APSIC 3 Flashcards
macrosomique
+ de 4000g à la naissance
pour mère, risque d’acidocétose, infection, hémorragie, césarienne, défaillance rénale, prééclampsie, déchirure périnéale
pour NN, risque d’anomalie congénitale, souffrance foetale, hypoglycémie, polyhydramios, décès intrautérine et fragilisation foetale
surveillances pour NN macrosomique
Surveillance de la glycémie (les NMD sont souvent sujets à l’hypoglycémie) 3 h suivant la naissance, la glycémie devrait être supérieure ou égale à 2,6 mmol/L.
Surveiller la présence d’hyperbilirubinémie et polycythémie (les NMD y sont très exposées).
Surveiller le risque d’hypocalcémie qui se manifestera dans les 24-48 h (Sx : agitation, cris ou des pleurs aigus, irritabilité, apnée, cyanose intermittente, distension abdominale).
Surveiller les signes de faim du nv-né (afin d’éviter qu’il ait un épisode d’hypoglycémie).
changements métaboliques grossesse
Durant les deuxièmes et troisièmes trimestres, les grands changements hormonaux font en sorte que l’organisme présente moins de tolérance au glucose, une résistance accrue à l’insuline, une baisse des réserves de glucose et une production accrue de celui-ci.
Cette insulinorésistance est un mécanisme pour économiser le glucose pour assurer son approvisionnement au fœtus.
Les besoins en insuline augmentent autour de 18-24e semaine jusqu’à la 35e, peuvent doubler et même quadrupler en fin.
Expulsion du placenta = chute des hormones et retour équilibre entre 7-10jrs pour femmes n’allaitant pas. Lactation = utilisation glucose, donc besoins en insuline de la mère allaitante restent faibles. À la fin du sevrage, les taux redeviennent comme avant. L’allaitement a un effet antidiabétogène sur l’enfant et sur la mère
hyperglycémie et foetus
L’hyperglycémie, au cours du premier trimestre de la grossesse, lorsque les organes et les systèmes organiques du fœtus se forment, est la cause principale d’anomalies congénitales liées au diabète
signes hyperglycémie
irritabilité, faim, sudation, nervosité, faiblesse, fatigue, vision floue, étourdissements, céphalées, pâleur
évaluation dbt
Besoins d’apprentissage et connaissances, état émotionnel, personnes importantes et leurs rôles, état de santé actuel, examen prénatal, effets du diabète sur la grossesse (ECG pour état cardiovasculaire, rétinopathie, PA, prise de poids, hauteur utérine)
interventions prénatales dbt
enseignement (suivi de la glycémie avec journal de bord, horaire quotidien constant des repas pour assurer gestion étroite de la glycémie, bons soins de pieds/généraux de la peau), régime alimentaire sain, traitement à l’insuline, exercice physique, surveillance fœtale (echo, décompte des mouvements, examens de réactivité fœtale)
interventions pernatales dbt
glycémie toutes les heures (beaucoup de dépenses d’énergie durant le travail), adm régulière d’insuline IV, surveillance continue de la FCF, observation de tout signes de dystocie fœtale, hydratation
interventions postnatales dbt
surveiller taux glycémie et modifier la dose d’insuline, signes de complications (prééclampsie, hémorragie, infection), allaitement, information sur planification familiale
traitement dbt
alimentation (saine, équilibrée et suivant l’horaire fixe, sans en sauter, tout comme les collations, pour optimiser l’insulinothérapie)
exercice
suivi de la glycémie
insulinothérapie
surveillance foetale
cible glycémie dbt
5,3 mmol/L avant repas
7,8 mmol/L 1h après repas
6,7 mmol/L 2h après repas.
exercice
Faire attention et nécessite suivi attentif pour éviter complications, pas besoin d’être énergique pour être bénéfique, 30-60min marche 3/jr recommandé, sans mise en charge, des bras ou utilisation du vélo en position allongée.
Meilleur moment = après repas.
