APP Phalange Thermie Flashcards
définition
LIQUIDES INTRACELLULAIRE (LIC)
Liquide occupant l’intérieur des cellules et contenant des solutés dissous (K+) indispensables à l’équilibre hydroélectrolytique et au métabolisme (65% du liquide total)
LIQUIDE EXTRACELLULAIRE (LEC)
Liquide présent à l’extérieur d’une cellule et comprenant le liquide interstitiel (lymphe) ainsi que le liquide intravasculaire (plasma sanguin) (35% du liquide total) = Na+ et Cl-
APPORT QUOTIDIENT TOTAL
Boire 2 500 mL d’eau / jour
PERTE LIQUIDIENNES QUOTIDIENNES TOTAL
2 200 mL – 2 750 mL
PERTE LIQUIDIENNES QUOTIDIENNES :
organes (4)
- Peau
- Poumons
- Tractus gastro-intestinal (tube digestif)
- Reins
TYPES DE PERTES HYDRIQUES :
peau
Pertes sensibles et insensibles
TYPES DE PERTES HYDRIQUES :
poumons
Pertes insensibles
TYPES DE PERTES HYDRIQUES :
Tractus gastro-intestinal (tube digestif)
Pertes sensibles
TYPES DE PERTES HYDRIQUES :
reins
Pertes sensibles
QUANTITÉ QUOTIDIENNE PERTE HYDRIQUES:
peau
500 – 600 mL
QUANTITÉ QUOTIDIENNE PERTE HYDRIQUES :
poumons
400 mL
QUANTITÉ QUOTIDIENNE PERTE HYDRIQUES :
Tractus gastro-intestinal (tube digestif)
100 – 200 mL
QUANTITÉ QUOTIDIENNE PERTE HYDRIQUES:
reins
1 200 mL – 1 500 mL
définition
Perte sensible
perceptible par le PT
- par de la sudation (diaphorèse)
- par l’urine
- par les selles
- grande perte eau + électrolytes
définition
Perte insensible
évaporation eau par la peau et les voies respiratoires = PAS de perte électrolytes + gaz
définition
Anurie
perte d’urine < 100 mL/24 h
défintition
Oligurie
perte d’urine < 500 mL/24 h
définition
Polyurie
perte d’urine > 3 L/24 h
FACTEURS DE RISQUES ET CAUSES DES DÉSÉQUILIBRES (7)
- ÂGE (NORMALE)
- RÉGIME ALIMENTAIRE
- ENVIRONNEMENT
- MALADIES CHRONIQUES (PAS TRAITEMENTS)
- TRAUMATISMES (MALADIES AIGUËS = < 3 MOIS)
- Tx
- PERTES PAR VOIES DIGESTIVES
FACTEURS DE RISQUES ET CAUSES DES DÉSYQUILIBRES : raison
ÂGE
Très âgé
:
- PAS capacité ressentir soif
- DIMINUTION nb de néphrons fonctionnels = ralentissement débit de filtration glomérulaire (reins)
- PAS capacité à excréter meds
- changement de la fonction respiratoire
FACTEURS DE PERTURBATION LIQUIDIEN ET ÉLECTROLYTIQUE CHEZ L’AINÉ
- Environnement de la personne (institutionnalisation, climat extérieur)
- Conditions de santé (diabète, dépression, démence) et traitements (laxatifs, diurétiques, benzodiazépines)
- Composition de l’organisme change = DIMINUTION teneur en eau
- Mobilité, dextérité réduite, inquiétudes maitrise de la miction
- DIMINUTION Élasticité = perturbation équilibre hydrique = test pli cutané PAS efficace
- Ingesta quotidien faible (< 1 500 mL / jour) = PAS se fier à la soif
- Barorécepteurs moins efficace = HTO
- Vieillissement cardiovasculaire = DIMINUTION capacité d’adaptation à AUGMENTATION LEC = œdème pulmonaire
- Difficulté à éliminer une forte charge d’acide = acidose métabolique
fonctions (3)
SODIUM (Na+)
- Mouvement et rétention du liquide dans l’organisme
- Tonicité et à l’osmolalité extracellulaire
- Mécanisme de transport actif
fonction (8)
POTASSIUM (K+)
- Régule nombreuses activités métaboliques
- Équilibre acidobasique
- Transmission des impulsions nerveuses
- Conduction cardiaque normale
- Tonicité (osmolalité) intracellulaires
