Bible final Flashcards
Est-ce que la Dre Filovent a agi correctement en acceptant d’intervenir sur le chat de Mme Martin ?
a. Oui, car Mme Martin a été bien informée des limites de la Dre Filovent et qu’elle a renoncé à ses recours
b. Non, car la Dre Filovent était déjà engagée dans des soins d’urgence pour un cheval en coliques
c. Oui, car la Dre Filovent avait le devoir de porter assistance à cet animal
d. Oui, car la Dre Filovent a fait preuve de beaucoup de transparence en avisant Mme Martin que l’Ordre n’était pas favorable à ce qu’elle procède à une intervention chirurgicale dans un bureau
e. Non, car elle ne se trouvait pas dans des conditions optimales pour offrir des soins de qualité
f. Oui, car il s’agissait d’une intervention facile et donc à faible risque
e. Non, car elle ne se trouvait pas dans des conditions optimales pour offrir des soins de qualité
Est-ce que la Dre Filovent a agi ou non avec intégrité dans cette situation en acceptant de prodiguer des soins à « Bob » le chat de Mme Martin ?
a. Non, car le bureau de la Dre Filovent fermait pour la semaine de relâche
b. Non, car la Dre Filovent n’a pas cherché à avoir une connaissance suffisante des faits avant de poser son diagnostic
c. Oui, car la Dre Filovent avait une opinion juste sur la condition
d. Non, car la Dre Filovent aurait dû procéder à l’intervention sur « Bob » avant de quitter pour le suivi du cheval en coliques
e. Oui, car il s’agit d’une condition fréquente et facile à traiter
b. Non, car la Dre Filovent n’a pas cherché à avoir une connaissance suffisante des faits avant de poser son diagnostic
Choisir la bonne réponse identifiant la ou les valeur(s) pertinente(s) en jeu dans la situation et régie(s) par les lois et obligations déontologiques des médecins vétérinaires pratiquant au Québec.
a. Respecter ses limites
b. Faire preuve de disponibilité et diligence raisonnable
c. Engager sa responsabilité professionnelle
d. Se soucier de la sécurité et du bien-être animal
e. Élaborer un diagnostic selon les normes de pratique reconnues
f. Toutes ces réponses
Toutes ces réponses
Partant du dilemme d’action: 1) Opérer le chat Bob versus 2) Référer le cas du chat Bob. Quelles sont les parties impliquées dans cette mise en situation, y compris le décideur, les institutions ou les autres éléments de l’environnement qui ont des intérêts dans la décision à prendre (ie qui pourront subir des conséquences positives ou négatives de la décision) ?
a. Bob – Dre Filovent – Dr Dos Barré – Technicienne – Mme Martin
b. Mme Martin – Dre Filovent – Bob – Dr Dos Barré – autre MV consulté
c. Syndic – Dre Filovent – Dr Dos Barré – Autre MV consulté – Mme Martin
d. Bob – Dre Filovent – Technicienne – Syndi c – Mme Martin
e. Mme Martin – Dre Filovent – Bob – Syndic – Autre MV consulté
d. Bob – Dre Filovent – Technicienne – Syndi c – Mme Martin
Est-il déontologiquement acceptable que la Dre Filovent ne puisse pas assurer le suivi de la condition de l’animal qu’elle vient d’opérer ?
a. Oui, car elle ne pouvait pas référer l’animal dans ses conditions
b. Oui, car la fermeture du Bureau vétérinaire pour la semaine de relâche était annoncée au public depuis longtemps
c. Oui, car elle ne fait aucune promotion de ses services dans les animaux de compagnie
d. Non, car elle avait l’obligation d’assurer le suivi de cet animal qu’elle venait d’opérer
e. Non, car elle aurait pu déléguer le suivi à sa technicienne en son absence
d. Non, car elle avait l’obligation d’assurer le suivi de cet animal qu’elle venait d’opérer
Puisque l’intervention chirurgicale sur « Bob » était facile et peu complexe, la Dre Filovent était-elle justifiée de procéder à cette intervention dans son bureau vétérinaire ? Quelles sont les règles à suivre à cet égard ?