évaluations/interventions post césarienne
Vérifier la perméabilité des voies respiratoires, la position pour éviter l’aspiration, SV toutes les 15min pendant 1-2h, l’état du pensement, le fundus utérin, la quantité de lochies, l’apport liquidien, le débit urinaire, le fonctionnement gastro-intestinal.
Aide la mère à bouger, à tousser, à respirer profondément, à bouger les jambes, avec la gestion de la douleur:
soutenir l’incision avec un oreiller au moment de se déplacer/tousser
techniques de relaxation
bouillotte tiède
marche
massages doux et circulaires sur le ventre
Procède aussi à l’enseignement par rapport au congé, à la promotion de la formation du lien parent-enfant, au régime alimentaire, à l’administration des médicaments, aux soins quotidiens et au soutien psychologique et éducatif.
récupération post césarienne
type de césarienne
état mental
condition physique
soutien social
nutrition
gestion de la douleur
mobilité précoce
soins post-op appropriés (plaie, nettoyage)
avantages avac
séjour hospitalier maternel plus court, perte de sang moindre, infections et complications thromboemboliques moins fréquentes
risques avac
rupture utérine et la morbidité néonatale
risque grossesse prolongée
travail difficile, lésions périnéales accrues, macrosomie
enseignement grossesse prolongée
dénombrer mouvements foetaux une fois par jour
surveiller signes de travail
communiquer en cas de rupture des membranes, de diminution/absence de mouvements foetaux
suivre les rdv médicaux
urgences obstétricales
liquide amniotique taché de méconium
dystocie des épaules
prolapsus/procidence du cordon
rupture de l’utérus
Liquide amniotique taché de méconium
indication fœtus a évacué première selle avant naissance
évaluer respi, fc et tonus NN
aspirer bouche et narines seulement s’il montre forte capacité respiratoire, bon tonus musculaire et fc de plus de 100
aspirer au delà des cordes vocales autrement
dystocie des épaules
Tête sort, mais l’épaule ne peut passer sous la symphyse pubienne, prolongeant l’accouchement
arrêter de pousser, manœuvre de McRoberts (jambes repliées écartées avec genoux contre abdomen) puis pression sus-pubienne. Éval du NN = examen physique pour déceler la fracture de la clavicule ou de l’humérus, le trauma du plexus brachial ou l’asphyxie. Éval maternelle = détection rapide de l’hémorragie ou du trauma vaginal, périnéal ou rectal
prolapsus du cordon
Cordon viens se placer sous la présentation fœtale ou de manière adjacente à celle-ci. La compression prolongée du cordon peut causer de l’hypoxie fœtale. Fait aussi fluctuer la FCF, causer une relaxation utérine inadéquate ou un saignement
avec des gants, repousser la présentation pour soulager la pression sur le cordon
administrer oxygène
amorcer perfusion IV
surveiller FCF
rupture de l’utérus
FCF inquiétant (ralentissements variables et tardifs, bradycardie, fluctuation absente ou minime) = signe courant. Possibilité de changement de hauteur, douleur abdominale constante, sensibilité utérine, déformation utérus, contractions cessent, signes de choc hypovolémique
Prévention = meilleur traitement (recommander que si déjà accouché par césarienne avec incision classique, de ne pas se rendre au travail)
Infirmière : mise en place de perfusion I. V., transfusion de produits sanguins, administration d’oxygène et préparation de l’intervention chirurgicale.
ictère
taux de bilirubine élevé, coloration jaune de la peau
néonatal = bénin, mais risque d’accumulation de bilirubine dangereux et mener à un état pathologique
ictère physiologique
Bénin
Aucun problème cardiorespiratoire/neurologique, ni sur métabolisme glucides, alimentation et élimination
Apparait 24h après la naissance et disparaît après 7jrs si à terme.