- Contraction des muscles lisses et squelettiques
- Réactions enzymatiques
- Maintient le potentiel de repos membranaires des ¢ musculaires
fonctions (6)
CHLORURE (Cl-)
- Maintien de la tonicité (osmolalité) plasmatique
- Équilibre acidobasique
- Acidité de liquides organiques (ex : suc gastrique)
- Équilibre hydrique (avec le sodium)
- Oxygénation des globules rouges
- Transport de dioxyde de carbone (CO2)
DÉSHYDRATATION : manifestations cliniques
- Faiblesse
- Étourdissements
- ↓ Poids
- Soif
- Ingesta < excreta
- ↓ l’élasticité de la peau
- Peau sèche
-
Sécheresse des muqueuses, yeux creux,
diminution de la production de larmes - T° inférieure à la normale
- ↑ FC et DIMINUTION amplitude
- ↑ FR
- ↓ PA
- Hypotension orthostatique (HTO)
- Jugulaires affaissées
- Remplissage capillaire allongé
- Urines concentrées
- AUGMENTATION Densité urinaire
- Perte pondérale
DÉSHYDRATATION :
moyens pour évaluer (6)
- Peser la personne (à jeun)
- Prendre ses SV
- Évaluer l’élasticité de la peau
- Mesurer les ingesta et les excreta
- Surveiller le bilan ionique
- Surveiller les résultats du sommaire microscopique des urines (SMU)
SURCHARGE LIQUIDIENNE : manifestations cliniques
- Gain pondéral rapide
- Œdème
- Ingesta > excreta
- Polyurie
- Muqueuses humides
- Tachycardie et pouls bondissant
- ↑ PA
- ↑ pression de la veine jugulaire
- Distension des jugulaires et des veines périphériques
- Crépitants (râles)
- Dyspnée
- Essoufflement
SURCHARGE LIQUIDIENNE :
moyens pour évaluer (5)
- Peser la personne (à jeun).
- Prendre ses SV.
- Dépister la présence d’œdème.
- Ausculter les poumons.
- Mesurer les ingesta et les excreta.
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Peser la personne (à jeun) :
justifications
↓ Rapide du poids
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Prendre ses signes vitaux :
justifications
Présence d’hypotension (↓ PA),
de tachycardie (↑ FC),
de tachypnée (↑ FR) et
d’une ↓ T˚
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Évaluer l’élasticité de la peau :
justifications
Présence de la persistance du pli cutané (PAS ainés)
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Mesurer les ingesta et les excreta : justifications
Ingesta < excreta
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Surveiller les résultats du bilan ionique :
justifications
↑ du taux de sodium (Na+) sanguin
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Surveiller les résultats du sommaire microscopique des urines (SMU) :
justifications
↑ de la densité urinaire
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Administrer des liquides par voie orale (2 000 à 3 000 mL die) s’il n’y a pas de contre-indication :
justifications
↑ ingesta par rapport aux excreta et ainsi permettre une ↑ liquides intravasculaires
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Administrer des liquides isotoniques ou hypertoniques (concentrés en électrolytes p.ex. NaCl) par voie I.V si prescrit :
justifications
Assurer un équilibre en électrolytes et les électrolytes favorisent la rétention des liquides ce qui ↑ le volume sanguin
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Prodiguer des soins de la bouche : justifications
