Approche sociocognitive Flashcards
1re vague TCC constituée par
les approches fondées sur l’apprentissage (Watson et Skinner).
Les auteurs de la 2e vague reprennent les idées, concepts de Watson et Skinner et se proposent d’améliorer la théorie… Les éléments sur lesquels ils axent leurs efforts sont: (5)
Considération de la personne en tant qu’agent actif (donc pas seulement gouvernée par les stimuli environnementaux…)
Prise en compte des origines sociales du comportement
Ajout des processus cognitifs (comportements mentaux)
Inclusion des tendances comportementales et de la variabilité des comportements
Compréhension des apprentissages complexes lors desquels on ne retrouve pas de récompense… (choses qu’on fait qui n’ont pas été renforcées)
1re vague tenais pas compte de
environnement plus que ça ni de l’interne (pensées, croyances, …)
Qu’est-ce qui nous distingue fondamentalement des animaux?
Qu’est-ce qui fait notre «humanisme»? (3)
Formuler des raisonnements sur les événements, sur le monde, à l’aide du langage (faire des liens)
Considérer à la fois notre passé, l’ici et maintenant et anticiper le futur
Recourir à l’introspection et analyser nos propres pensées.
Vrai ou faux, il y a un impact de nos pensées sur nos actions
vrai ex: se parler mal
Les deux auteurs à la base du courant sociocognitif
Albert Bandura
Walter Mischel
Afin d’expliquer sur quoi repose la personnalité (la base de la structure), on retient 4 concepts
Les compétences et les habiletés (talents pas les mêmes)
Les croyances et les attentes (si je fais ça permettra d’obtenir cela, étudier fort, attente: bonne note)
Les normes du comportement
Les objectifs personnels
Un élément constitutif des différences individuelles serait
les habiletés personnelles
Habiletés personnelles (c’est quoi et étudié sous quel angle)
aptitudes à accomplir certaines actions. Ces habiletés sont étudiées ici sous l’angle de la spécificité situationnelle…
Habiletés personnelles présuppose une capacité à (2)
réfléchir sur les problèmes
développer des stratégies pour résoudre ces problèmes.
Habiletés personnelles, capacité à réfléchir et résoudre des problèmes est supportée par deux types de connaissances
connaissances procédurales et déclaratives
Différence entre connaissances procédurales et déclaratives
Procédurale (par pratique, difficile à expliquer (car complexe) faire du vélo, musique)
Déclarative (expliquer théorie, comment faire un gâteau)
Les compétences s’acquièrent de 2 façons:
interactions sociales et observation du monde social (imitation)
Élément qui distingue les approches purement béhavioristes et qui permet d’expliquer la variabilité de comportements dans une même situation..!
croyances et attentes
Croyances (def)
ma façon de me représenter le monde. (comprendre les choses)
Attentes (def + représentent…)
Ce que je crois qu’il adviendra dans le futur (mes anticipations). Représentent le principal déterminant de nos actions et de nos émotions…
Exemple croyance: Les gens sont fondamentalement méchants
attente?
attente : Je ne peux faire confiance aux autres pour m’aider si j’ai besoin
Les attentes centrales dans la personnalité sont celles portées sur …… Bandura appelle ce type d’attentes ……
le soi
le sentiment d’efficacité personnelle
Sentiment d’efficacité personnelle (def, haut niveau, situations, estime de soi)
représente le degré auquel la personne croit qu’elle peut accomplir certaines choses. (attentes envers soi envers sa capacité à faire quelque chose)
La présence d’un haut niveau de sentiment d’efficacité personnelle serait donc favorable à une personnalité «saine».
Il varie d’une situation à l’autre.
Ne correspond pas à l’estime de soi
Estime de soi def
renvoie à la perception de la valeur personnelle, valeur que les autres m’accordent et que je m’accorde en tant que personne
Vrai ou faux l’estime de soi pourrait influencer le sentiment d’efficacité personnelle)
vrai
Motivation à s’engager est très liée à
au sentiment d’efficacité personnelle
Un sentiment d’efficacité personnelle élevé permet (4)
De se fixer des objectifs stimulants et plus difficiles à atteindre;
D’offrir un meilleur rendement et de persévérer dans l’adversité;
D’aborder les différentes situations sous l’angle du positivisme;
De composer de façon plus efficace avec le stress et les déceptions.