Apparait après 48h et disparait en 9-10jr si prématuré
ictère pathologique
taux de bilirubine sérique est tel qu’il entraine surdité de perception, légère déficience cognitive et l’ictère nucléaire (accumulation de bilirubine au cerveau)
symptômes causés par encéphalopathie (en raison d’hyperbilirubinémie)
dépistage ictère
pas seulement grâce au taux de bilirubine, mais aussi en déterminant le moment d’apparition des manifestations, de l’âge gestationnel/de l’âge en heures depuis la naissance, les antécédents familiaux dont le groupe sanguin maternel et la présence d’antigène Rh
signes précurseurs encéphalopathie
baisse de l’activité générale, la léthargie, l’irritabilité, l’hypotonie - et la convulsion épileptique.
traitement ictère
allaitement hâtif stimule excrétion du méconium et c’est là que la bilirubine est excrétée, mais reste à risque malgré excrétion,
donc utilisation de photothérapie et rarement exsanguinotransfusion (retirer en alternance une petite qtée de sang du NN et le remplacer par le sang d’un donneur)
photothérapie
le nouveau-né est placé sous une source de rayonnement à une distance de 45 à 50 cm
protection des yeux
surveillance étroite de la température
surveillance de l’hydratation et assurer une bonne hydratation, minimalement toutes les 3h par allaitement ou PNC
surveillance du débit urinaire, nombre et consistance des selles (dégradation bili = accroissement motilité gastrique)
surveillance de lésions cutanées
surveillance de l’état cardiorespiratoire
risques d’hypo chez NN
poids moins de 2 000g (pas de réserve)/plus de 4 000g (dépense ses réserves trop vites), le RCIU (retard de croissance), l’âge gestationnel inférieur à 37 semaines, le diabète ou le déséquilibre glycémique maternel (fœtus exposé à l’hyperglycémie du sang maternel, produit donc plus d’insuline. Lorsque le cordon ombilical est coupé, la perfusion de glucose n’est plus administrée au nouveau-né, il y a donc trop d’insuline proportionnellement et cela peut prendre plusieurs jours avant que la production d’insuline se stabilise) et la sepsie
signes hypo NN
hypotonie, tremblements, léthargie, apnée, tachypnée, cyanose
poids élevé pour âge gestationnel
+ haut risque morbidité (+ traumatismes à l’accouchement, asphyxie et anomalies congénitales)
vérif signes d’hypo et de traumatismes
hypocalcémie NN risques
Asphyxie, trauma périnatal, NN FPN, prématuré
traitement hypocalcémie
apport de calcium par le lait maternel enrichi/préparation pour prématuré
signe d’hypocalcémie
agitation. souvent quant traitement pour hypo est inefficace, envisager hypocalcémie
incompatibilité Rh
condition qui survient lorsqu’il y a une différence dans le groupe sanguin Rhésus entre la mère et le fœtus pendant la grossesse. Lorsque la mère est Rh- et le fœtus est Rh+, une incompatibilité Rh peut se produire. L’incompatibilité Rh est un problème potentiellement grave car si le sang du fœtus Rh+ entre en contact avec le sang de la mère Rh- , le système immunitaire de la mère peut produire des anticorps contre le Rh+ du fœtus. Ces anticorps anti-Rh peuvent ensuite traverser le placenta et attaquer les globules rouges du fœtus, ce qui peut entraîner une anémie, une jaunisse sévère et, dans les cas graves, des problèmes neurologiques chez le bébé.