Éviter la sécheresse des muqueuses buccales et les lésions à la muqueuse buccale
interventions infirmières : DÉSHYDRATATION
Aider la personne à se mobiliser PRN : justifications
Assurer la sécurité et ainsi éviter les risques de chutes (PA DIMINUE)
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Peser la personne (à jeun) :
justifications
↑ rapide du poids
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Prendre ses signes vitaux :
justifications
Présence d’une ↑ PA et de la tachycardie
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Dépister la présence d’œdème :
justifications
Démontre une augmentation des liquides dans les tissus
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Ausculter les poumons :
justifications
Présence possible de crépitants dû à l’eau dans les poumons car perméabilité AUGMENTE donc eau des v. sanguins va dans poumons
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Mesurer les ingesta et les excreta : justifications
Ingesta > excreta
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Réduire l’apport liquidien si possible :
justifications
↓ les ingesta par rapport aux excreta et ainsi permettre une ↓ des liquides intravasculaires
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Placer la personne en position de Fowler
(tête de lit élevée à plus de 45°) : justifications
Facilite l’expansion de la cage thoracique → ↑ échanges gazeux en présence de dyspnée
(essoufflement/manque d’air)
interventions infirmières : SURCHARGE LIQUIDIENNE
Limiter l’apport alimentaire de sodium :
justifications
Le sodium favorise la rétention des liquides par osmose
DÉFINITION
Œdème
gonflement par liquide interstitiel
définition
Œdème à godet
creux persistant après pression
définition
Polydipsie
sensation soif permanente et intense
définition
Natrémie
concentration sodium (Na) dans sang
définition
Kaliémie
concentration potassium (P) dans sang
FONCTIONS DE LA PEAU (4)
- PROTECTION
- SENSIBILITÉ
- THERMORÉGULATION
- EXCRÉTION ET SÉCRETION
fonction
PROTECTION
-
Épiderme
: imperméable = empêche l’entrée des microorganismes (surface de la peau + follicules pileux) - Sécheresse relative = fissures = entrée des microorganismes
-
Sébum
= élimine bactéries des follicules pileux -
pH acide
= retarde prolifération bactérienne (multiplication rapide)
partie anatomique
SENSIBILITÉ
Terminaisons nerveuses (toucher, douleur, chaleur, froid et pression)
fonction
THERMORÉGULATION
Chaleur du corps évacuée
- Conduction
- Rayonnement
- Évaporation
- Convection
BUT
EXCRÉTION (sueur) ET SÉCRÉTION (sébum)
- Sueur = perte de chaleur (évaporation)
- Sébum = lubrifie peau et cheveux
quoi regarder
INSPECTION ET PALPATION DE LA PEAU
TÈTE
- Température
- Élasticité (palpation du pli cutané)
- Texture
LES
- Lésion
CHAUVES
- Coloration (lèvres, lit ungénaux, paume mains, plante des pieds, langue et muqueuse, conjonctive de l’œil = moins exposé au soleil, donc moins pigmentée)
- Humidité
- Œdème (trouble de retour veineux ou traumas directs)
- Vascularisation (pouls et pression)
quoi regarder
INSPECTION DES YEUX ET DE LA BOUCHE
Position et alignement
YEUX
- Sourcils
- Paupières
- Appareil lacrymal
- Conjonctive (membrane intérieur)
- Cornée (couche transparente)
- Sclérotique (blanc de l’œil)
- Iris (couleur)