Vrai ou faux, pour se donner des défis doit croire que l’on peut y arriver
vrai
Objectif
représentation mentale du but d’une action ou d’une conduite
….. nous permet d’établir des objectifs qui vont …..
notre capacité d’anticiper l’avenir nous permet d’établir des objectifs qui vont alimenter et orienter nos comportements.
Accomplissement d’un objectif présuppose et est influencé par le concept de ….
maîtrise de soi
Vrai ou faux, il est possible d’établir une certaine hiérarchie des objectifs
vrai
capacité d’établir une hiérarchie des objectifs est…. et influencée par…..
constitutive de notre personnalité, influencée par divers paramètres
Types d’objectifs (3)
Les grands objectifs (ex: devenir psy)
Les objectifs intermédiaires
Les objectifs secondaires (ex: appeler mon amie ce soir)
Quoi faire si nos objectifs sont trop demandant et leur atteinte semble impossible
Séquencer nos objectifs (moins gros bouts à la fois) difficile de faire tout d’un bout (doit être réaliste, précis, observable, concrets (faire un tel sport, pas juste perdre du poids (abstrait), revenir à la base)
Normes d’évaluation
paramètres internes pour estimer ou juger les résultats ou la valeur d’une personne, de soi ou d’une situation quelconque.
Nous ajustons donc nos comportements en fonction de …… et des …….. (plutôt appelées) qui leurs sont souvent associées
normes d’évaluation
réactions émotionnelles (plutôt appelées réactions d’autoévaluation)
Exemple de réaction d’autoévaluation reliée à une norme d’évaluation
Culpabilité si on croit avoir fait une chose répréhensible
Réactions d’autoévaluation
sentiments/émotions que l’on développe lorsque nous réfléchissons à nos actions. Était-ce juste/injuste, satisfaisant/insatisfaisant..? (jugements)
Normes d’évaluation strictes =
besoin d’accomplir choses grandioses pour se sentir fière
Vrai ou faux, les réactions d’autoévaluation sont très variables d’une personne à l’autre
Vrai
Capacité d’accorder une signification aux petites choses et d’être fière de soi pour les avoir accompli réfère à quel concept
réactions d’autoévaluation qui sont reliées aux normes d’évaluation
Représentation schématique de la structure de la personnalité selon l’approche sociocognitive (nommer les éléments constitutifs)
Au centre : Personnalité
Autour : compétences/habiletés, Croyances et attentes, Objectifs (buts), normes d’évaluation
Les processus sont régi par deux grands principes, qui illustrent la vision globale du fonctionnement de la personnalité selon les sociocognitivistes
Le déterminisme réciproque
Système cognitivo-affectif de la personnalité
Déterminisme réciproque (auteur, c’est quoi, composantes, contrairement à…, tout est…, ajustement, exemple)
Développé par Bandura
influences qui s’exercent entre diverses variables (personne, environnement et comportement) pour expliquer les comportements. Donc ici, chaque composante influence les autres, contrairement au primat des forces inconscientes de Freud… (tout est interrelié)
Les variables se réajustent au fil de ce qui se passe dans les autres
Ex: arrive en classe et tout le monde est habillé en blanc (impacte comportement (va s’asseoir en arrière) et personne (comment se sent))
Ce que je peux faire peut influencer l’environnement qui va ensuite impacter ma personne
Le système cognitivo-affectif de la personnalité (auteur, implique ….)
Développé par Mischel
implique qu’il y a de multiples processus qui alimentent notre personnalité et nos comportements, qui sont tous reliés entre eux et qui sont activés au besoin.