maladie hémolytique
groupe sanguin mère et NN = incompatibles
test de coombs
permet la détection d’anticorps à la surface du globule rouge capables de le détruire (hémolyse) et d’entraîner une anémie
test de coombs direct
sur échantillon de sang de cordon, permet de savoir s’il y a présence d’anticorps maternels dans le sang fœtal
test de coombs indirect
voir si mère Rh négative porteuse d’un fœtus Rh positif a des anticorps dirigés contre l’antigène Rh pris à la première visite et à la 24e semaine si négatif la première fois. Si négatif lorsque repris au test suivant, la femme reçoit l’injection d’immunoglobuline Rh à 28 semaines comme elle n’a toujours pas été sensibilisée. s’il est positif, elle est déjà exposée, donc pas besoin de l’injection
immunoglobuline
Si mère est Rh - mais enfant +, il faut donner immunoglobuline comme il se peut qu’il y ait des contacts entre le sang de la mère et celui du foetus. L’injection empêche la production des anticorps. Elle est administrée durant la grossesse si un évènement la mettant a risque arrive (toutes les femmes recoivent minimalement 1 a 28 semaines de grossesse pour couvrir la fin de la grossesse puis un test de groupe sera fait a la naissance du NN, et une deuxième dose sera donnée si NN est +)
deuil du NN 3 phases
le choc, suivi d’une période de détresse aiguë
la période d’intense douleur/profonde tristesse
La phase de réorganisation arrive ensuite
détresse aigue
choc, stupeur, pleurs intense, dépression
profonde tristesse
réactions émotionnelles, cognitives, comportementales et physiques
réorganisation
parents retrouvent un degré plus normal de fonctionnement
en cas de deuil il faut
Actualiser la perte (clairement expliquer pour qu’ils comprennent qu’il est vraiment mort)
Sentir le soutien du personnel infirmier tout au long du séjour/visites
Comprendre les réactions normales de deuil chez les parents/famille
Recenser les ressources capables de fournir de l’aide familiale/spirituelle/médicale/communo
Offrir la possibilité aux grands-parents de tenir/bercer/emmailloter/aimer leur petit-enfant pour que leur deuil débute de façon saine
interventions et deuil
Individualiser les soins
Prendre en compte les croyances, pratiques ethnoculturelles et spirituelles des parents/famille
Note les principales observations, les réactions de deuil, l’enseignement effectué et l’assistance prodiguée en matière de santé et de soins, ainsi que toute demande de consultation pour la mère et tous les autres membres de la famille pour assurer la continuité des soins
Valider l’expérience et les sentiments des parents endeuillés en les encourageant à faire le récit de ce qu’ils vivent et en les écoutant avec compassion
permettre la création des souvenirs
création des souvenirs
Donner le poids, fournir les empreintes des pieds/mains, remettre les articles en contact avec le NN, donner une mèche de cheveux, prendre des photos
première alimentation PNC
peu de temps après naissance (SV stables, respiration efficace, bruits intestinaux, réflexe de succion et signes de faim)
fréquence alimentation PNC
6 séances ou plus/24h sont satisfaisantes, comme elles sont digérées plus lentement. Il y aura des augmentations dans l’appétit avec les poussées de croissance
régurgitations
Les régurgitations sont un processus physiologique normal et qui se font sans effort. Elles sont courantes et sans danger. Réduire en faisant faire des rots, en le tenant à la verticale ou en diminuant le débit de PNCs
suppléments de PNC
PNC enrichie de fer pour tous les nutriments pendant 6 premiers mois de vie
Ensuite ajouter 0.25mg de fluor par jour dans l’eau si elle n’est pas fluorée
PNC enrichies à la vitamine D n’ont pas besoin de suppléments de celle-ci
baby blues
S’explique par une chute hormonale importante, le stress et le manque de sommeil
Le début de la période postnatale semble marqué par une vulnérabilité émotionnelle et physique de la mère qui est souvent dépassée psychologiquement par la réalité des responsabilités parentales. La mère se sent privée des soins et du soutien qu’elle recevait de la famille et de ses amis durant la grossesse.
La fatigue suivant l’accouchement est accentuée par les exigences du NN qu’il faut satisfaire à toute heure du jour et de la nuit en plus des changements hormonaux, ce qui peut entrainer un sentiment dépressif plus marqué. La fatigue ressentie durant la période postnatale pourrait accroitre les risques de dépression postpartum et peut nuire à l’intégration du rôle maternel
Femme labile, pleure souvent facilement sans motif apparent, sautes d’humeur, anxiété, sentiment de déception, fatigue, insomnie, maux de tête, tristesse, colère.
Durent de quelques jours à maximum deux semaines
interventions baby blues
l’infirmière doit renseigner les parents sur la différence entre le baby blues et la DPP et les inciter à communiquer rapidement tout symptôme dépressif
Elle peut également enseigner diverses stratégies pour surmonter la fatigue postnatale
père
Les hommes vivent un processus de développement de l’engagement paternel pendant les premières semaines après la naissance de l’enfant.