- Pupilles (troues)
BOUCHE
- Lèvres
- Muqueuse buccale
- Gencives
- Dents
- Langue
- Plancher buccal
- Palais
- Pharynx
RÔLE DE L’INFIRMIÈRE AVEC LES SOINS D’HYGIÈNE (6)
- Évalue la situation et la pertinence des soins d’hygiène
- Identifie le type de soins d’hygiène approprié
- Donne les directives aux PAB concernant le type de soins et les particularités du patient
- S’assure de la qualité des soins reçus
- Fait un suivi et une évaluation en liens avec les données recueillies par le PAB
- Consigne au dossier toute information pertinente (plaies, évolution, lésions)
INTERVENTIONS INFIRMIÈRES NON PHARMACOLOGIQUES EN CAS DE PEAU SÈCHE (5)
- Prendre bain moins souvent + bien rincer corps =
PAS
résidu de savon SINON, irritations + lésions - Humidificateur = AUGMENTE taux humidité de l’air
- S’hydrater davantage lorsque la peau est sèche
- Utiliser crème hydratante = aide guérison (barrière protectrice + hydrater peau)
- Crèmes nettoyantes si peau sèche ou allergie aux savons/détergents = diminue frottement sur la peau comparée au savon
PHYSIOLOGIE DE LA RÉGULATION DE LA TEMPÉRATURE CORPORELLE
(3)
- Thermorégulation = maintien équilibre entre chaleur perdue/produite par hypothalamus = T. centrale stable
- Production chaleur (AUGMENTATION métabolisme = AUGMENTATION SV) : activité musculaire, frisson (diff. T˚ int. et ext.), thermogenèse
- Perte de chaleur (constante) : rayonnement (objet-objet, PAS contact, par ondes), conduction (objet-objet avec contact), convection (mouvement de l’air), évaporation (liquide vers gaz, transpiration)
PERTE DE CHALEUR (4)
- rayonnement (objet-objet, PAS contact, par ondes),
- conduction (objet-objet avec contact),
- convection (mouvement de l’air),
- évaporation (liquide vers gaz, transpiration)
FACTEURS INFLUANT SUR LA TEMPÉRATURE CORPORELLE (6)
- ÂGE (NORMALE)
- EXERCICE PHYSIQUE
- VARIATIONS HORMONALES (ménopause)
- RYTHME CIRCADIEN (sommeil)
- STRESS
- ENVIRONNEMENT
FACTEUR INFLUANT SUR LA TEMPÉRATURE CORPORELLE : pourquoi
ÂGE
Aîné
:
- DIMINUTION fonction des G. sudoripares, ralentissement métabolisme (T˚DIMINUE)
- DIMINUTION processus vasomoteur (variation DIMINUE et T. moyenne DIMINUE),
- DIMINUTION quantité de tissus sous-cutané
FACTEUR INFLUANT SUR LA TEMPÉRATURE CORPORELLE : pourquoi
ACTIVITÉ PHYSIQUE
augmentation apport sanguin + dégradation nutriments = augmentation métabolisme = augmentation production chaleur
FACTEURS INFLUANT SUR LA TEMPÉRATURE CORPORELLE : pourquoi
VARIATIONS HORMONALES
- Variations hormonales du cycle menstruel + ménopause = hausses irrégulières (bouffées vasomotrices) = instabilité des contrôles vasomoteurs
- H. thyroïdiennes = dégradation du glucose et des graisses corporelles + augmentation taux de réactions chimiques (augmentation métabolisme basal)
FACTEURS INFLUANT SUR LA TEMPÉRATURE CORPORELLE : pourquoi
RYTHME CIRCADIEN
- augmentation T. constante entre 5h et 16h
- diminution T. constante entre 16h et 5h
STRESS
Stress physique et émotionnel (stimulation hormonale et nerveuse) = augmentation T. corporelle (augmentation métabolisme)
facteur influant la T˚ corporelle : comment ?
ENVIRONNEMENT
- Pièce très chaude : corps n’arrive pas à faire les processus de perte de chaleur = augmentation T.
