chap 12: fluctuations à court terme Flashcards
Le communiqué du C. D. Howe a été commenté le lendemain dans un article du journal Le Devoir, où l’auteur soulignait le danger de juger de l’existence d’une récession sur le seul critère de l’évolution du PIB.
L’article fait état d’une déclaration de Stephen Poloz, le gouverneur de la Banque du Canada, selon qui il y aurait décroissance du PIB réel pendant les deux premiers trimestres de 2015, ce qui correspond à la définition technique d’une récession.
Pourquoi Poloz estime-t-il malgré tout qu’il est prématuré de qualifier de « récession » le ralentissement économique observé au début de l’année?
A. Parce que la baisse de l’activité économique n’est pas généralisée.
B. Parce que la baisse de l’activité économique est trop profonde.
C. Parce que la baisse de l’activité économique n’est pas assez déstabilisante.
D. Parce que la baisse de l’activité économique a une durée trop longue.
A. Parce que la baisse de l’activité économique n’est pas généralisée
Durant l’été 2015, les informations sur l’existence d’une récession au Canada étaient contradictoires. Selon les estimations préliminaires du PIB réel canadien, l’activité économique
avait connu une décroissance dans les quatre premiers mois de l’année. Pourtant, dans un communiqué publié le 28 juillet 2015, le Conseil sur les cycles économiques de l’Institut C. D. Howe estimait qu’il était prématuré de déclarer une récession, mais il prévenait qu’il pourrait réviser sa position à l’automne 2015.
D’après le communiqué de l’Institut C. D. Howe, quels sont les trois critères que son Conseil sur les cycles économiques prend en considération pour décider si l’économie canadienne est ou non en récession?
A. La durée et la période de la baisse de l’activité économique, et le secteur touché par celle-ci.
B. L’amplitude, l’étendue et la durée de la baisse de l’activité économique.
C. L’amplitude, la persistance et la profondeur de la baisse de l’activité économique.
D. Il n’y a pas de critère particulier pour décider d’une récession.
B. L’amplitude, l’étendue et la durée de la baisse de l’activité économique
Le graphique à droite montre le taux de chômage en pourcentage au Canada depuis le 1 Superscript er trimestre de 1953 jusqu’au 2 Superscript e trimestre de 2015. Chaque récession qui a eu lieu durant cette période est indiquée par les barres grises sur le graphique.
L’évolution du taux de chômage de 1953 à 2015 illustre-t-elle le principe de covariance expliqué dans le chapitre? Pourquoi?
A. Non, car il n’y a pas de lien entre le chômage et le PIB réel.
B. Oui, car le chômage et le PIB réel varient dans le même sens.
C. Oui, car le chômage et le PIB réel varient en sens contraire.
D. Non, car le chômage et le PIB réel varient en sens contraire.
C. Oui, car le chômage et le PIB réel varient dans le même sens.
Les premières théories du cycle économique supposaient que les fluctuations économiques fonctionnaient un peu comme un mouvement de pendule, avec des oscillations systématiques de la croissance économique.
Quelle propriété des fluctuations économiques est contredite par ces premières théories?
A. La covariance de certaines variables économiques.
B. La persistance du taux de croissance.
C. La relation inverse entre le taux de chômage et la croissance du PIB.
D. La faible prévisibilité des fluctuations.
D. La faible prévisibilité des fluctuations.
En tenant compte de votre réponse ci-dessus, pourquoi de tels mouvements réguliers de pendule seraient-ils contradictoires avec cette propriété des fluctuations économiques?
A. Contrairement à l’économie, un balancier possède un point maximum et un point minimum qui limitent ses fluctuations.
B. Un pendule finit par arrêter d’osciller, ce qui n’est pas le cas d’une économie.
C. Des oscillations de pendule suivent un certain rythme mesurable, ce qui rendrait les fluctuations facilement prévisibles.
D. Il n’y a pas de début ou de fin au mouvement de pendule, contrairement aux booms économiques et aux récessions.
C. Des oscillations de pendule suivent un certain rythme mesurable, ce qui rendrait les fluctuations facilement prévisibles
Si les salaires sont flexibles, dans lequel de ces deux scénarios la variation de l’emploi agrégé serait-elle plus importante en période de récession?
Scénario 1 : Les travailleurs n’augmentent pas beaucoup leur offre de travail à la suite d’une augmentation salariale;
Scénario 2 : Les travailleurs augmentent substantiellement leur offre de travail à la suite d’une augmentation salariale.