3 caractéristiques des processus de la personnalité selon le système cognitivo-affectif
Les composantes de la personnalité sont reliées entre elles de façon complexes (peut pas prédire le futur)
Importance de l’environnement social (et de ses multiples contextes) dans l’activation des différentes parties de la personnalité
Variations des comportements et attitudes en fonction des situations
Comment se fait-il que la plupart des comportements ne sont pas nécessairement suivis de récompenses ou punitions… Mais qu’ils sont tout de même réalisés…
ET
Comment se fait-il que plusieurs comportements n’ont pas à être réalisés sur un mode essai-erreur? (pas besoin de se pratiquer, ex: codes sociaux appris sans avoir démontré erreurs à ce niveau)
2 principes et une citation
Par l’observation (imitation) et
le modelage! «Fais ce que je dis et non ce que je fais…»
Imitation (observation)
Reproduction fidèle d’un modèle comportemental (ex: dessiner exactement même chose qu’un modèle)
Modelage
Apprentissage des règles générales de comportement par observation. (image inspire, ce que je dessine s’approche (tirer des conclusions, m’approprier apprentissages par déductions)
Liens entre jeux vidéos violents et violence par la suite
pas augmentation violence dans la vie (seulement ceux qui ont déjà des troubles de santé mentale) (Jeux violents pas grave, manière d’expression de notre agressivité doit le laisser exprimer) pas nécessairement bien mais laisse faire si pas problématique pas violent envers une vraie personne
Croissance et développement: l’apprentissage par observation : 2 phénomènes
acquisition et exécution
acquisition
apprentissage qui est réalisé sans être associé ou dépendant à un renforcement
exécution
mise en action du comportement, qui est ici associé à une récompense (ou évitement de punition).
l’exécution est influencée par le phénomène
d’incitation sociale
exemple du vol d’une collation (provient de quels concepts) (2)
comportement (vol) est influencée à la fois par l’observation des conséquences +ou- et de l’incitation de la part des pairs.
Apprentissage vicariant (def)
apprentissage des réponses émotionnelles par leur observation chez autrui
Vrai ou faux, possible de vouloir tellement approbation des autres (renforcement) que ne tient pas compte des conséquences (sur lui après ou sur la personne à qui il fait du mal
vrai
Qu’est-ce qui fait qu’une personne utilisera ou non ses connaissances pour en faire quelque chose…
la motivation
concept d’autorégulation renvoie à la capacité de l’individu à…. en …. , en….. et en…….
se motiver en se fixant des objectifs personnels, en planifiant des stratégies et en évaluant et modifiant son comportement
La motivation est influencée par ….. (exemple)
nos pensées “centrées sur soi” p.ex., à quoi cela peut me servir… Ai-je des chances de réussites…
Psychopathologie se développe par le biais de (3)
Apprentissages dysfonctionnels
Attentes et conceptions de soi dysfonctionnelles
Autoévaluations dysfonctionnelles
Attentes et conceptions de soi dysfonctionnelles (aussi par rapport à …., qui peut réparer les dommages)
Aussi par rapport aux autres ex: vouloir une réparation un autre adulte réparera ce qui a manqué avant, pas possible, seule la personne elle-même peut le faire, attentes face aux autres dysfonctionnelles
L’autorégulation est une fonction qui permet donc de ….. et d’éviter/amoindrir ……
fixer des objectifs à atteindre et d’éviter/amoindrir tout ce qui pourrait nuire à l’atteinte de ces objectifs… (obstacles)
Exemple d’autorégulation
aller à une bross au lieu d’étudier pour un examen (contraire)
Gratification différée (contrôle de la tendance, mieux tolérer le caractère différé, mise en place de….pour une meilleure maîtrise de soi)
Maintenant je m’applique à «contrôler» ma tendance à vouloir reproduire le comportement pour obtenir une satisfaction, mais qui viendra plus tard… (maîtrise de soi)
L’apprentissage de la gratification différée est facilitée par l’observation de modèle qui ont des normes de rendement élevées. De + les enfants jeunes qui arrivent à mieux tolérer le caractère différé de la gratification voient cette capacité perdurer dans le temps (avec meilleure gestion émotionnelle!!!)
Aussi, mise en place de stratégies cognitives qui permettent une meilleure maîtrise de soi… P.ex., se changer les idées, chanter, etc.
