millier de millairds ca a un gros impact
Récession
Épisode de croissance économique négative (PIB réel qui baisse pendant deux trimestres consécutifs).
-> critère théorique mais besoin de plus pour que réellement déclare récession
—–> ralentissement économique, augmentation taux de chomage, baisse investissement, baisse de confiance des consommateurs qui relentisse leur dépense de consommation
Depuis, 1929, il y a une récession à tous les 7 ans environ, et elles durent 13 mois en moyenne.
-> c’est vrm en moy car il y en a eu plusieurs en peu de temps et des moment de plusieurs dizaine d’année sans récession
-> trop d’imprévisibilité pour prévenir
Expansions économiques
Périodes entre les récessions ; une expansion économique commence donc à la fin d’une récession et se poursuit jusqu’au début de la récession suivante.
-> du creux économique au sommet (dans les vagues graphiquement parlant)
Les fluctuations économiques ont trois grandes caractéristiques
- la covariance de nombreuses variables macroéconomiques agrégées
-> corrélation - ou +
-> ex corrélation + entre consommation et investissment
-> ex pib et taux de chomage
-> pas parfaite mais il y a un lien
-> loi d’Okun: lien entre pib et taux de chomage - une faible prévisibilité des fluctuations ;
- la persistance du taux de croissance économique
Pourquoi y a-t-il des fluctuations économiques ?
Ça dépend à qui vous demandez !
On sait que les changements imprévus dans la demande de travail (chocs) sont pertinents.
Au début d’une récession, la courbe de demande de travail se déplace vers la gauche parce qu’on observe …
- une baisse du prix des extrants ;
- une baisse de la demande des produits ;
- une baisse de la productivité du travail ;
- une hausse du prix des intrants.
un ou plusieurs facteurs
-> c’est ce qui déclenche la récession
-> cie se rende compte que la demande devrait etre plus basse (demande vers gauche) et engage moins de monde ou licensie car un de ses facteurs est arriver
Pendant une récession, si les salaires sont flexibles
juste théorique car personne ne veut baisser son salaire
Pendant une récession, si les salaires sont flexibles, la baisse de la demande de travail va entraîner une baisse des salaires et des heures de travail.
- Le PIB réel va donc diminuer.
- graphiquement (avec x: qtité d’emploi et y salaire) : la demande se déplace a gauche donc diminue sur la droite d’offre donc diminue le nbr d’emploi et les salaires
Pendant une récession, Si les salaires sont rigides à la baisse
Si les salaires sont rigides à la baisse, la baisse de la demande de travail n’influera pas sur le salaire, et les heures de travail vont baisser encore plus.
-> La production (PIB) va baisser davantage si les salaires sont rigides à la baisse que s’ils sont flexibles.
-> pire que flexible
-> graphiquement (avec x: qtité d’emploi et y salaire): la demande se tasse a gauche mais ne peut descendre sur la droite d’offre donc diminue au croisement du salaire rigide et de la droite de demande donc encore plus de licensiement
Il existe trois écoles de pensée différentes quant aux sources de fluctuations des agrégats économiques
- La théorie des cycles réels, qui met l’accent sur la variation de la productivité et de la technologie.
- La théorie keynésienne, qui met l’accent sur la variation des anticipations.
- Les théories financières et monétaires, qui mettent l’accent sur la variation des prix et des taux d’intérêt.
La théorie des cycles réels
La théorie des cycles réels met l’accent sur le rôle du changement technologique dans les fluctuations économiques.
- Le progrès technologique et les autres innovations qui améliorent la productivité provoquent les expansions.
- Une hausse du prix des intrants cause les récessions
si technologie est moins désirable-> ralentissement de travail -> récession
La théorie keynésienne
La théorie keynésienne accorde beaucoup d’importance aux changements des anticipations.