A. Le scénario 2, puisque la pente de la courbe d’offre de travail dans ce cas-ci sera plus abrupte.
B. Le scénario 1, puisque la pente de la courbe d’offre de travail dans ce cas-ci sera moins abrupte.
C. Le scénario 2, puisque la pente de la courbe d’offre de travail dans ce cas-ci sera moins abrupte.
D. Le scénario 1, puisque la pente de la courbe d’offre de travail dans ce cas-ci sera plus abrupte.
C. Le scénario 2, puisque la pente de la courbe d’offre de travail dans ce cas-ci sera moins abrupte.
« Le succès attire le succès. »
Expliquez comment ce vieux dicton pourrait s’appliquer au point de vue de Keynes sur les esprits animaux et les fluctuations économiques.
A. Lorsque les gens ont du succès, ils sont plus optimistes, ce qui peut les mener à entreprendre des actions qui connaîtront du succès. Ceci se réflete dans l’économie lorsque les consommateurs augmentent leurs dépenses alors que les prévisions économiques sont optimistes.
B. Ce vieux dicton ne peut pas s’appliquer au point de vue de Keynes puisque le succès individuel n’a pas d’effet sur les fluctuations économiques.
C. Lorsque les gens ont du succès, ils deviennent présomptueux, ce qui peut les mener à entreprendre des actions imprudentes.
D. Lorsque les gens ont du succès, ils savent que cela ne peut pas durer indéfiniement, ce qui peut les mener à entreprendre des actions plus prudentes. Ceci réflète les cycles économiques.
A. Lorsque les gens ont du succès, ils sont plus optimistes, ce qui peut les mener à entreprendre des actions qui connaîtront du succès. Ceci se réflete dans l’économie lorsque les consommateurs augmentent leurs dépenses alors que les prévisions économiques sont optimistes.
Si un choc économique augmente la demande de travail, le niveau d’équilibre de l’emploi va ____
augmenter
demeurer stable
diminer
et le PIB réel va ____
augmenter
demeurer stable
diminuer
.
augmenter
augmenter
Si les salaires sont flexibles, la hausse de l’emploi et du PIB réel sera _____ que la hausse dans les cas où les salaires sont rigides.
plus faible
plus forte
la même
plus faible
Lorsque des employés sont congédiés, qu’arrive-t-il au capital physique?
A. Le capital physique devient plus productif, ce qui pousse les entreprises à augmenter l’utilisation de leurs actifs.
B. Les travailleurs deviennent plus productifs, ce qui pousse les entreprises à augmenter l’utilisation de leurs actifs.
C. L’utilisation des actifs ne change pas.
D. Le capital physique devient moins productif, ce qui pousse les entreprises à réduire l’utilisation de leurs actifs.
D. Le capital physique devient moins productif, ce qui pousse les entreprises à réduire l’utilisation de leurs actifs.
La loi d’Okun dit que ____________.
A. lorsque la croissance du PIB est positive, elle tend à être positive lors des trimestres suivants.
B. lorsque la croissance du PIB réel est inférieure à 3 %, le taux de chômage baisse, et lorsqu’elle est supérieure à 3 %, le taux de chômage augmente.
C. lors des récessions, les entreprises n’ont pas tendance à licencier des travailleurs si elles croient que le ralentissement sera temporaire.
D. lorsque la croissance du PIB réel est supérieure à 3 %, le taux de chômage baisse, et lorsqu’elle est inférieure à 3 %, le taux de chômage augmente.
D. lorsque la croissance du PIB réel est supérieure à 3 %, le taux de chômage baisse, et lorsqu’elle est inférieure à 3 %, le taux de chômage augmente.
Selon la vision de Keynes des esprits animaux, ___________.
A. l’économie va fluctuer en relation étroite avec les données économiques fondamentales.
B. des avancées technologiques importantes peuvent causer des hausses soudaines de production.
C. l’économie peut fluctuer plus que ce à quoi on s’attendrait en se basant seulement sur les données économiques fondamentales.
D. la rigidité des salaires à la baisse peut créer une vague de pessimisme dans l’économie, ce qui provoquerait une prophétie autoréalisatrice de baisse de la production.
A. l’économie va fluctuer en relation étroite avec les données économiques fondamentales.
La théorie de Keynes à propos des multiplicateurs comporte un élément de prophétie autoréalisatrice.
