9.2 Flashcards

1
Q

deux types de mémoires

A
  1. Mémoire de travail
  2. Mémoire à long terme
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Q

deux type de mémoire à long terme

A
  1. Mémoire déclarative (explicite)
  2. Mémoire non déclarative (implicite)
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3
Q

Deux types de mémoire déclarative (explicite)

A
  1. Mémoire épisodique (évènements)
  2. Mémoire sémentiques (faits)
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4
Q

3 types de mémoire non déclarative (implicite)

A
  1. Amorçage
  2. Mémoire procédurale
  3. Conditionnement
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5
Q

La mémoire non déclarative

A

Ensemble des représentation inconsciente

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6
Q

La mémoire procédural (fonctions)

A

Diverses habiletés motrices, cognitives et perceptuelles
Encodage et stockage des procédures qui sous-tendent les habiletés
Difficilement verbalisables
S’expriment dans l’action

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7
Q

La mémoire procédurale (structure)

A

PHOTO

Noyaux gris centraux : Rétention de commandes motrices

Striatum (putamen et noyau caudé)
Boucles motrices

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8
Q

La mémoire procédurale motrice

A
  • suite de bouton avec une même séquence avec certains éléments random
  • plus rapide même si nous sommes inconscient de cette suite, car la concentration est sur la vitesse

plus rapide chez les moins de 30 ans

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9
Q

La mémoire procédurale cognitive

A

apprentissage donc meilleure taux de réponse

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10
Q

amorçage

A

Amélioration de l’identification ou du traitement d’un stimulus donné suite à son observation préalable

La présentation d’un stimulus améliore son traitement ultérieur

Méthodologie classique :
Sujet ne doit jamais avoir l’impression de faire une tâche de mémoire
Ex : complétion de fragment de mots

Plus rapide à traiter l’information connue

Perceptual priming: ce que je suis habitué de voir ensemble

Conceptual priming: connaitre les informations sur un concept

Semantic priming: connaitre les caractéristiques d’un object

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11
Q

Suppression liée à la répétition

A

Nouveau objet: plus d’activation

Répétition d’un objet: moins d’activation, car habituation

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12
Q

Amnésie et amorçage

A

Amnésie lobes médians temporaux -> mémoire explicite déficitaire

mais armorçages perceptuel et conceptuel préservés

maladie d’Alzheimer : lobes médians temporaux + [cortex temporaux latéral + cortex préfrontal] -> mémoire explicite déficitaire et amorçage conceptuel déficitaire mais amorçage perceptuel préservé

Suggère que cortex temporo-latéral et préfrontal sont impliqués
en amorçage conceptuel

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13
Q

Le conditionnement

A

Conditionnement classique ou pavlovien

Jet d’air -> réflexe (Stimulus Non Conditionné)
Son (Stimulus Conditionné)

Conditionnement avec délai (simultané) -> dépend principalement sur le cervelet

Conditionnement avec trace (intervalle entre SNC et SC) -> dépend du cervelet + de l’hippocampe

Conditionnement avec délai est préservé chez les amnésiques (lobes médians temporaux)

Mais pas de conditionnement avec trace.

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14
Q

Dissociation épisodique/sémantique chez l’enfant

A

L’hippocampe serait important pour la mémoire épisodique mais pas pour la mémoire sémantique…

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15
Q

Engramme ou trace mnésique

A

Lésions
Avant la période d’apprentissage : prend plus de temps, semble interférer avec la capacité à apprendre
mais capable d’apprendre

Après la période d’apprentissage : destruction des processus mnésiques
incapable d’apprendre

On peut apprendre sans hippocampe mais si intégrer par l’hippocampe, il y a oubli

Corrélation entre la sévérité des déficits (apprentissage et mémorisation) et la taille de la lésion
Absence de corrélation avec le lieu de la lésion

Introduction du concept d’engramme distribué

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16
Q

Une assemblée cellulaire

A

Assemblée cellulaire =représentation d’un objet correspond à la totalité de l’activité cérébrale produite par cet objet.

Règle de Hebb

Neurons that fire together wire together! (force des connexions augmente) –> mémoire épisodique

-> Ensuite une activation partielle par le stimulus suffit à activer toute l’assemblée cellulaire. Donc la base de l’engramme.

-> La destruction partielle des connexions d’une assemblée cellulaire ne détruira pas le patron d’activation neuronal.

17
Q

Loi de Ribot

A

Un cavalier tombe de cheval près de Versailles le 1 décembre. Se relevant, il demande ce qui s’est passé…
Avant le traumatisme …
- 28 novembre : se blesse au pied.
- 30 novembre : rencontre son frère à Versailles et, à son retour, trouve une lettre sur la cheminée.
Après le traumatisme …
- 2h après : ne se souvient plus de rien et ne se souvient pas qu’on lui ait dit qu’il soit tombé (amnésie rétrograde et antérograde)
- 6h après : Se souvient qu’on lui ait dit qu’il soit tombé (retour de la mémoire antérograde, encore amnésie rétrograde).
- 8-10h après : Se souvient de la blessure au pied
- Lendemain : Se souvient de la journée du 30 novembre (retréograde revient)

Il existe ungradienttemporel dans l’amnésie rétrograde, de telle manière que les souvenirs récents sont plus sujets à l’amnésie que les souvenirs plusanciens.