- Pièce très froide : grande perte de chaleurs du corps par rayonnement et conduction = diminution T.
phase hyperthermie : définition
Apparition
(phase des frissons)
phase hyperthermie : définition
Évolution
installation de la fièvre
phase hyperthermie : définition
Régression
(disparition progressive des signes et symptômes)
APPARITION :
manifestations cliniques
- Frissons
- ↑FC et de l’amplitude
- ↑FR et de l’amplitude
- Peau froide et pâle
- Sensation de froid
- Lits unguéaux cyanosés
- Piloérection (chair de poule)
- Arrêt de la diaphorèse (sudation extrème)
- Tremblements
ÉVOLUTION :
manifestations cliniques
- Arrêt/diminution des frissons
- Peau chaude au toucher et rouge (vasodilatation)
- Photosensibilité
- Yeux vitreux
- ↑ FC et FR
- Soif accrue
- Déshydratation (légère ou grave)
- Somnolence, agitation, délire ou convulsions
- Lésions herpétiques de la bouche (si présence du virus)
- Perte d’appétit (si T° se prolonge)
- Malaises, faiblesse et courbatures
RÉGRESSION :
manifestations cliniques
- Peau rouge et chaude au toucher
- Transpiration, diaphorèse
- ↓ frissons
- Déshydratation possible
HYPOTHERMIE :
manifestations cliniques
- ↓ T° corporelle < 36°C
- ↓ FC, FR et PA (métabolisme diminue)
- Frissons marqués (début)
- Sensation de froid, tremblements
- Peau cyanosée
- Peau pâle, fraîche et cireuse (sang vers organes vitaux)
- Perte de coordination musculaire
- Désorientation
- Somnolence évoluant vers le coma
HYPERTHERMIE :
moyens pour évaluer (3)
- Mesurer les SV
- Évaluer la coloration et la T˚ de la peau
- Mesurer les ingesta et les excreta
HYPOTHERMIE :
moyens pour évaluer
- Mesurer les signes vitaux
- Évaluer la coloration et la température de la peau
interventions infirmières : APPARITION
Mesurer les signes vitaux : justifications
↑ FR, FC et de l’amplitude du pouls
interventions infirmières : APPARITION
Évaluer la coloration et la température de la peau : justifications
Se manifeste par une peau pâle et froide.
interventions infirmières : APPARITION
Fournir des couvertures : justifications
Si elle a froid pour éviter les frissons
interventions infirmières : APPARITION
Réduire l’activité physique : justifications
Limiter la production de chaleur
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Mesurer les signes vitaux : justifications
↑ T˚ > 38°C, ↑ FC et amplitude, ↑ FR et amplitude
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Évaluer la coloration et la température de la peau : justifications
Se manifeste par une peau rouge et chaude au toucher
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Mesurer les ingesta et les excreta : justifications
Évaluer si manifeste de la déshydratation légère ou grave
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Retirer les couvertures si la personne ne frissonne pas : justifications
Favorise la perte de chaleur par rayonnement
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Assurer un apport liquidien de 2000 mL à 3000 mL die
(sauf si contre-indication) :
justifications
Pallie à la soif accrue et évite la déshydratation
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Utiliser un ventilateur : justifications
Augmente la circulation de l’air et favorise la perte de chaleur par convection
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Maintenir une bonne hygiène buccale : justifications
Garder les muqueuses humides pour éviter les lésions buccales
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Donner un bain à l’eau tiède : justifications
Favorise la perte de chaleur par conduction
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Réduire l’activité physique : justifications
Limite la production de chaleur
interventions infirmières : ÉVOLUTION
Administrer des antipyrétiques selon l’ordonnance :
justifications
↓ T˚ corporelle
interventions infirmières : RÉGRESSION
Mesurer les signes vitaux :
justifications
Pour évaluer si les SV se rapprochent de la normalité