a. Non, car elle ne pouvait pas assurer le suivi nécessaire de « Bob » après l’intervention
b. Oui, car elle fait des interventions chirurgicales du même type sur des bovins régulièrement
c. Non, car selon les normes de pratiques, aucune intervention chirurgicale n’est permise dans un bureau vétérinaire
d. Non, car elle ne disposait pas d’une table en acier inoxydable dans son bureau vétérinaire
e. Oui, car c’est à elle de juger si elle dispose des moyens nécessaires comme son véhicule de service répond aux normes d’un service mobile pour grands-animaux
c. Non, car selon les normes de pratiques, aucune intervention chirurgicale n’est permise dans un bureau vétérinaire
Inspiré de la relation patient, client, vétérinaire de la mise en situation, identifiez une piste de solution qui aurait contribué à prévenir le litige.
a. Refuser de se déplacer pour le vêlage à la place du Dr Dos Barré et référer ce client à un autre vétérinaire
b. Exiger à Mme Martin la signature d’une renonciation à tous ses recours lors de la prise de rendez-vous
c. Assurer le suivi de la condition de l’animal durant la semaine de relâche malgré la fermeture annoncée du service et procéder elle-même à l’euthanasie
d. Refuser de recevoir Mme Martin et son chat en consultation en lui expliquant que les services offerts se limitent aux grands animaux
e. Recommander à Mme Martin de prendre rendez-vous dans un établissement exerçant dans les animaux de compagnie afin de pouvoir bénéficier d’un service approprié ensuite
e. Recommander à Mme Martin de prendre rendez-vous dans un établissement exerçant dans les animaux de compagnie afin de pouvoir bénéficier d’un service approprié ensuite
Est-ce que la renonciation à tout recours est une façon éthique et légale pour un professionnel de se soustraire à la responsabilité de ses actes ?
a. Oui, si le médecin vétérinaire n’a pas souscrit à une assurance en responsabilité professionnelle
b. Oui, s’il s’agit d’un cas de routine ou les perspectives de remboursement sont nulles
c. Non, si le vétérinaire est d’avis qu’il a commis une faute
d. Non, car le droit de recours en responsabilité professionnelle est un droit auquel tous les clients des médecins vétérinaires doivent pouvoir bénéficier
e. Oui, si la cliente est bien informée et qu’elle donne un consentement éclairé
d. Non, car le droit de recours en responsabilité professionnelle est un droit auquel tous les clients des médecins vétérinaires doivent pouvoir bénéficier
Considérant les différents domaines dans lesquels la Dre Filovent exerce sa profession de médecin vétérinaire, à quelle couverture d’assurance responsabilité cette dernière doit-elle souscrire ?
a. GA pour exercer en pratique mixte
b. Dre Filovent doit détenir une couverture PA, et souscrire à une couverture GA et Équins également pour exercer en pratique mixte
c. PA pour exercer en pratique mixte
d. PA et GA puisqu’elle exerce une pratique mixte
e. Aucune, si elle décide d’y renoncer
a. GA pour exercer en pratique mixte
Dre Filovent est-elle justifiée de refuser au syndic sa collaboration à l’enquête et à quoi s’expose-t-elle ?
a. Oui, car Mme Martin avait renoncé à tous ses recours incluant celui de porter une plainte au Bureau du syndic
b. Non, car la demande du syndic lui a été faite par écrit
c. Oui, car elle ne déclare pas à l’OMVQ exercer dans le domaine des animaux de compagnie
d. Oui, car de toute façon elle n’a pas tenue de dossier pour cet animal ayant agi dans ce cas à l’instar du bon samaritain
e. Non, car la collaboration avec le syndic est obligatoire pour tous les membres de l’Ordre
e. Non, car la collaboration avec le syndic est obligatoire pour tous les membres de l’Ordre
Partant du dilemme d’action: 1) Dr Beaufoin fait appel à Dre Pépin pour réduire le prolapsus utérin de la vache de Monsieur Renommé versus 2) Dr Beaufoin se rendra lui-même chez Monsieur Renommé après son cas de césarienne. Quelles sont les parties impliquées dans cette mise en situation, y compris le décideur, les institutions ou les autres éléments de l’environnement qui ont des intérêts dans la décision à prendre (ie qui pourront subir des conséquences positives ou négatives de la décision) ?