Partager ses inquiétudes et ses besoins avec sa conjointe et participer aux soins du nouveau-né peut atténuer le sentiment de jalousie vécu par certains pères.
mère adolescente
La mère adolescente est attentionnée et affectueuse envers son nouveau-né, mais elle peut parfois avoir tendance à moins communiquer verbalement avec son enfant qu’une mère plus âgée. La mère et le père adolescents doivent simultanément poursuivre leur propre développement en tant qu’adolescents et devenir parents; ces transitions sont stressantes
risque de éclampsie, infections, endométriode, travail prématuré
mère âgée
La mère plus âgée fait souvent partie de la « génération sandwich, » qui doit prendre soin de ses parents âgés en même temps que de ses jeunes enfants.
enseignement pour difficulté allaitement
position
comment retirer le NN du sein (insérer un doigt dans la bouche)
emmener le sein au bb et non l’inverse
nécessité que la bouche du bb soit grande ouverte avant tétée
réflexe de bâillement : toucher la lèvre supérieure avec le mamelon + reculer légèrement la bouche OU effleurer coins des lèvres avec mamelon,
menton doit accoter contre le sein
mamelon vers palais
enseigner la normalité des selles et urines
si gerçures, brulures : mauvaise prise du mamelon. Ne doit pas faire mal. Mère doit sentir la traction. Appliquer de la linoline ou du colostrum q. boire pour soulager.
normalité selles
méconium qui s’évacue avec le colostrum, noire/vert. Après 3 jours, s’éclaircit. 5e jour : pâteuses, liquides, moutarde. Après 3-4 jours, augmentation volume des selles. Doit avoir 2-3 selles/jour. Après 3-4 semaines : une selle toutes les 3 jours.
normalité urine
Urines : au 4-5e jour, 6 couches bien mouillées par jour, de clair à foncé, mais ne doit pas présenter de cristaux d’urine (normal dans les 48 premières heures mais après cela, signe de déshydratation)
utilisation du tire lait
toujours stériliser le matériel avant ou après une séance avec de l’eau bouillante. Tirer comme le bb le ferait ; succion faible mais rapide au début, puis plus lente avec meilleure succion afin de stimuler la production rapide du lait, pour passer du colostrum à la montée laiteuse
enseignement pour renforcer compétences parentales
environnement sécuritaire
risque de découragement parental en lien avec les pleurs
soins du NN
interactions entre parents et NN
réactions sociales du NN
médicament et allaitement
Peu de méd. Sont contre-indiqué avec l’allaitement. La plupart sont excrétés par le lait maternel mais en trop faible quantité pour causer des effets indésirables au N-né/ nourrisson.
Conseil à la mère: pris de méd tout de suite après la tetée ou dans une période elle croit/pense/juge que l’enfant va s’endormir pour une longue période, prendre les méd. Indiqué par le MD et éviter tous autres méd., attendre 2 hrs après avoir fumé avant d’allaiter.
Consommation d’alcool, de tabac (perturbe la production de lait), port de timbre de nicotine déconseillé. Caféine, tabagisme diminuent la production de lait
tranchées utérines
contractions post accouchement
Les tranchées utérines sont plus présentes chez les femmes ayant vécues des grossesses ou l’utérus a subi une distension excessive. L’allaitement et l’administration d’ocytocine vont venir amplifier ces douleurs. Ces tranchées surviennent souvent lors de la première tétée->libération d’ocytocine. Elles vont également réduire les HPP.
enseignement PNC
- Position confortable
- Biberon adapté
- Technique d’allaitement et de positionnement du biberon
- Température du lait (vérifiée sur le poignet)
- Faire le rot 1 ou 2 fois par boire
- Ne pas laisser le NNé boire seul
- Tétine toujours remplie
- Stériliser le matériel utilisé
- Laver le biberon après chaque boire