interventions infirmières : RÉGRESSION
Évaluer la coloration et la température de la peau :
justifications
Se manifeste par une peau rouge et chaude au toucher
interventions infirmières : RÉGRESSION
Mesurer les ingesta et les excreta : justifications
Déshydratation possible
interventions infirmières : RÉGRESSION
Assurer un apport liquidien de 2000 mL à 3000 mL die
(sauf si contre-indication) :
justifications
Pallie à la soif accrue et évite la déshydratation
interventions infirmières : RÉGRESSION
Maintenir une bonne hygiène buccale :
justifications
Garder les muqueuses humides pour éviter les lésions buccales
interventions infirmières : RÉGRESSION
Retirer les couvertures si la personne ne frissonne pas :
justifications
Favorise la perte de chaleur par rayonnement
interventions infirmières : RÉGRESSION
Réduire l’activité physique :
justifications
Limite la production de chaleur
interventions infirmières : RÉGRESSION
Veiller à garder les vêtements et la literie sèche :
justifications
Favorise le confort en raison de la présence de transpiration ou de diaphorèse
interventions infirmières : RÉGRESSION
Administrer des antipyrétiques selon l’ordonnance :
justifications
↓ T˚ corporelle
interventions infirmières : HYPOTHERMIE
Mesurer les signes vitaux :
justifications
↓ T° corporelle < 36°C, ↓ FC, ↓ FR et ↓ PA
interventions infirmières : HYPOTHERMIE
- Installer la personne dans un milieu ambiant chaud
- Couvrir de couvertures chaudes
justifications
Permet de conserver et ↑ T° corporelle
interventions infirmières : HYPOTHERMIE
- Couvrir de vêtements secs
- Lui garder les membres près de son corps
- Couvrir sa tête avec un bonnet
justifications
Permet d’éviter la perte de chaleur par conduction
interventions infirmières : HYPOTHERMIE
Lui administrer des liquides chauds par voie orale (ou si prescrit, par voie intraveineuse) :
justifications
↑ T° corporelle
quelles classes d’antipyrétiques
INDICATIONS
- Fièvre
- Douleur légère à modérée
- Inflammation
- Salicylates
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
quelle classe
INDICATIONS
- Fièvre
- Douleur légère à modérée
Analgésiques non opioïdes
quelle classe
CONTRE-INDICATIONS
- Hypersensibilité à l’aspirine, aux salicylates ou aux AINS
- Ulcère gastroduodénal
Salicylates
quelle classe
CONTRE-INDICATIONS
- Hypersensibilité à l’aspirine ou à un AINS
- Ulcère gastroduodénal
- Hémorragie digestive
Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
quelle classe
CONTRE-INDICATIONS
- Hypersensibilité à l’acétaminophène
- Maladie hépatique ou rénale
- Abus ou consommation de dose massive d’alcool
Analgésiques non opioïdes
quelle classe
PRINCIPAUX EFFETS SECONDAIRES
- Irritation gastro-intestinale
- Hémorragie digestive
- Effet antiplaquettaire (saignement)
Salicylates
quelle classe
PRINCIPAUX EFFETS SECONDAIRES
- Irritation gastro-intestinale
- Hémorragie digestive
Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
quelle classe
PRINCIPAUX EFFETS SECONDAIRES
- Insuffisance hépatique
- Hépatotoxicité (surdosage)
- Insuffisance rénale
Analgésiques non opioïdes
ALTERNATIVES À LA MÉDICATION (antipyrétiques) : 10
- Ne couvrir la personne qu’avec un drap, sauf en présence de frissons
- S’assurer que la literie est sèche et la changer PRN
- Donner un bain à l’eau tiède
- Inciter la personne à boire 2 L de liquide par jour
- Administrer les liquides IV
- Appliquer des sacs de glace recouverts de serviettes aux aisselles et aux aines
- Utiliser un ventilateur pour augmenter la circulation d’air
- Procéder aux soins d’hygiène buccale ou encourager la personne à le faire
- Administrer de l’oxygène
- Utiliser une couverture réfrigérante PRN
administrer un antipyrétique aux personnes âgées si…
… si T˚ > 37,8°C rectale ou si augmentation T > 1,1°C de la valeur normale de la personne (car métabolisme diminue)
MÉTHODE POUR RECUEILLIR L’URINE
PRÉLÈVEMENT PAR MI-JET
PRÉLÈVEMENT PAR MI-JET : étapes
- Saisir pénis/petites lèvres avec la main non dominante