Quel énoncé parmi les suivants illustre le concept de prophétie autoréalisatrice?
A. Le gouvernement anticipe une guerre prochainement, alors il augmente les dépenses militaires, ce qui stimule la demande de travail.
B. La Banque du Canada augmente le taux directeur, ce qui pousse les entreprises à réduire l’investissement et les embauches.
C. La demande de travail au Canada diminue àla suite d’une récession en Europe qui fait chuter les exportations canadiennes. Cela fait diminuer la consommation canadienne, ce qui pousse encore plus à la baisse la demande de travail.
D. Les entreprises anticipent une hausse de la demande, alors ils embauchent des travailleurs supplémentaires dès aujourd’hui, ce qui stimule la consommation.
D. Les entreprises anticipent une hausse de la demande, alors ils embauchent des travailleurs supplémentaires dès aujourd’hui, ce qui stimule la consommation.
La rubrique « À l’épreuve des faits » de ce chapitre nomme les trois facteurs qui ont entraîné la récession de 2007-2009 aux États-Unis.
Comment le concept keynésien d’esprits animaux pourrait-il expliquer la création d’une bulle immobilière?
A. Avec une économie en expansion, les salaires réels ont augmenté, ce qui a accru la demande de maisons.
B. Les entrepreneurs en construction ont diminué le nombre de mises en chantier, ce qui a augmenté les prix des maisons.
C. Les gens croyaient que l’achat d’une maison était un investissement utile et que le prix des maisons ne pouvaient pas baisser.
D. L’augmentation du nombre de défaults de paiement des prêts hypothéquaires a diminué les prêts consentis par les banques, ce qui a augmenté le prix des maisons.
C. Les gens croyaient que l’achat d’une maison était un investissement utile et que le prix des maisons ne pouvaient pas baisser.
Comment la récession de 2007-2009 a-t-elle modifié les composantes de l’identité du revenu national?
A. Elle a touché tous les composantes de l’identité du revenu national.
B. Elle a surtout touché la consommation (C) et l’investissement (I).
C. Elle a surtout touché les dépenses des administrations publiques (G).
D. Elle a surtout touché les exportations nettes (XN).
B. Elle a surtout touché la consommation (C) et l’investissement (I).
La Banque du Canada s’inquiète depuis quelques années du surendettement des ménages canadiens. Certains vont plus loin et craignent que le marché immobilier canadien soit dans une bulle immobilière. On rapporte que, durant l’été 2015, des spéculateurs ont pris des dispositions pour tirer profit d’un éclatement de cette bulle, car les prix des maisons dans certaines villes, et particulièrement à Vancouver, ont atteint des niveaux qualifiés de « déments »
Même si cette analyse ne fait pas l’unanimité, en vous appuyant sur les explications de ce chapitre sur les facteurs monétaires et financiers, expliquez comment des mesures prises par le gouvernement canadien et la Banque du Canada lors de la récession de 2008-2009 pourraient avoir contribué à la formation d’une telle « bulle immobilière » depuis la récession de 2008-2009. (Cochez toutes les réponses qui s’appliquent.)
A. La baisse des taux d’intérêt par la Banque du Canada a eu comme effet d’augmenter l’investissement des entreprises, et a ainsi fait augmenter le taux d’intérêt réel.
B. Les normes en matière de prêts hypothécaires ont été assouplies.
C. La baisse des taux d’intérêt par la Banque du Canada a diminué les taux hypothécaires, ce qui a augmenté la demande de maisons.
D. La baisse des taux d’intérêt par la Banque du Canada a eu comme effet d’inciter les investisseurs à investir ailleurs qu’au Canada.
B. Les normes en matière de prêts hypothécaires ont été assouplies.
C. La baisse des taux d’intérêt par la Banque du Canada a diminué les taux hypothécaires, ce qui a augmenté la demande de maisons.
Lorsqu’on modélise les expansions économiques et les récessions, une différence importante entre les deux est que _____________.
A. la rigidité des salaires joue un rôle beaucoup plus important lors des expansions.
B. la rigidité des salaires n’est pas pertinente lors des expansions.
C. les multiplicateurs ont un effet beaucoup plus faible lors des récessions.
D. les changements technologiques ont un effet à court terme beaucoup plus grand lors des récessions.
la rigidité des salaires n’est pas pertinente lors des expansions.
Une expansion économique est somme toute positive, mais elle comporte également quelques inconvénients.
On peut expliquer cela ainsi : _______________.