Motivation beaucoup reliée à….. et au….
nos pensées et croyances ainsi qu’au sentiment d’efficacité personnelle
Ce qui est très important lorsqu’on souhaite diminuer/ arrêter dans notre vie (alcool, drogues, jeux d’argent) (sont des dépendance gratification rapprochée)
Travailler sur soi doit croire que cela mènera à du bien en bout de ligne (différé) (une forte croyance en le processus)
Jusqu’à présent, nous avons surtout étudié l’émission des comportements (p.ex., quels sont les paramètres qui influent sur la mise en action d’un comportement). Mais qu’en est-il des comportements que l’on doit diminuer ou cesser (p.ex., parce que mauvais pour la santé, inapproprié socialement, etc.)?
Intervient ici :
l’importance de l’apprentissage de la gratification différée. ou plus catégoriquement la maîtrise de soi
Pourquoi est-il si difficile de changer son discours interne
automatique et doit pouvoir les remplacer
Changement : 2 types de thérapie
La thérapie rationnelle-émotive d’Albert Ellis
et
La thérapie cognitive de Beck
Changement: la thérapie rationnelle-émotive d’Ellis
Ellis insiste sur le fait que
ce ne sont pas les événements eux-mêmes qui sont susceptibles de provoquer la «détresse psychologique», mais bien la façon dont la personne réfléchit sur l’événement en question.
3 composantes à prendre en compte dans la théorie d’Ellis
Situation (FAITS objectifs)
Pensée (par rapport à la situation) (subjectif)
Émotion/comportement (ce qui en découle)
Proposition centrale d’Ellis selon laquelle
les pensées (ou croyances) qui provoquent la détresse psychologique sont irrationnelles
Base de la TCC (très validé, pour énormément de troubles)
la thérapie rationnelle-émotive d’Ellis
Pas vraiment évènement en soi (situation) qui a un impact sur nous, mais plus….
l’interprétation qu’on en fait qui nous affecte vraiment (comment on se sent et comment on agit par la suite) (comment interpréter un mauvais résultats à un examen, les regards, un personne qui s’éloigne de vous)
Ellis propose d’aider la personne qui expérimente la détresse psychologique à …..
mieux comprendre quelles sont les pensées irrationnelles utilisées.
Lorsque la personne arrive davantage à cerner ses pensées irrationnelles, elle peut ensuite…..
avec l’aide du thérapeute, les modifier..! (les transformer)
Représentent le principal déterminant de nos actions et de nos émotions…
Les attentes
Théorie qui n’explique pas mais catégorise
Théorie des traits
Beck s’intéresse au départ à…, ses propositions sont toutefois aujourd’hui applicables à une panoplie de troubles psychologiques.
la dépression
Schémas de pensée (schémas cognitifs) (def)
développent pendant l’enfance se cristallisent avec le temps et conduisent à l’apparition de pensées automatiques (apprendre à réfléchir d’une certaine manière tôt dans la vie)
Importance de….pour «moduler» les composantes cérébrales chez l’enfant.
support environnemental
pensées automatiques peuvent comporter des «erreurs» (pas nécessairement conforme à la réalité, qu’une possibilité et non une évidence), que l’on appelle …..
distorsions cognitives
Distorsions cognitives
façons de traiter l’information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles (automatique) et qui ont souvent pour conséquence d’entretenir des pensées et des émotions négatives. (voir feuille d’exemples)
personne déprimée difficile de s’en sortir car
pensées automatiques et distorsions bien ancrées
C’est ….. qui nous conduisent à un état d’anxiété
nos pensées
Ce qu’on devrait apprendre aux enfants
tout n’est pas un souffrance insurmontable
Exemple impact de distorsions cognitives (mon conjoint est en retard) 2 type de réactions
Propositions neutres: Il a peut-être été retenu par une longue réunion/ arrêté acheter du lait
Proposition grave: Il a peut être eu un problème/ il est mort … (émotions stress, tristesse, imagination débordante….) alors qu’il n’a pas lieu d’être
Vrai ou faux, penser au pire nous aide à nous y préparer
faux, Pas mieux préparé au pire (souvent ne se produit même pas (ne nous aide pas)
Dépression selon Beck général
causée par distorsions dans la perception de soi et du monde autour. Distorsions peuvent être regroupées en 3 catégories (triade cognitive de la dépression)
Triade cognitive de la dépression
Vision négative de soi
Vision négative de l’environnement
Vision négative de l’avenir
Vrai ou faux, en pleine dépression, on pense à des choses dont on ne penserais pas en temps normal (discours interne difficile)(ex: on va tous mourrir à cause des enjeux environnementaux)
vrai
L’approche sociocognitive s’est développée ++ depuis les premiers écrits de …… On retrouve différents….