- Nettoyer avec serviette antiseptique (départ du méat urinaire vers gland/anus) X2
- Amorcer miction dans la toilette (quelques millilitres)
- Mettre contenant stérile sous méat urinaire et reprendre la miction (15 mL pour SMU et 30 mL pour DCA)
- Retirer contenant stérile et terminer miction dans la toilette
ÉVITER QUE LE GLAND, LE MÉAT URINAIRE OU LES POILS PUBIENS SE RETROUVENT EN CONTACT AVEC LE CONTENANT STÉRILE
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
pH
[4,6 ; 8,0]
moyenne [5,0 ; 6,0]
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Aspect
Limpide (transparent) :
sinon, présence de bactéries
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Odeur
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Protéines
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Glucose
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Cétones
(corps cétoniques)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Sang
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Densité
[1,005 ; 1,030]
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Globules blancs
(leucocytes)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Nitrites
(nitrate alimentaire transformé par bactéries)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Bilirubine
(pigment jaunâtre de la bile)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : ANALYSE D’URINE (SMU)
Urobilinogène
(issu de la transformation de la bilirubine)
[0 ; 16]
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Hématies
[0 ; 2] globules rouges dans champ à fort grossissement
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Globules blancs
[0 ; 5] / champ à fort grossissement
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Bactéries
Absence
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Cylindres
(forment l’aspect des corps)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Cristaux
(calculs rénaux)
Absence
COMPOSANTES NORMALES : CULTURE D’URINE (DCA)
Cellules pavimenteuses
Absence
(contamination du spécimen)
CULTURE D’URINE (DCA) :
stérile ou non-stérile
STÉRILE
ANALYSE D’URINE (SMU) :
stérile ou non-stérile
NON-STÉRILE
FACTEURS DE RISQUES DE DÉVELOPPER UN MÉLANOME (9)
- Rayons ultraviolets (UV)
- Présence de nombreux grains de beauté
- Grain de beauté atypique
- Nævus à mélanocytes congénital
- Syndrome du nævus dysplasique
- Autres affections héréditaires
- Peau, yeux, poils et cheveux de couleur pâle
- Antécédents personnels de cancer de la peau
- Antécédents familiaux de cancer de la peau
- Mutation du gène CDKN2A
(C
‘estD
es Cas (K
) deN
iveau2
A
lerte) - Système immunitaire affaibli
définition de chaque lettre
SIGNES AVERTISSEURS D’UN MÉLANOME :
ABCDE
- A : Asymétrie (différence entre les deux moitiés)
- B : Bords (irréguliers, entaillés ou flous)
- C : Couleur (pigmentation non uniforme, avec des nuances, avec rouge/noir/brun/blanc/gris)
- D : Diamètre (plus de 6 mm)
- E : Évolution (taille, forme et couleur change)
INTERVENTIONS PRÉVENTIVES RELIÉES AU MÉLANOME
- Être à l’ombre entre 11h et 15h (printemps à automne)
- Portez des vêtements qui couvrent le plus de peau possible et tissés serrés+ chapeau à large rebord
- Écran solaire > 30 FPS (contre UVA et UVB) = 15 min. avant exposition + après baignade
- Lunettes de soleil avec protection anti-UV
- Éviter salons de bronzage = vieillissement prématurée de la peau
on administre un antipyrétique si T˚ ________
si T˚ > 38,5˚C
(adultes)
on administre un antipyrétique À UNE PERSONNE AGÉE si T˚ ________
si T˚ > 37,8˚C ou si ↑ T˚ > 1,1˚C
composantes SMU
(12)
- pH
- Transparence
- Odeur
- Protéines
- Glucose
- Cétones
- Sang
- Densité
- Globules blancs (leucocytes)
- Nitrites
- Bilirubine
- Urobilinogène
composantes DCA
(6)
- Hématies : [0 ; 2] globules rouges / champ à fort grossissement
- Globules blancs : [0 ; 5] / champ à fort grossissement
- Bactéries : Absence
- Cylindres : Absence
- Cristaux : Absence
- Cellules pavimenteuses : Absence