A. les politiciens aiment souvent accentuer les effets des expansions économiques pour mousser leur popularité, surtout lors d’une année électorale.
B. les entreprises pourraient décider d’augmenter la productivité de travailleurs plutôt que d’embaucher des nouveaux travailleurs, ce qui augmenterait les profits des entreprises mais pas l’emploi.
C. si l’économie est proche du plein-emploi et que l’utilisation des actifs est proche de son maximum avant l’expansion, l’économie pourrait plus tard subir un déplacement vers la gauche de la courbe de demande de travail, ce qui causerait une récession plutôt qu’un retour graduel au niveau initial.
D. les travailleurs vont continuer à demander des salaires plus élevés à mesure que la courbe de demande de travail se déplace vers la droite, ce qui va faire diminuer les profits des entreprises et leurs investissements.
C. si l’économie est proche du plein-emploi et que l’utilisation des actifs est proche de son maximum avant l’expansion, l’économie pourrait plus tard subir un déplacement vers la gauche de la courbe de demande de travail, ce qui causerait une récession plutôt qu’un retour graduel au niveau initial.
les fluctuations économiques sont des changements court ou long terme du taux de croissance du PIB réel ?
court terme
dollars réels
“valeurs calculées à l’aide d’un niveau général
des _______ pour éliminer les effets de _____ sur les variables ____”
prix constant
l’inflation
réelles
vrai ou faux
Le taux de croissance du PIB tendanciel « accélère » ou « ralentit » quelque peu au cours des décennies en fonction des variations du taux de croissance moyen de la population et de la technologie
vrai
nomme les deux moments ou l’écart par rapport au PIB tendanciel était important
Grande Depression (basse)
Deuxième guerre mondiale (haute)
expansions ou booms
période de croissance positive PIB
récessions ou contractions
période de croissance négative du PIB
nomme les critères d’une récession
-Durée: deux trimestres consécutifs
-Diminution du PIB réel
-Diffusion sur plusieurs secteurs d’activités
si dure 2 trimestres mais concentré que sur quelques secteurs = pas une recession
si moins de 2 trimestres mais prononcé et généralisé sur plusieurs secteurs = recession
nomme les caractéristiques d’une expansion économique
- entre les récessions
- commence à la fin d’une recession dure jusqu’au début d’une autre
- cinq fois plus longue qu’une recession
nomme des caractéristiques d’une recession
- tous les sept ans environs
- en moyenne 13 mois
- cinq catégories
qu’est-ce que le sommet conjoncturel
le moment ou la période d’expansion prend fin
qu’est-ce qui décrit un creux
c’est le point le plus bas qu’atteint le PIB réel lors d’une récession, donc la fin
catégorie 1 d’une recession
- baisse du PIB réel faible
- courte durée
- emploi diminue pas
catégorie 5 recession
- contraction rapide du PIB réel
- contraction emploi période prolongé
nomme les 3 caractéristiques de fluctuations économiques
- covariance des variables macroéconomiques agrégées
- faible prévisibilité des fluctuations
- persistance du taux de croissance économique
décrit la covariance des variables macroéconomiques agrégées
graphique de consommation et investissement pente positive, donc covariance positive.
Lorsque la consommation est en forte croissance, l’investissement tend à l’être aussi.
qu’est-ce que la consommation réelle
consommation corrigées pour l’inflation
vrai ou faux
la consommation est plus volatile que l’investissement
faux, l’investissement est plus volatil
comment s’explique la variation considérable de la croissance de l’investissement
les entreprises réduisent l’investissement de manière draconienne quand l’économie faiblit et
l’augmentent rapidement quand l’économie est en plein essor
pourquoi la consommation est moins volatil que l’investissement
Les ménages, au contraire, ont intérêt à répartir aussi également que possible dans le temps leurs dépenses pour aplanir les fluctuations de la consommation
Peu de gens interrompent leur abonnement à la téléphonie pendant une récession, et tous continuent de se nourrir, de se loger et de se vêtir
comment les économistes appellent le phénomène d’aplanir les fluctuations de la consommation
lissage de la consommation
ce sont quels biens qui baissent de manière importante pendant les récessions dans la consommation
les biens durables tels les automobiles
L’emploi et le PIB varient _________ que la consommation et l’investissement
dans le même sens
Le chômage varie _____ du PIB
dans le sens contraire
vrai ou faux
Les économistes parlent d’« imprévisibilité »
faux
ils parlent de faible prévisibilité
Dans l’état actuel de la science économique,
il est généralement possible de prédire la fin d’une récession __________, mais il est pratiquement impossible de prédire
la fin d’une récession ou d’une expansion _______
un mois ou deux avant le fait
à leur début
le terme dépression décrit quoi
une récession prolongée accompagnée d’un taux de chômage de 20 % ou plus
comment la grande dépression a commencé
par un krach boursier aux États-Unis
causes du déplacement de la courbe de demande de travail
- Variation de prix des biens ou services produits
- changement demande des biens ou services produits
- changement technologique et variation de la productivité
- variation du prix des intrants
nommes les 3 différentes vues des causes des fluctuations des agrégats économiques
- théorie des cycles réels
- théorie keynésienne
- théories financières et monétaires
variation de la productivité et de la technologie
théorie des cycles réels
variation des anticipations
théorie keynésienne
quel théorie ?