18
Q

Cerveau de H.M

A

on enlève le 2/3 de son amygdale

  • Il mange le repas
    -Il mange le repas
  • mange seulement le dessert, car il n’a pas faim (oubli d’avoir mangé le repas)
  • son père meurt et il arrête de poser des questions car il devient triste (apprentissage)

1) amnésie antérograde = pas de MLT
2) amnésie rétrograde = de quelques jours avant son opération
3) mémoire déclarative déficitaire (épisodique et sémantique)
4) mémoire procédurale presque normale (savoir-faire)

5) Mémoire de travail normale, tant qu’il peut porter attention à la tâche

19
Q

Tâche de reconnaissance différée avec non appariement

A

plus de bonne réponse sans lésion

20
Q

Localisation de la mémoire

A

Des lésions temporales médianes (hippocampe, amygdale et cortex) affectent la mémoire déclarative, provoquant une amnésie plus antérograde que rétrograde.

Une lésion de l’amygdale seule, n’affecte pas la mémoire déclarative…

Des lésions restreintes de l’hippocampe seules, ne produisent qu’une amnésie relativement légère.

Des lésions au cortex périrhinal provoquent les troubles de la mémoire les plus sévères

Avec l’hippocampe, le cortex rhinal siégeant dans et autour du sillon rhinal contribue à une transformation critique de l’info provenant des aires associatives du cortex.

21
Q

Modèle standard de la consolidation mnésique

A

ENCODAGE:
Aires sensorielles du néocrotex -> lobe temporal median (transformée ex. Dans l’hippocampe).

CONSOLIDATION SYNAPTIQUE: Initier par des changements synaptiques dans l’hippocampe.

CONSOLIDATION MNÉSIQUE: Engrammes transférés dans différentes régions du néocortex.

Avant cette consolidation mnésique, le rappel de ces souvenirs implique l’hippocampe… (Index hippocampiques). --> stockage de souvenir

Comment le modèle explique les principaux effets des lésions
Explique avec parcimonie pourquoi une petite lésion corticale n’affecte que peu ou pas la mémoire alors qu’une lésion de même taille au niveau de l’hippocampe peut créer une amnésie sévère.
Explique pourquoi une lésion corticale peut causer des troubles de mémoire spécifiques (catégories, modalités, etc.) alors qu’une lésion de l’hippocampe affecte toutes les modalités et les catégories.
Explique pourquoi une lésion du lobe temporal médian produit une amnésie antérograde habituellement combinée avec une amnésie rétrograde pour les évènements relativement récents.

Limites du modèle standard:
Reconsolidation:
Le rappel constitue une possibilité d’altérer un souvenir.

22
Q

Anatomie du lobe temporal médian

A

PHOTO

structures clés du lobe temporal médian = trois structures dans la région ventrale de l’hippocampe (mémoire déclarative) dans le sillon rhinal :
le cortex enthorhinal,
le cortex périrhinal et
le cortex parahippocampique.

23
Q

NEURONES HIPPOCAMPIQUES

A

Certaines neurones réagissent des images de personnes précises (pas de causalité nécessairement, seulement une corrélation)

24
Q

hippocampe

A

représentation spatiale

25
Q

Mémoire spatiale

A

à l’aide de l’hippocampe -> représentation spatiale

26
Q

Les cellules de lieu

A

IRM anatomique

l’hippocampe grandi avec plus d’exposition. Meilleure représentation spatiale (ex: chauffeurs de taxi)

27
Q

Contribution du lobe frontal

A

Paradigme de mémoire subséquente
L’activité du cerveau est enregistré pendant l’encodage (phase A).

Par la suite, on compare l’actvité du cerveau en phase A pour les mots rappelés vs. pour les mots oubliés.

L’activité frontale est habituellement bilatérale pour les stimuli visuels et à gauche pour les stimuli verbaux.

Hypothèse : Augmentation de la qualité du traitement sémantique, phonologique ainsi que de l’organisation en mémoire

Plus d’activité quand on rappel que quand on oubli

28
Q

Mémoire de travail (mémoire iconique) et rappel partiel

A

Lobe frontal
Activation liée au maintien d’images (et leur spatialisation) en mémoire de travail

Cortex intra pariétal (aire LIP)
Régions temporales et pariétales

Effet descendant de la représentation sur la saccade occulaire (LIP) / sur la représentation sensorielle

Dépend de l’attention portée aux éléments de la mémoire sensorielle

Durée : quelques secondes à quelques minutes

Limitée à 7 (±2) unités

Mesure habituellement par une tâche d’empan
Auditif

Caractéristique :
Grande sensibilité à interférence

29
Q

Tâche de rappel libre (mémoire de travail

A

L’effet de primauté est attribué à la présence des items du début en mémoire à long terme.

L’effet de récence est attribué à la présence des derniers items en mémoire de travail.

plus de rappel correct lors de l’effet de récence. On se rappel aussi relativement bien ce qui est au début