a. Propriétaire-vache (césarienne) – M. Renommé – Dre Pépin – Dr Beaufoin – Bureau du syndic – Compagnie d’assurances
b. Vache (prolapsus utérin) – M. Renommé – Dr Beaufoin – Dre Pépin – Bureau du syndic – Compagnie d’assurances
c. Propriétaire-vache (césarienne) – M. Renommé – Dre Pépin – Dr Beaufoin – Bureau du syndic
d. Vache (césarienne) et son veau – Vache (prolapsus utérin) – M. Renommé – Dr Beaufoin – Bureau du syndic
e. Vache (césarienne) et son veau – M. Renommé – Vache (prolapsus utérin) – Bureau du syndic – Compagnie d’assurances
b. Vache (prolapsus utérin) – M. Renommé – Dr Beaufoin – Dre Pépin – Bureau du syndic – Compagnie d’assurances
Choisir la bonne réponse identifiant la ou les valeur(s) pertinente(s) en jeu dans la situation et régie(s) par les lois et obligations déontologiques des médecins vétérinaires pratiquant au Québec.
a. Respecter les conditions de permis d’exercice de la profession
b. Éviter de se retrouver en conflit d’intérêt
c. Se soucier de la sécurité et du bien-être animal
d. Respecter les règles entérinées par la compagnie d’assurance
e. Toutes ces réponses
e. Toutes ces réponses
Est-ce que le Dr Beaufoin était justifié de déléguer à la Dre Pépin la tâche d’intervenir sur la vache de M. Renommé?
a. Non, car la Dre Pépin était seulement compétente dans les animaux de compagnie
b. Oui, car la Dre Pépin était une première de classe et que tous les établissements pour animaux de
c. Non, car la Dre Pépin était sa conjointe
d. Non, car la Dre Pépin n’était pas habilitée à poser plusieurs de ces actes vétérinaires sur des animaux
e. Oui, car de toute manière le Dr Beaufoin allait rejoindre la Dre Pépin pour l’assister dès que la césarienne qu’il était en train de faire était complétée
f. Oui, car M. Renommé est le meilleur client du Dr Beaufoin et qu’il s’agissait d’une urgence
d. Non, car la Dre Pépin n’était pas habilitée à poser plusieurs de ces actes vétérinaires sur des animaux
Est-ce que le fait qu’il s’agissait d’une situation d’urgence sert à justifier les moyens pris par le Dr Beaufoin dans ce cas précis?
a. Non, car il a permis à une personne de poser des actes qui ne peuvent pas être délégués
b. Oui, car la Dre Pépin est une personne habilitée à poser des actes vétérinaires sous supervision
c. Oui, car il ne pouvait se permettre de perdre son plus gros client au profit d’un autre médecin vétérinaire
d. Oui, car le Dr Beaufoin avait l’obligation de pallier à son problème de disponibilité pour servir son client
e. Oui, car il était important d’agir avec diligence sur le prolapsus utérin pour améliorer le pronostic
a. Non, car il a permis à une personne de poser des actes qui ne peuvent pas être délégués
Est-ce que le Dr Beaufoin, en permettant à la Dre Pépin de poser des actes vétérinaires, a agi en respectant ses obligations déontologiques?
a. Oui, car il avait une idée juste des habilités de la Dre Pépin et de ses compétences
b. Non, car il aurait dû exiger de M. Renommé la signature d’un consentement éclairé avant que la Dre Pépin ne touche à sa vache
c. Oui, car le Dr Beaufoin a l’obligation d’assurer à son client l’accès à un service en urgence
d. Non, car en agissant ainsi, il a permis que soit accompli des actes qui n’auraient pas dû être délégués même à une personne autorisée en vertu de la réglementation
e. Oui, car il a agi dans l’intérêt du bien-être animal
d. Non, car en agissant ainsi, il a permis que soit accompli des actes qui n’auraient pas dû être délégués même à une personne autorisée en vertu de la réglementation