variation des prix et des taux d’intérêt
théorie financière et monétaire
explications de la théorie des cycles réels
recherche et développement) amène des entreprises à inventer des produits
qui ont une plus grande valeur (comme des téléphones intelligents pour remplacer les téléphones cellulaires traditionnels). La valeur du produit marginal du travail augmente, ce qui
incite les entreprises à étendre leurs activités, et donc, selon toute probabilité, à accroître leur
demande de travail. Les entreprises cherchent aussi à accroître leur capacité de production,
ce qui augmente l’investissement dans l’ensemble de l’économie. Ces changements finissent par hausser le revenu des ménages, et ce, pour trois raisons : (1) l’emploi augmente ; (2) le salaire augmente ; et (3) le profit accru des entreprises enrichit les actionnaires. Pour toutes
ces raisons, les ménages consomment davantage de biens et services.
explications de John Maynard Keynes (théorie keynésienne)
l’influence de ce qu’il appelait les esprits animaux — des facteurs psychologiques qui modifient l’humeur
Par exemple, une période d’optimisme intense pourrait céder la place à une période de profond pessimisme, même si les variables fondamentales de l’économie — la technologie, le capital physique et le capital humain — n’ont pas beaucoup changé
les sentiments et qui englobe les changements dans les anticipations concernant l’activité économique et dans l’incertitude (réelle ou perçue) que vivent les entreprises. Les changements dans les sentiments se traduisent par des fluctuations de la consommation des ménages et de l’investissement des entreprises.
les entreprises deviennent pessimistes et réduisent l’emploi et l’investissement, les ménages sont peu enclins à augmenter leur consommation, car ils risquent davantage de perdre leur emploi
de prophétie autoréalisatrice, puisque l’anticipation d’un événement — un déplacement vers la gauche de la courbe de demande de travail, par exemple — entraîne des actions qui font que cet événement se produit
Facteurs monétaires et financiers : les explications
la masse monétaire influe sur le PIB nominal. Typiquement, une baisse du PIB nominal qui résulte d’une forte réduction de la masse monétaire n’affecte pas seulement le niveau général des prix, mais aussi le PIB réel.
La baisse de la masse monétaire fait baisser le niveau des prix, comme le prédit la théorie quantitative de la monnaie (chapitre 11). Une baisse du niveau général des prix réduit l’emploi à cause de la rigidité des salaires à la baisse. En effet, une baisse du niveau général des prix signifie que les entreprises ont réduit le prix de leur production en diminuant la valeur du produit marginal du travail. Chaque entreprise a donc besoin d’une moins grande quantité de travail pour un salaire donné. En d’autres termes, une baisse du prix de la production déplace la courbe de demande de travail vers la gauche
demande de travail reflètent:
reflète l’optimisation du profit par les entreprises
la courbe _______ reflète l’optimisation
du profit par les entreprises
courbe de demande de travail
l’offre de travail reflète :
le compromis que font les ménages entre le travail et les loisirs
la courbe _____ reflète le compromis que font les ménages entre le travail et les loisirs
courbe d’offre de travail
Après un choc économique qui a déplacé la courbe de demande de travail vers la _____, le nouvel équilibre, qui correspond à un salaire _____ et à une quantité demandée de travail _____
gauche
plus bas
moindre
explique ce qui se passe dans le graphique de la demande de travail lors d’une recession
- une des causes du déplacement de courbe de demande de travail vers la GAUCHE
- entraine une baisse de l’emploi d’équilibre et une baisse du salaire
- ce qui entraine un mouvement de l’économie le long de la fonction de production agrégée
- ce qui entraine une baisse du PIB réel
- vu que les salaires sont rigides à la baise, il va avoir une FORTE baisse de l’emploi
- donc un nouvel équilibre (recession plus profonde)
- beaucoup de travailleurs accepteraient de travailler au salaire du mardi, mais peuvent PAS trouver d’emploi, donc chômage !!