Bandura et Mischel
formats de thérapie cognitive et la plupart sont reconnus dans la littérature scientifique comme efficaces pour plusieurs troubles psychologiques.
prémisses de base de la théorie sociocognitive (6)
- La reconnaissance de l’importance capitale des cognitions comme déterminant les émotions et les comportements
- L’intérêt des chercheurs et cliniciens devraient être porté sur les cognitions spécifiques liées à des situations elles-mêmes spécifiques
- La psychopathologie résulte de cognitions inadaptées ou fausses, de distorsions cognitives à propos du soi, des autres et des événements…
4.On suppose la possibilité qu’un cercle vicieux soit créer puisque les cognitions influencent les émotions et les comportements, qui eux-mêmes influencent les cognitions… (ex: il est en retard, il est mort) (la personne s’alimente elle-même en affect négatif)
- L’approche thérapeutique privilégie ici un format structuré et axé sur le présent, où le thérapeute est actif.
- Non-reconnaissance de l’utilité d’explorer l’inconscient, sauf lorsque certaines pensées dysfonctionnelles sont hors de la portée de la conscience.
Distorsions cognitives de Beck (6)
La pensée “Tout ou rien” ou “noir et blanc”
l’interférence arbitraire
la surgénéralisation
l’abstraction sélective
la personnalisation
La dramatisation et minimisation
La pensée « tout ou rien » ou « noir et blanc »
Il n’y a pas de nuances dans le discours, bon ou mauvais, toujours ou jamais… (clivage)
L’inférence arbitraire
Il s’agit de conclusions hâtives, généralement négatives. Il y a deux sous-types à cette distorsion : la lecture des pensées d’autrui (tendance à croire, de façon arbitraire, que l’autre a une attitude négative envers soi) et l’erreur de prévision (tendance à prévoir le pire et à s’en convaincre).
La surgénéralisation
tirer une conclusion générale sur la base d’une seule (ou quelques) situations. P.ex., si j’ai échoué un examen, alors je vais échouer tout le cours ou tous les autres examens…
L’abstraction sélective
Ne considérer que les éléments négatifs d’une situation. (Choisir information à garder)
La personnalisation
Ce qui arrive de négatif est de ma faute, ce que les autres font est relié à moi… (Tout ce qui va ma c’est de ma faute)
Dramatisation et minimisation
Amplifier les erreurs et minimiser les réussites, amplifier les éléments négatifs et minimiser les aspects positifs…
Distorsions proposées par David Burns (4)
- Le raisonnement émotionnel
- Les je dois et je devrais
- L’étiquetage
- Le blâme
Le raisonnement émotionnel
croire que parce que je ressens une émotion, il s’agit de la réalité. P.ex., si je me sens stressé, c’est parce qu’il y a du danger. (dans la réalité doit avoir justification à mon émotion)
Les je dois et je devrais
Il s’agit de fausses obligations, les attentes sont établies sans tenir compte de la situation (ai-je les ressources, est-ce le bon moment, etc.). P.ex., se sentir coupable de ne pas avoir pris le temps d’appeler un ami la journée de sa fête, alors que cette journée-là je suis en entrevue toute la journée pour un nouveau poste.
L’étiquetage
s’attribuer à soi, à un autre ou à une situation une étiquette plutôt que de qualifier l’erreur ou ce qui n’a pas fonctionné. P.ex., je suis un perdant plutôt que cette fois je n’ai pas réussi à courir mon 10km.
Le blâme
Tenir les autres responsables de ses émotions ou alors se blâmer pour celles des autres. (Ce n’est jamais de ma faute)