- Les esprits animaux sont des facteurs psychologiques qui modifient l’humeur des consommateurs et des entreprises, et qui influent ainsi sur la consommation, l’investissement et le PIB. (très subjectif)
- Un choc négatif peut frapper l’économie et générer une vague de pessimisme (juste avoir peur, anticipation, manque de confiance…). Les dépenses diminuentet ne sont pas compensées par des dépenses supplémentaires dans d’autres secteurs de l’économie.
- Effets en cascade sur Y = C + I + G + EX - IM
—–> si cie diminue investissement (- création emploi, moins de new projet,…), ca diminue consommation, ca diminue pib de bcp
- La baisse initiale des dépenses est amplifiée par d’autres baisses dans les dépenses, à cause del’effet multiplicateur.
—-> il se passe une chose mais tte les variables sont entrainées
- prophétie auto réalisée
cercle sans fin:
1. demande de travail diminue
2. congédiement et chomage augmentent
3. revenu des ménage diminue
4. consommation baisse
5. recette des entreprises baissent
6. recommence
Les théories financières et monétaires
Facteurs monétaires et financiers :
Les explications de Milton Friedman
Changements dans les prix et les taux d’intérêt
- Une baisse de la masse monétaire (M2) fait baisser le niveau des prix.
- Combinée à la rigidité des salaires à la baisse, la baisse du niveau des prix diminue l’emploi.
- Une baisse de la masse monétaire va pousser à la hausse le taux d’intérêt réel.
- Un taux d’intérêt plus élevé va réduire l’investissement par les entreprises
Les multiplicateurs
Les multiplicateurs amplifient les effets d’un choc économique, quelle que soit sa provenance ( 4 facteur de la baisse de la demande).
-> Exemple :
baisse de la consommation
Avec la diminution du revenu des ménages, les multiplicateurs vont déplacer la demande de travail vers la gauche.
-> Les salaires et l’emploi vont diminuer encore plus, jusqu’au creux du cycle économique.
—-> donc diminue consommation
avec salaire flexible (donc en théorie), ca vient diminuer la courbe de demande encore plus donc salaire diminue le long de la courbe d’offre (donc moins d’emploi)
De plus, les multiplicateurs peuvent réduire la demande de travail encore plus par d’autres effets :
- une baisse du prix des actifs (financiers) ;
- une hausse des défauts de paiement ;
- une hausse des faillites.
Effets d’un choc à court terme
- Une perturbation initiale déplace la demande de travail vers la gauche.
- La rigidité des salaires à la baisse entraîne une baisse plus marquée de l’emploi
- Les multiplicateurs poussent la demande de travail encore plus vers la gauche.
donc avec rigidité des salaires graphiquement:
- diminue encore plus la courbe de demande vers la gauche mais a cause des salaires rigides ca peut pas descendre donc l’effet est encore plus pire et se tasse au croisement entre courbe des demande et taux des salaires
—> résultat: encore plus de licensiement
Reprise économique à court-moyen terme
- Les forces du marché venant :
(a) de la reconstruction des inventaires ;
(b) des progrès technologiques ; et
(c) de l’intermédiation financière.
- donc déplacent la demande de travail vers la droite, causant une reprise partielle. (au niveau des salaires rigides) - La politique monétaire expansionniste va diminuer le taux d’intérêt et augmenter l’inflation.
- Un taux d’intérêt plus bas stimule les dépenses, ce qui déplace la demande de travail vers la droite.
- Une inflation plus forte diminue les salaires réels, ce qui déplace l’offre de travail vers la gauche. (vu que les employé coute moins cher, le cie en profite pour engager du monde)
- pas d’effet si taux d’égalité reste en bas du salaire rigide, la droite de demande doit assez augmenter et courbe d’offre doit assez diminuer pour dépasser le salaire rigide
—-> une fois atteint, on revient onmm niveau de prod mais a salaire plus élevé
- Remarquez que le déplacement vers la gauche de l’offre de travail a un effet seulement si le nouveau salaire d’équilibre se situe au-dessus du salaire d’équilibre original.