On appelle _____ les mécanismes qui font qu’un choc économique initial est amplifié par des effets en cascade
multiplicateurs
pourquoi dit-on que le fonctionnement des multiplicateurs comporte un élément de prophétie autoréalisatrice ?
car l’anticipation d’un événement va entrainer des actions qui font que cet événement se produira !
une _____ de ______ ______ se produit dans une économie en récession avec des multiplicateurs
boucle de rétroaction simple
quels sont les éléments de la boucle de rétroaction simple des multiplicateurs
- la consommation baisse
- Recette des entreprises baisse, demande de travail diminue
- congédiements et chômage augmente, revenu des ménages diminue
décrit la boucle de rétroaction du multiplicateur avec les maisons !
- baisse du prix des actifs financiers (cours des actions et obligations) + baisse de prix des maisons
2.. augmentation des défauts de paiement - ce qui affaiblit bilan des banques
- hausse du taux de faillite des ménages
- ce qui entraine défauts de paiement de types de crédit (prêts sur cartes de crédit)
- hausse du taux de faillites des courtiers
- force prêteurs à absorber des pertes considérables
- baisse du niveau d’intermédiation financière (banques deviennent plus réticentes à accorder de nouveaux prêts ou incapable)
- effets multiplicateurs additionnels comme baisser la consommation, l’investissement, la demande de travaille
- baisse l’emploi et le PIB
- affaiblit l’économie
nomme les 2 types de mécanismes de reprise
courbe de demande de travail se déplace vers la droite grace au forces du marché
grace a des politiques gouvernementales expansionnistes
décrit le déplacement de la courbe de demande de travail vers la droite grace aux forces du marché
La demande de travail reprend en partie (et la courbe de demande de travail
se déplace vers la droite) lorsque les entreprises ont écoulé leurs stocks. Ainsi,
après un boom excessif dans la construction d’habitations, le besoin de nouvelles
habitations diminue, ce qui déplace la courbe de demande de travail
pour les travailleurs de la construction vers la gauche. Cependant, le stock de
maisons invendues finit par s’épuiser, et la construction de nouvelles maisons
commence à reprendre, ce qui ramène la courbe de demande de travail vers la
droite. Ce phénomène s’applique à toute entreprise qui détient un inventaire
de biens invendus, comme les fabricants d’automobiles ou d’ordinateurs. Par
exemple, si les ménages achètent moins de voitures neuves et conservent plus
longtemps celles qu’ils possèdent déjà, l’âge moyen du parc automobile vieillit.
Mais vient inévitablement un temps où on doit envoyer les voitures à la ferraille,
car les réparer devient trop onéreux, et où il faut les remplacer. Dans tous
les domaines où les entreprises détiennent des stocks, ceux-ci ne durent pas
éternellement, et, quand ils s’épuisent, la firme augmente généralement sa
production.
décrit le déplacement de la courbe de demande de travail grace aux politiques gouvernementales expansionnistes
L’abaissement des taux d’intérêt stimule à la fois l’investissement des entreprises et la consommation des ménages.
l’inflation augmente le prix des biens et services produits par des entreprises.
Cette hausse de prix rend la production, et donc la hausse de l’emploi, plus rentables pour un salaire donné
ce qui déplace la courbe de demande de travail vers la droite
comment calculer le salaire réel:
on divise le salaire nominal par une mesure de l’ensemble des prix. On peut concevoir le salaire réel comme le pouvoir d’achat du salaire nominal (corrigé en fonction du niveau des prix)
décrit le côté sombre des booms économiques
si l’économie est proche du plein-emploi, donc un taux de chômage faible, les possibilités de croissance sont limités.
les facteurs qui ont déclenché le boom risque de renverser si les choses tournent mal
ce qui causerait un déplacement de la courbe de demande de travail vers la gauche
ce qui peut facilement causer une récession à cause des effets multiplicateurs
La prudence serait d’essayer de ______ les booms économiques pour ____ les effets néfastes de leur éventuel ______.
tempérer
limiter
renversement